Les vacances de Julie - 1
Récit érotique écrit par Markpm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les vacances de Julie - 1
Chapitre 1 : Les retrouvailles
Sept mois étaient passés depuis notre séparation sur un quai de gare routière à Rochefort. Pourtant, la relation que j'avais entamée avec Julie durant les vacances de Noël avait perduré, et ce malgré la distance. Nous nous appelions fréquemment, nous faisions des sessions Skype au moins une fois par semaine, et on s'écrivait quotidiennement par textos. Par deux fois, nous avons failli nous retrouver, enfin, mais des contre-temps professionnels sont à chaque fois venus gâcher la fête. Du coup, le message que j'ai reçu en ce matin de juillet m'a fait extrêmement plaisir : « Ta chienne sera en vacances pendant un mois à partir du 14. Elle cherche un toit pour l'accueillir... » Notre relation, elle, n'avait pas changé. Elle aimait se considérer comme ma chienne, rien qu'à moi, et j'aimais la traiter en tant que telle. Et j'aimais le lui répéter, encore et encore. Aussi, ma réponse à son message était évidente : « Ta place est au bout de ma laisse. Viens quand tu veux. » On a vu ensemble les horaires, et Julie a pris un billet qui la ferait arriver à Lyon le dimanche 15 juillet. J'ai alors dû attendre cette date avec l'impatience d'un gamin qui attend Noël.
Le 15 juillet, à midi et demie, j'étais à la gare de Lyon-Part-Dieu, et l'attendais de pied ferme. La gare était pleine de gens avec des drapeaux français et arborant les couleurs de leur pays, car le hasard de l'Histoire a voulu que le 15 juillet soit aussi le jour de la finale de la Coupe du Monde. Les gens chantaient, criaient, dansaient, étaient heureux de manière générale, et moi j'avais deux fois plus de raisons de l'être. J'allais retrouver Julie. J'allais retrouver ma chienne. Pour au moins un mois.
Lorsque je l'ai vue descendre du train, mon cœur s'est mis à battre plus fort encore. Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire bêtement. Et quand elle est arrivée près de moi, sa valise dans une main et son sac à main dans l'autre, j'ai seulement attrapé son menton entre mon pouce et mon index, et l'ai embrassée avec fougue et passion.
— Bienvenue chez moi, lui ai-je simplement dit.
J'ai alors pris sa valise et alors qu'elle me tenait par le bras, nous sommes descendus au parking où j'avais garé ma voiture. J'ai rangé la valise dans le coffre, puis me suis tourné vers Julie, qui me souriait, visiblement ravie d'être ici avec moi.
— Allez, lui ai-je dit, remonte ta robe maintenant.
Julie s'était faite belle pour l'occasion. Robe noire assez ample mais très décolletée, maquillage digne des grands évènements, et une paire de talons dont personne n'aurait opté pour faire un tel trajet. Suite à mon ordre, elle a souri à nouveau, et regardé autour d'elle. Elle a compris en me voyant figé que je ne plaisantais pas, et a relevé sa robe lentement le long de ses cuisses, jusqu'à sa taille. Elle portait en-dessous une petite culotte rouge en dentelle, très sexy, je devinais son sexe au travers. J'ai cependant fait claquer ma langue, agacé, et me suis accroupi pour faire glisser le sous-vêtement jusqu'à ses chevilles. Par réflexe, je l'ai porté à mes narines. Cette odeur m'avait tellement manqué. J'ai eu envie de mettre ma tête entre ses cuisses et lécher cette chatte qu'elle avait débarrassée de tout poil, mais je me suis retenu. Il ne fallait pas que je sois trop gourmand. A la place, je me suis relevé, et la forçant à ouvrir la bouche d'une main, de l'autre j'ai glissé la culotte contre sa langue.
— Il va falloir que tu reprennes les bonnes habitudes. Pas de sous-vêtements jusqu'à nouvel ordre. Enlève aussi ton soutif et rentre dans la bagnole.
Un peu surprise et surtout incapable de parler, Julie a simplement hoché la tête et passé ses mains derrière elle pour défaire l'agrafe de son soutien-gorge. Elle comprenait ainsi que les choses sérieuses commençaient. J'ai claqué ses fesses avant de faire retomber sa robe. Ça aussi, ça m'avait manqué, et pour le coup je n'ai pas pu m'en empêcher. Ensuite seulement nous sommes rentrés dans la voiture et j'ai pris la direction de mon appartement.
Le trajet n'aura duré qu'un petit quart d'heure. Mais pour Julie, dont la bouche était remplie de dentelle pas tout à fait propre, un quart d'heure pouvait sembler une éternité. Aussi, une fois la voiture bien garée à sa place, dans le parking sous-terrain de mon immeuble, j'ai sorti la culotte, encore plus poisseuse, de sa bouche. Puis je suis sorti de la voiture, et j'ai sorti sa valise. En faisant le tour pour lui ouvrir la porte, je me suis senti soudain terriblement excité de la voir si docile, si soumise, si chienne sur le siège passager. Alors en sentant toue cette excitation monter en flèche, je lui ai ordonné de sortir de la voiture, puis de se retourner. D'un geste, brusque et ferme à la fois, je l'ai forcée à se pencher en avant. D'une main, j'ai relevé sa robe au-dessus de ses fesses tandis que de l'autre, je défaisais ma ceinture. Je bandais tellement, j'étais tellement excité, que je n'ai pas demandé mon reste. J'ai simplement glissé mon sexe entre ses cuisses, et d'un geste franc, l'ai pénétrée. Comme un forcené. Sans retenue. A chaque aller-retour au fond de son vagin, je claquais son cul si fort que ma main y laissait une marque rouge. Julie, la tête plaquée contre le siège, gémissait, et je l'ai vue à plusieurs reprises mordre sa main pour ne pas crier trop fort. Autant dire que j'étais tellement excité que je n'ai pas mis longtemps avant de jouir, lâchant de longs jets de foutre au fond de son sexe. Mon Dieu que ça faisait du bien. Sept mois que j'attendais ce moment. Toujours enfoncé profondément entre ses cuisses, je jouais avec son anus du bout du pouce, mais lui ai quand même dit :
— Si jamais tu regrettes, tu as encore le temps de changer d'avis. Mais si tu veux être ma chienne, c'est jusqu'au bout.
Bien sûr, Julie ne m'a pas répondu. Je connaissais déjà son caractère. Elle a simplement retiré ma queue de son sexe, et s'est retournée et mise à genoux pour me faire face. Puis elle a pris mon sexe en bouche, l'a sucé et léché pour le nettoyer, puis l'a aspiré jusqu'à le prendre dans sa gorge. Heureux de voir qu'elle n'avait pas oublié ses basiques, j'ai caressé sa joue puis ses cheveux en souriant.
— Je serai toujours ta chienne, a-t-elle dit en sortant mon sexe à présent ramolli de sa bouche.
J'étais content de l'apprendre. Le mois qui suivait n'allait en être que plus agréable pour tous les deux.
Nous sommes montés dans mon appartement. Un appartement somme toute assez basique, avec une chambre, un bureau, un grand salon-cuisine, et la petite pointe de luxe, un grand balcon donnant sur la rue pour prendre son café au soleil tout en épiant les voisins. Après avoir posé les affaires de Julie dans la chambre, nous avons commencé par une douche rafraichissante. Une fois tous les deux sous l'eau, impossible de ne pas repenser à toutes ces photos que nous nous étions envoyées durant ces sept derniers mois, tantôt moi tantôt elle dans la cabine de douche, nus, accompagnées d'un message disant « rejoins moi vite ». Cette fois-ci, c'était chose faite. Julie était dans ma douche, et comme elle le disait souvent dans nos messages, elle s'est mise à genoux à mes pieds pour s'occuper de mon sexe. Elle m'a longuement sucé, s'est étouffée à plusieurs reprises sur mon membre enfoncé dans sa gorge, mais toujours en levant les yeux vers moi, dévouée comme jamais. Je ne l'ai repoussée qu'au dernier moment pour éjaculer sur son visage. C'était beau de voir son sourire s'élargir au fur et à mesure que mon sperme coulait sur son nez, ses joues, ses lèvres. J'étais content de voir que la passion de Julie pour la semence masculine était restée intacte depuis la dernière fois.
Après avoir récupéré tout le foutre pour le mettre en bouche, et après s'être rincée à nouveau, Julie m'a rejoint, nue, dans la chambre.
— J'ai un cadeau pour toi, lui ai-je dit en attrapant une boîte sur l'étagère.
Nouveau sourire sur son visage. Elle a ouvert le paquet, et en a sorti un petit œuf vibrant rose fluo. J'ai compris à son regard interloqué qu'elle ne voyait pas bien ce qu'il avait de différent des autres sextoys que je lui avais acheté, et fait livrer puis essayer devant la webcam pour pimenter notre relation à distance.
— Essaye-le, tu verras, lui ai-je dis.
Deux doigts sont venus contre sa fente pour l'ouvrir, puis son autre main a fait glisser la petite boule rose en elle. J'ai alors sorti mon téléphone, cliqué sur l'application adéquate, et ai fait vibrer l'œuf à distance. Surprise, Julie a laissé échappé un gémissement, se tenant à la commode.
— Bien, ai-je dit. Ça marche, visiblement. Maintenant enfile une robe, on va voir le match.
Sept mois étaient passés depuis notre séparation sur un quai de gare routière à Rochefort. Pourtant, la relation que j'avais entamée avec Julie durant les vacances de Noël avait perduré, et ce malgré la distance. Nous nous appelions fréquemment, nous faisions des sessions Skype au moins une fois par semaine, et on s'écrivait quotidiennement par textos. Par deux fois, nous avons failli nous retrouver, enfin, mais des contre-temps professionnels sont à chaque fois venus gâcher la fête. Du coup, le message que j'ai reçu en ce matin de juillet m'a fait extrêmement plaisir : « Ta chienne sera en vacances pendant un mois à partir du 14. Elle cherche un toit pour l'accueillir... » Notre relation, elle, n'avait pas changé. Elle aimait se considérer comme ma chienne, rien qu'à moi, et j'aimais la traiter en tant que telle. Et j'aimais le lui répéter, encore et encore. Aussi, ma réponse à son message était évidente : « Ta place est au bout de ma laisse. Viens quand tu veux. » On a vu ensemble les horaires, et Julie a pris un billet qui la ferait arriver à Lyon le dimanche 15 juillet. J'ai alors dû attendre cette date avec l'impatience d'un gamin qui attend Noël.
Le 15 juillet, à midi et demie, j'étais à la gare de Lyon-Part-Dieu, et l'attendais de pied ferme. La gare était pleine de gens avec des drapeaux français et arborant les couleurs de leur pays, car le hasard de l'Histoire a voulu que le 15 juillet soit aussi le jour de la finale de la Coupe du Monde. Les gens chantaient, criaient, dansaient, étaient heureux de manière générale, et moi j'avais deux fois plus de raisons de l'être. J'allais retrouver Julie. J'allais retrouver ma chienne. Pour au moins un mois.
Lorsque je l'ai vue descendre du train, mon cœur s'est mis à battre plus fort encore. Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire bêtement. Et quand elle est arrivée près de moi, sa valise dans une main et son sac à main dans l'autre, j'ai seulement attrapé son menton entre mon pouce et mon index, et l'ai embrassée avec fougue et passion.
— Bienvenue chez moi, lui ai-je simplement dit.
J'ai alors pris sa valise et alors qu'elle me tenait par le bras, nous sommes descendus au parking où j'avais garé ma voiture. J'ai rangé la valise dans le coffre, puis me suis tourné vers Julie, qui me souriait, visiblement ravie d'être ici avec moi.
— Allez, lui ai-je dit, remonte ta robe maintenant.
Julie s'était faite belle pour l'occasion. Robe noire assez ample mais très décolletée, maquillage digne des grands évènements, et une paire de talons dont personne n'aurait opté pour faire un tel trajet. Suite à mon ordre, elle a souri à nouveau, et regardé autour d'elle. Elle a compris en me voyant figé que je ne plaisantais pas, et a relevé sa robe lentement le long de ses cuisses, jusqu'à sa taille. Elle portait en-dessous une petite culotte rouge en dentelle, très sexy, je devinais son sexe au travers. J'ai cependant fait claquer ma langue, agacé, et me suis accroupi pour faire glisser le sous-vêtement jusqu'à ses chevilles. Par réflexe, je l'ai porté à mes narines. Cette odeur m'avait tellement manqué. J'ai eu envie de mettre ma tête entre ses cuisses et lécher cette chatte qu'elle avait débarrassée de tout poil, mais je me suis retenu. Il ne fallait pas que je sois trop gourmand. A la place, je me suis relevé, et la forçant à ouvrir la bouche d'une main, de l'autre j'ai glissé la culotte contre sa langue.
— Il va falloir que tu reprennes les bonnes habitudes. Pas de sous-vêtements jusqu'à nouvel ordre. Enlève aussi ton soutif et rentre dans la bagnole.
Un peu surprise et surtout incapable de parler, Julie a simplement hoché la tête et passé ses mains derrière elle pour défaire l'agrafe de son soutien-gorge. Elle comprenait ainsi que les choses sérieuses commençaient. J'ai claqué ses fesses avant de faire retomber sa robe. Ça aussi, ça m'avait manqué, et pour le coup je n'ai pas pu m'en empêcher. Ensuite seulement nous sommes rentrés dans la voiture et j'ai pris la direction de mon appartement.
Le trajet n'aura duré qu'un petit quart d'heure. Mais pour Julie, dont la bouche était remplie de dentelle pas tout à fait propre, un quart d'heure pouvait sembler une éternité. Aussi, une fois la voiture bien garée à sa place, dans le parking sous-terrain de mon immeuble, j'ai sorti la culotte, encore plus poisseuse, de sa bouche. Puis je suis sorti de la voiture, et j'ai sorti sa valise. En faisant le tour pour lui ouvrir la porte, je me suis senti soudain terriblement excité de la voir si docile, si soumise, si chienne sur le siège passager. Alors en sentant toue cette excitation monter en flèche, je lui ai ordonné de sortir de la voiture, puis de se retourner. D'un geste, brusque et ferme à la fois, je l'ai forcée à se pencher en avant. D'une main, j'ai relevé sa robe au-dessus de ses fesses tandis que de l'autre, je défaisais ma ceinture. Je bandais tellement, j'étais tellement excité, que je n'ai pas demandé mon reste. J'ai simplement glissé mon sexe entre ses cuisses, et d'un geste franc, l'ai pénétrée. Comme un forcené. Sans retenue. A chaque aller-retour au fond de son vagin, je claquais son cul si fort que ma main y laissait une marque rouge. Julie, la tête plaquée contre le siège, gémissait, et je l'ai vue à plusieurs reprises mordre sa main pour ne pas crier trop fort. Autant dire que j'étais tellement excité que je n'ai pas mis longtemps avant de jouir, lâchant de longs jets de foutre au fond de son sexe. Mon Dieu que ça faisait du bien. Sept mois que j'attendais ce moment. Toujours enfoncé profondément entre ses cuisses, je jouais avec son anus du bout du pouce, mais lui ai quand même dit :
— Si jamais tu regrettes, tu as encore le temps de changer d'avis. Mais si tu veux être ma chienne, c'est jusqu'au bout.
Bien sûr, Julie ne m'a pas répondu. Je connaissais déjà son caractère. Elle a simplement retiré ma queue de son sexe, et s'est retournée et mise à genoux pour me faire face. Puis elle a pris mon sexe en bouche, l'a sucé et léché pour le nettoyer, puis l'a aspiré jusqu'à le prendre dans sa gorge. Heureux de voir qu'elle n'avait pas oublié ses basiques, j'ai caressé sa joue puis ses cheveux en souriant.
— Je serai toujours ta chienne, a-t-elle dit en sortant mon sexe à présent ramolli de sa bouche.
J'étais content de l'apprendre. Le mois qui suivait n'allait en être que plus agréable pour tous les deux.
Nous sommes montés dans mon appartement. Un appartement somme toute assez basique, avec une chambre, un bureau, un grand salon-cuisine, et la petite pointe de luxe, un grand balcon donnant sur la rue pour prendre son café au soleil tout en épiant les voisins. Après avoir posé les affaires de Julie dans la chambre, nous avons commencé par une douche rafraichissante. Une fois tous les deux sous l'eau, impossible de ne pas repenser à toutes ces photos que nous nous étions envoyées durant ces sept derniers mois, tantôt moi tantôt elle dans la cabine de douche, nus, accompagnées d'un message disant « rejoins moi vite ». Cette fois-ci, c'était chose faite. Julie était dans ma douche, et comme elle le disait souvent dans nos messages, elle s'est mise à genoux à mes pieds pour s'occuper de mon sexe. Elle m'a longuement sucé, s'est étouffée à plusieurs reprises sur mon membre enfoncé dans sa gorge, mais toujours en levant les yeux vers moi, dévouée comme jamais. Je ne l'ai repoussée qu'au dernier moment pour éjaculer sur son visage. C'était beau de voir son sourire s'élargir au fur et à mesure que mon sperme coulait sur son nez, ses joues, ses lèvres. J'étais content de voir que la passion de Julie pour la semence masculine était restée intacte depuis la dernière fois.
Après avoir récupéré tout le foutre pour le mettre en bouche, et après s'être rincée à nouveau, Julie m'a rejoint, nue, dans la chambre.
— J'ai un cadeau pour toi, lui ai-je dit en attrapant une boîte sur l'étagère.
Nouveau sourire sur son visage. Elle a ouvert le paquet, et en a sorti un petit œuf vibrant rose fluo. J'ai compris à son regard interloqué qu'elle ne voyait pas bien ce qu'il avait de différent des autres sextoys que je lui avais acheté, et fait livrer puis essayer devant la webcam pour pimenter notre relation à distance.
— Essaye-le, tu verras, lui ai-je dis.
Deux doigts sont venus contre sa fente pour l'ouvrir, puis son autre main a fait glisser la petite boule rose en elle. J'ai alors sorti mon téléphone, cliqué sur l'application adéquate, et ai fait vibrer l'œuf à distance. Surprise, Julie a laissé échappé un gémissement, se tenant à la commode.
— Bien, ai-je dit. Ça marche, visiblement. Maintenant enfile une robe, on va voir le match.
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