Roadtrip - 9
Récit érotique écrit par Markpm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2018 dans la catégorie Plus on est
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Roadtrip - 9
Naxos - 3ème partie
Lorsque je me suis réveillé le lendemain matin, j'ai d'abord été bercé par le chant des oiseaux et le bruit des vagues au loin. J'étais apaisé, comme rarement, j'avais extrêmement bien dormi. Puis j'ai été pris de panique lorsque je me suis retourné et n'ai pas trouvé Nina à mes côtés. Je me suis alors rappelé de la soirée de la veille, ce tsunami de débauche, puis la fatigue venant, j'avais laissé Nina terminer la soirée avec les autres. Il était neuf heures à ma montre, et n'entendant pas un bruit dans la maison, j'en ai déduis que j'étais le seul réveillé. J'ai alors enfilé mon short, et suis descendu au rez-de-chaussée. Dans le salon, j'ai trouvé Marietta et Gabriel endormis, nus, sur le canapé. Il y avait, à côté d'eux, un énorme gode en latex noir, et j'en suis venu à me demander qui des deux l'avait le plus utilisé. En me dirigeant vers la cuisine, mon attention a été attirée par des bruits provenant du couloir. Curieux de nature, surtout dans cette maison, je m'y suis approché discrètement. La porte était entrouverte, et j'ai eu tout le loisir d'y voir Simon et Kriestin en pleine action. La pauvre fille était attachée au lit, le visage dans un oreiller et le cul relevé, tandis que son Maître la besognait sauvagement en l'agrippant par les hanches. Je n'arrêtais pas de penser que cette fille avait du mérite, elle encaissait toutes les fantaisies de Simon sans jamais rien dire, et sans jamais en tirer le moindre plaisir. Peut-être n'avais-je pas à m’immiscer ainsi dans leur histoire, mais j'avais très envie de donner à Kriestin le plaisir qui lui était dû.
En attendant, toujours aucune trace de Nina. C'est sur la terrasse que je l'ai trouvée. Allongée entièrement nue sur une chaise longue à l'ombre d'un parasol, elle dormait paisiblement dans les bras de Loukia, tout aussi nue qu'elle. La main de la jeune soumise posée sensuellement sur la poitrine de Nina me faisait penser que les deux filles avaient fait plus ample connaissance la nuit dernière. Je suis ensuite retourné dans la cuisine pour me faire un café, étape primordiale dans le début de mes journées, puis je suis revenu sur la terrasse. J'ai pris ma dose de caféine en admirant les deux beautés brunes, les imaginant ensemble, se caressant et se dévorant. Sans m'en rendre compte, je bandais à en déformer mon short, et pendant une seconde, j'ai eu envie d'aller voir dans la chambre si Simon n'avait pas besoin de renforts. Mais sentant peut-être ma présence, ou bien celle du café, Nina a ouvert un œil, regardé la main de Loukia, puis m'a vu et m'a envoyé un sourire.
— Ça va ? lui ai-je demandé en chuchotant. Bien dormi, apparemment ?
— Hmm, oui. Je te raconterai. Tu es le seul réveillé ?
— Non, Simon et Kriestin sont dans la chambre, mais ils ne sont pas présentables je crois.
— Oh, d'où ton érection ? m'a-t-elle dit avec un sourire en coin. Ou bien est-ce de nous voir toutes les deux ?
— Un peu des deux, ai-je avoué.
— Approche.
Comme je savais bien ce qu'elle avait en tête, je suis venu vers elle en sortant déjà mon sexe de mon short. Elle, n'a eu qu'à ouvrir la bouche en grand, et j'ai glissé tout contre sa langue. Si elle faisait au début aller et venir sa tête sur mon membre, c'est finalement moi qui ai pris le contrôle, et qui faisait onduler mon bassin pour la pénétrer jusqu'à la gorge. Il était aussi amusant qu'excitant de baiser cette bouche en faisant le moins de bruit possible pour ne réveiller Loukia qui dormait encore sur l'épaule de Nina. Amusant et excitant, certes, mais aussi un peu compliqué. Loukia s'est réveillée deux minutes plus tard, alors que j'accélérais le rythme dans la bouche de Nina. Son premier réflexe en voyant ce qui se passait au-dessus d'elle a été de sourire, puis de venir coller sa bouche contre mes bourses. Mon Dieu, cette journée commençait sous les meilleures auspices. Excité par cette langue qui se baladaient sur mes couilles et même un peu plus bas, je n'ai pas tardé à jouir en grognant dans la bouche de Nina. Toujours encline à m'exciter davantage, elle a attendu que je sorte mon sexe d'entre ses lèvres pour exhiber sa langue baignant dans mon sperme, puis elle a partagé son petit déjeuner avec Loukia, dans un long baiser baveux à souhait.
— Fiou ! ai-je fais. Les filles, je vous ramène un café et vous me racontez tout.
Quand je suis revenu sur la terrasse avec deux tasses de café, les deux brunes n'avaient pas changé de position, et se caressaient toujours aussi sensuellement. Nina a attendu d'avoir bu sa première gorgée de café pour commencer son histoire :
— Ça s'est calmé un peu après que tu sois parti dormir, mais pas longtemps. Marietta était inépuisable, elle en voulait toujours plus. Elle a baisé à nouveau avec Gabriel, puis Simon, puis les deux en même temps. Elle voulait que je la baise avec un gode ceinture, mais sur le coup je n'avais pas trop envie, alors je suis restée avec Loukia et Kriestin toute la soirée. Elles m'ont fait jouir je ne sais combien de fois.
L'excitation revenait au fur et à mesure que Nina racontait la soirée, et je sentais que je bandais déjà à nouveau.
— Vous vous êtes couchés à quelle heure ?
— Tout le monde est rentré dans la maison vers quatre heures et demie, je ne sais pas s'ils se sont vraiment couchés... Mais avec Loukia on est restées éveillées bien une heure encore après. On a vu le soleil se lever.
— Mince, vous me faites regretter de ne pas être resté avec vous !
— Tu te rattraperas aujourd'hui, a-t-elle répondu en écartant un peu plus ses cuisses.
J'étais prêt à lui bondir dessus, et à rattraper le temps perdu dès à présent, mais Simon est arrivé sur la terrasse à ce même moment.
— Bonjour tout le monde ! a-t-il crié. Bien dormi ?
Nous lui avons tous répondu par l'affirmative tandis qu'il s'asseyait et que derrière lui, Kriestin arrivait avec une cafetière pleine et des tasses. Ses cheveux étaient attachés en chignon, mais son visage était dans un sale état. Le maquillage de la veille avait coulé, et des traces blanchâtres subsistaient autour de ses lèvres. Ses seins étaient rougis, mais ce n'était rien en comparaison avec ses fesses, sur lesquelles elle portait encore les traces d'une bonne correction. Plus ça allait, et plus je me demandais si la limite du consentement n'avait pas été franchie. Je me suis dis que j'en parlerais avec Nina, et que le cas échéant, on agirait peut-être.
Mais en attendant, nous avons tous pris notre petit déjeuner, puis nous avons sauté nus dans la piscine. Loukia et Nina, à présent inséparables, batifolaient autour de moi, tandis que Simon était, comme à son habitude, assis au bord du bassin avec les pieds dans l'eau. Gabriel a ensuite débarqué, et annoncé à Simon que Marietta le demandait. Avec un sourire, notre hôte s'est levé et est rentré dans le salon. Gabriel nous a regardés en rigolant, et nous a expliqué que de temps en temps, sa Maîtresse aimait se sentir dominée, et que seul Simon était compétent dans ces cas-là. Profitant que Kriestin débarasse le petit déjeuner, je me suis rapproché des filles.
— Dites, je me pose des questions concernant Kriestin. Sa relation avec Simon me rend nerveux, j'arrive pas à savoir ce qu'il en est...
— T'inquiètes pas, a répondu Loukia, je crois qu'elle est très amoureuse et très bien comme ça.
— Oui mais il n'empêche qu'elle m'inquiète.
— Je comprends. Simon peut être complètement fou parfois. Il a des idées tordues. Je te jure, je préfère de loin être avec Marietta. Avec elle c'est tranquille.
— Qu'est-ce que tu veux faire ? m'a alors demandé Nina.
— Je ne sais pas, mais je n'ai pas très envie de rester là les bras croisés.
— Je te reconnais bien là, a-t-elle dit en souriant. Le chevalier allant à la rescousse d'une belle servante esseulée... On va faire quelque chose pour elle t'en fais pas, mais en attendant, tu as une princesse, et même une autre servante, à satisfaire...
Nina m'a alors tiré par la queue hors de l'eau, et a dit à Loukia de s'allonger sur le sol. Puis elle s'est allongée sur elle, et tandis que les deux filles commençaient à s'embrasser, j'ai glissé mon sexe d'abord entre les cuisses de Nina, puis entre celles de Loukia, et je les ai baisées alternativement pendant de longues minutes. Chacune avait la chatte plus dégoulinante que celle de l'autre, et c'était un pur régal. J'ai fini par jouir contre la fente ouverte de Nina, mais Loukia y a rapidement glissé ses doigts pour récupérer mon nectar. Derrière nous, Kriestin venait de rejoindre Gabriel à table, et tandis qu'il se branlait avec force en nous matant, elle n'osait presque pas bouger, prostrée à côté de lui. Quelque chose avait changé chez elle pendant la nuit, je le sentais, et je comptais bien savoir quoi.
Il a fallu attendre le début d'après-midi pour que nous bougions de la terrasse et de la piscine. Après une petite salade rafraichissante, toujours arrosée de vin blanc, Simon a proposé que nous allions nous baigner à la mer. Nous avons suivi notre hôte jusqu'au fond du jardin, derrière la piscine, et avons emprunté un petit chemin à travers les rochers. Tous les hommes étaient torses nus, simplement vêtus d'un short, Marietta avait enfilé sa robe légère de la veille, et Nina et Loukia avaient simplement enfilé un jean, laissant leurs seins à l'air libre. Seule Kriestin était restée entièrement nue, simplement vêtue de son collier et de tongs, puisqu'elle considérait que nous étions encore chez Simon. La crique où il nous a amené était complètement isolée du reste du monde, entourée de grands rochers. Nous nous sommes tous mis nus dès notre arrivée. Personne ne pouvait nous voir, et quand bien même il y aurait eu quelques plaisanciers au large, nous étions sur une propriété privée. A leur demande, j'ai passé de la crème solaire dans le dos de Nina et de Loukia, passant allègrement, et plus que de raison, mes mains sur leur dos, leurs fesses, entre leurs cuisses, et partout où pouvait se glisser un doigt. Quand j'ai proposé à Kriestin d'en faire de même, celle-ci a regardé Simon, qui lui a donné l'autorisation. J'ai alors retrouvé un sourire sur ce doux visage, et elle est venue s'allonger près de moi. J'ai fais glisser mes mains sur elle, un peu plus sensuellement et de manière un peu mois intrusive qu'avec les deux autres filles, mais j'ai pris mon temps. J'ai alors vu Nina se lever et entraîner tout le monde dans l'eau avec elle, me faisant comprendre que si je devais discuter avec Kriestin, c'était le moment.
— Comment tu vas aujourd'hui ? lui ai-je demandé très sobrement.
— Bien, merci. Juste un peu fatiguée, la nuit a été plutôt courte.
— Courte et agitée ? J'ai l'impression que tu en as eu pour ton compte ce matin...
— Oh ! a-t-elle répondu en tournant la tête vers moi. C'est rien ça, c'était ma faute.
— Qu'est-ce qui s'est passé ?
— Et bien... je me suis réveillée en pleine nuit, et j'étais en train de me masturber. Simon s'est réveillé au même moment et m'a surprise, du coup il a décidé de me punir. Normal, non ?
— Pas vraiment, non. Ce n'est sûrement pas mes affaires, mais je le trouve dur avec toi. Qu'on aime dominer, d'accord. Mais je le trouve égoïste.
— Non, tu te trompes, je te jure...
— Tu n'as pas eu envie de jouir hier ? Ou cette nuit quand tu t'es réveillée en pleine masturbation ?
Intriguée par la question, Kriestin s'est mise en appui sur ses coudes, la tête tournée vers moi. Elle a voulu dire quelque chose, protester, mais ma main, qui lui passait toujours de la crème, s'est faufilée entre ses cuisses, et mes doigts se sont arrêtés tout contre sa fente.
— Tu sais qu'avec Nina, on a déjà eu ce genre de relation, hein ? lui ai-je demandé avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit.
— Oui, vous m'avez dit.
— Je n'ai jamais interdit à Nina de jouir trop longtemps. Tu sais pourquoi ?
— Non ?
— Parce que chaque orgasme la rendait plus chienne encore. C'était fou. Moi, je peux m'empêcher de jouir pendant longtemps, parce qu'après avoir joui, le plaisir descend en flèche. Mais Nina ? A chaque fois qu'elle jouissait, son plaisir était décuplé. Et je sens que tu es pareille.
— Comment tu peux savoir ça ?
— Parce que je sens que tu mouilles comme une fontaine, ai-je répondu en écrasant mon doigt contre son clitoris.
Kriestin a laissé échapper un gémissement, et je me suis relevé en léchant mon doigt.
— Simon ne se rend pas compte du volcan qu'il y a en toi, ai-je dis. Mais si lui ne veut pas le voir, moi je le veux. Et je le verrai.
Sans la laisser répondre quoi que ce soit, j'ai couru dans l'eau pour rejoindre les autres. Nina m'a regardé avec un sourire et un clin d'œil, avant de retourner nager avec Gabriel et Loukia. Kriestin nous a rejoint dans l'eau et m'a frôlé avec un sourire également, puis est allée se lover contre Simon. Quelque chose me disait que notre petite conversation allait lui trotter un tête un moment.
Un quart d'heure plus tard, nous étions tous de retour sur la plage et, à part Gabriel qui avait été réquisitionné par sa Maîtresse pour l'accompagner derrière un rocher, nous sommes tous restés relativement sages. Nina dormait tout contre moi, récupérant un peu de son sommeil, tandis que je somnolais en caressant la courbe de ses fesses. Les minutes passaient, et en regardant autour de moi, je me suis rendu compte que tout le monde dormait, et que Gabriel et Marietta n'avaient toujours pas réapparu. Un peu curieux, je me suis relevé en faisant attention à ne pas réveiller Nina, et je suis allé à leur rencontre.
Je n'ai pas eu beaucoup de mal à les retrouver, ils étaient à vingt mètres de nous, juste de l'autre côté d'un gros rocher. Gabriel était allongé sur le sable, tandis que Marietta était assise à califourchon sur son visage en le tenant par les cheveux. Elle ondulait du bassin, frottant son sexe contre la bouche du jeune homme. Elle accélérait la cadence, progressivement, lâchant entre deux grognements des mots en grec que je ne comprenais pas mais que je pensais être des mots crus. Cette situation m'excitait. Moi, le voyeur passionné des jeux de langue, caché derrière un rocher à espionner ce couple. Rajoutez la chaleur qui régnait sur cette plage et la douce mélodie des vagues au loin, vous comprendrez pourquoi je n'ai pas pu m'empêcher de me masturber devant ce spectacle. Mais Marietta a décidé d'ouvrir les yeux et de tourner la tête à ce moment-là. Elle m'a vu, m'a souri, sans s'arrêter pour autant de frotter son sexe contre le visage de Gabriel, qui restait impassible, les bras le long du corps et le membre au garde à vous. D'un geste du doigt, elle m'a fait signe d'approcher. Ce que j'ai fais sans trop me poser de question.
— Tu es le seul que je n'ai pas encore goûté, m'a-t-elle dit. Ce serait bête de gâcher tout ce jus, non ?
Marietta a simplement ouvert la bouche en grand. Elle continuait ses allers-retours incessants contre la bouche de Gabriel, et moi j'avais repris ma masturbation. De là où j'étais, je voyais un peu mieux ce qui se tramait entre ses cuisses. J'ai compris que dans un grand élan de générosité, Marietta n'offrait pas que son sexe à son soumis, mais qu'elle prenait un malin plaisir à écarter ses fesses et frotter son anus contre son visage. J'ai ainsi passé quelques minutes à admirer cet excitant manège, faisant aller et venir mes doigts sur ma hampe au même rythme que le bassin de Marietta se frottant à Gabriel. Jusqu'à ce que c'en soit trop pour moi. Alors j'ai approché mon sexe de sa bouche restée ouverte, et j'ai abondamment éjaculé contre sa langue. Elle a gardé mon sperme en bouche, le laissant un peu couler de ses lèvres, sur son menton, jusqu'à dégouliner sur le visage de Gabriel, puis ça a été son tour. Elle a agrippé Gabriel par les cheveux, et j'ai vu son corps se tendre. L'orgasme l'a emportée, lui soutirant un long râle animal.
— Délicieux, m'a-t-elle dit en se relevant. Ça m'aurait embêté de ne pas y avoir le droit !
Elle m'est passée devant, caressant ma joue, et nous sommes retournés vers les autres.
— Dis, Marietta, lui ai-je demandé. Ce club où vous vous êtes rencontrés avec Simon...
— Oh, je vois qu'il y en a un qui est intéressé par les soirées libertines.
— Je n'aurais pas accepté l'invitation de Simon, si ce n'était pas le cas !
— C'est juste. Que veux-tu savoir ? Tu veux y aller ?
— Et bien, nous n'allons pas rester bien longtemps ici, avec Nina, et je me disais qu'il fallait en profiter.
— Ce soir ? Je peux vous y emmener si vous voulez.
— Ce soir ce serait parfait.
— Je vais voir avec Simon, ça fait longtemps qu'on y a pas été ensemble. Il ne sera pas difficile à convaincre...
De retour auprès des autres, j'ai vu Nina qui émergeait visiblement de sa sieste. Elle me regardait avec un air interloqué. Alors je me suis rallongé à côté d'elle et lui ai expliqué ce que j'avais vu et ce qui s'était passé derrière le rocher. Faussement jalouse, elle m'a envoyé son poing dans l'épaule.
— Je veux une double dose à la première occasion ! m'a-t-elle dit en simulant l'agacement.
— T'inquiètes tu l'auras. Et puis c'était pour la bonne cause. Ce soir on sort, on va dans le club où se sont rencontrés Simon et Marietta, et je compte bien mettre notre plan à exécution.
— Notre plan ?
D'un signe de la tête, je lui ai montré Kriestin, qui dormait à moitié à quelques mètres de nous. Nina m'a souri, nous partions en mission, à l'aventure, et c'était parfaitement excitant.
Lorsque je me suis réveillé le lendemain matin, j'ai d'abord été bercé par le chant des oiseaux et le bruit des vagues au loin. J'étais apaisé, comme rarement, j'avais extrêmement bien dormi. Puis j'ai été pris de panique lorsque je me suis retourné et n'ai pas trouvé Nina à mes côtés. Je me suis alors rappelé de la soirée de la veille, ce tsunami de débauche, puis la fatigue venant, j'avais laissé Nina terminer la soirée avec les autres. Il était neuf heures à ma montre, et n'entendant pas un bruit dans la maison, j'en ai déduis que j'étais le seul réveillé. J'ai alors enfilé mon short, et suis descendu au rez-de-chaussée. Dans le salon, j'ai trouvé Marietta et Gabriel endormis, nus, sur le canapé. Il y avait, à côté d'eux, un énorme gode en latex noir, et j'en suis venu à me demander qui des deux l'avait le plus utilisé. En me dirigeant vers la cuisine, mon attention a été attirée par des bruits provenant du couloir. Curieux de nature, surtout dans cette maison, je m'y suis approché discrètement. La porte était entrouverte, et j'ai eu tout le loisir d'y voir Simon et Kriestin en pleine action. La pauvre fille était attachée au lit, le visage dans un oreiller et le cul relevé, tandis que son Maître la besognait sauvagement en l'agrippant par les hanches. Je n'arrêtais pas de penser que cette fille avait du mérite, elle encaissait toutes les fantaisies de Simon sans jamais rien dire, et sans jamais en tirer le moindre plaisir. Peut-être n'avais-je pas à m’immiscer ainsi dans leur histoire, mais j'avais très envie de donner à Kriestin le plaisir qui lui était dû.
En attendant, toujours aucune trace de Nina. C'est sur la terrasse que je l'ai trouvée. Allongée entièrement nue sur une chaise longue à l'ombre d'un parasol, elle dormait paisiblement dans les bras de Loukia, tout aussi nue qu'elle. La main de la jeune soumise posée sensuellement sur la poitrine de Nina me faisait penser que les deux filles avaient fait plus ample connaissance la nuit dernière. Je suis ensuite retourné dans la cuisine pour me faire un café, étape primordiale dans le début de mes journées, puis je suis revenu sur la terrasse. J'ai pris ma dose de caféine en admirant les deux beautés brunes, les imaginant ensemble, se caressant et se dévorant. Sans m'en rendre compte, je bandais à en déformer mon short, et pendant une seconde, j'ai eu envie d'aller voir dans la chambre si Simon n'avait pas besoin de renforts. Mais sentant peut-être ma présence, ou bien celle du café, Nina a ouvert un œil, regardé la main de Loukia, puis m'a vu et m'a envoyé un sourire.
— Ça va ? lui ai-je demandé en chuchotant. Bien dormi, apparemment ?
— Hmm, oui. Je te raconterai. Tu es le seul réveillé ?
— Non, Simon et Kriestin sont dans la chambre, mais ils ne sont pas présentables je crois.
— Oh, d'où ton érection ? m'a-t-elle dit avec un sourire en coin. Ou bien est-ce de nous voir toutes les deux ?
— Un peu des deux, ai-je avoué.
— Approche.
Comme je savais bien ce qu'elle avait en tête, je suis venu vers elle en sortant déjà mon sexe de mon short. Elle, n'a eu qu'à ouvrir la bouche en grand, et j'ai glissé tout contre sa langue. Si elle faisait au début aller et venir sa tête sur mon membre, c'est finalement moi qui ai pris le contrôle, et qui faisait onduler mon bassin pour la pénétrer jusqu'à la gorge. Il était aussi amusant qu'excitant de baiser cette bouche en faisant le moins de bruit possible pour ne réveiller Loukia qui dormait encore sur l'épaule de Nina. Amusant et excitant, certes, mais aussi un peu compliqué. Loukia s'est réveillée deux minutes plus tard, alors que j'accélérais le rythme dans la bouche de Nina. Son premier réflexe en voyant ce qui se passait au-dessus d'elle a été de sourire, puis de venir coller sa bouche contre mes bourses. Mon Dieu, cette journée commençait sous les meilleures auspices. Excité par cette langue qui se baladaient sur mes couilles et même un peu plus bas, je n'ai pas tardé à jouir en grognant dans la bouche de Nina. Toujours encline à m'exciter davantage, elle a attendu que je sorte mon sexe d'entre ses lèvres pour exhiber sa langue baignant dans mon sperme, puis elle a partagé son petit déjeuner avec Loukia, dans un long baiser baveux à souhait.
— Fiou ! ai-je fais. Les filles, je vous ramène un café et vous me racontez tout.
Quand je suis revenu sur la terrasse avec deux tasses de café, les deux brunes n'avaient pas changé de position, et se caressaient toujours aussi sensuellement. Nina a attendu d'avoir bu sa première gorgée de café pour commencer son histoire :
— Ça s'est calmé un peu après que tu sois parti dormir, mais pas longtemps. Marietta était inépuisable, elle en voulait toujours plus. Elle a baisé à nouveau avec Gabriel, puis Simon, puis les deux en même temps. Elle voulait que je la baise avec un gode ceinture, mais sur le coup je n'avais pas trop envie, alors je suis restée avec Loukia et Kriestin toute la soirée. Elles m'ont fait jouir je ne sais combien de fois.
L'excitation revenait au fur et à mesure que Nina racontait la soirée, et je sentais que je bandais déjà à nouveau.
— Vous vous êtes couchés à quelle heure ?
— Tout le monde est rentré dans la maison vers quatre heures et demie, je ne sais pas s'ils se sont vraiment couchés... Mais avec Loukia on est restées éveillées bien une heure encore après. On a vu le soleil se lever.
— Mince, vous me faites regretter de ne pas être resté avec vous !
— Tu te rattraperas aujourd'hui, a-t-elle répondu en écartant un peu plus ses cuisses.
J'étais prêt à lui bondir dessus, et à rattraper le temps perdu dès à présent, mais Simon est arrivé sur la terrasse à ce même moment.
— Bonjour tout le monde ! a-t-il crié. Bien dormi ?
Nous lui avons tous répondu par l'affirmative tandis qu'il s'asseyait et que derrière lui, Kriestin arrivait avec une cafetière pleine et des tasses. Ses cheveux étaient attachés en chignon, mais son visage était dans un sale état. Le maquillage de la veille avait coulé, et des traces blanchâtres subsistaient autour de ses lèvres. Ses seins étaient rougis, mais ce n'était rien en comparaison avec ses fesses, sur lesquelles elle portait encore les traces d'une bonne correction. Plus ça allait, et plus je me demandais si la limite du consentement n'avait pas été franchie. Je me suis dis que j'en parlerais avec Nina, et que le cas échéant, on agirait peut-être.
Mais en attendant, nous avons tous pris notre petit déjeuner, puis nous avons sauté nus dans la piscine. Loukia et Nina, à présent inséparables, batifolaient autour de moi, tandis que Simon était, comme à son habitude, assis au bord du bassin avec les pieds dans l'eau. Gabriel a ensuite débarqué, et annoncé à Simon que Marietta le demandait. Avec un sourire, notre hôte s'est levé et est rentré dans le salon. Gabriel nous a regardés en rigolant, et nous a expliqué que de temps en temps, sa Maîtresse aimait se sentir dominée, et que seul Simon était compétent dans ces cas-là. Profitant que Kriestin débarasse le petit déjeuner, je me suis rapproché des filles.
— Dites, je me pose des questions concernant Kriestin. Sa relation avec Simon me rend nerveux, j'arrive pas à savoir ce qu'il en est...
— T'inquiètes pas, a répondu Loukia, je crois qu'elle est très amoureuse et très bien comme ça.
— Oui mais il n'empêche qu'elle m'inquiète.
— Je comprends. Simon peut être complètement fou parfois. Il a des idées tordues. Je te jure, je préfère de loin être avec Marietta. Avec elle c'est tranquille.
— Qu'est-ce que tu veux faire ? m'a alors demandé Nina.
— Je ne sais pas, mais je n'ai pas très envie de rester là les bras croisés.
— Je te reconnais bien là, a-t-elle dit en souriant. Le chevalier allant à la rescousse d'une belle servante esseulée... On va faire quelque chose pour elle t'en fais pas, mais en attendant, tu as une princesse, et même une autre servante, à satisfaire...
Nina m'a alors tiré par la queue hors de l'eau, et a dit à Loukia de s'allonger sur le sol. Puis elle s'est allongée sur elle, et tandis que les deux filles commençaient à s'embrasser, j'ai glissé mon sexe d'abord entre les cuisses de Nina, puis entre celles de Loukia, et je les ai baisées alternativement pendant de longues minutes. Chacune avait la chatte plus dégoulinante que celle de l'autre, et c'était un pur régal. J'ai fini par jouir contre la fente ouverte de Nina, mais Loukia y a rapidement glissé ses doigts pour récupérer mon nectar. Derrière nous, Kriestin venait de rejoindre Gabriel à table, et tandis qu'il se branlait avec force en nous matant, elle n'osait presque pas bouger, prostrée à côté de lui. Quelque chose avait changé chez elle pendant la nuit, je le sentais, et je comptais bien savoir quoi.
Il a fallu attendre le début d'après-midi pour que nous bougions de la terrasse et de la piscine. Après une petite salade rafraichissante, toujours arrosée de vin blanc, Simon a proposé que nous allions nous baigner à la mer. Nous avons suivi notre hôte jusqu'au fond du jardin, derrière la piscine, et avons emprunté un petit chemin à travers les rochers. Tous les hommes étaient torses nus, simplement vêtus d'un short, Marietta avait enfilé sa robe légère de la veille, et Nina et Loukia avaient simplement enfilé un jean, laissant leurs seins à l'air libre. Seule Kriestin était restée entièrement nue, simplement vêtue de son collier et de tongs, puisqu'elle considérait que nous étions encore chez Simon. La crique où il nous a amené était complètement isolée du reste du monde, entourée de grands rochers. Nous nous sommes tous mis nus dès notre arrivée. Personne ne pouvait nous voir, et quand bien même il y aurait eu quelques plaisanciers au large, nous étions sur une propriété privée. A leur demande, j'ai passé de la crème solaire dans le dos de Nina et de Loukia, passant allègrement, et plus que de raison, mes mains sur leur dos, leurs fesses, entre leurs cuisses, et partout où pouvait se glisser un doigt. Quand j'ai proposé à Kriestin d'en faire de même, celle-ci a regardé Simon, qui lui a donné l'autorisation. J'ai alors retrouvé un sourire sur ce doux visage, et elle est venue s'allonger près de moi. J'ai fais glisser mes mains sur elle, un peu plus sensuellement et de manière un peu mois intrusive qu'avec les deux autres filles, mais j'ai pris mon temps. J'ai alors vu Nina se lever et entraîner tout le monde dans l'eau avec elle, me faisant comprendre que si je devais discuter avec Kriestin, c'était le moment.
— Comment tu vas aujourd'hui ? lui ai-je demandé très sobrement.
— Bien, merci. Juste un peu fatiguée, la nuit a été plutôt courte.
— Courte et agitée ? J'ai l'impression que tu en as eu pour ton compte ce matin...
— Oh ! a-t-elle répondu en tournant la tête vers moi. C'est rien ça, c'était ma faute.
— Qu'est-ce qui s'est passé ?
— Et bien... je me suis réveillée en pleine nuit, et j'étais en train de me masturber. Simon s'est réveillé au même moment et m'a surprise, du coup il a décidé de me punir. Normal, non ?
— Pas vraiment, non. Ce n'est sûrement pas mes affaires, mais je le trouve dur avec toi. Qu'on aime dominer, d'accord. Mais je le trouve égoïste.
— Non, tu te trompes, je te jure...
— Tu n'as pas eu envie de jouir hier ? Ou cette nuit quand tu t'es réveillée en pleine masturbation ?
Intriguée par la question, Kriestin s'est mise en appui sur ses coudes, la tête tournée vers moi. Elle a voulu dire quelque chose, protester, mais ma main, qui lui passait toujours de la crème, s'est faufilée entre ses cuisses, et mes doigts se sont arrêtés tout contre sa fente.
— Tu sais qu'avec Nina, on a déjà eu ce genre de relation, hein ? lui ai-je demandé avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit.
— Oui, vous m'avez dit.
— Je n'ai jamais interdit à Nina de jouir trop longtemps. Tu sais pourquoi ?
— Non ?
— Parce que chaque orgasme la rendait plus chienne encore. C'était fou. Moi, je peux m'empêcher de jouir pendant longtemps, parce qu'après avoir joui, le plaisir descend en flèche. Mais Nina ? A chaque fois qu'elle jouissait, son plaisir était décuplé. Et je sens que tu es pareille.
— Comment tu peux savoir ça ?
— Parce que je sens que tu mouilles comme une fontaine, ai-je répondu en écrasant mon doigt contre son clitoris.
Kriestin a laissé échapper un gémissement, et je me suis relevé en léchant mon doigt.
— Simon ne se rend pas compte du volcan qu'il y a en toi, ai-je dis. Mais si lui ne veut pas le voir, moi je le veux. Et je le verrai.
Sans la laisser répondre quoi que ce soit, j'ai couru dans l'eau pour rejoindre les autres. Nina m'a regardé avec un sourire et un clin d'œil, avant de retourner nager avec Gabriel et Loukia. Kriestin nous a rejoint dans l'eau et m'a frôlé avec un sourire également, puis est allée se lover contre Simon. Quelque chose me disait que notre petite conversation allait lui trotter un tête un moment.
Un quart d'heure plus tard, nous étions tous de retour sur la plage et, à part Gabriel qui avait été réquisitionné par sa Maîtresse pour l'accompagner derrière un rocher, nous sommes tous restés relativement sages. Nina dormait tout contre moi, récupérant un peu de son sommeil, tandis que je somnolais en caressant la courbe de ses fesses. Les minutes passaient, et en regardant autour de moi, je me suis rendu compte que tout le monde dormait, et que Gabriel et Marietta n'avaient toujours pas réapparu. Un peu curieux, je me suis relevé en faisant attention à ne pas réveiller Nina, et je suis allé à leur rencontre.
Je n'ai pas eu beaucoup de mal à les retrouver, ils étaient à vingt mètres de nous, juste de l'autre côté d'un gros rocher. Gabriel était allongé sur le sable, tandis que Marietta était assise à califourchon sur son visage en le tenant par les cheveux. Elle ondulait du bassin, frottant son sexe contre la bouche du jeune homme. Elle accélérait la cadence, progressivement, lâchant entre deux grognements des mots en grec que je ne comprenais pas mais que je pensais être des mots crus. Cette situation m'excitait. Moi, le voyeur passionné des jeux de langue, caché derrière un rocher à espionner ce couple. Rajoutez la chaleur qui régnait sur cette plage et la douce mélodie des vagues au loin, vous comprendrez pourquoi je n'ai pas pu m'empêcher de me masturber devant ce spectacle. Mais Marietta a décidé d'ouvrir les yeux et de tourner la tête à ce moment-là. Elle m'a vu, m'a souri, sans s'arrêter pour autant de frotter son sexe contre le visage de Gabriel, qui restait impassible, les bras le long du corps et le membre au garde à vous. D'un geste du doigt, elle m'a fait signe d'approcher. Ce que j'ai fais sans trop me poser de question.
— Tu es le seul que je n'ai pas encore goûté, m'a-t-elle dit. Ce serait bête de gâcher tout ce jus, non ?
Marietta a simplement ouvert la bouche en grand. Elle continuait ses allers-retours incessants contre la bouche de Gabriel, et moi j'avais repris ma masturbation. De là où j'étais, je voyais un peu mieux ce qui se tramait entre ses cuisses. J'ai compris que dans un grand élan de générosité, Marietta n'offrait pas que son sexe à son soumis, mais qu'elle prenait un malin plaisir à écarter ses fesses et frotter son anus contre son visage. J'ai ainsi passé quelques minutes à admirer cet excitant manège, faisant aller et venir mes doigts sur ma hampe au même rythme que le bassin de Marietta se frottant à Gabriel. Jusqu'à ce que c'en soit trop pour moi. Alors j'ai approché mon sexe de sa bouche restée ouverte, et j'ai abondamment éjaculé contre sa langue. Elle a gardé mon sperme en bouche, le laissant un peu couler de ses lèvres, sur son menton, jusqu'à dégouliner sur le visage de Gabriel, puis ça a été son tour. Elle a agrippé Gabriel par les cheveux, et j'ai vu son corps se tendre. L'orgasme l'a emportée, lui soutirant un long râle animal.
— Délicieux, m'a-t-elle dit en se relevant. Ça m'aurait embêté de ne pas y avoir le droit !
Elle m'est passée devant, caressant ma joue, et nous sommes retournés vers les autres.
— Dis, Marietta, lui ai-je demandé. Ce club où vous vous êtes rencontrés avec Simon...
— Oh, je vois qu'il y en a un qui est intéressé par les soirées libertines.
— Je n'aurais pas accepté l'invitation de Simon, si ce n'était pas le cas !
— C'est juste. Que veux-tu savoir ? Tu veux y aller ?
— Et bien, nous n'allons pas rester bien longtemps ici, avec Nina, et je me disais qu'il fallait en profiter.
— Ce soir ? Je peux vous y emmener si vous voulez.
— Ce soir ce serait parfait.
— Je vais voir avec Simon, ça fait longtemps qu'on y a pas été ensemble. Il ne sera pas difficile à convaincre...
De retour auprès des autres, j'ai vu Nina qui émergeait visiblement de sa sieste. Elle me regardait avec un air interloqué. Alors je me suis rallongé à côté d'elle et lui ai expliqué ce que j'avais vu et ce qui s'était passé derrière le rocher. Faussement jalouse, elle m'a envoyé son poing dans l'épaule.
— Je veux une double dose à la première occasion ! m'a-t-elle dit en simulant l'agacement.
— T'inquiètes tu l'auras. Et puis c'était pour la bonne cause. Ce soir on sort, on va dans le club où se sont rencontrés Simon et Marietta, et je compte bien mettre notre plan à exécution.
— Notre plan ?
D'un signe de la tête, je lui ai montré Kriestin, qui dormait à moitié à quelques mètres de nous. Nina m'a souri, nous partions en mission, à l'aventure, et c'était parfaitement excitant.
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