Les vacances de Julie - 7 : Réveil aux aurores
Récit érotique écrit par Markpm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2018 dans la catégorie Plus on est
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Les vacances de Julie - 7 : Réveil aux aurores
Chapitre 7 : Réveil aux aurores
Ce sont des bruits sourds qui m'ont réveillé le lendemain. Une discussion au loin, puis le plancher qui craque, des pas lourds dans l'escalier. Je n'avais aucune notion de l'endroit où je me trouvais. Une faible lumière bleutée passait à travers les volets en bois. J'ai pris ma montre sur la table de chevet pour me rendre compte qu'il n'était pas encore cinq heures trente du matin. La soirée de la veille avec Bernard et Virginie m'est lentement revenue en mémoire, provocant chez moi à la fois un sourire et un début d'érection. A côté de moi, Julie dormait encore paisiblement. J'étais en train de me rendormir lorsque la porte de notre chambre s'est ouverte en grinçant.
Malgré la pénombre, j'ai reconnu Virginie. Je l'ai regardée marcher vers moi, sur la pointe des pieds pour ne pas faire trop craquer les lattes du plancher. Elle ne portait qu'un tee-shirt et une culotte, et je ne pouvais détourner mon regard de ses jambes à quelques centimètres de mon visage à présent. Elle s'est agenouillée à mes côtés, et lorsqu'elle a croisé mes yeux ouverts, elle a chuchoté :
— Zut, je suis désolée, je t'ai réveillé ?
— Non non, ai-je répondu à voix basse. Des bruits avant ça m'ont réveillé.
— Sûrement Bernard qui partait pour la traite de ses vaches.
Un silence s'est installé, un instant, mais nous ne cessions de nous regarder.
— Qu'est-ce que tu fais là ? ai-je finalement demandé.
— J'ai quelque chose à te demander... On a eu une petite conversation avec Bernard tout à l'heure, on s'est un peu disputés...
— Je vous ai entendus, oui. Vous vous êtes disputés à quel sujet ?
— Et bien, c'est par rapport à hier.
— A cause de Julie ?
— Non, non, pas du tout ! On a l'habitude, ça !
Son sourire était équivoque, et je me suis promis intérieurement de lui demander de me raconter leurs histoires un peu plus tard.
— Non c'est juste que je suis la seule à ne pas avoir joui, a-t-elle continué.
Je l'ai regardée, sans rien dire, attendant la suite. Mais rien ne venait.
— Et ? ai-je finalement demandé.
— Et j'en ai encore envie, sauf que Bernard n'a pas voulu s'occuper de moi ce matin. Il m'a dit que j'avais qu'à aller voir dans la chambre à côté. Du coup...
— Du coup tu es venue pour que je te fasse jouir.
Virginie ne m'a pas clairement répondu, mais je savais que c'était ça. Ce n'était pas bien difficile à comprendre. Et sa lèvre inférieure qu'elle mordillait, les yeux baissés, était la preuve que j'avais raison.
— Ok, ai-je dit. Mais à une condition.
— Tout ce que tu voudras.
— Je veux que tu la fasses jouir en premier.
J'avais désigné Julie, qui dormait encore à côté de moi. Virginie a souri, visiblement elle était d'accord. Alors sans en dire plus, elle a grimpé sur le lit, qui s'est mis à grincer, et tout doucement, a tiré sur la couette, dévoilant le corps entièrement nu, bien sûr, de ma jolie brune. Un instant, Julie a bougé, nous forçant, Virginie et moi, à nous figer. Mais ce n'était que pour écarter un peu plus les jambes, et inconsciemment laisser un passage plus aisé à Virginie. Celle-ci s'est alors glissée entre les jambes de ma belle, et a commencé à l'embrasser au fur et à mesure qu'elle remontait vers sa fourche. Bien sûr, Julie s'est réveillée à ce moment, le sourire aux lèvres. Puis elle a paniqué en me voyant à côté d'elle, comprenant que quelqu'un d'autre était entre ses cuisses.
— Laisse toi faire, lui ai-je dit, Virginie est là pour ton bien.
Alors Julie s'est détendue, et s'est mise à doucement haleter tandis que sa compagne commençait à lui brouter le minou. De mon côté, la vision de ces deux jolies filles ensemble commençait à me faire de l'effet, et je cachais sous la couette une belle érection que je n'ai pas tardé à prendre en main. Comme un adolescent, j'ai commencé à me masturber devant ce show lesbien. Virginie avait l'air de savoir y faire. Elle n'en était sûrement pas à son premier coup d'essai. La tête enfoncée entre les cuisses de Julie, les mains sur son ventre et ses seins, elle usait de sa langue pour transformer les gémissements de ma belle en cris de plaisir.
Bandant de plus en plus, j'ai décidé de me mêler à la fête. Ma queue est passée de ma main à la bouche de Julie, qui m'a bien évidemment avalé avec plaisir et savoir-faire. Mais elle ne me suçait pas vraiment. Elle se contentait de me laisser baiser sa bouche, trop concentrée sur le plaisir que Virginie lui offrait du bout de sa langue. J'ai retiré mon sexe de sa gorge lorsque je l'ai entendu bredouiller quelque chose.
— S'il te plaît... Est-ce que... Est-ce que je peux jouir ? a-t-elle demandé le souffle court.
— Vas-y.
— Merci Monsieur, merc...
Elle n'a pas pu finir sa phrase, terrassée par l'orgasme. Elle criait de plaisir tandis que je m'amusais à frotter mes couilles sur son visage. Derrière moi, Virginie n'avait pas lâché sa prise, et je l'imaginais suçant le clito de ma belle comme si sa vie en dépendait. Quand finalement elle s'est retirée, elle est venue s'allonger à côté de Julie, le visage barbouillé de mouille, souriante.
— Va l'embrasser pour la remercier, ai-je dit à Julie. C'est la moindre des choses.
Reprenant ses esprits, Julie s'est tournée et est allée coller sa bouche contre les lèvres trempées de sa partenaire. Leur baiser a duré une bonne minute, durant laquelle j'ai un peu tripoté Julie, glissant deux doigts dans son sexe sensible, puis j'ai glissé mes doigts sur les cuisses de Virginie, et les ai remonté jusqu'à attraper sa culotte. D'un geste brusque, j'ai retiré celle-ci, la laissant pendre à l'une de ses chevilles, et ma main s'est plaquée contre sa fente imberbe. Virginie était trempée. Je me suis amusé un instant à claquer cette jolie chatte qui m'était offerte, j'ai titillé son clitoris du bout du doigt, mais pas trop, je ne voulais pas qu'elle jouisse trop vite.
J'ai demandé à Julie de retirer le tee-shirt de Virginie, et les deux filles se sont retrouvées nues. Elles continuaient de s'embrasser, lascivement, sensuellement, leurs deux corps collés l'un à l'autre. Nu moi aussi, je suis venu me coller à elles. Mes mains ont trituré leurs seins, leurs fesses, leurs chattes trempées, l'une comme l'autre. Puis Virginie s'est allongée sur Julie. J'ai admiré ces deux culs un instant, c'était un spectacle magnifique. J'avais bien sûr envie de les baiser toutes les deux, mais pour le moment j'avais une mission : Virginie.
D'une main, j'ai alors écarté ses fesses, admirant au passage la douceur de son anatomie. De l'autre, j'ai guidé mon sexe vers le sien. Mon gland est rentré en contact avec ses lèvres, trempées, et j'ai poussé d'un coup. Virginie a poussé un cri, un cri de satisfaction, lorsqu'elle m'a senti investir son intérieur. Rapidement, le rythme est devenu soutenu, et je l'ai baisée avec force, mes deux mains sur ses hanches. Ses cris aussi sont devenus plus soutenus. Elle était tellement excitée qu'elle aurait pu jouir en moins de trois minutes, mais sadiquement, je m'amusais à sortir de son sexe dès qu'elle était sur le point d'atteindre l'orgasme, et alors je pénétrais celui de Julie. Lentement, juste le temps de faire redescendre un peu le plaisir de Virginie. Puis j'y retournais.
Le petit manège a ainsi duré presqu'un quart d'heure. Virginie avait frôlé l'orgasme quatre ou cinq fois déjà, et je m'amusais à ne jamais la laisser jouir. Elle en pleurait presque. Il a fallu qu'elle me supplie.
— S'il te plaît, m'a-t-elle dit avec la voix tremblante, s'il te plaît laisse moi jouir...
— Mets toi à quatre pattes, ai-je répondu.
Virginie s'est mise sur ses genoux, a relevé ses fesses. J'ai attrapé les chevilles de Julie, sous elle, et l'ai tirée vers moi. Son visage était juste en-dessous de la chatte baveuse de sa nouvelle copine. J'ai claqué ses seins, à plusieurs reprises, et lui ai dit :
— Tu as compris, petite chienne ? Fais la jouir !
Après un rapide « Oui Maître », Julie n'a eu qu'à relever un peu sa tête et sortir sa langue pour atteindre la fente ultra-sensible de Virginie. Bien sûr, je me suis joint aux filles, et je l'ai à nouveau pénétrée également. Avec une queue au fond d'elle et une bouche contre son clitoris, elle n'a pas pu tenir bien longtemps. A peine deux minutes plus tard, elle jouissait bruyamment, contractant tous ses muscles autour de mon sexe, expulsant sur le visage de ma belle un impressionnant flot de mouille. Elle a crié tellement fort que même depuis sa ferme, où il était sûrement en train de traire ses vaches, Bernard devait entendre sa nièce.
Je ne me suis pas arrêté pour autant. Car moi, pour le coup, je n'avais pas encore joui, et ces deux jolies catins m'avaient excité plus que de raison. Alors j'ai continué à la baiser, brutalement, et elle continuait de crier. Sa chatte continuait de couler sur le visage de Julie, qui, sans ordre contraire de ma part, continuait de sucer son clitoris. Je crois qu'un deuxième orgasme l'a terrassée, mais je ne peux pas en être sûr car j'étais trop concentré sur le mien. J'ai joui en elle avec la même force que celle dont j'ai usé pour la baiser, recouvrant les parois de son vagin de ma semence chaude.
Je me suis retiré, lentement, en prenant le temps de regarder mon sperme couler sur le visage de Julie. La chienne connaissant son rôle, elle a ouvert grand la bouche, et avalé tout ce qui lui était offert. Quand la source s'est tarie, Virginie, épuisée, s'est écroulée sur le lit.
— Tu as eu ce que tu voulais ? lui ai-je demandé en jouant avec sa fente baveuse du bout du doigt.
— Plus que ça. C'était délicieux, merci !
Puis elle s'est levée et est allée ouvrir la fenêtre, prétextant que « ça puait le sexe dans cette piaule ». Dehors, le soleil se levait à peine. Un coup d'œil à ma montre, et je me suis rendu compte qu'il était à peine six heures et quelques. Virginie nous a proposé de passer à la douche avant de descendre prendre un petit déjeuner, ce que nous avons accepté de bon cœur, surtout Julie, dont le visage était recouvert de sécrétions diverses.
La douche à trois est restée sage, si ce n'est que Virginie, en plein savonnage, s'est mise à pisser comme si de rien n'était. Elle s'est rapidement excusée, nous expliquant qu'elle faisait tout le temps ça, seule ou avec Bernard, et qu'elle n'a pas fait attention. Je lui ai dis de ne surtout pas s'en faire pour moi. Ça ne me gênait pas, bien au contraire. Julie s'est alors mise à rire et, comme sa nouvelle copine, a relâché sa vessie dans la douche. Je ne pouvais donc pas me défiler, et j'ai, comme tout le monde, pissé sous l'eau. Nous rigolions tous, comme des enfants bravant l'interdit, mais moi, ce manque de gêne et de tabou m'excitait au plus haut point. Et j'aurais aimé diriger mon jet doré sur ces deux femmes, mais ne sachant pas ce que Virginie pouvait en penser, je me suis retenu. Pour l'instant.
Nous sommes ensuite descendus à la cuisine, entièrement nus, et c'est dans cette tenue que nous avons pris un café et quelques tartines de confiture. Bernard est rentré un peu plus tard, et a foncé sur Virginie pour l'embrasser, ses mains crasseuses sur ses petits seins propres.
— Ça va mieux ? a-t-il demandé.
— Beaucoup mieux, oui ! a répondu Virginie en écartant ostensiblement ses cuisses, invitant son oncle à y glisser les mains.
L'oncle et la nièce ont commencé à s'emballer furieusement sur la table du petit déjeuner. J'ai dû me racler la gorge pour qu'ils ne nous oublient pas complètement.
— Bernard, Virginie, ai-je commencé en me levant de table, merci pour tout mais on ne va pas vous déranger plus longtemps.
— Vraiment ? s'est exclamé Bernard. Vous partez déjà ? Vous pouvez rester, vous savez, vous dérangez pas !
— Au contraire, a même justifié Virginie avec un sourire.
— Non, c'est gentil mais on va continuer notre périple. J'ai envie de faire visiter la région à ma belle.
— C'est une excellente idée, a confirmé Bernard. La région est magnifique. Allez, je ne vous retiens pas plus longtemps alors, moi je vais prendre une douche.
Nous sommes tous montés à l'étage. Bernard m'a serré la main, et embrassé Julie sur les deux joues, avant de s'enfermer dans la salle de bain. Virginie est restée avec nous dans la chambre, nue, tandis que nous nous rhabillions et récupérions nos affaires. Elle nous a ensuite raccompagnés jusqu'au pas de la porte, où elle nous a tous les deux embrassés, goulûment, à pleine bouche.
— Revenez par là si vous voulez, à votre retour. Notre porte vous sera ouverte !
— Promis, on y pensera, a répondu Julie.
Un dernier bisou, et nous avons regagné notre voiture. La suite des vacances nous attendait.
Ce sont des bruits sourds qui m'ont réveillé le lendemain. Une discussion au loin, puis le plancher qui craque, des pas lourds dans l'escalier. Je n'avais aucune notion de l'endroit où je me trouvais. Une faible lumière bleutée passait à travers les volets en bois. J'ai pris ma montre sur la table de chevet pour me rendre compte qu'il n'était pas encore cinq heures trente du matin. La soirée de la veille avec Bernard et Virginie m'est lentement revenue en mémoire, provocant chez moi à la fois un sourire et un début d'érection. A côté de moi, Julie dormait encore paisiblement. J'étais en train de me rendormir lorsque la porte de notre chambre s'est ouverte en grinçant.
Malgré la pénombre, j'ai reconnu Virginie. Je l'ai regardée marcher vers moi, sur la pointe des pieds pour ne pas faire trop craquer les lattes du plancher. Elle ne portait qu'un tee-shirt et une culotte, et je ne pouvais détourner mon regard de ses jambes à quelques centimètres de mon visage à présent. Elle s'est agenouillée à mes côtés, et lorsqu'elle a croisé mes yeux ouverts, elle a chuchoté :
— Zut, je suis désolée, je t'ai réveillé ?
— Non non, ai-je répondu à voix basse. Des bruits avant ça m'ont réveillé.
— Sûrement Bernard qui partait pour la traite de ses vaches.
Un silence s'est installé, un instant, mais nous ne cessions de nous regarder.
— Qu'est-ce que tu fais là ? ai-je finalement demandé.
— J'ai quelque chose à te demander... On a eu une petite conversation avec Bernard tout à l'heure, on s'est un peu disputés...
— Je vous ai entendus, oui. Vous vous êtes disputés à quel sujet ?
— Et bien, c'est par rapport à hier.
— A cause de Julie ?
— Non, non, pas du tout ! On a l'habitude, ça !
Son sourire était équivoque, et je me suis promis intérieurement de lui demander de me raconter leurs histoires un peu plus tard.
— Non c'est juste que je suis la seule à ne pas avoir joui, a-t-elle continué.
Je l'ai regardée, sans rien dire, attendant la suite. Mais rien ne venait.
— Et ? ai-je finalement demandé.
— Et j'en ai encore envie, sauf que Bernard n'a pas voulu s'occuper de moi ce matin. Il m'a dit que j'avais qu'à aller voir dans la chambre à côté. Du coup...
— Du coup tu es venue pour que je te fasse jouir.
Virginie ne m'a pas clairement répondu, mais je savais que c'était ça. Ce n'était pas bien difficile à comprendre. Et sa lèvre inférieure qu'elle mordillait, les yeux baissés, était la preuve que j'avais raison.
— Ok, ai-je dit. Mais à une condition.
— Tout ce que tu voudras.
— Je veux que tu la fasses jouir en premier.
J'avais désigné Julie, qui dormait encore à côté de moi. Virginie a souri, visiblement elle était d'accord. Alors sans en dire plus, elle a grimpé sur le lit, qui s'est mis à grincer, et tout doucement, a tiré sur la couette, dévoilant le corps entièrement nu, bien sûr, de ma jolie brune. Un instant, Julie a bougé, nous forçant, Virginie et moi, à nous figer. Mais ce n'était que pour écarter un peu plus les jambes, et inconsciemment laisser un passage plus aisé à Virginie. Celle-ci s'est alors glissée entre les jambes de ma belle, et a commencé à l'embrasser au fur et à mesure qu'elle remontait vers sa fourche. Bien sûr, Julie s'est réveillée à ce moment, le sourire aux lèvres. Puis elle a paniqué en me voyant à côté d'elle, comprenant que quelqu'un d'autre était entre ses cuisses.
— Laisse toi faire, lui ai-je dit, Virginie est là pour ton bien.
Alors Julie s'est détendue, et s'est mise à doucement haleter tandis que sa compagne commençait à lui brouter le minou. De mon côté, la vision de ces deux jolies filles ensemble commençait à me faire de l'effet, et je cachais sous la couette une belle érection que je n'ai pas tardé à prendre en main. Comme un adolescent, j'ai commencé à me masturber devant ce show lesbien. Virginie avait l'air de savoir y faire. Elle n'en était sûrement pas à son premier coup d'essai. La tête enfoncée entre les cuisses de Julie, les mains sur son ventre et ses seins, elle usait de sa langue pour transformer les gémissements de ma belle en cris de plaisir.
Bandant de plus en plus, j'ai décidé de me mêler à la fête. Ma queue est passée de ma main à la bouche de Julie, qui m'a bien évidemment avalé avec plaisir et savoir-faire. Mais elle ne me suçait pas vraiment. Elle se contentait de me laisser baiser sa bouche, trop concentrée sur le plaisir que Virginie lui offrait du bout de sa langue. J'ai retiré mon sexe de sa gorge lorsque je l'ai entendu bredouiller quelque chose.
— S'il te plaît... Est-ce que... Est-ce que je peux jouir ? a-t-elle demandé le souffle court.
— Vas-y.
— Merci Monsieur, merc...
Elle n'a pas pu finir sa phrase, terrassée par l'orgasme. Elle criait de plaisir tandis que je m'amusais à frotter mes couilles sur son visage. Derrière moi, Virginie n'avait pas lâché sa prise, et je l'imaginais suçant le clito de ma belle comme si sa vie en dépendait. Quand finalement elle s'est retirée, elle est venue s'allonger à côté de Julie, le visage barbouillé de mouille, souriante.
— Va l'embrasser pour la remercier, ai-je dit à Julie. C'est la moindre des choses.
Reprenant ses esprits, Julie s'est tournée et est allée coller sa bouche contre les lèvres trempées de sa partenaire. Leur baiser a duré une bonne minute, durant laquelle j'ai un peu tripoté Julie, glissant deux doigts dans son sexe sensible, puis j'ai glissé mes doigts sur les cuisses de Virginie, et les ai remonté jusqu'à attraper sa culotte. D'un geste brusque, j'ai retiré celle-ci, la laissant pendre à l'une de ses chevilles, et ma main s'est plaquée contre sa fente imberbe. Virginie était trempée. Je me suis amusé un instant à claquer cette jolie chatte qui m'était offerte, j'ai titillé son clitoris du bout du doigt, mais pas trop, je ne voulais pas qu'elle jouisse trop vite.
J'ai demandé à Julie de retirer le tee-shirt de Virginie, et les deux filles se sont retrouvées nues. Elles continuaient de s'embrasser, lascivement, sensuellement, leurs deux corps collés l'un à l'autre. Nu moi aussi, je suis venu me coller à elles. Mes mains ont trituré leurs seins, leurs fesses, leurs chattes trempées, l'une comme l'autre. Puis Virginie s'est allongée sur Julie. J'ai admiré ces deux culs un instant, c'était un spectacle magnifique. J'avais bien sûr envie de les baiser toutes les deux, mais pour le moment j'avais une mission : Virginie.
D'une main, j'ai alors écarté ses fesses, admirant au passage la douceur de son anatomie. De l'autre, j'ai guidé mon sexe vers le sien. Mon gland est rentré en contact avec ses lèvres, trempées, et j'ai poussé d'un coup. Virginie a poussé un cri, un cri de satisfaction, lorsqu'elle m'a senti investir son intérieur. Rapidement, le rythme est devenu soutenu, et je l'ai baisée avec force, mes deux mains sur ses hanches. Ses cris aussi sont devenus plus soutenus. Elle était tellement excitée qu'elle aurait pu jouir en moins de trois minutes, mais sadiquement, je m'amusais à sortir de son sexe dès qu'elle était sur le point d'atteindre l'orgasme, et alors je pénétrais celui de Julie. Lentement, juste le temps de faire redescendre un peu le plaisir de Virginie. Puis j'y retournais.
Le petit manège a ainsi duré presqu'un quart d'heure. Virginie avait frôlé l'orgasme quatre ou cinq fois déjà, et je m'amusais à ne jamais la laisser jouir. Elle en pleurait presque. Il a fallu qu'elle me supplie.
— S'il te plaît, m'a-t-elle dit avec la voix tremblante, s'il te plaît laisse moi jouir...
— Mets toi à quatre pattes, ai-je répondu.
Virginie s'est mise sur ses genoux, a relevé ses fesses. J'ai attrapé les chevilles de Julie, sous elle, et l'ai tirée vers moi. Son visage était juste en-dessous de la chatte baveuse de sa nouvelle copine. J'ai claqué ses seins, à plusieurs reprises, et lui ai dit :
— Tu as compris, petite chienne ? Fais la jouir !
Après un rapide « Oui Maître », Julie n'a eu qu'à relever un peu sa tête et sortir sa langue pour atteindre la fente ultra-sensible de Virginie. Bien sûr, je me suis joint aux filles, et je l'ai à nouveau pénétrée également. Avec une queue au fond d'elle et une bouche contre son clitoris, elle n'a pas pu tenir bien longtemps. A peine deux minutes plus tard, elle jouissait bruyamment, contractant tous ses muscles autour de mon sexe, expulsant sur le visage de ma belle un impressionnant flot de mouille. Elle a crié tellement fort que même depuis sa ferme, où il était sûrement en train de traire ses vaches, Bernard devait entendre sa nièce.
Je ne me suis pas arrêté pour autant. Car moi, pour le coup, je n'avais pas encore joui, et ces deux jolies catins m'avaient excité plus que de raison. Alors j'ai continué à la baiser, brutalement, et elle continuait de crier. Sa chatte continuait de couler sur le visage de Julie, qui, sans ordre contraire de ma part, continuait de sucer son clitoris. Je crois qu'un deuxième orgasme l'a terrassée, mais je ne peux pas en être sûr car j'étais trop concentré sur le mien. J'ai joui en elle avec la même force que celle dont j'ai usé pour la baiser, recouvrant les parois de son vagin de ma semence chaude.
Je me suis retiré, lentement, en prenant le temps de regarder mon sperme couler sur le visage de Julie. La chienne connaissant son rôle, elle a ouvert grand la bouche, et avalé tout ce qui lui était offert. Quand la source s'est tarie, Virginie, épuisée, s'est écroulée sur le lit.
— Tu as eu ce que tu voulais ? lui ai-je demandé en jouant avec sa fente baveuse du bout du doigt.
— Plus que ça. C'était délicieux, merci !
Puis elle s'est levée et est allée ouvrir la fenêtre, prétextant que « ça puait le sexe dans cette piaule ». Dehors, le soleil se levait à peine. Un coup d'œil à ma montre, et je me suis rendu compte qu'il était à peine six heures et quelques. Virginie nous a proposé de passer à la douche avant de descendre prendre un petit déjeuner, ce que nous avons accepté de bon cœur, surtout Julie, dont le visage était recouvert de sécrétions diverses.
La douche à trois est restée sage, si ce n'est que Virginie, en plein savonnage, s'est mise à pisser comme si de rien n'était. Elle s'est rapidement excusée, nous expliquant qu'elle faisait tout le temps ça, seule ou avec Bernard, et qu'elle n'a pas fait attention. Je lui ai dis de ne surtout pas s'en faire pour moi. Ça ne me gênait pas, bien au contraire. Julie s'est alors mise à rire et, comme sa nouvelle copine, a relâché sa vessie dans la douche. Je ne pouvais donc pas me défiler, et j'ai, comme tout le monde, pissé sous l'eau. Nous rigolions tous, comme des enfants bravant l'interdit, mais moi, ce manque de gêne et de tabou m'excitait au plus haut point. Et j'aurais aimé diriger mon jet doré sur ces deux femmes, mais ne sachant pas ce que Virginie pouvait en penser, je me suis retenu. Pour l'instant.
Nous sommes ensuite descendus à la cuisine, entièrement nus, et c'est dans cette tenue que nous avons pris un café et quelques tartines de confiture. Bernard est rentré un peu plus tard, et a foncé sur Virginie pour l'embrasser, ses mains crasseuses sur ses petits seins propres.
— Ça va mieux ? a-t-il demandé.
— Beaucoup mieux, oui ! a répondu Virginie en écartant ostensiblement ses cuisses, invitant son oncle à y glisser les mains.
L'oncle et la nièce ont commencé à s'emballer furieusement sur la table du petit déjeuner. J'ai dû me racler la gorge pour qu'ils ne nous oublient pas complètement.
— Bernard, Virginie, ai-je commencé en me levant de table, merci pour tout mais on ne va pas vous déranger plus longtemps.
— Vraiment ? s'est exclamé Bernard. Vous partez déjà ? Vous pouvez rester, vous savez, vous dérangez pas !
— Au contraire, a même justifié Virginie avec un sourire.
— Non, c'est gentil mais on va continuer notre périple. J'ai envie de faire visiter la région à ma belle.
— C'est une excellente idée, a confirmé Bernard. La région est magnifique. Allez, je ne vous retiens pas plus longtemps alors, moi je vais prendre une douche.
Nous sommes tous montés à l'étage. Bernard m'a serré la main, et embrassé Julie sur les deux joues, avant de s'enfermer dans la salle de bain. Virginie est restée avec nous dans la chambre, nue, tandis que nous nous rhabillions et récupérions nos affaires. Elle nous a ensuite raccompagnés jusqu'au pas de la porte, où elle nous a tous les deux embrassés, goulûment, à pleine bouche.
— Revenez par là si vous voulez, à votre retour. Notre porte vous sera ouverte !
— Promis, on y pensera, a répondu Julie.
Un dernier bisou, et nous avons regagné notre voiture. La suite des vacances nous attendait.
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