Les traces du mensonge - histoire érotique

C'était une mauvaise période pour Corinne et moi, on a décidé, à sa demande d'arrêter le libertinage.

Enfin, essayer d'arrêter ! De mon point de vue, c'est voué à l'échec !
Il est rare qu'on régresse sexuellement.
En général, on évolue ! Jusqu'à atteindre nos propres limites !

Je prend la décision d'attendre de voir qui craquera en premier, de mon coté, c'est plus simple, je baise toujours avec des hommes ! Ca ne la gênes pas !

Comme prévu, notre libido baisse, peu à peu, je la désire moins !
Nos rapports sont répétitifs, ce qui augmente ma baisse de désir, envers elle.

Je sais que son amant préféré, a quitté la région depuis longtemps.
Elle n'a pas trouvé d'autre homme, avec qui elle aurait pu retrouver la complicité qu'ils partageaient.

Malgré ses nombreuses rencontres, elle s'est lassé, et s'est laissée gagner par les scrupules de son infidélité, qui n'en est pas une, puisque je sais tout !

Son éducation familiale de catho de base, la reprenait !
Elle me ressortait les sempiternelles phrases.

"Tout ça, c'est pas normal !".
"Donc tu regrettes d'avoir pris du plaisir ! On doit sacrifier notre vie à faire ce que les gens pensent de nous ! On ne doit pas dépasser des lignes ! Je suis pas croyant, et je n'ai qu'une vie ! Moi, je regrette rien ! J'ai fais de mal à personne ! C'est que du plaisir sexuel !".

Cela dure presque deux ans ! Notre couple part à la dérive, et je commence à m'en foutre royalement, par dépit !

Le fait de savoir qu'elle ne se réveille pas, me donne l'impression de porter seul la responsabilité de la gestion de notre bonheur.
Si j'arrête de m'en soucier, tout par en couilles !

On a de moins en moins de rapprochements sexuels, elle s'en plaint.

Puis, vient une période, ou elle me sollicite plus souvent, je la repousse la plupart du temps.
Il faut dire qu'elle n'est pas très inventive, je sais déjà comment cela va commencer et finir !
Et on ne parle plus en baisant, ou en faisant l'amour, on a perdu notre complicité !

Je la trouve de moins en moins souvent à la maison, en rentrant du travail.
Le Week end, elle me laisse parfois seul, quelques heures, en prétextant des invitations chez une copine, ou une obligation de papiers administratifs à effectuer !

Un samedi, malgré mon désir de passer l'après midi avec elle, elle me dit qu'elle a promis sa présence, à sa copine et ne peut plus de décommander.

A son retour, je l'attends et la sollicite pour un rapport sexuel.
J'ai eu ma dose avec mon cul, récemment, mais cette fois, j'ai envie de sexe hétéro.

Elle me dit qu'elle est un peu fatiguée, mais se laisse embrasser plusieurs fois.
Elle me dit qu'elle m'aime toujours passionnément, lorsque je lui demande, si elle a toujours des sentiments pour moi.

Je la crois, et vois que peu à peu, elle se tord de plaisir sous mes caresses.

Je l'entraine vers notre canapé, puis la dénude au niveau des jambes.
Lentement, je relève ses cuisses pour m'engouffrer entre elles, et lui offrir un tendre cunnilingus.

Mais ce que je vois, me questionne un peu, elle est rougie au niveau des lèvres vaginales.
Elle s'est rasé la chatte et l'anus, ce qui m'offre une vue parfaite de l'irritation de sa peau.

Je la lèche un peu, elle a l'air plus sensible que d'habitude, et elle ne mouille pas !
En regardant bien, je comprends qu'elle a aussi l'anus, très violacé, avec des traces de frottements répétés.

Je veux être sur de moi, je remonte vers son visage et remarque qu'elle n'a plus de rouge, sur les lèvres !
C'est sur, elle a sucé ou embrassé un mec, assez longtemps pour l'effacer ! Et les irritations de sa chatte et son anus me prouvent qu'elle a donné son corps à un autre homme !

Lorsque je la pénètre vaginalement, elle met du temps à lubrifier ma bite, je dois utiliser du gel !
Puis après plusieurs orgasmes, que je m'amuse vicieusement à lui faire subir, en sachant qu'elle en a déjà connu d'autres avant moi, je prends la direction de son anus en la retournant.

Je profite que mon sexe est en érection, pour l'enduire légèrement de gel.
J'entre sans résistance, dès les premiers mouvements, elle râle fortement.

Je fixe sans arrêt, ma bite, qui commence à chasser les preuves de son adultère en maculant ma peau.
Des rougeurs sur ses fesses, montrent qu'on lui a claqué le cul en la baisant, ou en l'enculant.
Pour couronner le tout, le foutre forme une corolle autour de ma queue.

J'en ai assez de faire semblant, je l'emmène lentement à me parler.

"C'est bon de t'enculer ! Tu te souviens comme t'aimais le faire avec tes amants ? Tu me disais que tu les aimaient bien grosses !".
"Pascal ! Arrêtes ! S'il te plais ! Je veux pas parler de ça !".
"Quoi ! T'aimes pas te faire enculer !".
"Si, tu le sais ! Arhhhhhh !".
"Elles étaient pas bonnes leurs bites ?".
"Si ! Arhhhhhhhh !".
"Ca te revient pas, un peu ? T'as pas envie d'autres queues ? Tu te fais pas draguer en ce moment ?".
"Si, de temps en temps ! Arghhhhhhhhhhhh !".
"Tu m'aimes ?".
"Oui ! Argggggggggggg !".
"Tu me le diras, si tu as envie de recommencer ?".
"Oui ! Promis ! Arghhhhh ! Je joui ! Arghhhhhhhhhhhhh !".

Je la fais jouir, encore une autre fois, avant de l'accompagner dans son orgasme anal.

Je ne veux pas lui tirer les vers du nez, je veux qu'elle m'avoue tout, de son propre chef !
Après un petit moment, je lui parle.

"Je pense qu'on va dans le fossé, tous les deux ! Tu ne me parles plus ! Tu es entrain de construire un mur entre nous ! Tu me dis que tu m'aimes, mais tes actes montrent le contraire ! J'ai besoin de confiance entre nous ! Désolé, mais moi, je sais plus si je t'aime ! J'ai besoin de preuves d'amour, pour aimer en retour !".

Elle s'attendait à ce que je lui parle ainsi, et se met à pleurer, en m'assurant qu'elle m'aime toujours.
C'est deux heures plus tard, devant la série télé du soir, qu'elle se blottit contre moi et me dit doucement:

"Mon amour, tu as raison, il faut que je te parle !".
"J'attends que ça, je suis là pour t'écouter, tu le sais !".

Un long silence règne, je vois qu'elle a du mal, elle ne sait me dire, que ceci:

"Aide-moi, j'y arrive pas !".
"Ok, je t'aide ! Tu as un amant ! Et depuis quelques mois déjà !".
"Tu t'en es rendu compte ?".
"Ben oui, t'es de plus en plus absente ! Et j'ai vu les traces de votre baise sur ton corps ! J'ai failli m'arrêter de te baiser, j'avais l'impression de te faire mal ! Sans parler des marques de claques sur tes fesses ! Et tu as encore du sperme dans le cul !".
"Oh ! Désolée, j'étais en retard, je suis partie sans me doucher !".

Il me vient une peur, celle d'une relation amoureuse avec un autre homme, ce qui expliquerai la présence de sperme !

"Tu dois le connaitre pour accepter qu'il éjacule en toi, sinon, tu lui demanderai de mettre des capotes !".
"Oui, C'est Chris ! Il est revenu pour quelques mois ! Au début, je lui ai dit que j'avais arrêté le sexe, mais, j'ai pas résisté longtemps ! Tu as le droit m'en vouloir ! Je voulais pas ! Je te le jure, on s'est revu devant un café, et puis en étant à coté de lui, je me suis mise à mouiller ! Et quand il m'a dit discrètement qu'il bandait, je lui ai dit de venir à la maison, pour qu'il me baise ! Et voilà, il a tout réveillé !".

Je suis soulagé, en quelque sorte ! Ca me prouve que tout n'est pas perdu !

"Je t'en veux pas, mais arrêtes de vouloir t'en passer ! Tu me fais passer pour un pervers, quand je te demande, si tu baises avec une homme, mais par contre, si c'est un mec que t'apprécies, tu le fais sans m'en parler !".
"Je sais ! Je me comprends pas moi même !".
"Depuis combien de temps ?".
"Quatre mois, je pense ! Même Chris, se demande pourquoi je te dis rien ! Puisque, tu es d'accord ! Je crois que j'aime avoir un jardin secret !".
"Bon apparemment, il t'a baisé longtemps, vu tes irritations !".
"Euh ! C'est à cause des préservatifs !".
"Quoi ? Mais il t'a éjaculé dans le cul, explique-moi ! Pourquoi, il a mis des capotes ? Je comprends pas !".

Elle baisse la tête et répond honteusement:

"C'est pas lui, c'est les autres ! Il fêtait son anniversaire, c'est pour ça que j'étais obligée d'y aller ! Il a fait venir ses copains ! Et de fil en aiguille, on a baisé !".
"Ah Carrément ! Je comprends tout maintenant !".
"Combien ?".
"Cinq, avec Chris ! Ils me connaissaient, puisqu'ils m'avaient déjà baisé en gang bang avec lui, au début !".

Je subis la nouvelle comme un choc, elle me refuse le libertinage et se donne à un groupe de copains, sans me le dire.
Je me résous à penser que c'est l'engrenage du mensonge, qui l'empêchait de tout m'avouer.

Depuis ce soir là, notre libido a repris, et mes sentiments ont retrouvés leur flamme.
Quand Chris est à nouveau parti, elle a continué ses écarts plus sereinement.

On avait retrouvé aussi notre dialogue sexuel de couple.
Mais je sais déjà, que tôt ou tard, elle remettra encore tout ça en question ! Elle est comme ça !

J'ai donc profité de ce qu'elle me donnait.
Comme des films de ses ébats, quand ses complices acceptaient, des récits de rencontres perverses, auxquelles je ne m'attendais pas, comme des escapades en club libertin, seule, comme une grande !

De temps en temps, sur sa demande, je l'accompagnais dans des trios ou quatuors, avec ses nouveaux amis, sans participer, pour le seul plaisir de la voir jouir !