Les vacances de Julie - 6 : Nuit chez l'habitant

- Par l'auteur HDS Markpm -
Récit érotique écrit par Markpm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les vacances de Julie - 6 : Nuit chez l'habitant Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2018 dans la catégorie Plus on est
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Les vacances de Julie - 6 : Nuit chez l'habitant
Chapitre 6 : Nuit chez l'habitant
Nous suivions le 4x4 du vieux paysan tandis que la nuit tombait doucement, donnant au ciel ces teintes bleutées qu'on ne trouve qu'en été. Dans l'habitacle, pas un bruit. Julie avait été autorisée à remettre sa robe, mais restait silencieuse, visiblement soucieuse à l'idée de s'aventurer chez cet inconnu. Ma main posée sur sa cuisse était censée la réconforter, lui rappeler que j'étais là quoi qu'il arrive, mais elle n'arrivait pas vraiment à se détendre. Cependant, j'ai eu moi aussi un peu de mal à me détendre lorsque la voiture que nous suivions s'est enfoncée dans un petit chemin de terre. Je l'ai quand même suivie. L'aventure, c'était l'aventure.

Nous sommes arrivés devant une grande bâtisse en pierres, devant laquelle s'est garée la voiture de l'agriculteur.

— Suivez moi, nous a-t-il dit alors que nous sortions aussi de notre voiture. Là, c'est la ferme où je travaille. C'est là que sont les vaches. J'habite un peu plus loin.

Nous avons longé l'exploitation agricole, dans laquelle nous entendions effectivement les vaches s'agiter. Un peu plus loin, on pouvait voir une petite maison, d'où émanait une lumière chaude et accueillante.

— C'est ici, nous a-t-il dit en accélérant un peu.

L'homme a poussé la porte et s'est engouffré à l'intérieur, nous laissant le suivre.

— Virginie ! a-t-il crié. Tu mettras deux couverts de plus.

Une jolie petite tête brune est apparue dans l'encadrement de la porte de la cuisine, et nous a souri. L'espace d'un instant, je m'étais imaginé que l'homme s'était adressé à son épouse, mais la femme en face de nous avait trente ans tout au plus. Voyant mon étonnement, l'homme s'est approché de moi et m'a dit :
— C'est ma nièce. On vit ensemble depuis un long moment. Une tragique histoire, a-t-il rajouté à voix basse. Sa mère, la sœur de ma femme, et son mari sont morts dans un accident de voiture il y a dix-sept ans maintenant, la pauvre fille n'en avait que douze. Hélas, ma femme se trouvait dans la voiture elle aussi...
— Désolé de l'apprendre, a dit Julie derrière moi.
— Merci, ça fait longtemps maintenant. Et puis Virginie et moi on s'est bien trouvés. Notre ménage fonctionne bien. Venez plutôt vous installer à table, on va prendre un apéritif.

Nous nous sommes assis tous les trois autour de cette grande table en bois massif, et l'homme a sorti une bouteille de Porto du buffet derrière lui. Tout en nous servant dans les verres que sa nièce venait de poser devant nous, l'homme nous a posé des questions, pour savoir qui nous étions, ce que nous faisions dans la vie, ce que nous faisions ici. Je me faisais un plaisir de répondre à toutes ses questions, non mécontent de pouvoir profiter du gîte et du couvert chez un habitant du coin. Puis il a frappé la table de sa large main, avant d'exploser de rire.

— Ce que je suis bête ! a-t-il lancé. J'allais vous demander vos prénoms quand je me suis rendu compte que je ne vous avais pas donné le mien ! Je m'appelle Bernard !
— Moi c'est Marc, ai-je répondu, et elle c'est Julie. Et avant tout merci pour votre accueil ! C'est très gentil !
— Ça me fait plaisir.

Il avait répondu ça en fixant Julie, un sourire en coin, tripotant sa barbe grise. Il y avait un côté un peu flippant là-dedans, et en même temps, cette perversité qui débordait de son regard me rappelait la mienne, et je me disais que nous avions sûrement plus de points communs tous les deux que nous ne l'imaginions. Virginie est arrivée à ce moment-là, posant sur la table un plat fumant et à l'odeur alléchante.

Lorsqu'elle s'est enfin assise avec nous, j'ai pu détailler un peu la nièce de Bernard. Ses longs cheveux bruns étaient attachés en une queue de cheval qui retombait sur son épaule, ce qui dégageait son visage. Et quel visage ! Des yeux noisettes en forme d'amande, un petit nez retroussé, une bouche pulpeuse juste comme il faut, quelques tâches de rousseur éparpillées par-ci par-là... Son tablier de cuisine, recouvert de salissures, m'empêchait de bien voir le décolleté qu'offrait sa robe fleurie, mais il n'était pas difficile d'imaginer une belle poitrine, de taille conséquente.

Pendant près d'une heure et demie, nous avons mangé, un ragoût, de l'agneau selon Bernard, accompagné de légumes et de pommes de terre, c'était tout à fait délicieux. Et nous avons bu, beaucoup. A la fin du repas, je comptais déjà trois bouteilles de vin sur la table, et Bernard, de bonne humeur, était en train de débouchonner la quatrième. « Pour le fromage ! » s'était-il mis à crier en rigolant. Alors nous avons continué à boire pour le fromage. Puis Bernard s'est levé, et l'air grave, s'est excusé de ne pas avoir de dessert à proposer, mais il ne s'attendait pas à avoir des invités.

— En compensation, allons prendre un petit digestif dehors !

Et il a pris une bouteille de liqueur dans le buffet et a quitté la pièce. Nous l'avons retrouvé dehors, sur une petite terrasse à l'arrière de la maison, qui, de jour, devait donner sur des champs, mais de nuit, offrait une vue incroyable sur la voûte étoilée. Bernard nous a servi à tous les quatre un verre, qu'il nous a demandé de boire d'une traite. Poliment, c'est ce qu'on a fait. J'ai senti l'eau-de-vie brûler ma gorge, jusqu'à mon estomac. Julie toussait tant la liqueur était forte, tandis que Virginie, peut-être habituée, rigolait simplement. Je n'ai pas pu m'empêcher à la fameuse scène des Bronzés font du ski, et j'ai demandé à Bernard de quoi il s'agissait.

— Liqueur de poire, a-t-il répondu, je la fais moi-même. Elle est bonne hein ? Allez tiens.

Et il nous a resservi. Je ne sais pas si c'était par politesse ou bien si nous étions déjà saouls, mais nous avons bu trois verres comme ça. Il faisait plutôt frais dehors, et pourtant une certaine chaleur nous envahissait tous. Bernard, surtout. Son regard transpirait la luxure. Et rapidement, l'alcool aidant, il ne s'est plus contenté de regarder seulement.

— Alors comme ça vous êtes nudistes ? nous a-t-il lancé à Julie et moi.

Le silence s'est fait, et Virginie l'a regardé avec de grands yeux.

— Ah bah t'étais pas là toi, a-t-il dit à sa nièce, mais c'est comme ça que je les ai trouvés. Elle était à poils, au bord de la rivière. Tu veux pas nous montrer encore ?

Il s'exprimait directement à Julie, en la regardant droit dans les yeux. Virginie, à côté, a poussé un grognement.

— Tonton !
— Oh, quoi ? J'ai envie de voir un nichon, je peux ? Montre le nous, tiens, toi.

Cette fois-ci, c'est à sa nièce qu'il s'adressait, ce qui nous laissait plutôt perplexe, voire même carrément sur le cul.

— Ben quoi ? Ce serait pas la première fois vous savez. Virginie et moi on vit ensemble depuis longtemps, on est comme un couple, hein...
— Tonton, arrête !
— Viens plutôt là, toi ! a-t-il crié en tapant sur sa cuisse.

Sous nos yeux ébahis, Virginie s'est levée et est venue s'assoir sur la cuisse de son oncle. La main puissante de Bernard a défait le nœud attachant son tablier de cuisine, puis d'un geste rapide, a tiré sur le décolleté de sa robe, laissant s'échapper un sein.

— On a pas le même sang, a-t-il justifié tandis que sa deuxième main écartait un peu plus les cuisses de Virginie. Quand je vous disais qu'on s'était bien trouvés... Elle est toute à moi !

Comme pour nous prouver qu'il disait vrai, il a tiré sur la robe de Virginie pour la remonter au-dessus de son string noir, si petit qu'on devinait le renfoncement de son sexe au travers, et à la dentelle si fine qu'on pouvait être sûrs qu'elle s'épilait intégralement. Bernard, cette fois, m'a regardé moi, et m'a dit :
— Tu n'imagines pas la chance que j'ai d'avoir une femme si dévouée à la maison !
— Oh que si Bernard ! lui ai-je répondu sans pouvoir m'empêcher de rire. J'imagine très bien.

Je me suis alors tourné vers Julie, qui n'avait pas ouvert la bouche depuis un moment, et lui ai ordonné de se lever et de retirer sa robe. La sentant assez peu décidée à obéir, j'ai claqué sèchement sa poitrine, ce qui l'a aidée à s'exécuter. Une fois la robe tombée par terre, il ne lui restait plus que son collier de chienne, et Julie a dû soutenir le regard pervers de Bernard posé sur son corps. Pour se donner du courage, elle a rempli un verre de liqueur, qu'elle a bu cul sec.

— Monsieur est un chanceux également, m'a dit Bernard. Quels sont ses talents ?

Je ne savais plus trop, à ce moment, si je devais jouer le jeu de Bernard, ou y mettre fin. Mais la situation commençait à m'exciter. J'entrevoyais un millier de possibilités au déroulement de cette soirée. J'ai alors croisé le regard de Julie. Elle, pour le coup, avait l'air beaucoup moins sereine. Alors pour la rassurer, je me suis levé et lui ai fait face, me mettant entre elle et les autres. J'ai pris sa main dans la mienne, et l'ai posée contre la bosse que formait mon érection sous mon short.

— Rappelle toi, lui ai-je dis à voix basse, je suis là, et tu fais ça pour moi, et rien que pour moi. D'accord ?

Julie a hoché la tête avec un sourire timide, alors je l'ai tirée par le bras pour contourner la table, et l'ai faite pencher contre, face à notre audience. Je lui ai fait écarter les jambes, du bout du pied, et j'ai vu le sourire de Bernard s'agrandir en voyant le plug anal fiché entre ses fesses. J'ai écarté un peu celles-ci, pour exhiber fièrement les trésors de Julie, j'ai tiré sur ses grandes lèvres pour ouvrir son sexe, un doigt s'est enfoncé à l'intérieur. J'ai alors entendu la petite voix de Julie, la tête contre la table :
— Marc... S'il te plait...
— Qu'est-ce qu'il y a ? ai-je demandé en me rapprochant d'elle.
— J'ai trop bu, je dois aller aux toilettes. S'il te plait...

Julie savait très bien l'effet que ce genre de phrase avait sur moi. Elle savait très bien que je n'allais pas la laisser utiliser les toilettes, comme n'importe quelle personne. Elle le savait tellement bien qu'il m'a paru évident qu'elle le faisait exprès. Alors je l'ai relevée en vitesse, et du doigt, j'ai pointé le carré d'herbe en face de nous.

— Les toilettes sont ici.

Julie m'a regardé avec son air suppliant, et ça aussi, elle savait que ça n'avait aucun effet sur moi. Je ne lâcherais pas. Mais je la trouvais mignonne, quand elle suppliait, alors je la laissais faire. Elle s'est finalement bougé, le pas lent, jusqu'aux toilettes que je lui avais désignées, et s'est accroupie face à nous, les cuisses ouvertes comme je le lui avais appris. Mais malgré son envie, rien ne venait. Le stress, sûrement. Alors Virginie s'est levée, déclarant qu'elle avait envie elle aussi. La jolie brune a relevé sa robe, haut sur son ventre, et baissé son string sur ses chevilles, avant de s'accroupir à côté de Julie. Quelques secondes ont suffi pour que le jet doré sorte en torrent de son sexe, débarrassé de tout poil comme je l'avais prédit. Julie a finalement suivi le mouvement, et s'est mise à uriner en même temps. A côté de moi, Bernard ruminait de plaisir.

— Ces deux petites pisseuses m'excitent, a-t-il dit dans sa barbe. C'est une bonne suceuse, la tienne ?
— Tu veux voir à quel point ?
— Tu veux échanger ? Moi je suis pas contre, hein.
— A mes conditions. Dès que je le dis, on arrête.
— Ça me va.

Quand les filles ont eu fini de faire leur affaire, j'ai dis à Julie de venir vers moi. L'expérience commune avec Virginie avait l'air de l'avoir décontractée, son sourire en soit témoin. Ce que j'étais sur le point de lui dire allait néanmoins le lui faire oublier, j'en étais quasi certain.

— Tu vas t'occuper de Bernard, lui ai-je dis tandis que le concerné défaisait déjà sa ceinture. Tu vas faire ça comme s'il s'agissait de moi. Ne me déçois pas, et je te revaudrai ça. Compris ?
— Oui Monsieur.

Julie s'est alors glissée entre les jambes de Bernard, et a attendu qu'il sorte son sexe. Bernard bandait déjà, et son sexe était épais, veineux, puissant, il était en accord avec son propre gabarit. Julie l'a pris en bouche et l'a lentement avalé, s'étouffant déjà dessus alors qu'elle n'avait pas les trois quart entre ses lèvres. Mais ma chienne ne renonce jamais, et Julie a forcé jusqu'à enfoncer son nez dans les poils poivre et sel de Bernard. Celui-ci ne pouvait s'empêcher de grogner de plaisir, tandis qu'elle commençait à aller et venir sur lui, tenant ses couilles entre ses doigts agiles.

Derrière eux, Virginie regardait le spectacle avec un mélange de fascination et de jalousie. Lorsque nos regards se sont croisés, elle m'a souri, et comprenant plus ou moins l'accord que j'avais passé avec Bernard, elle est venue à son tour se mettre entre mes cuisses. Je l'ai laissée ouvrir mon short, et glisser sa main à l'intérieur pour en sortir mon sexe, qui commençait à bander sérieusement. Après avoir jeté un coup d'œil à ce qui se passait du côté de Julie et Bernard, elle aussi s'est mise à me lécher d'abord, puis à me sucer.

C'était assez différent de Julie. Julie, elle, m'aurait avalé dès les premières secondes. Elle aurait enfoncé mon sexe au fond de sa gorge comme si sa vie en dépendait, quitte à manquer de souffle et à s'en faire vomir. Virginie, elle, aimait visiblement prendre son temps. Ce n'était pas moins excitant, juste différent. Mon sexe entre ses doigts, elle me suçait le gland avant de m'avaler lentement, jusqu'à enfoncer son nez dans mes poils, sans jamais cesser de me regarder. Puis elle relâchait mon sexe, ne gardant que le bout entre ses lèvres. Certes, j'avais envie de poser ma main sur son crâne, de pousser fort dessus jusqu'à me planter au plus profond de sa gorge. Mais c'était le jeu.

A côté, Julie y allait comme une forcenée. La bave coulait à flot d'entre ses lèvres, ses joues étaient rouges. Et l'effet était là. Bernard, les yeux fermés, grognait d'un plaisir certain, la fin était proche.

— Ne le fais pas jouir ! ai-je alors crié à Julie. Chevauche le. Je veux que tu le baises.

Julie s'est arrêtée net, et a sorti la bite gluante de sa bouche. Elle s'est levée aussitôt, et a chevauché Bernard, ne lui laissant même pas le temps de se plaindre. Appuyée sur son torse velu, elle a commencé à sautiller sur son amant, faisant aller et venir son sexe avec une facilité déconcertante. Bernard s'est remis à râler de plaisir, sa bouche a attrapé les seins de ma belle, il lui mordait les tétons, et Julie gémissait de plus belle à son tour. Entre mes cuisses, Virginie suçait toujours mon membre, sa main sur mes couilles. D'une caresse délicate sur la joue, je lui ai fais comprendre que je voulais qu'elle arrête. J'avais envie de participer à la partie qui se déroulait à côté de nous.

Une fois derrière elle, j'ai poussé Julie dans le dos, pour la forcer à se cambrer. Se tournant vers moi, elle m'a souri. Elle savait déjà quelle serait la suite du programme. D'une main, elle a écarté ses fesses. Avec deux doigts, j'ai joué un instant avec son plug avant de le retirer, et de le remplacer par mon membre. Je l'ai pénétrée lentement mais jusqu'au fond. Julie grognait, dans un mélange de plaisir et de douleur, mais se cambrait encore plus pour subir cette double pénétration. Bernard aussi grognait, sans lâcher les tétons de Julie de sa bouche. Il ondulait doucement du bassin, allant et venant lentement en elle. Moi, je n'y allais plus lentement. Mes mains sur son cul, je la sodomisais profondément et avec vigueur. Je connaissais Julie, je savais qu'elle aimait ça, même si ça faisait mal, même si ça faisait beaucoup pour ses petits trous.

A côté de nous, Virginie s'était assise et nous regardait avec un grand sourire, et ses cuisses écartées en grand, trois doigts enfoncés dans sa chatte. Elle se masturbait comme une forcenée, mais a dû se lever quand Bernard, sur le point de jouir, lui a ordonné de venir vers eux. Alors j'ai senti la petite tête brune venir se glisser en-dessous de moi, j'ai senti sa langue sur mes couilles, et j'imaginais bien qu'elle nous léchait tous les trois sans distinction.

— Prends ma bite dans ta bouche ! a alors dit Bernard.

Le grognement qui a suivi était sans équivoque, Bernard venait de jouir, et j'imaginais qu'il l'avait fait dans la bouche de Virginie. Bernard n'était pas le seul à atteindre le point de non-retour. Si j'étais très proche de jouir, Julie l'était encore plus. Elle a tourné la tête alors que je la sodomisais encore avec force, me suppliant de la laisser jouir.

— Jouis, ma chienne ! ai-je répondu en claquant son cul. Jouis !
— Merci Monsieur, merci, mer... ooooh...

Son corps s'est contracté, ses traits se sont tirés, sa bouche s'est ouverte, et Julie s'est laissée terrasser par l'orgasme. Je pouvais sentir son sphincter se desserrer et se resserrer autour de mon sexe, me menant moi aussi aux portes de l'orgasme. Alors quand elle a été calmée, j'ai attrapé ses cheveux d'une main, et mon sexe de l'autre, et d'un mouvement rapide, je l'ai faite descendre des cuisses de Bernard pour la mettre à même le sol, à côté de Virginie. Instinctivement, ma chienne a ouvert la bouche, et tout aussi instinctivement, j'ai enfoncé mon sexe au fond de sa gorge. Julie a d'abord grimacé tant la pénétration de sa bouche était violente, puis s'est étouffée un peu quand j'ai éjaculé directement dans son œsophage. Mais à peine ce petit hoquet passé, elle a avalé toute ma semence, puis nettoyé mon sexe du bout de sa langue. Virginie, quand elle a eu fini, a attrapé son visage, et les deux filles sont parties dans une longue embrassade, comme pour échanger les goûts de nos semences.

Le plaisir était maintenant retombé. Seule Virginie n'avait pas joui. Nous nous regardions tous sans dire un mot, comme si la situation était étrange, gênante. Pas pour Bernard, cependant, qui s'est alors levé, et a remonté son pantalon.

— Les enfants, je vais me coucher, je me réveille très tôt demain. J'ai été ravi de partager ce repas avec vous. Virginie vous montrera votre chambre. Bonne nuit !

Et sans un mot de plus, il est entré dans la maison.

— Je vais y aller aussi, a dit Virginie en récupérant son string à ses chevilles et en réajustant sa robe. Je vous montre où vous dormez ?
— Oui, ai-je répondu, une bonne nuit nous fera sûrement du bien.

Nous avons suivi Virginie à l'étage, et elle nous a fait rentrer dans une petite chambre, où un lit double prenait toute la place. Elle nous a aussi montré la salle de bain, et leur chambre à eux, juste à côté de la nôtre, au cas où il y aurait le moindre problème. Puis elle nous a souhaité bonne nuit avec un sourire et est sortie de la pièce. Je me suis retrouvé seul avec Julie, encore nue, sa robe à la main. Je l'ai embrassée, longuement, passionnément.

— C'est un bon début de vacances, ai-je dit, qu'en penses-tu ?
— J'en pense que j'en veux encore...

Et elle s'est laissée glisser à mes pieds, a sorti mon membre qu'elle a fait durcir à nouveau en quelques agiles coups de langue, puis l'a pris dans en bouche. J'ai à nouveau joui dans sa gorge, et le sourire qu'elle m'a offert en avalant mon foutre aurait pu me faire rebander immédiatement si je n'étais pas si fatigué de cette journée. Je ne savais même plus combien de fois Julie m'avait fait jouir. Je ne savais pas combien de litre de foutre elle avait avalé depuis son arrivée à Lyon, combien de bites elle avait prises en elle... J'avais arrêté de compter tout ça. Mais je savais que ce n'était pas prêt de s'arrêter, du moins j'allais tout faire pour que ça ne s'arrête pas.

Julie a finalement été la première à s'endormir, nue, contre moi. Je n'ai pas tardé, cependant, à la rejoindre, le temps de quelques heures.

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