Lionel Ep04 Mais ça fait mal
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lionel Ep04 Mais ça fait mal
Lionel Ep04
Mais ça fait mal
J'étais allongé sur le sol, j'avais une main sur mes fesses mais je continuais à juter.
– Ça fait un mal de chien ce truc ! Râlais-je.
– Et en plus tu jouis ! Me faisait-il remarquer.
J'hésitais à lui répondre puis je rajoutais
– Ça fait quand même un mal de chien. Elle est trop grosse ta queue. Tu as déjà enfilé quelqu'un avec.
– Bein oui, enfin j'ai déjà essayé.
–Et …
– Et bien ma copine a réagit comme toi. Ensuite j'ai pas eu le droit de la toucher pendant un mois.
– Tu m'étonnes !
– Elle abuse tout de même, non ?
– Moi je trouve pas. Tu te rends pas compte, ça fait vraiment mal.
– Bon OK je vais finir par le croire.
Il était à genoux, juste à côté de moi, il ne débandait pas, il était très en forme et voyant ça il commençait à se masturber. Peu à peu je me détendais, la douleur ne passait pas vraiment. Je ne comprenais pas comment on pouvait s'enfiler un truc aussi gros dans le cul.
J'avais fait des recherches sur internet, vous savez ce truc nouveau sur le téléphone, et j'avais vu des films. Ça m'avait donné envie d'essayer surtout que le gars qui se faisait enculer semblait y prendre beaucoup de plaisir.
Mais moi, j'avais surtout eu très mal, mais vraiment très mal. Je me redressais, j'étais calmé. Dans ma cage ma queue se ratatinais et laissait même un peu de place libre. Ça faisait longtemps que ça ne se produit plus ça. Ou alors il fallait qu'il fasse très froid.
Lio se caressait la bite, je n'avais même plus envie de l'aider, je le regardais faire sans réagir. Ce soir j'étais sexuellement gavé. Pas satisfait mais j'avais eu ma dose. Il agitait sa main le long de sa queue de plus en plus vite puis très vite.
– Vas y maintenant suce moi, vite.
Sans comprendre je m'exécutais, je baissais la tête sur lui, lui prenais le gland dans la bouche et c'est à ce moment qu'il à éjaculé. J'avais le réflexe de me retirer il avait eu avant moi celui de mettre sa main sur ma nuque et me retenait.
Je recevais plusieurs décharges de son sperme dans la bouche. Je me suis régalé, ensuite j'ai râlé.
– Tu n'as pas aimé ? Me demandait-il bêtement.
Pour réponse je lui faisais un câlin. Il m'avait fait mal mais je ne lui en voulais pas. J'étais même bien décidé à réessayer mais un autre jour, plus tard.
Nous avons soupé ensemble, puis on a discuté.
– On réessayera ?
– Plus tard, bien plus tard. Tu sais je ne comprends pas, j'ai vu des film et il y en a qui aiment se faire défoncer le cul. C'est peut être que du cinéma.
– Non c'est pour de vrai, il y en a qui aiment mais voilà il faut un peu s'entraîner. Un jour on m'a dit qu'au début ça peut faire mal mais que ensuite c'est super agréable.
– Et celui-là tu ne l'as pas enculé.
– Celle-là ! Non quand elle a vu la bête elle a paniqué et à formellement refusé. Trop gros.
– Ah les filles, toujours pareil.
Le lendemain on se retrouvait au boulot, quand on se retrouvait, je ne lui cachais pas que j'avais encore mal au cul. Ça le faisait rire, le sadique ! C'était la veille du week-end, on sortirait un peu plus tôt le soir. Il me proposait une sortie en célibataire.
– J'ai mal au cul.
– Je vois pas le rapport, c'est juste une sortie entre mecs. Personne ne va toucher à ton cul.
– Entre mecs … Entre nous ?
– Bein oui !
– Et tu es sûr que ça ne va pas dégénérer.
– Mais non, ce soir on est sage !
– Tu sais le truc que je porte, c'est justement pour rester sage, enfin c'est ce qu'on m'a dit quand je l'ai mis.
– Oui bon, ça ne marche pas et alors. Moi je peux rester sage !
– Moi aussi !
Comme prévu il passait me chercher un peu avant vingt heures.
On passait boire un verre dans un bar connu, là on a rencontré Yves et Paco, deux mecs plutôt mignons qui travaillaient avec nous. Je commençais à me méfier. Était-ce un piège ?
On est ensuite allé au restau tous les quatre. On a discuter on a rigolé, on a un peu picolé. Là j'ai compris que c'était un traquenard et que j'allais en prendre encore plein le cul …
Et bien non !
Yves et Paco voulaient sortir en boite, ils avaient décidé de draguer et, si possible, de ne pas rentrer seul. Lio était marié, et moi … oui bon béh moi …
Je me sentais un peu rassuré de ne pas être tombé dans un piège, j'avais encore mal au cul.
On a traîné encore dans un bar, puis un autre puis deux petites très mignonnes nous ont abordé. Lio semblait tout content, mais enfin il est marié, je ne comprenais pas trop. C'était sans doute mon éducation de puritain qui me faisait réagir comme ça.
Rapidement Lio se retrouvais avec une fille dans les bras, moi aussi remarquez. En fait je faisais comme lui. Je suivais le mouvement sans me poser plus de question. Vous savez les filles, c'est pas désagréable à embrasser. C'était une première pour moi. Je vous conseille même d'essayer.
Elle me prenait dans ses bras, elle se serrait contre moi, elle écrasait sa poitrine pulpeuse contre mon torse. Ne vous étonnez pas, si Lio est mignon, il n'est pas le seul, nous faisons un travail physique et donc nous somme musclés tous les deux, et personne ne peut voir mon dispositif de chasteté.
J'ai bien eu l'impression qu'elle a senti quelque chose au moment ou elle s'est glissé tout contre moi mais elle a du penser que j'avais un objet dans la poche. On ne trouve pas de puritain dans ces bars, et encore moins qui se laissent draguer par des filles. Bon moi j'avais rien fait, tout ça c'était à cause de Lio. Moi j'avais pas vraiment envie de sexe, j'avais toujours mal au cul.
Ensuite on s'est retrouvé chez une des deux filles, ne me demandez pas laquelle, j'en ai aucune idée. Je n'ai pas l'habitude de picoler et il ne me fallait pas beaucoup de verres, et les pas beaucoup, je les avais bu !
– Je vous préviens les filles vous allez connaître une soirée que vous n'êtes pas près d'oublier …
Elles ont éclaté de rire.
– On nous l'a déjà faite celle là.
Elles riaient, chacune se retournait vers l'un d'entre nous et commençait à nous déshabiller. Je me sentais terriblement gêné, embarrassé devrais-je dire. J'avais ce petit secret que seul Lio savait, et je me demandais comment elle allait réagir.
C'est un cri qui nous interpellait. La copine de Lio venait de découvrir son gros secret. L'autre se retournait et hurlait également.
– Mais c'est pas possible, tu as vu ça !
– Mon dieu, je ne savais pas que ça pouvait exister.
– Moi aussi je pensait que c'était des légendes urbaines.
– Regarde maintenant il bande en plus !
– Oui là ça fait peur.
– Ne vous inquiétez pas les filles, il y en aura pour tout le monde.
Elles m'avaient oublié.
Lio se retrouvait rapidement entièrement nu, il bandait et les deux filles le caressaient, lui suçaient la queue, et l'embrassait partout ou il y avait un peu de peau accessible.
Elles m'avaient totalement oublié.
– Eh Charly, tu nous fais un strip-tease. Me lançait Lio.
Il n'en fallait pas plus pour que les filles, désormais totalement nues et collées contre Lio ne se retournent vers moi. Je devenait tout rouge, j'avais un peu bu, et là je vous jure que je me demandais comment j'en était arrivé là. J'avais suivi Lio, je n'avais rien fait d'autre, j'avais bien un peu embrassé la fille que j'avais rencontré dans bar grâce à Lio, je l'avais bien tenue dans mes bras, enfin un petit peu. Mais je n'avais rien fait d'autre.
Je me retrouvait devant mon pote et les deux filles, tous les trois entièrement nus, ma chemise était débraillée. C'est sans doute un peu à cause de l'alcool que j'ai continué.
J'ai retiré ma chemise, je me présentais torse nue. Les filles applaudissaient.
– Il est bien foutu mon pote ! Faisait remarquer Lio.
– S'il est monté comme toi, ça va être une soirée de rêve.
J'ouvrais mon ceinturon, j'ouvrais mon pantalon. Lio rigolait, les filles ouvraient de très grands yeux très excités pleins de curiosité.
Je faisais glisser mon pantalon. Les filles poussait des gris d'encouragement, des sifflements. Je devenais de plus en plus pourpre de confusion. Je me montrais de dos quand je baissais mon sous vêtement.
Les sifflements redoublaient, je leur montrait mes fesses mais c'est mon front qui devenait pourpre de confusion. La je mettais en scène, je me mettais en scène, j'étais entièrement nu de dos, je mettais mes mains devant mon sexe et je me retournais brusquement.
Un cri de joie éclatait, il était suivi par des éclats de rire.
– Là tu triche ! Me lançait une des deux filles.
– Au moins on sait qu'il est plus petit que Lio, il ne parviendrait pas à tout cacher juste avec ses deux mains.
Ils éclataient tous les trois de rire. Sans prévenir je retirais les mains et montrait mon dispositif.
– C'est un puritain ! Leur disait Lio.
J'ai bien cru que j'avais loupé mon effet. Mon intervention était suivie d'un grand silence. Une des deux fille se relevait et s'approchait de moi.
– J'y crois pas c'est une blague ? Tu as un corps magnifique et … ce petit truc ridicule.
– Ridicule mais sexy ! Rajoutais l'autre.
Aussitôt une main me caressait les couilles et le cul, ce qui me rappelait que j'avais encore mal au cul. Mais quand elle tentait de me glisser un doigt dans le cul, là je vous jure ça m'a vraiment fait mal.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Mais ça fait mal
J'étais allongé sur le sol, j'avais une main sur mes fesses mais je continuais à juter.
– Ça fait un mal de chien ce truc ! Râlais-je.
– Et en plus tu jouis ! Me faisait-il remarquer.
J'hésitais à lui répondre puis je rajoutais
– Ça fait quand même un mal de chien. Elle est trop grosse ta queue. Tu as déjà enfilé quelqu'un avec.
– Bein oui, enfin j'ai déjà essayé.
–Et …
– Et bien ma copine a réagit comme toi. Ensuite j'ai pas eu le droit de la toucher pendant un mois.
– Tu m'étonnes !
– Elle abuse tout de même, non ?
– Moi je trouve pas. Tu te rends pas compte, ça fait vraiment mal.
– Bon OK je vais finir par le croire.
Il était à genoux, juste à côté de moi, il ne débandait pas, il était très en forme et voyant ça il commençait à se masturber. Peu à peu je me détendais, la douleur ne passait pas vraiment. Je ne comprenais pas comment on pouvait s'enfiler un truc aussi gros dans le cul.
J'avais fait des recherches sur internet, vous savez ce truc nouveau sur le téléphone, et j'avais vu des films. Ça m'avait donné envie d'essayer surtout que le gars qui se faisait enculer semblait y prendre beaucoup de plaisir.
Mais moi, j'avais surtout eu très mal, mais vraiment très mal. Je me redressais, j'étais calmé. Dans ma cage ma queue se ratatinais et laissait même un peu de place libre. Ça faisait longtemps que ça ne se produit plus ça. Ou alors il fallait qu'il fasse très froid.
Lio se caressait la bite, je n'avais même plus envie de l'aider, je le regardais faire sans réagir. Ce soir j'étais sexuellement gavé. Pas satisfait mais j'avais eu ma dose. Il agitait sa main le long de sa queue de plus en plus vite puis très vite.
– Vas y maintenant suce moi, vite.
Sans comprendre je m'exécutais, je baissais la tête sur lui, lui prenais le gland dans la bouche et c'est à ce moment qu'il à éjaculé. J'avais le réflexe de me retirer il avait eu avant moi celui de mettre sa main sur ma nuque et me retenait.
Je recevais plusieurs décharges de son sperme dans la bouche. Je me suis régalé, ensuite j'ai râlé.
– Tu n'as pas aimé ? Me demandait-il bêtement.
Pour réponse je lui faisais un câlin. Il m'avait fait mal mais je ne lui en voulais pas. J'étais même bien décidé à réessayer mais un autre jour, plus tard.
Nous avons soupé ensemble, puis on a discuté.
– On réessayera ?
– Plus tard, bien plus tard. Tu sais je ne comprends pas, j'ai vu des film et il y en a qui aiment se faire défoncer le cul. C'est peut être que du cinéma.
– Non c'est pour de vrai, il y en a qui aiment mais voilà il faut un peu s'entraîner. Un jour on m'a dit qu'au début ça peut faire mal mais que ensuite c'est super agréable.
– Et celui-là tu ne l'as pas enculé.
– Celle-là ! Non quand elle a vu la bête elle a paniqué et à formellement refusé. Trop gros.
– Ah les filles, toujours pareil.
Le lendemain on se retrouvait au boulot, quand on se retrouvait, je ne lui cachais pas que j'avais encore mal au cul. Ça le faisait rire, le sadique ! C'était la veille du week-end, on sortirait un peu plus tôt le soir. Il me proposait une sortie en célibataire.
– J'ai mal au cul.
– Je vois pas le rapport, c'est juste une sortie entre mecs. Personne ne va toucher à ton cul.
– Entre mecs … Entre nous ?
– Bein oui !
– Et tu es sûr que ça ne va pas dégénérer.
– Mais non, ce soir on est sage !
– Tu sais le truc que je porte, c'est justement pour rester sage, enfin c'est ce qu'on m'a dit quand je l'ai mis.
– Oui bon, ça ne marche pas et alors. Moi je peux rester sage !
– Moi aussi !
Comme prévu il passait me chercher un peu avant vingt heures.
On passait boire un verre dans un bar connu, là on a rencontré Yves et Paco, deux mecs plutôt mignons qui travaillaient avec nous. Je commençais à me méfier. Était-ce un piège ?
On est ensuite allé au restau tous les quatre. On a discuter on a rigolé, on a un peu picolé. Là j'ai compris que c'était un traquenard et que j'allais en prendre encore plein le cul …
Et bien non !
Yves et Paco voulaient sortir en boite, ils avaient décidé de draguer et, si possible, de ne pas rentrer seul. Lio était marié, et moi … oui bon béh moi …
Je me sentais un peu rassuré de ne pas être tombé dans un piège, j'avais encore mal au cul.
On a traîné encore dans un bar, puis un autre puis deux petites très mignonnes nous ont abordé. Lio semblait tout content, mais enfin il est marié, je ne comprenais pas trop. C'était sans doute mon éducation de puritain qui me faisait réagir comme ça.
Rapidement Lio se retrouvais avec une fille dans les bras, moi aussi remarquez. En fait je faisais comme lui. Je suivais le mouvement sans me poser plus de question. Vous savez les filles, c'est pas désagréable à embrasser. C'était une première pour moi. Je vous conseille même d'essayer.
Elle me prenait dans ses bras, elle se serrait contre moi, elle écrasait sa poitrine pulpeuse contre mon torse. Ne vous étonnez pas, si Lio est mignon, il n'est pas le seul, nous faisons un travail physique et donc nous somme musclés tous les deux, et personne ne peut voir mon dispositif de chasteté.
J'ai bien eu l'impression qu'elle a senti quelque chose au moment ou elle s'est glissé tout contre moi mais elle a du penser que j'avais un objet dans la poche. On ne trouve pas de puritain dans ces bars, et encore moins qui se laissent draguer par des filles. Bon moi j'avais rien fait, tout ça c'était à cause de Lio. Moi j'avais pas vraiment envie de sexe, j'avais toujours mal au cul.
Ensuite on s'est retrouvé chez une des deux filles, ne me demandez pas laquelle, j'en ai aucune idée. Je n'ai pas l'habitude de picoler et il ne me fallait pas beaucoup de verres, et les pas beaucoup, je les avais bu !
– Je vous préviens les filles vous allez connaître une soirée que vous n'êtes pas près d'oublier …
Elles ont éclaté de rire.
– On nous l'a déjà faite celle là.
Elles riaient, chacune se retournait vers l'un d'entre nous et commençait à nous déshabiller. Je me sentais terriblement gêné, embarrassé devrais-je dire. J'avais ce petit secret que seul Lio savait, et je me demandais comment elle allait réagir.
C'est un cri qui nous interpellait. La copine de Lio venait de découvrir son gros secret. L'autre se retournait et hurlait également.
– Mais c'est pas possible, tu as vu ça !
– Mon dieu, je ne savais pas que ça pouvait exister.
– Moi aussi je pensait que c'était des légendes urbaines.
– Regarde maintenant il bande en plus !
– Oui là ça fait peur.
– Ne vous inquiétez pas les filles, il y en aura pour tout le monde.
Elles m'avaient oublié.
Lio se retrouvait rapidement entièrement nu, il bandait et les deux filles le caressaient, lui suçaient la queue, et l'embrassait partout ou il y avait un peu de peau accessible.
Elles m'avaient totalement oublié.
– Eh Charly, tu nous fais un strip-tease. Me lançait Lio.
Il n'en fallait pas plus pour que les filles, désormais totalement nues et collées contre Lio ne se retournent vers moi. Je devenait tout rouge, j'avais un peu bu, et là je vous jure que je me demandais comment j'en était arrivé là. J'avais suivi Lio, je n'avais rien fait d'autre, j'avais bien un peu embrassé la fille que j'avais rencontré dans bar grâce à Lio, je l'avais bien tenue dans mes bras, enfin un petit peu. Mais je n'avais rien fait d'autre.
Je me retrouvait devant mon pote et les deux filles, tous les trois entièrement nus, ma chemise était débraillée. C'est sans doute un peu à cause de l'alcool que j'ai continué.
J'ai retiré ma chemise, je me présentais torse nue. Les filles applaudissaient.
– Il est bien foutu mon pote ! Faisait remarquer Lio.
– S'il est monté comme toi, ça va être une soirée de rêve.
J'ouvrais mon ceinturon, j'ouvrais mon pantalon. Lio rigolait, les filles ouvraient de très grands yeux très excités pleins de curiosité.
Je faisais glisser mon pantalon. Les filles poussait des gris d'encouragement, des sifflements. Je devenais de plus en plus pourpre de confusion. Je me montrais de dos quand je baissais mon sous vêtement.
Les sifflements redoublaient, je leur montrait mes fesses mais c'est mon front qui devenait pourpre de confusion. La je mettais en scène, je me mettais en scène, j'étais entièrement nu de dos, je mettais mes mains devant mon sexe et je me retournais brusquement.
Un cri de joie éclatait, il était suivi par des éclats de rire.
– Là tu triche ! Me lançait une des deux filles.
– Au moins on sait qu'il est plus petit que Lio, il ne parviendrait pas à tout cacher juste avec ses deux mains.
Ils éclataient tous les trois de rire. Sans prévenir je retirais les mains et montrait mon dispositif.
– C'est un puritain ! Leur disait Lio.
J'ai bien cru que j'avais loupé mon effet. Mon intervention était suivie d'un grand silence. Une des deux fille se relevait et s'approchait de moi.
– J'y crois pas c'est une blague ? Tu as un corps magnifique et … ce petit truc ridicule.
– Ridicule mais sexy ! Rajoutais l'autre.
Aussitôt une main me caressait les couilles et le cul, ce qui me rappelait que j'avais encore mal au cul. Mais quand elle tentait de me glisser un doigt dans le cul, là je vous jure ça m'a vraiment fait mal.
A suivre
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