Mademoiselle Adeline (2)

Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Mademoiselle Adeline (2)
J'arrivais chez elle, peu avant 18h, elle ouvrit, toute souriante, me fit la bise, m'invitait à rentrer, rien à voir avec son comportement de la veille.
Sa soeur était là, ce qui eut le don de me déstabiliser. Elle était vraiment jolie, le même type mais en fin, j'imaginais déjà que j'allais me retrouver entre les deux, qu'elle aussi allait s'amuser. Je voulais à la fois partir en courant mais que ça se passe.
Mais ce ne fut pas le cas.
Sa soeur partit une vingtaine de minutes plus tard, elle l'accompagna jusqu'à la porte et lorsqu'elle revint, me dit :
- Toujours pas en culotte ?
Je retirais donc mes vêtements et restais en culotte.
Elle parlait de tout et de rien, puis vint dans la conversation :
- Tu t'es imaginé que ma soeur allait jouer avec toi, n'est-ce pas ?
Je restais scotché.
- T'aurais aimé être notre petite salope à tous les deux.
Je me mettais à bander dans sa culotte et elle le vit.
- Intéressant, branle-toi dans ma culotte, je vais filmer ça.
Et je me mis à le faire pendant qu'elle pointait son smartphone sur moi, j'étais debout devant elle, ça n'allait pas venir facilement.
- Tu es donc revenu parce que tu aimes être ma petite salope ?
- Oui, Madame Adeline.
- Je préfère Mademoiselle Adeline, tout compte fait.
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- Et là, tu te branles devant moi dans ma petite culotte parce que t'es ma petite salope ?
- Exactement, Mademoiselle Adeline.
- Tu t'imaginais être dominé par ma soeur et moi il y a quelques minutes de cela.
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- T'aurais aimé qu'elle te mette des objets dans le cul ?
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- C'est moi qui vais jouer avec ton cul, ta bite et ta bouche, à genoux.
Je me mis à genoux devant elle.
- Maintenant accélère, parce que c'est moi qui décide ce que tu fais avec ta bite.
J'accélérais.
- Regarde-moi dans les yeux.
Je la regardais dans les yeux.
- STOP.
Et je m'arrêtais.
- Suis-moi.
On arrivait dans sa cave, vraiment bien éclairée, du carrelage, on aurait pu manger par terre tellement c'était propre.
Elle avait une petite partie sale de sport, elle me fit me mettre sur le banc, attachant mes poignets et mes chevilles, mes fesses évidemment en l'air.
- Tu aimerais te terminer, n'est-ce pas ?
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- Que je te mette ta cage de chasteté.
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- Eh bien, non.
Elle partit, revint, peut-être 5 à 10 minutes plus tard, avec des vêtements de sport et se mit à faire des squats, de la corde à sauter, je débandais, rebandais à la regarder...
- J'ai chaud. Dit-elle.
Elle but dans sa gourde, passa sa main le long de mon dos, me mit une petite claque sur les fesses.
Écartait mes fesses.
- Oh, mais il semblerait que tu les aies bien lavés !
J'entendis le bruit du lubrifiant, qu'elle glissait son doigt contre mon anus et y rentrait sans trop de difficulté.
Nettoyons l'intérieur.
Très vite, elle me poussait une poire à lavement dans le cul, le remplissant, elle me faisait me vider dans un seau, après quelques fois, elle me lavait le cul avec un gant de toilette et du savon.
Dois-je préciser que je bandais vraiment dur ?
- Tu veux que je t'encule ?
- Oui, Mademoiselle Adeline !
- Très bien fourre-tout, tu es bien élevé.
Elle me détachait, je la suivais, nous montions dans sa chambre.
Elle avait tout préparé pour m'attacher au lit, je me retrouvais très vite attaché sur le lit, bandant comme un âne.
Elle me mit le collier, laissant sa chaîne froide sur mon dos.
- Mais avant, j'aimerais que tu me demandes de te donner une punition dont tu te souviendras.
Elle dut voir mon air étonné.
- J'ai juste envie de te punir et de te faire pleurer, tu veux peut-être que j'appelle ma soeur pour qu'elle regarde ?
- Non, Madame Adeline.
- Très bien.
- Punis-moi stp.
- Pourquoi je te punirais ?
- Parce que je suis petite salope et que je suis là pour te divertir.
Elle me présentait plusieurs objets, cravache, martinet, petit fouet... Et tout allait contre mes fesses, je tentais de me retenir, mais elle obtint ce qu'elle voulait, des fesses rouges et des larmes.
- C'était compliqué ?
- Non, Mademoiselle Adeline.
- Je ne te prendrai pas maintenant, je vais plutôt te mettre le plug, tu vas te rhabiller.
Frustration intense, je n'arrivais plus à arrêter de bander et elle m'arrêtait, elle installait assez vite le plug dans mon cul.
Alors que j'étais toujours en position.
- Allo ? Si tu veux, reviens, il t'a trouvée sympathique !
- Ma soeur va revenir, contiens-toi !
Elle me détachait, je me rhabillais, elle mit sa main sur mon sexe à travers mon pantalon qu'elle serrait.
- Ouvre la bouche.
J'ouvris. Elle crachait dedans.
- Ne crache pas dans ton pantalon fourre-tout.
Dit-elle faisant des petits va-et-vient.
Sa soeur arrivait peu de temps après, j'étais coincé entre mon excitation et le fait de ne rien montrer. Parfois, Mademoiselle Adeline faisait des petites allusions. Lorsque sa soeur s'absenta pour aller aux toilettes, elle n'hésitait pas à jouer avec mon sexe à travers mon pantalon... La soirée était compliquée.
Elle raccompagnait sa soeur, lorsqu'elle revint, je m'étais déshabillé et j'attendais à genoux.
- Je n'ai plus envie de t'enculer, attends- moi ici.
Elle revint avec un sac, m'emmena à la toilette et me fit uriner, elle m'essuya et me fit descendre dans la cave, elle attachais mes mains dans mon dos et mes chevilles ensemble, me remit le collier et un baillon.
J'étais couché sur le sol, elle était par-dessus moi, frottait son pantalon contre ma verge comme si elle ne le faisait pas exprès.
- Reste-là, si je t'oublie, ne fais pas de bêtises.
En se retirant, elle approchait son visage de mon sexe et me branlait, lorsqu'elle sentit que j'étais à deux doigts de venir, s'arrêtait, fit un bisou dessus et se retirait, éteignant la lumière.
Je restais ainsi un long moment, très long même. Elle revint, me détachais, elle était en robe de nuit, pas sexy, simple. Elle me tendit un petit sac et me dit de ne l'ouvrir que chez moi.
Et me fis partir, le plug toujours dans le cul.
Une fois chez moi, j'ouvris le sac.
une lettre :
"Voici quelques objets, tu commencerais par mettre la cage de chasteté, rassure-toi, tu as la clé, je t'ai mis un gode pour que tu t'encules, bâillon, et collier avec laisse, et même une petite tenue, autant te dire que j'attends des photos."
Je fis tout pour me faire débander et mis la cage de chasteté tant bien que mal, lorsque je sortis la tenue, c'était un bodystocking avec porte-jatte et l'entrejambe ouvert de couleur violette, je mis le collier, la laisse et le baillon et lui envoyais un snap.
Je reçus une floppée de photos de sa part et de vidéos où elle se faisait du bien.
- Je veux te voir t'enculer maintenant !
Pas de lubrifiant, je lui envoyais que je lubrifiais avec ma bouche, je finis par lui envoyer que je faisais ce qu'elle demandait.
- Maintenant, va dormir comme ça, tu peux retirer le baillon et le collier, interdiction d'aller à la toilette pour quoi que ce soit, si c'est trop dur, tu me demandes l'autorisation et demain tu porteras ta tenue sous tes vêtements puis viendra me voir, compris ?
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- Tu es une bonne petite salope, à demain.
Sa soeur était là, ce qui eut le don de me déstabiliser. Elle était vraiment jolie, le même type mais en fin, j'imaginais déjà que j'allais me retrouver entre les deux, qu'elle aussi allait s'amuser. Je voulais à la fois partir en courant mais que ça se passe.
Mais ce ne fut pas le cas.
Sa soeur partit une vingtaine de minutes plus tard, elle l'accompagna jusqu'à la porte et lorsqu'elle revint, me dit :
- Toujours pas en culotte ?
Je retirais donc mes vêtements et restais en culotte.
Elle parlait de tout et de rien, puis vint dans la conversation :
- Tu t'es imaginé que ma soeur allait jouer avec toi, n'est-ce pas ?
Je restais scotché.
- T'aurais aimé être notre petite salope à tous les deux.
Je me mettais à bander dans sa culotte et elle le vit.
- Intéressant, branle-toi dans ma culotte, je vais filmer ça.
Et je me mis à le faire pendant qu'elle pointait son smartphone sur moi, j'étais debout devant elle, ça n'allait pas venir facilement.
- Tu es donc revenu parce que tu aimes être ma petite salope ?
- Oui, Madame Adeline.
- Je préfère Mademoiselle Adeline, tout compte fait.
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- Et là, tu te branles devant moi dans ma petite culotte parce que t'es ma petite salope ?
- Exactement, Mademoiselle Adeline.
- Tu t'imaginais être dominé par ma soeur et moi il y a quelques minutes de cela.
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- T'aurais aimé qu'elle te mette des objets dans le cul ?
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- C'est moi qui vais jouer avec ton cul, ta bite et ta bouche, à genoux.
Je me mis à genoux devant elle.
- Maintenant accélère, parce que c'est moi qui décide ce que tu fais avec ta bite.
J'accélérais.
- Regarde-moi dans les yeux.
Je la regardais dans les yeux.
- STOP.
Et je m'arrêtais.
- Suis-moi.
On arrivait dans sa cave, vraiment bien éclairée, du carrelage, on aurait pu manger par terre tellement c'était propre.
Elle avait une petite partie sale de sport, elle me fit me mettre sur le banc, attachant mes poignets et mes chevilles, mes fesses évidemment en l'air.
- Tu aimerais te terminer, n'est-ce pas ?
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- Que je te mette ta cage de chasteté.
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- Eh bien, non.
Elle partit, revint, peut-être 5 à 10 minutes plus tard, avec des vêtements de sport et se mit à faire des squats, de la corde à sauter, je débandais, rebandais à la regarder...
- J'ai chaud. Dit-elle.
Elle but dans sa gourde, passa sa main le long de mon dos, me mit une petite claque sur les fesses.
Écartait mes fesses.
- Oh, mais il semblerait que tu les aies bien lavés !
J'entendis le bruit du lubrifiant, qu'elle glissait son doigt contre mon anus et y rentrait sans trop de difficulté.
Nettoyons l'intérieur.
Très vite, elle me poussait une poire à lavement dans le cul, le remplissant, elle me faisait me vider dans un seau, après quelques fois, elle me lavait le cul avec un gant de toilette et du savon.
Dois-je préciser que je bandais vraiment dur ?
- Tu veux que je t'encule ?
- Oui, Mademoiselle Adeline !
- Très bien fourre-tout, tu es bien élevé.
Elle me détachait, je la suivais, nous montions dans sa chambre.
Elle avait tout préparé pour m'attacher au lit, je me retrouvais très vite attaché sur le lit, bandant comme un âne.
Elle me mit le collier, laissant sa chaîne froide sur mon dos.
- Mais avant, j'aimerais que tu me demandes de te donner une punition dont tu te souviendras.
Elle dut voir mon air étonné.
- J'ai juste envie de te punir et de te faire pleurer, tu veux peut-être que j'appelle ma soeur pour qu'elle regarde ?
- Non, Madame Adeline.
- Très bien.
- Punis-moi stp.
- Pourquoi je te punirais ?
- Parce que je suis petite salope et que je suis là pour te divertir.
Elle me présentait plusieurs objets, cravache, martinet, petit fouet... Et tout allait contre mes fesses, je tentais de me retenir, mais elle obtint ce qu'elle voulait, des fesses rouges et des larmes.
- C'était compliqué ?
- Non, Mademoiselle Adeline.
- Je ne te prendrai pas maintenant, je vais plutôt te mettre le plug, tu vas te rhabiller.
Frustration intense, je n'arrivais plus à arrêter de bander et elle m'arrêtait, elle installait assez vite le plug dans mon cul.
Alors que j'étais toujours en position.
- Allo ? Si tu veux, reviens, il t'a trouvée sympathique !
- Ma soeur va revenir, contiens-toi !
Elle me détachait, je me rhabillais, elle mit sa main sur mon sexe à travers mon pantalon qu'elle serrait.
- Ouvre la bouche.
J'ouvris. Elle crachait dedans.
- Ne crache pas dans ton pantalon fourre-tout.
Dit-elle faisant des petits va-et-vient.
Sa soeur arrivait peu de temps après, j'étais coincé entre mon excitation et le fait de ne rien montrer. Parfois, Mademoiselle Adeline faisait des petites allusions. Lorsque sa soeur s'absenta pour aller aux toilettes, elle n'hésitait pas à jouer avec mon sexe à travers mon pantalon... La soirée était compliquée.
Elle raccompagnait sa soeur, lorsqu'elle revint, je m'étais déshabillé et j'attendais à genoux.
- Je n'ai plus envie de t'enculer, attends- moi ici.
Elle revint avec un sac, m'emmena à la toilette et me fit uriner, elle m'essuya et me fit descendre dans la cave, elle attachais mes mains dans mon dos et mes chevilles ensemble, me remit le collier et un baillon.
J'étais couché sur le sol, elle était par-dessus moi, frottait son pantalon contre ma verge comme si elle ne le faisait pas exprès.
- Reste-là, si je t'oublie, ne fais pas de bêtises.
En se retirant, elle approchait son visage de mon sexe et me branlait, lorsqu'elle sentit que j'étais à deux doigts de venir, s'arrêtait, fit un bisou dessus et se retirait, éteignant la lumière.
Je restais ainsi un long moment, très long même. Elle revint, me détachais, elle était en robe de nuit, pas sexy, simple. Elle me tendit un petit sac et me dit de ne l'ouvrir que chez moi.
Et me fis partir, le plug toujours dans le cul.
Une fois chez moi, j'ouvris le sac.
une lettre :
"Voici quelques objets, tu commencerais par mettre la cage de chasteté, rassure-toi, tu as la clé, je t'ai mis un gode pour que tu t'encules, bâillon, et collier avec laisse, et même une petite tenue, autant te dire que j'attends des photos."
Je fis tout pour me faire débander et mis la cage de chasteté tant bien que mal, lorsque je sortis la tenue, c'était un bodystocking avec porte-jatte et l'entrejambe ouvert de couleur violette, je mis le collier, la laisse et le baillon et lui envoyais un snap.
Je reçus une floppée de photos de sa part et de vidéos où elle se faisait du bien.
- Je veux te voir t'enculer maintenant !
Pas de lubrifiant, je lui envoyais que je lubrifiais avec ma bouche, je finis par lui envoyer que je faisais ce qu'elle demandait.
- Maintenant, va dormir comme ça, tu peux retirer le baillon et le collier, interdiction d'aller à la toilette pour quoi que ce soit, si c'est trop dur, tu me demandes l'autorisation et demain tu porteras ta tenue sous tes vêtements puis viendra me voir, compris ?
- Oui, Mademoiselle Adeline.
- Tu es une bonne petite salope, à demain.
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