Les retrouvailles

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Les retrouvailles Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les retrouvailles
Nous sommes dans les années 2000, j'ai créé ma propre activité depuis quelques années.

Sexuellement, mon gout du candaulisme suffit à combler mon besoin pervers de soumission.
J'adore mater les films de ma femme avec ses amants multiples.

Elle s'étonne que je n'éprouve plus le besoin de baiser avec des hommes, depuis plus de cinq ans déjà.

Un matin, je vois arriver un homme d'une soixantaine d'années.
Son visage m'est familier, je suis gêné par son regard oblique sur moi.

Puis, l'évidence me saute aux yeux, il m'a baisé plusieurs fois au Sex-Shop et sur le bord de mer.
Je me sens piégé, je n'aime pas que l'on connaisse ma vie personnelle, hors du sexe.

Voyant le nombre de clients, l'homme quitte ma boutique, je me sens soulagé, même si la situation m'a troublé.

Trois jours plus tard, je le revois entrer, accompagné d'un autre homme, d'une cinquantaine d'années.
Cette fois, il n'y a que quelques clients, que je sers en prenant mon temps.

Les deux hommes scrutent mes articles en parlant entre eux.
Puis vers 11h50, les derniers clients sortent de la boutique.

Le plus âgé vient vers moi et me dit:

"Tu veux pas baisser le rideau qu'on s'occupent de toi ? On a envie de baiser !".
"Euh ! Ici ?".
"Ouais ! Pourquoi pas ! Ca fait longtemps que je te vois plus au Sex-Shop ! Ou au Mourillon !".
"Euh, oui, c'est vrai ! J'ai moins envie en ce moment !".
"Allez ! Ne fais pas le difficile ! Tu vas t'éclater ! Tu verras ! Ca revient tout seul, ces choses-là !".

L'autre homme scrute la rue, celui qui me parle, me caresses les fesses en se touchant l'appareil génital.
J'ai peur que l'on me surprenne dans cette posture, je décide d'aller fermer en baissant le rideau.

En faisant cela, je repense à mes sodomies avec le plus âgé, il est très fortement membré, mais surtout, très, très endurant.
En me retournant, je constate que les deux compères se masturbent patiemment.

"Allez ! Viens nous sucer, salope !".

La phrase me saisit, mais m'excite aussi, cela fait tellement longtemps que je n'ai pas été traité comme cela. Je me sens gauche en me dirigeant vers eux.
La soudaineté de la situation empêche toute pensée de refus ou d'acceptation.
Ils me baissent devant leurs queues.
Je pose une main sur la plus large, et commence à lécher l'autre, de belle taille également.

"Hummmm ! Putain Gilles ! Il suce bien ! Le salaud !".
"Je t'ai pas menti ! Tu vois ! C'est une vraie chienne ! On va lui démonter le cul, tu verras, il adore ça !".
"J'ai hâte déjà !".

Gilles, dont je découvre le prénom, et qui est le plus âgé, s'adresse à moi:

"Comment ça se fait que t'as plus envie ? Vu comme tu te régales à nous sucer, t'es fait pour ça !".
"Hummm ! J'avoue que j'adore vous lécher la bite ! Je sais plus pourquoi, c'est vrai que ça m'a manqué !".
"T'as pas un endroit plus confortable, pour qu'on te défonces comme tu le mérites ?".
"Si, c'est au fond !".

Je vais donc me faire défoncer, alors que je n'y pensais plus depuis très longtemps !
Je les entraine vers la pièce ou je range du stock, et me repose quelques fois, ayant mis un canapé usagé.

Les deux hommes m'ordonnent de me dévêtir devant eux, qui se branlent avec vice.
Puis je retrouve leurs membres durs et gonflés d'envie dans ma gorge.
le désir pervers revient lentement, j'adore les sucer, c'est évident !

"Putain, salope ! Tu m'as manqué ! Je te cherchais à chaque fois que j'allais baiser des mecs au Sex-Shop et au bord de mer ! J'ai cru que t'avais quitté la ville !".
"Je suis flatté, mais il y a d'autre culs ? Non ?".
"Ouais, mais quand je t'ai revu l'autre jour, j'ai eu envie de te baiser encore ! Je t'ai amené mon pote, Fabien ! Ca te fait pas plaisir ?".
"Si, bien sur, j'espère que je vais lui plaire !".

Le soixantenaire se déshabille pendant que son copain me baise la bouche en gorge profonde.
Gilles vient le remplacer et Fabien se met à son aise à son tour.
Gilles s'assoit sur le canapé avec les jambes écartées, il se penche au dessus de mon dos pendant que je le suce avec avidité.
Il me dépose de la salive sur l'anus, puis écarte mes fesses.

Son acolyte, vient derrière moi et entreprend sa pénétration.
Je sens le contact de son gros gland qui pousse contre mon œillet à travers son préservatif.
Comme je n'ai plus de rapport anal régulier, j'ai besoin de plus de temps pour m'ouvrir et le recevoir enfin au fond de moi.

Je me trouve alors très idiot, pourquoi ai-je voulu me passer de ce plaisir.
Sa présence en moi, me comble de bonheur.
Un peu comme si on retrouvait le plaisir de respirer, après une longue séance d'apnée.

"Arhhhhhhhhhh ! Putain, C'est trop bon ! J'aime trop ça ! Merci d'être revenu ! J'en avais besoin, je crois !".
"Tu l'aimes ma bite ?".
"Ahhhhhhhhh ! Oui, défonces-moi ! Maintenant !".

Il entreprend de me posséder longuement et profondément.
Ses assauts se font de plus en plus rapides, au gré de son désir de domination sur moi.
Je lui crie mon plaisir anal, j'ai déjà pris deux orgasmes consécutifs.
Le second orgasme est si fort que je lui demande de se calmer afin de me permettre d'apprécier ce moment divin.

"Arhggggggggghhhhhhhhhhhhhh ! Attends ! Laisses moi jouir ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Oh c'est bonnnn !".
Puis je m'offre encore pour notre plaisir commun.
Je pense à Gilles, et me demande si je vais pouvoir encaisser son endurance.
Mais je le désire très fortement, également.

Je n'ai pas beaucoup le temps de me questionner, il se dégage de ma bouche et vient derrière moi.
Fabien, ôte sa capote et me remplit la gorge de son gros membre.
Je me sens écartelé par le sexe, très, très large de Gilles.
Il me claque les fesses en se plantant profondément dans mon cul sans cesse.
Il ajoute:

"Désolé, j'ai plus de capote, je te connais ! Je sais que tu fais attention !".

J'écarquille les yeux de surprise en jouissant analement, je prends trop de plaisir et me dit que la chose est faite à présent !

Les deux hommes me couvrent de mots vulgaires, et me disent qu'ils vont venir se vider les couilles quand ils en auront le désir.

Je me donne à eux dans de multiples positions,.
J'adore le moment ou je suis planté sur Gilles, allongé au sol, saisit d'un énième orgasme anal, alors que Fabien éjacule longuement dans ma gorge.

Dès lors, Gilles se fait aider de son complice pour me défoncer plus sauvagement.

j'éjacule à mon tour sur mon sol, alors que Gilles entre et sort de mon anus avec amplitude.
Il est aidé de mon abondante lubrification anale, qui fait rebander son ami.

"Putain ! Il mouille bien du cul !".
"Ouais ! J'adore l'enculer pour ça !".

Peu de temps après, je supplie Gilles d'arrêter de m'enculer.

"Pourquoi ? T'as plus envie ?".
"Si, mais tu vas me faire couler ! Je vais en mettre partout !".
"On s'en fout, c'est ça qu'est bon ! Allez, pisses salope !".

C'en est trop, je ne me retiens plus et gicle mon trop plein de liquide doré, entre mes jambes.
Mes râles étonnent Fabien, il me fourre sa bite dans la gorge, pendant que j'inonde le sol.

Je m'étouffe sur sa grosse bite, en me faisant casser le cul.

Longtemps après, Gilles se déverse enfin, en grognant des insultes et son plaisir.
Je suis épuisé de plaisir anal.

Il recule et admire sa destruction de mon œillet écartelé et béant.
Tout son foutre s'écoule abondamment en me polluant les couilles et va rejoindre mes écoulements corporels.

"En fait, j'ai des capotes, mais j'adore voir mon jus sortir d'un cul de salope !".

Son ami me couche ensuite sur le canapé, et plonge entre mes cuisses, sans capote à son tour.
Je subis avec délice son excitation entre mes fesses, il se déchaine comme une bête jusqu'à se déverser une deuxième fois.

Les deux hommes prennent le temps de récupérer, pendant que j'efface les traces de nos ébats.
Puis, je m'assois entre eux, Gilles se fait sucer longuement, pendant que son copain, me caresse le cul en me complimentant et me remerciant, pour le plaisir qu'il a pris.

Ils réitèrent leur projet de visites régulières, puis plus de vingt minutes, plus tard, je reçois plusieurs giclées de sperme chaud, et un peu liquide, dans la gorge.
C'est Gilles qui se laisse enfin aller au plaisir de ma bouche chaude.

En ingurgitant son jus, je me met à imaginer la quantité de ce qu'il m'a inséré dans le cul, vu la dose que j'avale.

Son ami lance:
"Bon, c'était bien bon ! Ca t'a plu salope ?".

J'avale les dernières gouttes de sperme et réponds:

"J'ai adoré, merci d'avoir insisté, j'en ai trop besoin en fait ! Mais putain Gilles ! Tu m'as jamais baisé aussi longtemps !".
"Oui, je me sentais bien ici, et faut croire que te baiser devant Fabien, ça m'excite ! J'aime bien prendre le temps de t'enculer ! On reviendra ! Tu veux bien ?".
"Oui, mais pas trop souvent ! Il est quelle heure ?".

"13 h50 !".
"Quoi , Ca fait deux heures qu'on baise ? J'ai pas le temps de manger, il faut que j'ouvre, désolé les mecs !".

On se rhabille précipitamment, puis je soulève le rideau.
Ils restent un peu et nous parlons sexe jusqu'à l'arrivée d'un premier client.
Ils s'en vont, et me laissent avec l'anus rempli et béant, une gêne anale persistante et le ventre presque vide, si ce n'est, deux doses de sperme.
Ces retrouvailles ont relancé mes désirs de sexe avec des hommes.
Gilles et Fabien sont revenus seuls, et ensemble, plusieurs fois.
Ils s'arrangeaient pour venir en fin de matinée ou soirée, mais comme ils aimaient autant que moi, les jeux de sperme, nous avons convenus une exclusivité de rapports non protégés entre nous.

La deuxième rencontre fut avec Gilles seul, il m'a baisé comme une poupée obéissante pendant tout le temps dont il disposait.
C'est à dire deux heures, non stop, j'ai commandé vite fait un sandwich au kiosque le plus proche, et j'ai accueilli les clients avec l'anus endolori.

Le plus étonnant, ce fut la visite d'un inconnu de cinquante ans environ.

"C'est Gilles qui m'a parlé de toi ! Ca t'intéresse de baiser avec moi ?".

Il a profité d'un moment de calme pour me déballer sa bite.
Devant ses proportions alléchantes, je l'ai lassé me prendre à sa guise dès que l'heure, nous le permettait.
Nous avons utilisé des préservatifs, cette fois.
Mais j'ai tout de même, avalé son sperme a la fin.

Les avis des lecteurs

Puisque le site ne filtre pas ce genre de commentaires, voici ce que j'en pense: il faut de tout de tout pour faire un monde, même des handicapés mentaux ! La preuve !

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Les histoires de tapettes ont s en bas les couilles. Allez faire vos saloperies sur un site de tarlouzes

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Tres bonne histoire

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