Lionel Ep02 Un verre à la maison
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Lionel Ep02 Un verre à la maison
Lionel Ep02
Un verre à la maison
Lio n'habitait pas très loin, enfin en voiture, ce n'était pas très loin. Je le suivais, on était à la campagne, et les routes étaient tranquille et il faisait encore très beau. Je profitais de cette fin d'après midi.
C'était une belle maison, on devinait la présence féminine même si la dame était absente. On s'installait dans le salon et m'apportait une bière.
Je ne savais pas quoi dire.
– Tu faisais quoi avant de venir travaille à l'atelier ?
– Tu me montres ta cage ?
– Ça te fait délirer ça !
– Ouai !
– C'était pareil pour moi avant de le porter, j'en voulais un.
– Et tu regrettes, ça fait combien de temps.
– Six ans, non je ne regrette pas !
–Tu sais, ici il n'y a aucun vis à vis, on peut se balader à poil dans toute la maison.
C'était pour ça qu'il m'avait invité ! Ah vous aviez deviné ? Et bien pas moi, naïf que je suis !
– Dis moi, je pourrais utilisé ta douche, je ne me suis pas très bien rincé tout à l'heure.
– Remarque moi c'est pareil.
Disant cela, il se levait et commençait à retirer ses vêtements. Je me sentais un peu obligé de faire pareil, et en plus, j'en avais envie ...C'était rapide, je n'avais pas mis de sous vêtements. Ma bite se réveillait dans ma cage. Il n'était pas encore à poil moi, si. Déjà je voyais dans ma tête son énorme queue.
J'avais souvent ressenti des attirances pour les hommes, et là l'image de sa queue réveillait la mienne. La pression devenait infernale, mais rien ne se voyait.
Je le regardait se démener, il retirait facilement sa chemise et je pouvais voir cette masse énorme qu'il avait dans son pantalon. Il bandait toujours, toujours peut être pas mais il bandait encore ou de nouveau.
– Je n'arrive pas à me calmer depuis tout à l'heure. Déclarait il. Au moment ou il ouvrait son pantalon.
Sa queue était en pleine forme à l'horizontale dans son slip. Un saucisson de dix neuf centimètres sur six ne passait pas inaperçu, sans la chemise on aurait vu que ça.
Ma queue protestait encore plus, c'en était presque douloureux. C'était l'enfer. Mon cœur battait plus vite, ma respiration aussi devenait plus forte. Il se relevait tout content de lui.
– Et maintenant on compare ?
Il s'approchait de moi et allongeait sa bite à côté de la mienne. C'était pathétique, ridicule, enfin j'étais ridicule, et pour moi c'était pathétique. Je me sentais humilié, mais j'étais terriblement excité.
On se retrouvait sous la douche et on se rinçait généreusement. C'est vrai qu'on avait été interrompu. On se séchait puis tranquillement Lio passait dans son jardin, il n'y avait aucun vis-à-vis, il avait raison. Je le suivais, j'avais la marque du maillot de bain, lui non, il se faisait bronze chez lui, à poil !
On s'installait sur un transat, je ne pouvais pas détacher les yeux de son sexe. Il regardait sans cesse mon dispositif de chasteté.
– C'est vraiment sexy ce truc !
– Tu en veux un, je sens que tu en veux un !
– Non je te dis, c'est pas pour moi. Mais alors tu n'as jamais rien fait avec une fille toi ?
– Avec une fille non, jamais.
– Tu te branles au moins avec tes potes !
– Se branler, on fait comment ? Lui répondais-je.
Il me montrait, il commençait à se branler, puis rapidement arrêtait tout.
– Excuse moi ! J'arrête, tu dois déjà être assez frustré comme ça !
– Non vas-y. J'aimerais bien te voir jouir.
– Ça ne devrait pas te calmer !
– Pas grave, moi je peux pas mais vas-y.
Il recommençait à se branler, lentement, il crachait dans sa main et décidé mais décidé également à faire durer. Il se massait le gland. Moi je bavais de ne pouvoir en faire autant. Je n'avais pas imaginé une premier contact avec un mâle comme celui-ci.
Je crois que je m'exprime mal, un mâle comme ça, aussi bien monté je n'avais même jamais imaginé que ça existait mais ce que je voulais dire, ce genre de premier contact.
J'avais imaginé qu'il m'enculerait, mais avec un outil pareil, il me faisait un peu peur. En fait j'étais terrifié. S'il me le demandait là, j'aurais dit oui, il m'aurait peut être tué mais j'aurais dit oui. J'avais vraiment peur qu'il ne le fasse.
Je savais que je pourrais rien refuser à un mec pareil.
Mon corps vibrait à chacun de ses gémissements. Je sentais la chaleur de son corps, j'étais juste à côté de lui, je n'osais pas le toucher. Je ne savais pas quoi faire.
Mon dispositif tirait vraiment fort sur ma peau, la pression était tellement forte. Je réajustais mon dispositif. Plus jeune on m'avait toujours dit d'éviter les situations trop stimulantes. À l'époque je ne savais pas ce que ça voulait dire mais là je commençais à comprendre de quoi ils parlaient.
Il crachait dans sa main plusieurs fois puis reprenait. Il massait son gland avec insistance. Il l'écrasait avec son pouce et il gémissait bruyamment. Son gland était tendu, lisse et brillant. Je le voyais glisser sous ses doigts, c'était magnifique, c'était un spectacle incroyable. Il prenait son temps, je ne comprenais pas tout, je pensais que la réaction était bien plus rapide.
Moi depuis six ans je n'avais éjaculé qu'une vingtaine de fois, à chaque fois c'était un plaisir intense mais que je ne pouvais pas provoquer, ma cage m'empêchais de me stimuler, et je ne savais plus comment mon corps réagissait avant. Désormais ça se produisait tout seul, souvent pendant mon sommeil, je me réveillais et paf, j'éjaculais.
Là tout était différent, il prenait du plaisir à se caresser, en particulier sur le gland. Il se stimulait et entretenait ainsi son érection. Il entretenait la mienne aussi. Ma queue dans sa cage ne se calmais pas.
Il se caressait maintenant sur toute la longueur de sa bite. Il en profitait pour se masser rapidement les couilles. Il avait de petites couilles mais elles étaient bien fermes, elle se balançaient rapidement comme de petites clochettes mais sans faire de bruit.
Les mouvements de sa mains devenaient plus rapides et plus amples, il respirait plus fort, il allait jouir, j'allais enfin voir ce ressentais un homme non entravé qui jouissait.
Je sentais comme un vide dans mon torse, au niveau de mon cœur. J'avais besoin de ce plaisir, je n'en avait pas vraiment envie, j'en avais besoin. Je ne pouvais pas savoir si ce que je ressentais n'était qu'un manque ou une frustration. J'avais déjà ressenti plus ou moins cette sensation, c'était, ça devait être la frustration.
Il était juste à côté de moi, je le sentais vibrer, je ressentais son plaisir. Sa main passait et passait sur son gland, elle glissait sur toute la longueur de son pénis et il vibrait de plaisir. Je vibrais avec lui.
Je me sentais irrésistiblement attiré, ma main était comme aimanté et je ne le faisais pas volontairement, j'approchais ma main, doucement, et je sentais sa cuisse, douce, imberbe et musclée. Je le caressais tout doucement. Il continuait à se masturber, et sentais ses testicules danser au bout de mes doigts.
Il avait le sexe épilé, il avait gardé une petite touffe de poil dan la région mais à part ça il n'avait gardé que les cheveux et la barbe, et encore la dernière il la rasait.
Il n'arrêtait pas de s'astiquer le manche, par moment il faisait une pause, il voulait faire durer, il m'expliquait que c'était mieux si on prenait son temps. C'est vrai que moi qui prenait mon temps, vingt fois en six ans, j'éprouvais à chaque fois un plaisir incroyable.
Je lui caressais la cuisse et en même temps ma main s'approchait des ses couilles, je les sentais maintenant danser dans ma main. Sans même m'en rendre compte je les avais prise dans la main. Je les tripotais et les massais doucement. Il continuait à se masturber et me regardait faire. Il me souriais, il s'amusait de la situation et ne le cachait pas.
Puis sans me prévenir il retirait sa main. Son énorme queue restait bien droite.
– Et bien tu attends quoi ? Me demandait-il.
Je crachais dans ma main et la refermais sur sa queue. C'était une incroyable sensation, je n'avais pas pu toucher ma bite depuis des années et là, j'avais celle d'un autre homme, un homme, un vrai, très beau et terriblement viril.
Elle était de très grosse taille, j'étais comme hypnotisé, je ne réagissais pas tout de suite puis je le masturbais lentement au début mais plus vite et plus fermement ensuite.
Il s'installait les mains derrière la tête, il me souriais.
– Vas-y, tu fais ça bien.
Je découvrais de nouvelles sensation. Ma queue protestait encore plus. Il finissait par poser sa main sur ma cuisse, et rapidement me tripotais les couilles. Avec ses doigts il explorait et découvrait mon dispositif, il glissait ses doigts partout et en comprenait le fonctionnement, sa queue se contractait pendant qu'il faisait ça.
Pour finir il me tripotais généreusement les couilles.
– Tu as de très belle couilles ! Me disait-il.
– C'est la cage qui fait ça.
– Les miennes sont toutes petites.
– J'aime bien, elles sont bien fermes. Mais ta queue …
– Elle est toujours comme ça ! Dès qu'on y touche elle prend du volume.
J'insistais longuement sur son gland, il me semblait plus grand, plus gros que je ne l'avais pensé au départ. Il était gros !
Je frémissais de peur de penser qu'il pourrait m'enculer avec, j'avais envie qu'il m'encule, j'étais terrifié en l'imaginant.
Il s'amusait avec mes couilles, je les sentais plus lourdes que jamais. Il mes les écrasait, pas très fort mais je le sentais bien et j'aimais. Je me penchais vers son sexe et là, sans prévenir il éjaculait. Je n'avais pas ressenti les signes avant coureur et j'ai tout pris dans la figure.
Un premier jet de sperme, un râle de plaisir, je fermais les yeux. Un second jet s'écrasait sur mes yeux, un troisième atterrissait sur mes cheveux. Je ne lâchais pas sa queue. Un long filet de sperme continuait à couler et un immense plaisir m’inondait.
Je jouissait à mon tour, c'était la première fois depuis six ans que je jouissais après une simulation volontaire. C'était bon, c'était un plaisir que j'avais oublié depuis des années, un plaisir que je ne pensais plus connaître à nouveau.
Je ne me marierais pas avec une femme, ça je le savais depuis maintenant longtemps. Et ma femme ne recevrait donc pas ma clé. J'étais résigné, mais là j'étais comblé. L'orgasme me faisait trembler pendant un long moment.
Lio avait l'air satisfait, on s'était bien arrosé il me proposait de repasser sous la douche avant de revenir se boire une autre bière.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Un verre à la maison
Lio n'habitait pas très loin, enfin en voiture, ce n'était pas très loin. Je le suivais, on était à la campagne, et les routes étaient tranquille et il faisait encore très beau. Je profitais de cette fin d'après midi.
C'était une belle maison, on devinait la présence féminine même si la dame était absente. On s'installait dans le salon et m'apportait une bière.
Je ne savais pas quoi dire.
– Tu faisais quoi avant de venir travaille à l'atelier ?
– Tu me montres ta cage ?
– Ça te fait délirer ça !
– Ouai !
– C'était pareil pour moi avant de le porter, j'en voulais un.
– Et tu regrettes, ça fait combien de temps.
– Six ans, non je ne regrette pas !
–Tu sais, ici il n'y a aucun vis à vis, on peut se balader à poil dans toute la maison.
C'était pour ça qu'il m'avait invité ! Ah vous aviez deviné ? Et bien pas moi, naïf que je suis !
– Dis moi, je pourrais utilisé ta douche, je ne me suis pas très bien rincé tout à l'heure.
– Remarque moi c'est pareil.
Disant cela, il se levait et commençait à retirer ses vêtements. Je me sentais un peu obligé de faire pareil, et en plus, j'en avais envie ...C'était rapide, je n'avais pas mis de sous vêtements. Ma bite se réveillait dans ma cage. Il n'était pas encore à poil moi, si. Déjà je voyais dans ma tête son énorme queue.
J'avais souvent ressenti des attirances pour les hommes, et là l'image de sa queue réveillait la mienne. La pression devenait infernale, mais rien ne se voyait.
Je le regardait se démener, il retirait facilement sa chemise et je pouvais voir cette masse énorme qu'il avait dans son pantalon. Il bandait toujours, toujours peut être pas mais il bandait encore ou de nouveau.
– Je n'arrive pas à me calmer depuis tout à l'heure. Déclarait il. Au moment ou il ouvrait son pantalon.
Sa queue était en pleine forme à l'horizontale dans son slip. Un saucisson de dix neuf centimètres sur six ne passait pas inaperçu, sans la chemise on aurait vu que ça.
Ma queue protestait encore plus, c'en était presque douloureux. C'était l'enfer. Mon cœur battait plus vite, ma respiration aussi devenait plus forte. Il se relevait tout content de lui.
– Et maintenant on compare ?
Il s'approchait de moi et allongeait sa bite à côté de la mienne. C'était pathétique, ridicule, enfin j'étais ridicule, et pour moi c'était pathétique. Je me sentais humilié, mais j'étais terriblement excité.
On se retrouvait sous la douche et on se rinçait généreusement. C'est vrai qu'on avait été interrompu. On se séchait puis tranquillement Lio passait dans son jardin, il n'y avait aucun vis-à-vis, il avait raison. Je le suivais, j'avais la marque du maillot de bain, lui non, il se faisait bronze chez lui, à poil !
On s'installait sur un transat, je ne pouvais pas détacher les yeux de son sexe. Il regardait sans cesse mon dispositif de chasteté.
– C'est vraiment sexy ce truc !
– Tu en veux un, je sens que tu en veux un !
– Non je te dis, c'est pas pour moi. Mais alors tu n'as jamais rien fait avec une fille toi ?
– Avec une fille non, jamais.
– Tu te branles au moins avec tes potes !
– Se branler, on fait comment ? Lui répondais-je.
Il me montrait, il commençait à se branler, puis rapidement arrêtait tout.
– Excuse moi ! J'arrête, tu dois déjà être assez frustré comme ça !
– Non vas-y. J'aimerais bien te voir jouir.
– Ça ne devrait pas te calmer !
– Pas grave, moi je peux pas mais vas-y.
Il recommençait à se branler, lentement, il crachait dans sa main et décidé mais décidé également à faire durer. Il se massait le gland. Moi je bavais de ne pouvoir en faire autant. Je n'avais pas imaginé une premier contact avec un mâle comme celui-ci.
Je crois que je m'exprime mal, un mâle comme ça, aussi bien monté je n'avais même jamais imaginé que ça existait mais ce que je voulais dire, ce genre de premier contact.
J'avais imaginé qu'il m'enculerait, mais avec un outil pareil, il me faisait un peu peur. En fait j'étais terrifié. S'il me le demandait là, j'aurais dit oui, il m'aurait peut être tué mais j'aurais dit oui. J'avais vraiment peur qu'il ne le fasse.
Je savais que je pourrais rien refuser à un mec pareil.
Mon corps vibrait à chacun de ses gémissements. Je sentais la chaleur de son corps, j'étais juste à côté de lui, je n'osais pas le toucher. Je ne savais pas quoi faire.
Mon dispositif tirait vraiment fort sur ma peau, la pression était tellement forte. Je réajustais mon dispositif. Plus jeune on m'avait toujours dit d'éviter les situations trop stimulantes. À l'époque je ne savais pas ce que ça voulait dire mais là je commençais à comprendre de quoi ils parlaient.
Il crachait dans sa main plusieurs fois puis reprenait. Il massait son gland avec insistance. Il l'écrasait avec son pouce et il gémissait bruyamment. Son gland était tendu, lisse et brillant. Je le voyais glisser sous ses doigts, c'était magnifique, c'était un spectacle incroyable. Il prenait son temps, je ne comprenais pas tout, je pensais que la réaction était bien plus rapide.
Moi depuis six ans je n'avais éjaculé qu'une vingtaine de fois, à chaque fois c'était un plaisir intense mais que je ne pouvais pas provoquer, ma cage m'empêchais de me stimuler, et je ne savais plus comment mon corps réagissait avant. Désormais ça se produisait tout seul, souvent pendant mon sommeil, je me réveillais et paf, j'éjaculais.
Là tout était différent, il prenait du plaisir à se caresser, en particulier sur le gland. Il se stimulait et entretenait ainsi son érection. Il entretenait la mienne aussi. Ma queue dans sa cage ne se calmais pas.
Il se caressait maintenant sur toute la longueur de sa bite. Il en profitait pour se masser rapidement les couilles. Il avait de petites couilles mais elles étaient bien fermes, elle se balançaient rapidement comme de petites clochettes mais sans faire de bruit.
Les mouvements de sa mains devenaient plus rapides et plus amples, il respirait plus fort, il allait jouir, j'allais enfin voir ce ressentais un homme non entravé qui jouissait.
Je sentais comme un vide dans mon torse, au niveau de mon cœur. J'avais besoin de ce plaisir, je n'en avait pas vraiment envie, j'en avais besoin. Je ne pouvais pas savoir si ce que je ressentais n'était qu'un manque ou une frustration. J'avais déjà ressenti plus ou moins cette sensation, c'était, ça devait être la frustration.
Il était juste à côté de moi, je le sentais vibrer, je ressentais son plaisir. Sa main passait et passait sur son gland, elle glissait sur toute la longueur de son pénis et il vibrait de plaisir. Je vibrais avec lui.
Je me sentais irrésistiblement attiré, ma main était comme aimanté et je ne le faisais pas volontairement, j'approchais ma main, doucement, et je sentais sa cuisse, douce, imberbe et musclée. Je le caressais tout doucement. Il continuait à se masturber, et sentais ses testicules danser au bout de mes doigts.
Il avait le sexe épilé, il avait gardé une petite touffe de poil dan la région mais à part ça il n'avait gardé que les cheveux et la barbe, et encore la dernière il la rasait.
Il n'arrêtait pas de s'astiquer le manche, par moment il faisait une pause, il voulait faire durer, il m'expliquait que c'était mieux si on prenait son temps. C'est vrai que moi qui prenait mon temps, vingt fois en six ans, j'éprouvais à chaque fois un plaisir incroyable.
Je lui caressais la cuisse et en même temps ma main s'approchait des ses couilles, je les sentais maintenant danser dans ma main. Sans même m'en rendre compte je les avais prise dans la main. Je les tripotais et les massais doucement. Il continuait à se masturber et me regardait faire. Il me souriais, il s'amusait de la situation et ne le cachait pas.
Puis sans me prévenir il retirait sa main. Son énorme queue restait bien droite.
– Et bien tu attends quoi ? Me demandait-il.
Je crachais dans ma main et la refermais sur sa queue. C'était une incroyable sensation, je n'avais pas pu toucher ma bite depuis des années et là, j'avais celle d'un autre homme, un homme, un vrai, très beau et terriblement viril.
Elle était de très grosse taille, j'étais comme hypnotisé, je ne réagissais pas tout de suite puis je le masturbais lentement au début mais plus vite et plus fermement ensuite.
Il s'installait les mains derrière la tête, il me souriais.
– Vas-y, tu fais ça bien.
Je découvrais de nouvelles sensation. Ma queue protestait encore plus. Il finissait par poser sa main sur ma cuisse, et rapidement me tripotais les couilles. Avec ses doigts il explorait et découvrait mon dispositif, il glissait ses doigts partout et en comprenait le fonctionnement, sa queue se contractait pendant qu'il faisait ça.
Pour finir il me tripotais généreusement les couilles.
– Tu as de très belle couilles ! Me disait-il.
– C'est la cage qui fait ça.
– Les miennes sont toutes petites.
– J'aime bien, elles sont bien fermes. Mais ta queue …
– Elle est toujours comme ça ! Dès qu'on y touche elle prend du volume.
J'insistais longuement sur son gland, il me semblait plus grand, plus gros que je ne l'avais pensé au départ. Il était gros !
Je frémissais de peur de penser qu'il pourrait m'enculer avec, j'avais envie qu'il m'encule, j'étais terrifié en l'imaginant.
Il s'amusait avec mes couilles, je les sentais plus lourdes que jamais. Il mes les écrasait, pas très fort mais je le sentais bien et j'aimais. Je me penchais vers son sexe et là, sans prévenir il éjaculait. Je n'avais pas ressenti les signes avant coureur et j'ai tout pris dans la figure.
Un premier jet de sperme, un râle de plaisir, je fermais les yeux. Un second jet s'écrasait sur mes yeux, un troisième atterrissait sur mes cheveux. Je ne lâchais pas sa queue. Un long filet de sperme continuait à couler et un immense plaisir m’inondait.
Je jouissait à mon tour, c'était la première fois depuis six ans que je jouissais après une simulation volontaire. C'était bon, c'était un plaisir que j'avais oublié depuis des années, un plaisir que je ne pensais plus connaître à nouveau.
Je ne me marierais pas avec une femme, ça je le savais depuis maintenant longtemps. Et ma femme ne recevrait donc pas ma clé. J'étais résigné, mais là j'étais comblé. L'orgasme me faisait trembler pendant un long moment.
Lio avait l'air satisfait, on s'était bien arrosé il me proposait de repasser sous la douche avant de revenir se boire une autre bière.
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