Les vacances de Julie - 5 : En route vers le sud

- Par l'auteur HDS Markpm -
Récit érotique écrit par Markpm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les vacances de Julie - 5 : En route vers le sud Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les vacances de Julie - 5 : En route vers le sud
En route vers le sud
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Le lendemain de notre soirée sur l'Ile Barbe, je me suis exceptionnellement réveillé plus tôt que Julie. Je me suis levé sans faire de bruit pour aller faire couler le café, et suis revenu dans la chambre. Là, j'ai eu tout le loisir d'observer cette femme que j'avais faite mienne. Entièrement nue, allongée en travers du lit, le drap recouvrant à peine son corps, je la trouvais divinement belle. Allongée sur le ventre, une jambe légèrement repliée, ses fesses s'offraient à mon regard. Instantanément, j'ai eu en tête les souvenirs de la veille, sa soumission intégrale sur l'Ile Barbe, son avilissement et son orgasme refusé, et j'ai eu envie d'elle.

Julie était encore endormie lorsque j'ai glissé mon visage entre ses cuisses et que j'ai embrassé ses fesses. Ma langue, immédiatement, s'est glissé sur son anus d'abord, puis plus bas entre ses lèvres. Elle s'est réveillée alors que ma langue atteignait son clitoris. Julie a commencé à bouger, mais d'une claque sèche sur son joli cul, je lui ai interdit de bouger.

— Hmm qu'est-ce que tu fais ? m'a-t-elle demandé dans un gémissement.

C'est vrai, je renversais les traditions. Mais les traditions étaient faites pour êtres bousculées, et aujourd'hui, j'avais décidé que ce serait elle, qui serait réveillée à coups de langue. Et ma langue, justement, devenait de plus en plus aventureuse. Je léchais à présent son anus et son sexe entrouvert avec avidité, glissant ma langue dans ces deux orifices. Ma main droite tenait son cul ouvert, tandis que de la gauche, je glissais deux doigts facilement dans son vagin. Puis trois. Julie était réveillée depuis quelques minutes et déjà elle était trempée.

Je l'ai léchée un long moment ainsi, avant de la retourner sur le dos. Sous mes ordres, elle a relevé ses jambes pliées contre sa poitrine, et ouvert ses cuisses, me donnant un accès totalement libre à ses trésors. J'ai à nouveau posé ma bouche sur son sexe, et sucé son clitoris. Julie gémissait de plus en plus fort, si bien que j'ai dû arrêter un instant mon travail et claquer sèchement sa fente baveuse.

— Interdit de jouir, entendu ?
— Oui... Oui, pardon...

Ma bouche a saisi son clitoris à nouveau. Je sais, c'était sadique. Car c'était sûrement le meilleur moyen de la mener à l'orgasme. Mes doigts ont glissé un peu plus bas entre ses fesses, délaissant sa chatte. Son anus, désormais habitué aux intrusions en tous genres, s'est ouvert assez facilement au passage de deux de mes doigts. Le troisième est rentré également, mais Julie a poussé un grognement en l'acceptant. J'ai commencé à doigter son cul tout en tenant son clitoris entre mes lèvres. Julie gémissait de plus en plus fort, son corps tremblait de toutes parts, je sentais tous ses muscles se contracter.

— Tu as envie de jouir ? lui ai-je demandé avec un brin de sadisme dans la voix.
— Oui ! Oui, s'il vous plaît Monsieur, oui !!

Sans rien dire de plus, j'ai lâché son clitoris, et retiré mes doigts de son cul. Julie m'a regardé avec un air triste et profondément frustré. J'ai alors pris mon sexe en main, je bandais comme un fou. Mon gland s'est posé sur son anus, et je me suis enfoncé de quelques centimètres à peine, juste de quoi en faire disparaître le bout.

— Branle toi et jouis, lui ai-je dis. Je vais en faire de même.
— Merci !

Le temps de répondre, ses doigts étaient déjà en train d'astiquer son petit bouton. Comme promis, j'ai fais de même, et ai commencé à faire venir mes doigts sur mon membre. Ni elle ni moi n'avons mis du temps avant d'atteindre l'orgasme. Elle s'est crispée un peu plus encore et a joui en criant, tandis que j'éjaculais dans son petit trou. Je me suis retiré alors que son orgasme se terminait, et n'ai pas pu m'empêcher de mettre une claque à ce sexe trempé et ultra-sensible. Puis je l'ai chevauchée, mon sexe au-dessus de son visage, et automatiquement, Julie a tiré la langue et commencé à me nettoyer.

— Enfile ton plug et rejoins moi dans la cuisine, je t'ai fais un café.

J'ai embrassé son front, puis suis sorti de la chambre.

Quand Julie est arrivée, nue, je me suis levé pour aller l'embrasser et lui amener sa tasse de café. Il faisait beau dehors, mais nous sommes restés dans la cuisine. Je la regardais prendre son petit déjeuner, silencieuse. Je regardais ses seins, et j'ai eu envie de les torturer un peu, la faire crier. J'ai eu mille envies en la regardant déjeuner nue.

— On va partir un peu d'ici, lui ai-je dis.
— Comment ça ? Tu veux aller où ?
— Je ne sais pas, j'ai juste envie de ne pas rester tout l'été ici. On prend la voiture et on va vers le sud quelques jours. Qu'est-ce que t'en dis ?
— Tu sais bien que j'irai n'importe où avec toi.
— Et bien voilà. Tu peux prendre quelques affaires mais ne t'embarrasse pas trop, tu ne porteras pas beaucoup de vêtements.

Trois heures plus tard, nous étions dans la voiture. Dans un sac de sport, nous avions mis quelques vêtements, principalement pour moi. Julie n'avait pas été autorisée à prendre beaucoup de vêtements, la robe qu'elle portait pour le voyage était presque le seul morceau de tissu qu'elle avait pu emporter. Dans un deuxième sac de sport, j'avais mis tout mon attirail dédié au plaisir, tout ce que j'avais pu trouver dans mon appartement comme sextoys, cordes, cravaches... De quoi s'amuser en vacances.

Sur la route, Julie et moi parlions, de tout et de rien, de nous, des gens, de notre jeunesse. Mais après une heure de route, je ressentais déjà le manque de son corps. Une heure passée à ses côtés sans profiter d'elle était une heure de perdue. Quand je le lui ai dis, Julie a souri, puis a posé sa main entre mes cuisses.

— Tu veux qu'on s'arrête sur une aire d'autoroute ? m'a-t-elle demandé avec un sourire.
— Pourquoi s'arrêter ? Non, enlève plutôt ta robe, j'ai envie de voir ton corps.

La robe s'est retrouvée sur le tableau de bord en un rien de temps, et Julie était nue à sa place. Sans traîner, j'ai posé ma main sur son genou gauche et lui ai fais écarter les cuisses en grand. Puis deux doigts ont glissé d'abord sur sa fente, puis en elle. Je l'ai doigtée un instant, puis mes doigts sont allés dans sa bouche, profondément. Puis sur son sein, que j'ai pincé, et claqué. Les yeux fixés sur la route, je tenais le volant de la main gauche et son corps de la main droite. Je n'ai pas été surpris de la trouver dégoulinante de mouille au bout de quelques minutes. Moi-même j'étais plus que très excité.

— Viens me sucer, lui ai-je dis en remettant ma deuxième main sur le volant.

Avec un sourire plein de gourmandise, elle s'est détachée, puis est venue se pencher vers moi. De ses mains agiles, elle a défait ma ceinture et sorti mon sexe de sa prison de tissu. Puis elle l'a avalé. J'étais dans sa gorge, concentré autant que possible sur la route devant moi. Niveau sécurité routière, je n'en menais pas large, mais c'était tellement bon. Ma main a de nouveau quitté le volant, et j'ai appuyé sur l'arrière de son crâne pour m'enfoncer encore plus en elle. Julie a toussé, craché, je sentais sa salive dégouliner sur mes couilles. Puis ma main a rejoint ses fesses, que j'ai claquées, écartées, tripotées dans tous les sens. Un camion nous a klaxonnés quand on l'a doublé, il avait dû apprécier le spectacle du cul de Julie contre la vitre. Julie, elle, ne s'en est même pas aperçu, trop occupée à me sucer convenablement. Elle faisait ça tellement bien que je n'ai pas tardé à sentir l'orgasme me submerger. Et si la première giclée est arrivée directement dans son œsophage, je l'ai tirée par les cheveux pour pouvoir me retirer et finir sur son visage. En bonne chienne dévouée, elle a léché mon sexe après l'avoir bien souillé, puis s'est relevée.

— Regarde moi, lui ai-je dit.

Elle était souillée de sperme et de bave, ses cheveux en bataille, son maquillage coulant sur ses joues. Elle était belle.

— Je veux que tu restes comme ça jusqu'à destination.
— Très bien Monsieur.

Et notre destination finale, nous n'y étions pas encore. Il a encore fallu attendre quinze minutes pour atteindre notre sortie d'autoroute. Au péage, Julie a tenté de se faire le plus discrète possible, mais elle ne passait pas inaperçue, entièrement nue et le visage ravagé. Les gens la regardaient, souvent choqués, d'autres plus intéressés nous ont klaxonné. Après ça, il nous a encore fallu roulé une bonne heure pour arriver là où je voulais plus ou moins arriver, à savoir un petit coin tranquille au bord de l'Ardèche.

Je me suis garé au plus près du bord de l'eau, mais on a dû marcher quelques minutes avant d'atteindre la rive. Quelques longues minutes pour Julie, qui craignait qu'on la voit nue et dans cet état. Mais nous n'avons croisé strictement personne, et j'en ai été presque déçu. Une fois au bord de l'eau, j'ai claqué son cul.

— Allez, va te laver, t'es dégueu.
— Merci Monsieur.

Elle s'est avancée dans l'eau, froide comme on peut imaginer une eau de rivière. Mais qu'importe, elle s'est presque jetée à l'eau pour pouvoir nettoyer ce foutre qui séchait déjà sur son visage. Depuis le bord, assis sur un gros tronc d'arbre, je l'ai regardée se baigner nue, une vraie naïade. Ses cheveux bruns qui tombaient sur ses épaules et dégoulinaient sur ses seins. Ses tétons durcis par la fraicheur de l'eau. J'avais envie de la rejoindre, mais c'est finalement elle qui est sortie de l'eau.

— Elle est bonne ? lui ai-je demandé.
— Fraiche, m'a-t-elle répondu en s'asseyant sur le tronc à côté de moi. Mais ça fait du bien.

Julie s'est alors allongée à même le sol pour laisser son corps sécher au soleil. Je me suis alors allongé à côté d'elle, et un peu fatigué par la route, je me suis assoupi.

Lorsque je me suis réveillé, le soleil commençait à se coucher, mais surtout, il y avait cette ombre qui nous surplombait. Un homme nous regardait, et il ne s'en cachait même pas. Ses yeux étaient rivés sur le corps nu de Julie, et quand il s'est aperçu que je l'avais remarqué, il ne s'est pas arrêté de mater pour autant. Je lui adressé un léger signe de tête, et j'ai poussé un peu Julie, qui dormait encore, afin qu'elle se retrouve sur le dos. L'homme avait donc tout le loisir d'admirer sa superbe poitrine et son sexe. Je me suis relevé, lentement, sans geste brusque afin qu'il comprenne que j'étais là en ami.

L'homme était massif, grand, une vraie force de la nature. La soixantaine environ, il avait un air dur, caché sous la visière de sa casquette, et sa grosse barbe grise. Aux vêtements un peu crades et aux bottes en plastique boueuses qu'il portait, j'ai compris qu'il s'agissait sûrement d'un agriculteur du coin. Une idée m'est alors venue, et après lui avoir serré la main, j'ai demandé :
— Vous sauriez où l'on peut dormir cette nuit, par hasard ?

Évidemment qu'il savait. Il m'a immédiatement proposé de dormir chez lui, il vivait dans une petite maison à trois kilomètres, juste à côté de son exploitation agricole.

— Un peu de compagnie ne sera pas de trop, a-t-il même ajouté avec un sourire légèrement édenté.
— Merci beaucoup, c'est très aimable à vous !

Je me suis alors agenouillé près de Julie, et l'ai lentement réveillée en secouant son épaule. Elle m'a d'abord souri, puis remarquant à son tour l'armoire à glace derrière moi, a eu un mouvement de recul et a caché ses seins d'une main.

— Pas de ça, ai-je dis sèchement en retirant sa main. Monsieur nous invite pour la nuit, ne commence pas à être malpolie. En route.

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