Les vacances de Julie - 2
Récit érotique écrit par Markpm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les vacances de Julie - 2
Chapitre 2 : La Finale
Conformément à mon ordre, Julie avait enfilé sa robe, sans sous-vêtements bien évidemment. Uniquement sa robe, et son nouveau sextoy contrôlable à distance fiché au fond de son vagin. Une fois dans la rue, je la voyais qui regardait dans tous les sens, tirant sur le bas de sa robe.
— J'ai l'impression d'être encore plus nue que d'habitude, avec ce truc en moi...
— Du calme, je ne l'ai même pas encore allumé !
Son sourire un peu effrayé m'a fait rire, et je l'ai embrassée tendrement avant de lui claquer le cul. En route pour le match ! La place Bellecour, et son écran géant devant lequel devaient s'agglutiner déjà un paquet de supporters, n'était qu'à une dizaine de minutes à pieds. Dix minutes durant lesquelles j'ai un peu joué avec l'œuf qu'elle avait en elle, juste quelques légères vibrations pour lui rappeler que j'avais le contrôle et que je comptais bien m'en servir. La suivant de près, je m'amusais à la voir sursauter ou croiser un peu les jambes à chaque vibration.
Comme je l'avais prédit, la place était noire de monde. Tout le monde était sorti pour profiter de cet après-midi de fête, même ceux qui se foutaient bien du foot. Moi-même je n'y étais pas forcément intéressé de manière générale, mais j'avais envie de vivre cette possible joie collective. Et puis, j'avais envie de jouer avec Julie. Cette foule compacte et ce sextoy caché formaient un combo gagnant à tous les coups.
On s'est installés sur la place, d'abord assis par terre en attendant que le match ne commence, dans une heure et demie seulement. En attendant, nous avons pris des bières, que nous avons bues au milieu de la foule qui faisait pareil, et nous avons parlé de nos vies, de nos envies, de tout et de rien. Comme s'il nous fallait rattraper ces mois de relation à distance. Aux yeux des gens autour de nous, nous étions un couple tout à fait banal, et aucun ne se doutait que nous étions tout sauf banals. Nous avions beau être en pleine discussion, je n'en oubliais pas pour autant que j'avais la clé de son plaisir dans la poche, ni que sa robe, remontée haut sur ses cuisses, était son unique vêtement.
Au bout d'une heure, l'écran géant a commencé à retransmettre les images du stade de Moscou, et les gens se sont levés. Nous finissions notre troisième bière lorsqu'il s'est mis à pleuvoir des cordes. Tout le monde s'est retrouvé trempé de la tête aux pieds, mais personne n'a bougé, le match était plus important qu'une averse. Et puis cela avait rajouté un je ne sais quoi d'excitant. Les gens, humides, étaient collés les uns aux autres, et mon regard était irrésistiblement attiré par les sous-vêtements de ces dames que l'on distinguait à travers les vêtements mouillés... J'avais d'ailleurs pris Julie dans mes bras pour la réchauffer un peu, et m'amusais de voir ses tétons pointer fièrement à travers le tissu trempé de sa robe. Puis ça a été la Marseillaise, les gens chantaient, agitaient leurs drapeaux, se tenaient dans les bras. L'excitation montait, et moi je tenais Julie un peu plus fermement par les hanches.
Et enfin le match a commencé. Partout dans la foule, la tension était palpable. La tension que Julie ressentait, elle, se trouvait plutôt entre ses cuisses depuis que j'avais mis le vibrateur en marche. Pas très fort, certes, mais assez pour qu'elle le sente constamment, à fréquences variées. Elle me regardait parfois avec un air supplicateur, auquel je répondais par un sourire pervers. Non je n'arrêterai pas, ça ne fait que commencer. Puis à la dix-huitième minute, c'était la libération, le filet des Croates venait de trembler. La foule était en délire, tout le monde sautait autour de nous. Pour fêter ce but, j'ai poussé l'intensité au maximum, le temps de quelques secondes. Julie s'est mise à gémir bruyamment, mais personne n'y a prêté attention, trop occupés à célébrer.
— Au fait, lui ai-je dis à l'oreille, ne t'avise pas de jouir sans ma permission, ou je devrai te punir devant tout le monde.
— Oui, Monsieur, m'a-t-elle répondu en soufflant.
Je lui ai souri, puis l'ai embrassée dans le cou en tenant fermement l'une de ses fesses. Dix minutes plus tard, la douche froide. Les Croates venaient d'égaliser. La foule a crié, de déception cette fois. Leur rêve partait doucement en fumée. Moi-même j'étais déçu et n'ai même pas pensé à faire vibrer Julie, tout du moins jusqu'au deuxième but français, sept minutes avant la fin de la première période. Nouvelle explosion de joie, et nouvelles vibrations à intensité maximale entre les cuisses de Julie. Elle a dû se tenir à moi pour ne pas tomber, et moi je m'amusais de la situation en tripotant son cul.
A la mi-temps, la France gagnait, mais la Croatie n'était pas loin. La tension restait à son comble. Pour nous détendre un peu, je me suis faufilé hors de la foule et nous ai acheté deux nouvelles bières. Foot et bière, autant vivre le cliché à fond. Je sentais que Julie commençait à perdre un peu pied, et je ne savais pas si c'était l'alcool ou le désir qui parlait.
— J'ai envie que tu me fasses jouir, m'a-t-elle dit à l'oreille.
— Il va falloir attendre encore un petit peu pour ça, ma chérie.
Elle a bien tenté de bouder, mais elle savait aussi bien que moi que ça ne marcherait absolument pas. Le match a alors repris, toujours sous tension, jusqu'à ce que les Français marquent un troisième but à la cinquante-neuvième minute de jeu. Nouvelle vague de joie dans la foule, et nouvelles vibrations. J'ai laissé l'œuf vibrer plus longtemps que d'habitude, et j'ai entendu Julie me supplier d'arrêter, sans quoi elle ne réussirait pas à tenir ses engagements. Bon joueur, j'ai accédé à sa demande et j'ai diminué les vibrations.
Six minutes plus tard, la France enfonçait le clou et marquait un quatrième but. J'étais tellement content que j'en ai oublié de jouer avec le vibromasseur de Julie. De toutes façons, je savais qu'elle était déjà à la limite de l'orgasme. Au cinquième but, elle ne pourrait pas s'empêcher de jouir sur la place publique. Bien décidé à continuer à jouer malgré tout, je me suis placé derrière elle, et tandis que ma main gauche se posait sur sa hanche, la droite est allée se glisser sous sa robe. Je l'ai sentie frémir, surprise, lorsque mes doigts ont effleuré sa chatte. Elle mouillait tellement ! Je la sentais qui dégoulinait littéralement le long de ses cuisses. Je me suis amusé un moment à glisser mes doigts à l'entrée de son sexe, malgré les regards réprobateurs qu'elle me lançait. Puis quand j'ai eu les doigts bien imbibés de mouille, je les ai glissés entre ses fesses, et lentement, j'en ai enfoncé un dans son anus, puis le deuxième. Julie soupirait d'aise.
— Tu croyais que j'avais oublié ce trou là ? lui ai-je demandé à l'oreille.
— Non... Tu fais ce que tu veux avec, ces trous t'appartiennent.
Bonne réponse. Les minutes qui ont suivi, je n'ai presque plus regardé le match, trop occupé avec le cul de Julie. Je n'ai même pas vu la bourde de notre gardien, et le deuxième but croate. Je m'amusais à faire vibrer le sextoy à intervalles régulières mais à intensités différentes, tout en lui doigtant le petit trou, et je n'ai retiré mes doigts que cinq minutes avant la fin du match.
Cette fois-ci c'était fait. La France était championne du monde, et la foule était folle de joie. Heureux comme un gamin moi aussi, j'ai embrassé Julie à pleine bouche. Ma main s'est posée sur son cul, au-dessus de sa robe, et j'étais tellement content que j'aurais pu la prendre en levrette sur place. Je ne l'ai pas fait, mais j'en ai eu très envie. Au lieu de ça, on a fêté la victoire comme tout le monde. On a crié, on a dansé, on s'est baladé dans les rues sous les coups de klaxons, les pétards et les fumigènes. Il commençait à faire nuit lorsque Julie m'a demandé de rentrer.
— Qu'est-ce qu'il y a ? lui ai-je demandé.
— C'est rien, mais je crois que j'ai bu trop de bière et j'ai besoin d'aller au petit coin.
— Ah ! D'accord, suis moi.
Je l'ai prise par la main, et nous avons pris le chemin du retour. Mais alors que nous arrivions dans la rue, je l'ai attrapée par le bras et nous avons tourné dans une petite rue sans issue. Là, je l'ai poussée contre un mur. Comme elle n'avait pas l'air de comprendre, je lui ai dis, très simplement :
— Pisse ici.
— Non... J'oserais jamais...
La gifle, plus humiliante que forte, est partie toute seule. Je l'ai alors attrapée par les cheveux et lui ai dis plus sèchement cette fois :
— Tu te rappelles de ce que tu me disais, par texto ou par Skype, que tu ferais tout ce que je veux ? Et bien je veux que tu relèves ta robe, que tu écartes les cuisses, et que tu pisses devant moi comme une bonne chienne.
— Oui Monsieur.
Tout en relevant sa robe au-dessus de sa taille, Julie s'est accroupie et a écarté ses cuisses. Son sexe était encore luisant et gonflé d'excitation. Son envie était visiblement assez importante, car je n'ai pas eu à attendre longtemps avant de voir s'en écouler un jet doré. Elle ne savait pas où regarder, à droite ou à gauche, mais surtout pas en face d'elle, elle risquerait de croiser mon regard. J'aimais la voir dans cette situation, et pour l'humilier encore un peu, j'ai sorti mon téléphone et ai pris quelques photos d'elle dans cette posture. Une fois le jet tari, j'ai posé ma main sur sa tête.
— Tu as fini, ma chienne ?
— Oui Monsieur, merci.
— Alors en route, ai-je dis en la tirant par les cheveux.
Julie a réajusté sa robe, puis nous sommes rentrés. Nous étions à deux minutes de l'appartement, et heureusement car j'étais terriblement excité. La voir dans cette plus parfaite intimité m'avait fait bander plus que de raison. Aussi, à peine avais-je ouvert la porte d'entrée que j'ai claqué son cul, et lui ai dit de se mettre à quatre pattes sur le sol. Dévouée, elle s'est exécutée, et je suis venu derrière elle relever sa robe. Je n'avais même pas fermé la porte derrière nous. D'une main, je flattais ses fesses, les écartais, les griffais et les claquais. De l'autre, j'ouvrais mon jean, et sortais mon sexe. J'ai rapidement glissé mon gland contre sa fente encore humide, avant de le poser contre son anus. Puis doucement, j'ai poussé. Centimètre par centimètre. Julie grognait, elle n'avait pas été enculée depuis longtemps, mais j'ai fini par entrer mon sexe entier en elle.
— Ton cul m'avait tellement manqué... lui ai-je dit en caressant ses fesses.
— Fais-en ce que tu veux, m'a-t-elle répondu, il est tout à toi.
Alors une fessée est tombée, puis une deuxième, et j'ai commencé à la sodomiser. J'allais et venais de plus en plus vite en elle, et les gémissements de Julie se sont transformés en cris. Puis d'une main j'ai attrapé mon téléphone. Certes, j'ai pris une ou deux photos de mon sexe pénétrant son cul, mais j'ai surtout mis en marche le vibromasseur encore fiché dans sa chatte. Je l'ai mis à une puissance moyenne d'abord, ce qui était déjà suffisant pour la faire haleter de plaisir. Puis, quelques minutes plus tard, lorsque j'ai senti que j'étais sur le point de jouir, j'ai mis la puissance au maximum.
— Jouis quand tu veux, maintenant.
— Merci Maître ! a-t-elle répondu entre deux souffles.
Et elle n'a pas traîné. Moins d'une minute plus tard, son corps entier était secoué de spasmes. Elle s'est mise à crier et à trembler, et s'est laissée tomber sur le sol. Toujours dans son cul, j'ai continué à aller et venir autant que je pouvais, mais ses muscles se contractant sur mon sexe ont eu raison de moi. J'ai lâché dans son anus de nombreuses saccades de sperme chaud. Après être sorti de son petit trou, j'ai joué un peu avec ses fesses rougies par les fessées, je les ai écartées, malaxées, tandis que ma semence coulait sur ses cuisses et sur le sol. Julie grognait toujours, le vibro était toujours allumé. Alors je l'ai éteint et j'ai plongé deux doigts dans sa chatte pour le récupérer. Elle était tellement trempée que j'aurais pu y enfoncer ma main d'un coup. Idée pour plus tard.
Je l'ai aidée à se relever, elle avait au moins besoin de ça après toutes ces émotions, puis nous sommes allés prendre une douche. Une douche sage, durant laquelle j'ai lavé tout son corps moi-même. Après quoi je l'ai amenée au lit, et nous nous sommes dans les draps frais.
— Je suis tellement contente d'être là, m'a-t-elle dit en collant son corps nu contre le mien.
— Moi aussi. Et ça ne fait même pas vingt-quatre heures... J'ose même pas imaginer tout ce qui nous attend.
Julie m'a regardé en souriant, et a embrassé mon torse. Ma main a glissé sur son dos, ses fesses, et je me suis endormi comme ça.
Conformément à mon ordre, Julie avait enfilé sa robe, sans sous-vêtements bien évidemment. Uniquement sa robe, et son nouveau sextoy contrôlable à distance fiché au fond de son vagin. Une fois dans la rue, je la voyais qui regardait dans tous les sens, tirant sur le bas de sa robe.
— J'ai l'impression d'être encore plus nue que d'habitude, avec ce truc en moi...
— Du calme, je ne l'ai même pas encore allumé !
Son sourire un peu effrayé m'a fait rire, et je l'ai embrassée tendrement avant de lui claquer le cul. En route pour le match ! La place Bellecour, et son écran géant devant lequel devaient s'agglutiner déjà un paquet de supporters, n'était qu'à une dizaine de minutes à pieds. Dix minutes durant lesquelles j'ai un peu joué avec l'œuf qu'elle avait en elle, juste quelques légères vibrations pour lui rappeler que j'avais le contrôle et que je comptais bien m'en servir. La suivant de près, je m'amusais à la voir sursauter ou croiser un peu les jambes à chaque vibration.
Comme je l'avais prédit, la place était noire de monde. Tout le monde était sorti pour profiter de cet après-midi de fête, même ceux qui se foutaient bien du foot. Moi-même je n'y étais pas forcément intéressé de manière générale, mais j'avais envie de vivre cette possible joie collective. Et puis, j'avais envie de jouer avec Julie. Cette foule compacte et ce sextoy caché formaient un combo gagnant à tous les coups.
On s'est installés sur la place, d'abord assis par terre en attendant que le match ne commence, dans une heure et demie seulement. En attendant, nous avons pris des bières, que nous avons bues au milieu de la foule qui faisait pareil, et nous avons parlé de nos vies, de nos envies, de tout et de rien. Comme s'il nous fallait rattraper ces mois de relation à distance. Aux yeux des gens autour de nous, nous étions un couple tout à fait banal, et aucun ne se doutait que nous étions tout sauf banals. Nous avions beau être en pleine discussion, je n'en oubliais pas pour autant que j'avais la clé de son plaisir dans la poche, ni que sa robe, remontée haut sur ses cuisses, était son unique vêtement.
Au bout d'une heure, l'écran géant a commencé à retransmettre les images du stade de Moscou, et les gens se sont levés. Nous finissions notre troisième bière lorsqu'il s'est mis à pleuvoir des cordes. Tout le monde s'est retrouvé trempé de la tête aux pieds, mais personne n'a bougé, le match était plus important qu'une averse. Et puis cela avait rajouté un je ne sais quoi d'excitant. Les gens, humides, étaient collés les uns aux autres, et mon regard était irrésistiblement attiré par les sous-vêtements de ces dames que l'on distinguait à travers les vêtements mouillés... J'avais d'ailleurs pris Julie dans mes bras pour la réchauffer un peu, et m'amusais de voir ses tétons pointer fièrement à travers le tissu trempé de sa robe. Puis ça a été la Marseillaise, les gens chantaient, agitaient leurs drapeaux, se tenaient dans les bras. L'excitation montait, et moi je tenais Julie un peu plus fermement par les hanches.
Et enfin le match a commencé. Partout dans la foule, la tension était palpable. La tension que Julie ressentait, elle, se trouvait plutôt entre ses cuisses depuis que j'avais mis le vibrateur en marche. Pas très fort, certes, mais assez pour qu'elle le sente constamment, à fréquences variées. Elle me regardait parfois avec un air supplicateur, auquel je répondais par un sourire pervers. Non je n'arrêterai pas, ça ne fait que commencer. Puis à la dix-huitième minute, c'était la libération, le filet des Croates venait de trembler. La foule était en délire, tout le monde sautait autour de nous. Pour fêter ce but, j'ai poussé l'intensité au maximum, le temps de quelques secondes. Julie s'est mise à gémir bruyamment, mais personne n'y a prêté attention, trop occupés à célébrer.
— Au fait, lui ai-je dis à l'oreille, ne t'avise pas de jouir sans ma permission, ou je devrai te punir devant tout le monde.
— Oui, Monsieur, m'a-t-elle répondu en soufflant.
Je lui ai souri, puis l'ai embrassée dans le cou en tenant fermement l'une de ses fesses. Dix minutes plus tard, la douche froide. Les Croates venaient d'égaliser. La foule a crié, de déception cette fois. Leur rêve partait doucement en fumée. Moi-même j'étais déçu et n'ai même pas pensé à faire vibrer Julie, tout du moins jusqu'au deuxième but français, sept minutes avant la fin de la première période. Nouvelle explosion de joie, et nouvelles vibrations à intensité maximale entre les cuisses de Julie. Elle a dû se tenir à moi pour ne pas tomber, et moi je m'amusais de la situation en tripotant son cul.
A la mi-temps, la France gagnait, mais la Croatie n'était pas loin. La tension restait à son comble. Pour nous détendre un peu, je me suis faufilé hors de la foule et nous ai acheté deux nouvelles bières. Foot et bière, autant vivre le cliché à fond. Je sentais que Julie commençait à perdre un peu pied, et je ne savais pas si c'était l'alcool ou le désir qui parlait.
— J'ai envie que tu me fasses jouir, m'a-t-elle dit à l'oreille.
— Il va falloir attendre encore un petit peu pour ça, ma chérie.
Elle a bien tenté de bouder, mais elle savait aussi bien que moi que ça ne marcherait absolument pas. Le match a alors repris, toujours sous tension, jusqu'à ce que les Français marquent un troisième but à la cinquante-neuvième minute de jeu. Nouvelle vague de joie dans la foule, et nouvelles vibrations. J'ai laissé l'œuf vibrer plus longtemps que d'habitude, et j'ai entendu Julie me supplier d'arrêter, sans quoi elle ne réussirait pas à tenir ses engagements. Bon joueur, j'ai accédé à sa demande et j'ai diminué les vibrations.
Six minutes plus tard, la France enfonçait le clou et marquait un quatrième but. J'étais tellement content que j'en ai oublié de jouer avec le vibromasseur de Julie. De toutes façons, je savais qu'elle était déjà à la limite de l'orgasme. Au cinquième but, elle ne pourrait pas s'empêcher de jouir sur la place publique. Bien décidé à continuer à jouer malgré tout, je me suis placé derrière elle, et tandis que ma main gauche se posait sur sa hanche, la droite est allée se glisser sous sa robe. Je l'ai sentie frémir, surprise, lorsque mes doigts ont effleuré sa chatte. Elle mouillait tellement ! Je la sentais qui dégoulinait littéralement le long de ses cuisses. Je me suis amusé un moment à glisser mes doigts à l'entrée de son sexe, malgré les regards réprobateurs qu'elle me lançait. Puis quand j'ai eu les doigts bien imbibés de mouille, je les ai glissés entre ses fesses, et lentement, j'en ai enfoncé un dans son anus, puis le deuxième. Julie soupirait d'aise.
— Tu croyais que j'avais oublié ce trou là ? lui ai-je demandé à l'oreille.
— Non... Tu fais ce que tu veux avec, ces trous t'appartiennent.
Bonne réponse. Les minutes qui ont suivi, je n'ai presque plus regardé le match, trop occupé avec le cul de Julie. Je n'ai même pas vu la bourde de notre gardien, et le deuxième but croate. Je m'amusais à faire vibrer le sextoy à intervalles régulières mais à intensités différentes, tout en lui doigtant le petit trou, et je n'ai retiré mes doigts que cinq minutes avant la fin du match.
Cette fois-ci c'était fait. La France était championne du monde, et la foule était folle de joie. Heureux comme un gamin moi aussi, j'ai embrassé Julie à pleine bouche. Ma main s'est posée sur son cul, au-dessus de sa robe, et j'étais tellement content que j'aurais pu la prendre en levrette sur place. Je ne l'ai pas fait, mais j'en ai eu très envie. Au lieu de ça, on a fêté la victoire comme tout le monde. On a crié, on a dansé, on s'est baladé dans les rues sous les coups de klaxons, les pétards et les fumigènes. Il commençait à faire nuit lorsque Julie m'a demandé de rentrer.
— Qu'est-ce qu'il y a ? lui ai-je demandé.
— C'est rien, mais je crois que j'ai bu trop de bière et j'ai besoin d'aller au petit coin.
— Ah ! D'accord, suis moi.
Je l'ai prise par la main, et nous avons pris le chemin du retour. Mais alors que nous arrivions dans la rue, je l'ai attrapée par le bras et nous avons tourné dans une petite rue sans issue. Là, je l'ai poussée contre un mur. Comme elle n'avait pas l'air de comprendre, je lui ai dis, très simplement :
— Pisse ici.
— Non... J'oserais jamais...
La gifle, plus humiliante que forte, est partie toute seule. Je l'ai alors attrapée par les cheveux et lui ai dis plus sèchement cette fois :
— Tu te rappelles de ce que tu me disais, par texto ou par Skype, que tu ferais tout ce que je veux ? Et bien je veux que tu relèves ta robe, que tu écartes les cuisses, et que tu pisses devant moi comme une bonne chienne.
— Oui Monsieur.
Tout en relevant sa robe au-dessus de sa taille, Julie s'est accroupie et a écarté ses cuisses. Son sexe était encore luisant et gonflé d'excitation. Son envie était visiblement assez importante, car je n'ai pas eu à attendre longtemps avant de voir s'en écouler un jet doré. Elle ne savait pas où regarder, à droite ou à gauche, mais surtout pas en face d'elle, elle risquerait de croiser mon regard. J'aimais la voir dans cette situation, et pour l'humilier encore un peu, j'ai sorti mon téléphone et ai pris quelques photos d'elle dans cette posture. Une fois le jet tari, j'ai posé ma main sur sa tête.
— Tu as fini, ma chienne ?
— Oui Monsieur, merci.
— Alors en route, ai-je dis en la tirant par les cheveux.
Julie a réajusté sa robe, puis nous sommes rentrés. Nous étions à deux minutes de l'appartement, et heureusement car j'étais terriblement excité. La voir dans cette plus parfaite intimité m'avait fait bander plus que de raison. Aussi, à peine avais-je ouvert la porte d'entrée que j'ai claqué son cul, et lui ai dit de se mettre à quatre pattes sur le sol. Dévouée, elle s'est exécutée, et je suis venu derrière elle relever sa robe. Je n'avais même pas fermé la porte derrière nous. D'une main, je flattais ses fesses, les écartais, les griffais et les claquais. De l'autre, j'ouvrais mon jean, et sortais mon sexe. J'ai rapidement glissé mon gland contre sa fente encore humide, avant de le poser contre son anus. Puis doucement, j'ai poussé. Centimètre par centimètre. Julie grognait, elle n'avait pas été enculée depuis longtemps, mais j'ai fini par entrer mon sexe entier en elle.
— Ton cul m'avait tellement manqué... lui ai-je dit en caressant ses fesses.
— Fais-en ce que tu veux, m'a-t-elle répondu, il est tout à toi.
Alors une fessée est tombée, puis une deuxième, et j'ai commencé à la sodomiser. J'allais et venais de plus en plus vite en elle, et les gémissements de Julie se sont transformés en cris. Puis d'une main j'ai attrapé mon téléphone. Certes, j'ai pris une ou deux photos de mon sexe pénétrant son cul, mais j'ai surtout mis en marche le vibromasseur encore fiché dans sa chatte. Je l'ai mis à une puissance moyenne d'abord, ce qui était déjà suffisant pour la faire haleter de plaisir. Puis, quelques minutes plus tard, lorsque j'ai senti que j'étais sur le point de jouir, j'ai mis la puissance au maximum.
— Jouis quand tu veux, maintenant.
— Merci Maître ! a-t-elle répondu entre deux souffles.
Et elle n'a pas traîné. Moins d'une minute plus tard, son corps entier était secoué de spasmes. Elle s'est mise à crier et à trembler, et s'est laissée tomber sur le sol. Toujours dans son cul, j'ai continué à aller et venir autant que je pouvais, mais ses muscles se contractant sur mon sexe ont eu raison de moi. J'ai lâché dans son anus de nombreuses saccades de sperme chaud. Après être sorti de son petit trou, j'ai joué un peu avec ses fesses rougies par les fessées, je les ai écartées, malaxées, tandis que ma semence coulait sur ses cuisses et sur le sol. Julie grognait toujours, le vibro était toujours allumé. Alors je l'ai éteint et j'ai plongé deux doigts dans sa chatte pour le récupérer. Elle était tellement trempée que j'aurais pu y enfoncer ma main d'un coup. Idée pour plus tard.
Je l'ai aidée à se relever, elle avait au moins besoin de ça après toutes ces émotions, puis nous sommes allés prendre une douche. Une douche sage, durant laquelle j'ai lavé tout son corps moi-même. Après quoi je l'ai amenée au lit, et nous nous sommes dans les draps frais.
— Je suis tellement contente d'être là, m'a-t-elle dit en collant son corps nu contre le mien.
— Moi aussi. Et ça ne fait même pas vingt-quatre heures... J'ose même pas imaginer tout ce qui nous attend.
Julie m'a regardé en souriant, et a embrassé mon torse. Ma main a glissé sur son dos, ses fesses, et je me suis endormi comme ça.
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