Madame est partie 01 Sainte vierge
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Madame est partie 01 Sainte vierge
Madame est partie 01
Sainte vierge
Avec madame c'était de plus en plus difficile. Elle me repoussait. Tout avait commencé par cette réflexion qui glace le sang de tous les maris depuis des siècles …
– Pas ce soir chéri, j'ai la migraine !
Quand un époux entend ça, il sait que ce soir là, ce ne sera pas la folie des grands soirs. Je terminais la soirée par une petite branlette, ça calme mais c'est pas pareil.
Surtout que madame, ma femme je veux dire, elle est canon. Mais voilà ce commentaire, cette excuse était répétée de plus en plus souvent. Imperceptiblement, ça avait dégénéré, la situation s'était aggravée, si je voulais la prendre dans mes bras, le plus naturellement du monde, et bien c'est le plus naturellement du monde qu'elle se dégageait, doucement au début puis avec le temps elle se contentait de me repousser.
Elle ne cherchait même plus à s'expliquer, à s'excuser, à se justifier. Puis …
– Mais qu'est-ce que tu veux encore ?
– Enfin qu'est-ce que je veux encore ? Mais je veux te prendre dans mes bras, te faire un câlin et …
– Et ! Oui … Et … Reprenait-elle en me coupant la parole. Je t'ai déjà donné cinq enfants … Et … Ça ne te suffit pas, toujours pas … Je considère que ma mission conjugale est remplie !
Un jour ça s'était terminé comme ça, je ne l'avais pas vu venir.
Un autre jour …
– Tu devrais mettre un de ces dispositifs de chasteté, ça calme les ardeurs des plus pervers.
Maintenant elle me traitait de pervers ! C'était un comble. J'en pouvais plus. Sur sa lancée elle avait décidé de faire chambre à part. Au début j'ai pas aimé, finalement depuis je dormais mieux. Il vaut mieux en fait dormir seul que de dormir avec sa femme si on n'a pas le droit de la toucher, de la caresser, de l'embrasser et de … lui faire l'amour …
Entre ma femme et moi, il n'y avait plus rien. Même plus la tendresse. Le soir elle, tous les soirs elle se retirait tôt dans sa chambre, elle priait devant un tableau de la vierge Marie, vous savez, cette femme qui enfanta d'un dieu dans une quelconque mythologie. Vous l'avez deviné, je ne suis pas porté vers la religion et si notre mariage était religieux, c'était juste pour faire plaisir à ma femme.
Au début tout se passait si bien, moins d'un an après notre mariage elle me donnait notre premier enfant, un garçon.
Un soir ou j'étais seul à la maison, je me sentais mal. Je repensais à ces moments passés avec ma femme. James mon majordome venait s'assurer que je n'avais besoin de rien.
– Dites moi, James ! Que pensez-vous de cette situation ?
– Je ne vois pas de quoi vous voulez parler Monsieur !
– Allons je vous en prie, s'il y a bien une personne qui sait parfaitement tout ce qui se passe dans cette maison c'est bien vous !
– Certes Monsieur mais …
– Ma femme ! Qu'est ce qui lui arrive ?
– Ma foi, je ne saurais dire.
Je l'embarrassais mais j'avais besoin de parler et j'insistais.
– Et vous, comment voyez vous les choses.
– Moi monsieur …
Il prenait alors une cuillère qui était là à côté de ma tasse de thé et frappait avec sur son pantalon au niveau de son sexe. Il en sortait alors un bruit métallique.
– Ah oui c'est vrai que vous portez un dispositif de chasteté.
– La PK Titanium, complétait-il.
– Et … Là je ne savais pas quoi rajouter.
– C'est un choix monsieur !
– Elle m'a même conseillé un jour d'en porter un.
– Je ne pense pas que c'est pour Monsieur.
– Ah ?
– C'est un dispositif, un choix qui ne convient pas à tout le monde.
– Et en plus je suppose que pour les grosse tailles … Faisais-je remarquer.
– Sur ce point, que Monsieur se rassure, ils ont toutes les tailles. Je pense que dans le cas de Monsieur une taille six. Au bout de quelques années on passe à une taille qui est plus discrète.
– Vous connaissez même ma taille ?
– Comme Monsieur le disait, je sais tout ce qui se passe dans cette maison !
Il m'avait calmé, c'est vrai ça. On y pense pas mais le personnel domestique vous observe, s'il décidait de me trahir, je pense que c'est certainement la personne qui pouvait le plus me nuire, avec ma femme. Heureusement pour moi, il avait été formé dans l'école de la PK, on n'y connaît aucune trahison. Je serai moins sûr au sujet de ma femme.
Quelques jours plus tard. Je retrouvais ma femme au souper.
– Chéri ! Commençait-elle par me dire. Je vais aller directement au but. Nous allons nous séparer.
– Divorcer ? Demandais-je, j'étais presque soulagé.
– Tu es fou, si tu tentes une telle chose je te promets les foudres de l'enfer. NON ! Nous allons nous séparer. J'ai tout prévu, le partage des biens, une rente pour moi, et l'héritage pour chacun de nos enfants.
J'étais sonné ! Soulagé mais sonné.
– Vas y ! je t'écoute. Lui répondais je résigné.
– Je vais rentrer dans un couvant, je remet le reste de ma vie à la vierge sainte mère de dieu.
Elle m'avait assommé. Je ne savais plus quoi répondre.
Il y avait une nurse de grande marque, si j'ose dire. Une nurse anglaise de Liverpool, il paraît que ce sont les meilleures, en tout cas les enfants parleraient un anglais parfait. Un majordome qui m'était totalement dévoué. Il y avait aussi sa famille qui me surveillerait et s'assurerait que je reste fidèle à ma femme.
Le lendemain elle partait. Elle avait revêtu cette tenue qui ressemblait plus à un sac de patate qu'à un vêtement, un voile sur la tête qui ne laissait apparaître que le visage.
J'étais furieux. Elle venait me saluer.
– Tu sais, je te conseille sérieusement de porter un de ces dispositif de chasteté, au début ce n'est pas facile mais par la suite tu te sentiras bien mieux.
J'avais envie de la gifler à cet instant, j'ai vraiment eu l'impression qu'elle se moquait de moi.
Le repas du soir était calme, la nurse s'était occupé des enfants, ils ne semblaient pas traumatisé par ce départ. Pour eux, c'était normal.
La nurse était belle, elle était d'une incroyable douceur avec les enfants mais … Je savais que la regarder de trop près était une mauvaise idée, ça ne m'attirerait que des ennuis. Il y avait la famille de ' Madame ' et la nurse lui était totalement dévouée.
Plus tard, la nuit avançait, j'étais devant la télé, elle était éteinte. James passait, il vérifiait que tout était en ordre dans la maison.
– Vous pouvez disposer James, je n'ai besoin de rien.
Il posait un verre de whisky juste à côté de moi.
– Puis-je conseiller à Monsieur de le boire d'un trait.
– Vous savez que je bois pas James !
– En effet, je le sais mais … Puis-je conseiller à Monsieur de le boire d'un trait.
Son insistance me surprenait et je ne sais pas pourquoi mais je suivais son conseil. Je vous jure, je ne sais pas comment certains peuvent aimer ce genre de liquide. C'est du feu, ça brûle mais c'est vrai que peu après je me sentais plus détendu.
– Elle est partie ! Faisais-je remarquer.
– Cela vous ennuie Monsieur ?
– Bein …
– Quel âge avez vous Monsieur ?
– Je lui répondait, trente trois. Mais pourquoi me posait-il la question, il connaissait ma date de naissance.
– Depuis combien de temps êtes vous mariés Monsieur ?
– Mais enfin James, vous étiez au mariage. Bientôt douze ans …
– Bien ! Combien d'enfants avez-vous Monsieur ?
– Mais vous en avez pour longtemps à me poser des question dont vous connaissez les réponses … Cinq enfants, trois garçons et deux filles.
– Très bien. Ce sont de très beaux enfants, si je puis me permettre Monsieur. Toutes mes félicitations . Et à quand remonte vos dernières relations intimes avec Madame ?
– Enfin James, là vous allez trop loin.
– Je quitterai la maison demain matin si vous le demandez à ce moment mais en attendant, pourriez-vous me répondre. Insistait-il en me tendant un autre verre de whisky.
– Au début de sa dernière grossesse ! Répondais-je en avalant le second verre. J'étais alors très agacé et décidé à lui dire de faire ses bagage dès le lendemain matin.
– Cela fait donc plus de deux ans.
– Presque trois.
– Il vous faut passer à autre chose.
– Et vous James ?
– Moi je porte ce dispositif depuis l'âge de seize ans, fidèle à la règle de la PK compagnie. J'ai deux enfants que je vois très régulièrement, ils vivent avec leur mère, pas très loin d'ici …
– Vous ne m'apprenez rien James. La question est … Comment faites-vous pour tenir …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Sainte vierge
Avec madame c'était de plus en plus difficile. Elle me repoussait. Tout avait commencé par cette réflexion qui glace le sang de tous les maris depuis des siècles …
– Pas ce soir chéri, j'ai la migraine !
Quand un époux entend ça, il sait que ce soir là, ce ne sera pas la folie des grands soirs. Je terminais la soirée par une petite branlette, ça calme mais c'est pas pareil.
Surtout que madame, ma femme je veux dire, elle est canon. Mais voilà ce commentaire, cette excuse était répétée de plus en plus souvent. Imperceptiblement, ça avait dégénéré, la situation s'était aggravée, si je voulais la prendre dans mes bras, le plus naturellement du monde, et bien c'est le plus naturellement du monde qu'elle se dégageait, doucement au début puis avec le temps elle se contentait de me repousser.
Elle ne cherchait même plus à s'expliquer, à s'excuser, à se justifier. Puis …
– Mais qu'est-ce que tu veux encore ?
– Enfin qu'est-ce que je veux encore ? Mais je veux te prendre dans mes bras, te faire un câlin et …
– Et ! Oui … Et … Reprenait-elle en me coupant la parole. Je t'ai déjà donné cinq enfants … Et … Ça ne te suffit pas, toujours pas … Je considère que ma mission conjugale est remplie !
Un jour ça s'était terminé comme ça, je ne l'avais pas vu venir.
Un autre jour …
– Tu devrais mettre un de ces dispositifs de chasteté, ça calme les ardeurs des plus pervers.
Maintenant elle me traitait de pervers ! C'était un comble. J'en pouvais plus. Sur sa lancée elle avait décidé de faire chambre à part. Au début j'ai pas aimé, finalement depuis je dormais mieux. Il vaut mieux en fait dormir seul que de dormir avec sa femme si on n'a pas le droit de la toucher, de la caresser, de l'embrasser et de … lui faire l'amour …
Entre ma femme et moi, il n'y avait plus rien. Même plus la tendresse. Le soir elle, tous les soirs elle se retirait tôt dans sa chambre, elle priait devant un tableau de la vierge Marie, vous savez, cette femme qui enfanta d'un dieu dans une quelconque mythologie. Vous l'avez deviné, je ne suis pas porté vers la religion et si notre mariage était religieux, c'était juste pour faire plaisir à ma femme.
Au début tout se passait si bien, moins d'un an après notre mariage elle me donnait notre premier enfant, un garçon.
Un soir ou j'étais seul à la maison, je me sentais mal. Je repensais à ces moments passés avec ma femme. James mon majordome venait s'assurer que je n'avais besoin de rien.
– Dites moi, James ! Que pensez-vous de cette situation ?
– Je ne vois pas de quoi vous voulez parler Monsieur !
– Allons je vous en prie, s'il y a bien une personne qui sait parfaitement tout ce qui se passe dans cette maison c'est bien vous !
– Certes Monsieur mais …
– Ma femme ! Qu'est ce qui lui arrive ?
– Ma foi, je ne saurais dire.
Je l'embarrassais mais j'avais besoin de parler et j'insistais.
– Et vous, comment voyez vous les choses.
– Moi monsieur …
Il prenait alors une cuillère qui était là à côté de ma tasse de thé et frappait avec sur son pantalon au niveau de son sexe. Il en sortait alors un bruit métallique.
– Ah oui c'est vrai que vous portez un dispositif de chasteté.
– La PK Titanium, complétait-il.
– Et … Là je ne savais pas quoi rajouter.
– C'est un choix monsieur !
– Elle m'a même conseillé un jour d'en porter un.
– Je ne pense pas que c'est pour Monsieur.
– Ah ?
– C'est un dispositif, un choix qui ne convient pas à tout le monde.
– Et en plus je suppose que pour les grosse tailles … Faisais-je remarquer.
– Sur ce point, que Monsieur se rassure, ils ont toutes les tailles. Je pense que dans le cas de Monsieur une taille six. Au bout de quelques années on passe à une taille qui est plus discrète.
– Vous connaissez même ma taille ?
– Comme Monsieur le disait, je sais tout ce qui se passe dans cette maison !
Il m'avait calmé, c'est vrai ça. On y pense pas mais le personnel domestique vous observe, s'il décidait de me trahir, je pense que c'est certainement la personne qui pouvait le plus me nuire, avec ma femme. Heureusement pour moi, il avait été formé dans l'école de la PK, on n'y connaît aucune trahison. Je serai moins sûr au sujet de ma femme.
Quelques jours plus tard. Je retrouvais ma femme au souper.
– Chéri ! Commençait-elle par me dire. Je vais aller directement au but. Nous allons nous séparer.
– Divorcer ? Demandais-je, j'étais presque soulagé.
– Tu es fou, si tu tentes une telle chose je te promets les foudres de l'enfer. NON ! Nous allons nous séparer. J'ai tout prévu, le partage des biens, une rente pour moi, et l'héritage pour chacun de nos enfants.
J'étais sonné ! Soulagé mais sonné.
– Vas y ! je t'écoute. Lui répondais je résigné.
– Je vais rentrer dans un couvant, je remet le reste de ma vie à la vierge sainte mère de dieu.
Elle m'avait assommé. Je ne savais plus quoi répondre.
Il y avait une nurse de grande marque, si j'ose dire. Une nurse anglaise de Liverpool, il paraît que ce sont les meilleures, en tout cas les enfants parleraient un anglais parfait. Un majordome qui m'était totalement dévoué. Il y avait aussi sa famille qui me surveillerait et s'assurerait que je reste fidèle à ma femme.
Le lendemain elle partait. Elle avait revêtu cette tenue qui ressemblait plus à un sac de patate qu'à un vêtement, un voile sur la tête qui ne laissait apparaître que le visage.
J'étais furieux. Elle venait me saluer.
– Tu sais, je te conseille sérieusement de porter un de ces dispositif de chasteté, au début ce n'est pas facile mais par la suite tu te sentiras bien mieux.
J'avais envie de la gifler à cet instant, j'ai vraiment eu l'impression qu'elle se moquait de moi.
Le repas du soir était calme, la nurse s'était occupé des enfants, ils ne semblaient pas traumatisé par ce départ. Pour eux, c'était normal.
La nurse était belle, elle était d'une incroyable douceur avec les enfants mais … Je savais que la regarder de trop près était une mauvaise idée, ça ne m'attirerait que des ennuis. Il y avait la famille de ' Madame ' et la nurse lui était totalement dévouée.
Plus tard, la nuit avançait, j'étais devant la télé, elle était éteinte. James passait, il vérifiait que tout était en ordre dans la maison.
– Vous pouvez disposer James, je n'ai besoin de rien.
Il posait un verre de whisky juste à côté de moi.
– Puis-je conseiller à Monsieur de le boire d'un trait.
– Vous savez que je bois pas James !
– En effet, je le sais mais … Puis-je conseiller à Monsieur de le boire d'un trait.
Son insistance me surprenait et je ne sais pas pourquoi mais je suivais son conseil. Je vous jure, je ne sais pas comment certains peuvent aimer ce genre de liquide. C'est du feu, ça brûle mais c'est vrai que peu après je me sentais plus détendu.
– Elle est partie ! Faisais-je remarquer.
– Cela vous ennuie Monsieur ?
– Bein …
– Quel âge avez vous Monsieur ?
– Je lui répondait, trente trois. Mais pourquoi me posait-il la question, il connaissait ma date de naissance.
– Depuis combien de temps êtes vous mariés Monsieur ?
– Mais enfin James, vous étiez au mariage. Bientôt douze ans …
– Bien ! Combien d'enfants avez-vous Monsieur ?
– Mais vous en avez pour longtemps à me poser des question dont vous connaissez les réponses … Cinq enfants, trois garçons et deux filles.
– Très bien. Ce sont de très beaux enfants, si je puis me permettre Monsieur. Toutes mes félicitations . Et à quand remonte vos dernières relations intimes avec Madame ?
– Enfin James, là vous allez trop loin.
– Je quitterai la maison demain matin si vous le demandez à ce moment mais en attendant, pourriez-vous me répondre. Insistait-il en me tendant un autre verre de whisky.
– Au début de sa dernière grossesse ! Répondais-je en avalant le second verre. J'étais alors très agacé et décidé à lui dire de faire ses bagage dès le lendemain matin.
– Cela fait donc plus de deux ans.
– Presque trois.
– Il vous faut passer à autre chose.
– Et vous James ?
– Moi je porte ce dispositif depuis l'âge de seize ans, fidèle à la règle de la PK compagnie. J'ai deux enfants que je vois très régulièrement, ils vivent avec leur mère, pas très loin d'ici …
– Vous ne m'apprenez rien James. La question est … Comment faites-vous pour tenir …
A suivre
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