Mario, le quinquagénaire Portugais 3 - histoire érotique

Le chantier de rénovation du Conseil Général de ma ville dure depuis une dizaine de jours.
Je suis débordé de travail, sexuellement aussi.
Corinne, comblée de sexe pervers, à mon insu, me réclame plus de tendresse, et j'adore ça.
Si j'avais pu me douter qu'elle me trompait, elle aussi, j'aurais peut-être fait plus attention à mon couple, même si j'y prend goût aujourd'hui.
J'adore jouir avec elle, mon plaisir est décuplé à cause des sodomies que j'ai vécu dans la journée.
Elle aussi, prend plus de plaisir quand je l'encule, je la sens hypersensible analement, j'en connais la raison à présent.
Chris lui cassait le cul à fond, peu de temps avant moi, la sensibilisant davantage.
Ce chantier va durer presque 6 mois, la ville est exigeante sur la qualité du travail à effectuer.
Cela m'arrange au niveau trajet, je n'ai plus besoin de prendre un bus pour aller bosser à 12 km.
Mais je dois assumer ma relation avec Dimitri, très demandeur, et Mario qui lui me sollicite un peu moins analement.
Quand aux autres roumains, je les soulage en fin de semaine, c'est plus simple pour moi.
Il y a quelques écarts, bien sûr, quelques fellations dans des recoins, parfois des sodomies, mais cela m'arrive très peu.
Comme Mario sait que Dimitri m'encule tous les jours, parfois, il se joint à nous.
La première fois, c'était donc au bout de dix jours. Ce matin là, il me dit qu'il préfère attendre le soir, pour m'enculer, au lieu de profiter de mes talents buccaux.
En effet, comme je rentrai manger chez moi, je pratiquais un lavement anal avant de retourner au travail, j'ai horreur d'être sale, quand je me fait prendre.
J'ai donc imposé l'interdiction des sodomies matinales, par souci de propreté.
"Mais Mario ! Tu oublies Dimitri ! Tu veux me baiser avant ou après lui ?".
"Je lui dirai de nous rejoindre dans le local ce soir ! Aucun souci !".
"Super !".
Il me dépose un baiser sur le front, et me dit:
"C'est pratique d'avoir un petit jeune comme toi ! Tu ne dis jamais non ! Je t'adore ! Bon, au boulot !".
Avant midi, j'ai dû sucer Piotr dans un placard, en moins de dix minutes.
J'ai eu droit à une excellente mise en bouche au sperme avant le repas !
Le travail de l'après-midi se passe sans encombre, puis vient l'heure du départ.
Je commence mon effeuillage, pour changer de tenue, dans notre petit local.
Mario s'approche et me dirige vers sa queue épaisse.
Je prends de plus en plus de plaisir, à le sucer.
"Enlève aussi ton slip ! Dimitri va arriver ! Tu seras prêt !".
Je reste planté sur sa bite, pendant que je me sépare de mon vêtement.
Je glousse en me pénétrant la gorge.
"Mmmmmmm ! Grllllll, mmmmm, mmmmmmmmmm !".
"Ca t'excite de te faire enculer par deux grosses bites, je suis sûr !".
"Mmmmm ! Oui ! J'aime faire jouir des hommes comme vous !".
"Eh ben ! Si ta copine te voyais ! Elle te verrait plus pareil !".
"Mmmmmmmmm ! Il ne faut pas qu'elle le saches ! Mmmmmmmmmm ! Et toi, si ta femme te voyait en train de me baiser ?".
"Elle ne le saura pas non plus ! C'est notre secret ! Quand le chantier sera fini, il faudra s'arranger pour se voir après le boulot, ça va me manquer !".
"D'accord !".
La porte résonne, c'est Dimitri qui frappe discrètement.
"Entres !".
Mon amant roumain arrive dans la pièce, il me voit nu, à genoux, avec la bouche sur la bite du Portugais.
"Ferme à clef ! On sera plus tranquille !".
Il tourne la clef, en disant :
"Hummm ! Petit Pascal, Tu es prêt pour Dimitri, déjà !".
Il dégage le haut d'un tas de parquet à clipser. Mario comprend son intention.
Il me dirige vers l'édifice et je me couche dessus, sans quitter sa grosse bite.
La langue de Dimitri me fouille l'anus longuement, mon œillet s'ouvre peu à peu, lubrifié de sa salive.
"Humm ! J'adore ton cul, Pascal, toujours propre ! C'est bon !".
"Ca, c'est vrai ! C'est agréable !". Ajoute Mario.
Je suis obligé de me relever, en prenant appui sur le ventre de Mario, quand la longue et large queue de Dimitri, se fraie un chemin, dans mon anus.
"Arhhhhhhhhhh ! Oufffffffffffff ! Oh, doucement ! Dimitri !".
Mario aime ce qu'il voit, par dessus mes fesses.
"Putain, c'est excitant de voir ta bite, dans son petit cul de pédé !".
"Oui, moi aussi, j'aime !".
"Allez vas-y, montres-moi comment tu aimes le baiser !".
Dimitri ne se fait pas prier, et me donne ma première claque sur les fesses en attaquant ses premiers assauts avec violence.
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Dimitri ! Tu me casses le cul ! Arhhhhhhhhhh !".
"Hummm, Très bon ! Tu aimes ça aussi ! Pas vrai ? Pascal salope !".
"Arhhhhhhhhhh ! Oui !".
Mario pose ses deux mains sur ma tête et me remplit la bouche avec sa bite, ses mouvements dans ma gorge deviennent plus amples et profonds.
"Putain Pascal, c'est excitant de te baiser comme ça !".
Je connais deux orgasmes successifs grâce aux coups de butoir de mon amant roumain.
"Mario ! Viens ! Encules la salope, toi aussi !".
"Hummm, avec plaisir, je suis excité comme un dingue !".
Je suis pris d'une sensation d'écartèlement extrême, quand il me plante sa grosse bite dans le cul.
Son sexe est moins long que Dimitri, mais bien plus large !
Je suffoque de plaisir sur la queue du roumain en encaissant les assauts déchainés du Portugais.
Ma bouche dégouline de salive.
Mario me défonce sans retenue, en prenant appui contre le haut de ma rondelle anale et faisant pivoter sa bite en moi.
Il sollicite ma prostate, ma queue bande de plus en plus fermement.
Je lâche la queue de Dimitri en criant que je joui du cul et de la bite, en même temps que j'éjacule ma semence contre le tas de parquet.
Content de son méfait, Mario propose à Dimitri de le remplacer.
Il me défonce à son tour, puis après une intense et longue sodomie, il sort de mon cul et se déverse sur mon dos, en se branlant énergiquement.
Il me couvre de foutre en râlant son énorme plaisir.
Il recule pour s'assoir sur une chaise derrière lui.
"C'est toujours très bon, Pascal ! J'ai beaucoup plaisir, chaque fois ! Merci !".
Il me faut attendre que Mario passe derrière moi, pour lui répondre:
"Arhhhhhhhhhh ! Moi aussi ! Dimitri, j'adore baiser... Arhhhhhhhhhh ! Avec toi !".
"Tu aimes aussi grosse bite de Mario ! Je crois !".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiii !".
"Oh putain, c'est trop bon Pascal ! Quand je pense au temps qu'on a perdu tous les deux !".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Tu te rattrapes, je vois ! Arhhhhhhhhhh !".
"Arhhhhhhhhhh ! Je vais jouir moi aussi ! J'aime trop t'enculer Pascal ! Arhhhhhhhhhh !".
Il me plante d'un sec et profond, ses effluves me remplissent le fond de l'anus.
Je redescend lentement de mon dernier orgasme anal, je ne les ai pas compté, tant ils étaient nombreux.
Comme Dimitri, il prend place sur une autre chaise et contemple mon anus béant et dégoutant de foutre.
"Il est beau comme ça, tu trouve pas Dimitri ?".
"Très beau, il a cul parfait !".
"On a de la chance, alors !".
"Beaucoup ! J'aime pédé comme lui !".
"Moi aussi !".
Je reste ainsi pour récupérer de leurs saillies destructrices, pendant que Dimitri range sa bite et va rejoindre ses potes.
Mario se rhabille, puis me demande:
"Ca va, mon petit Pascal ?".
Etonnant comme tous mes amants me donnaient, naturellement, ce petit surnom.
"Vous m'avez détruit ! Je suis mort !".
"Tu veux que je t'aide ?".
"Oui, tu peux m'essuyer le cul et le dos, s'il te plait ?".
"Bien sur !".
Il me nettoie avec tendresse, il me dépose plusieurs baisers sur les fesses en m'essuyant.
Je me redresse et me rhabille, il m'attend, puis m'enlace et me dit:
"Merci beaucoup ! Mon petit ! A demain matin ! Repose-toi ! Tu auras ton petit déjeuner en arrivant !".
Il a tenu sa promesse, j'ai eu ma dose de sperme chaud et poivré avant de travailler, c'est nourrissant et motivant !
En rentrant après notre trio, Corinne ne m'a pas sollicité, elle aussi, avait connu les outrages épuisant de son amant.
Mais tout ça, je ne le saurai que bien plus tard.
Toutefois, nous étions pris tous les deux de flatulences jusqu'au soir.
L'évidence aurait du me sauter aux yeux ! Quel idiot !