Mattéo arrive à Rome (3)
Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 57 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de EricDeFrance ont reçu un total de 123 753 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 374 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Mattéo arrive à Rome (3)
Mattéo arrive à Rome - 3ème partie
Momentanément repu, Mattéo s’était donc endormi, dans la cabine du sauna où le jeune allemand l’avait laissé après leur plan très chaud.
Repu, mais aussi satisfait, détendu, content de lui, comme s’il venait d’accomplir une performance.
A ses yeux, c’en était une finalement : il n’avait pas touché un mec depuis six mois, depuis Dimitri, et, plus le temps passait, plus il ressentait comme un blocage, en tout cas une forte appréhension, il avait même peur de ne plus savoir faire...
Ce plan avec ce jeune touriste blond l’avait donc pleinement rassuré.
Il n’avait pas calculé, tout était revenu tout seul : l’attirance, l’envie, l’érection, la maîtrise aussi, puisqu’il avait réussi à différer une éjaculation que, par deux fois, il avait sentie venir, et, finalement, il avait joui en même temps que son partenaire, au bout du plaisir et de l’excitation.
Avoir été actif lui avait aussi procuré grande satisfaction. Ça faisait longtemps qu’il ne l’avait pas été, c’est sûr qu’il avait en lui un côté “salope”, et il l’assumait, mais il était content de se prouver qu’il n’avait pas que ce côté, que lui aussi pouvait être un mâle actif et dominant.
Et il avait la sensation d’avoir bien baisé et bien dominé ce jeune allemand, qui lui avait beaucoup plu et l’avait beaucoup excité. Jusqu’à cette jouissance qui lui avait procuré un plaisir très fort, comme paroxystique.
Et après un moment d’une telle intensité, il avait senti son corps tout entier se relâcher, comme apaisé. Repu.
Il s’était donc endormi, et comme il avait laissé la porte de sa cabine ouverte, il ne se rendait pas compte du véritable défilé que son corps allongé était en train de susciter.
Il faut dire qu’il était quand même très beau gosse : une belle gueule, atypique avec ses longs cheveux bouclés, un corps parfait, athlétique et musclé, un torse imberbe et particulièrement bien proportionné, avec deux beaux tétons, assez volumineux.
Et un sexe XXL, qui était tout juste dissimulé sous la serviette qu’il avait simplement posée dessus, et que quelques indélicats, qui s’approchaient jusqu’à lui, venaient retirer pour dévoiler et reluquer l’engin qui, même au repos (tout relatif), était déjà imposant.
Quelques-uns (une majorité en fait) se contentaient de le mater quelques instants depuis le seuil de la cabine, avant de poursuivre leur chemin, d’autres rentraient pour venir mater de plus près, mais sans toucher, une minorité n’hésitait pas à mettre son sexe à l’air, voire à le toucher, ou à toucher sa poitrine.
Tout cela, Mattéo le percevait vaguement dans ce sommeil léger dans lequel il s’était plongé, sans sombrer complètement.
A un moment deux hommes, de 45-50 ans, rentrèrent en se suivant dans la cabine, bien décidés à passer un bon moment avec ce jeune qui semblait s’offrir au premier venu un peu entreprenant.
Manifestement ils se connaissaient, et chassaient de concert. Ils semblaient se ressembler aussi, on aurait dit des jumeaux, mais l’un en blond, l’autre en brun. Sinon, le même corps, hyper musclé, bodybuildé même, et le visage, buriné par les rides, le soleil et les UV.
De façon coordonnée, ils se mirent du côté disponible de la cabine, le matelas étant collé au mur. Sans se soucier de l’état encore inconscient de Mattéo, ils entreprirent de s’occuper de son corps. Comme s’il était à leur disposition.
Le blond s’était positionné à hauteur du sexe, l’autre du visage. Tous deux otèrent leur serviette, et dégagèrent leur membre, pas encore totalement en érection, mais pas complètement au repos. Là aussi, et tout aussi curieusement, leur sexe se ressemblait : lourd, épais, puissant.
Le blond approcha le sien de la bouche de Mattéo et le fit aller autour de ses lèvres, qui finirent par s’entrouvrir, ce qui permit au membre de s’introduire.
Dans le même temps, le brun avait enlevé la serviette posée sur l’entrejambes de Mattéo, mit ainsi son sexe à l’air, et commença à le branler, ce qui le fit durcir.
Le jeune sportif sentit monter en lui le désir sexuel et se laissa aller.
La bouche ouverte, il laissait aller la bite du blond. Jamais il n’en avait sucé une aussi grosse ; elle était tellement épaisse qu’elle remplissait toute sa bouche et lui faisait mal à la machoire ; elle était tellement longue qu’il avait l’impression de ne pouvoir l’avaler qu’à moitié.
Il n’avait jamais non plus sucé un mec aussi âgé, il réalisait en fait que le plus vieux mec avec qui il avait couché c’était... Dimitri, avec ses 36 ans. Les autres, c’était des gars, en gros, de son âge, un peu plus, un peu moins.
Mais il était attiré par ces hommes, par cette forme de beauté, par ce genre de corps, par la façon dont ils l’avaient abordé.
Pendant que ce beau blond s’occupait de sa bouche, le brun s’occupait de son cul, accessoirement de sa bite, qu’il sentait bien dressée, mais essentiellement de son cul, qu’il avait manifestement envie de posséder.
Mattéo, très excité par la situation, se laissait totalement faire. Il aimait ça et s’il était venu au sauna c’était aussi pour vivre de tels moments. D’abus consentis.
Pendant qu’il se régalait de la bite du blond, qu’il avait un peu de mal à encaisser entièrement, il sentait la langue du brun lui lécher l’orifice anal. Pour son plus grand plaisir. Il aimait ça, et, en fait, dans sa vie, pas grand monde le lui avait fait. Il aimait aussi la délicatesse, paradoxale, de cet homme qui ne lui avait pas demandé son accord, mais savait en même temps lui procurer du plaisir et lui faire ce qu’il aimait.
Pour que ce soit plus clair il leur dit (en italien) :
“ je suis à vous, faites de moi ce que vous voulez... je peux vous donner ma bouche et mon cul, mais fermez la porte... s’il vous plaît “.
Le brun qui, manifestement, comprenait l’italien (il l’était sans doute) alla fermer la porte, coulissante, et revint s’occuper du cul de Mattéo, qui avait relevé ses jambes et était prêt à se donner à ces hommes, entreprenants, mais également prévenants. De toute façon eux comme lui étaient là pour ça. Pour prendre et donner du plaisir.
Mattéo, allongé sur le dos, les jambes écartées, leur offrit ainsi son corps. Le brun avait continué un peu son anulingus, avant de se relever, de se mettre à genoux à hauteur de l’entrejambes de Mattéo, sa bite dressée au contact de son fessier relevé.
Le blond aussi s’était mis à genoux à l’arrière de sa tête, basculée en arrière, lui offrant sa bite que Mattéo avait reprise en bouche.
Le brun commença à le doigter, ce qui fit gémir Mattéo, la bouche ouverte qui continuait à encaisser la bite du blond.
Mattéo savait ce qui allait se passer, et il y était prêt. Il se disait que jamais son cul n’avait encaissé de telles bites, et il appréhendait un peu. En même temps il en avait très envie.
De toute façon il n’avait plus le choix. Il venait de dire à ces hommes que son cul était à leur dispo, il ne pouvait pas se dérober.
Il s’efforça de se mettre en mode “salope”. Il se dit qu’il pouvait commander son cerveau, qui pouvait commander son corps. Il sentit celui-ci se relâcher et commanda à son cul de s’ouvrir, il eut instantanément l’impression que c’était ce qui se passait. Il se sentait ouvert, prêt à encaisser les bites de ces deux hommes.
Ça tombait bien, c’est à ce moment là que le brun remplaça ses doigts par sa bite. Et l’enfonça. Sans ménagement. Mais Mattéo encaissa sans problème. Et très vite il prit un pied d’enfer.
Ce fut en effet le début d’une longue chevauchée. Dans toutes les positions. Le brun le prit d’abord dans sa position initiale, allongé sur le dos, les jambes écartées et relevées, la croupe ouverte.
En même temps il continuait à sucer et bouffer la queue du blond qui avec ses mains caressait le reste de son corps, et notamment son entrejambes, qu’il maintenait écarté, ce qui facilitait le coït de son acolyte.
Mattéo se laissait totalement aller, il ne ressentait aucune douleur, ce qui l’étonnait quand même, mais que du plaisir. Le plaisir du sexe viril entre mecs. L’impudeur totale de la baise avec des inconnus, à qui il se donnait totalement, mais dont il ne savait rien, dont il ne saurait jamais rien, et qu’il ne reverrait jamais. Le pied, quoi.
Il voyait aussi que ces deux hommes prenaient leur pied et étaient manifestement très excités par son corps.
A un moment, quand il fut revenu dans la position initiale, les deux hommes changèrent de place, et ce fut le blond qui l’encula. Ce fut encore meilleur. Cela venait peut-être de ce qu’il lui avait davantage relevé les jambes. Il faut dire qu’en même temps le brun avait positionné son entrejambes au niveau de sa bouche, ce qui lui permettait de lui lécher les boules et d’admirer sa bite dressée, qu’il engloutit également et suça avec gourmandise.
Les deux hommes n’en pouvaient plus. Le brun le reprit, cette fois par derrière alors qu’il était sur le ventre, le fessier relevé, et il branla le blond qui s’était allongé à côté de lui. A un moment le brun se retira, se finit en se touchant, et éjacula sur ses fesses et le bas de son dos en poussant des cris rauques et puissants.
Le brun se décala et s’essuya, avant de laisser la place au blond qui l’encula à nouveau, pour se finir.
Ça dura un petit moment quand même, il prit son temps, pour le plus grand bonheur de Mattéo qui encaissait ses coups de boutoir en gémissant.
Il n’avait pas vu que le brun avait quitté la pièce, pour aller prendre une douche, et qu’il était sorti sans refermer la porte.
Mattéo était donc seul avec le blond qui l’enculait, mais au vu et au su de tout le monde, d’autant que les deux hommes rythmaient leur baise effrénée de bruits divers, particulièrement sonores : des cris rauques et graves de la part de l’enculeur, des gémissements aigus et continus de la part de l’enculé.
Le blond finit par cracher toute la sauce qui s’était accumulée en lui depuis son entrée dans cette cabine. Il se retira brutalement de l’orifice de Mattéo, qui, là, eut mal, et, après à peine quelques mouvements de va-et-vient, éjacula puissamment et inonda le fessier et le bas du dos du jeune homme, encore souillé du sperme du brun.
Mattéo n’avait pas joui, et, en une fraction de seconde, son cerveau se déconnecta du mode “salope”. Le blond remit sa serviette autour de sa taille, puis, sans un mot, sans un regard, quitta la pièce.
Un peu dépité, Mattéo lui aussi reprit sa serviette, qu’il ne prit pas la peine de nouer autour de sa taille, et c’est totalement à poil qu’il fendit la foule de mecs qui s’étaient agglutinés à côté de sa cabine, et qui le reluquaient voire pour certains le touchaient quand il passait à proximité.
Il s’en foutait, il avait surtout envie d’une bonne douche, bien chaude, et avait même besoin de se nettoyer, y compris à l’intérieur de lui.
Pendant ce temps, un beau black, jeune, athlétique, imberbe, plutôt timide, qui l’avait repéré depuis un moment, et qui était marri de le voir ou de l’imaginer se faire baiser dans tous les sens par ces deux vieux, l’avait suivi jusqu’à la douche. Il était resté dehors, et attendait.
Patiemment.
A suivre…
Momentanément repu, Mattéo s’était donc endormi, dans la cabine du sauna où le jeune allemand l’avait laissé après leur plan très chaud.
Repu, mais aussi satisfait, détendu, content de lui, comme s’il venait d’accomplir une performance.
A ses yeux, c’en était une finalement : il n’avait pas touché un mec depuis six mois, depuis Dimitri, et, plus le temps passait, plus il ressentait comme un blocage, en tout cas une forte appréhension, il avait même peur de ne plus savoir faire...
Ce plan avec ce jeune touriste blond l’avait donc pleinement rassuré.
Il n’avait pas calculé, tout était revenu tout seul : l’attirance, l’envie, l’érection, la maîtrise aussi, puisqu’il avait réussi à différer une éjaculation que, par deux fois, il avait sentie venir, et, finalement, il avait joui en même temps que son partenaire, au bout du plaisir et de l’excitation.
Avoir été actif lui avait aussi procuré grande satisfaction. Ça faisait longtemps qu’il ne l’avait pas été, c’est sûr qu’il avait en lui un côté “salope”, et il l’assumait, mais il était content de se prouver qu’il n’avait pas que ce côté, que lui aussi pouvait être un mâle actif et dominant.
Et il avait la sensation d’avoir bien baisé et bien dominé ce jeune allemand, qui lui avait beaucoup plu et l’avait beaucoup excité. Jusqu’à cette jouissance qui lui avait procuré un plaisir très fort, comme paroxystique.
Et après un moment d’une telle intensité, il avait senti son corps tout entier se relâcher, comme apaisé. Repu.
Il s’était donc endormi, et comme il avait laissé la porte de sa cabine ouverte, il ne se rendait pas compte du véritable défilé que son corps allongé était en train de susciter.
Il faut dire qu’il était quand même très beau gosse : une belle gueule, atypique avec ses longs cheveux bouclés, un corps parfait, athlétique et musclé, un torse imberbe et particulièrement bien proportionné, avec deux beaux tétons, assez volumineux.
Et un sexe XXL, qui était tout juste dissimulé sous la serviette qu’il avait simplement posée dessus, et que quelques indélicats, qui s’approchaient jusqu’à lui, venaient retirer pour dévoiler et reluquer l’engin qui, même au repos (tout relatif), était déjà imposant.
Quelques-uns (une majorité en fait) se contentaient de le mater quelques instants depuis le seuil de la cabine, avant de poursuivre leur chemin, d’autres rentraient pour venir mater de plus près, mais sans toucher, une minorité n’hésitait pas à mettre son sexe à l’air, voire à le toucher, ou à toucher sa poitrine.
Tout cela, Mattéo le percevait vaguement dans ce sommeil léger dans lequel il s’était plongé, sans sombrer complètement.
A un moment deux hommes, de 45-50 ans, rentrèrent en se suivant dans la cabine, bien décidés à passer un bon moment avec ce jeune qui semblait s’offrir au premier venu un peu entreprenant.
Manifestement ils se connaissaient, et chassaient de concert. Ils semblaient se ressembler aussi, on aurait dit des jumeaux, mais l’un en blond, l’autre en brun. Sinon, le même corps, hyper musclé, bodybuildé même, et le visage, buriné par les rides, le soleil et les UV.
De façon coordonnée, ils se mirent du côté disponible de la cabine, le matelas étant collé au mur. Sans se soucier de l’état encore inconscient de Mattéo, ils entreprirent de s’occuper de son corps. Comme s’il était à leur disposition.
Le blond s’était positionné à hauteur du sexe, l’autre du visage. Tous deux otèrent leur serviette, et dégagèrent leur membre, pas encore totalement en érection, mais pas complètement au repos. Là aussi, et tout aussi curieusement, leur sexe se ressemblait : lourd, épais, puissant.
Le blond approcha le sien de la bouche de Mattéo et le fit aller autour de ses lèvres, qui finirent par s’entrouvrir, ce qui permit au membre de s’introduire.
Dans le même temps, le brun avait enlevé la serviette posée sur l’entrejambes de Mattéo, mit ainsi son sexe à l’air, et commença à le branler, ce qui le fit durcir.
Le jeune sportif sentit monter en lui le désir sexuel et se laissa aller.
La bouche ouverte, il laissait aller la bite du blond. Jamais il n’en avait sucé une aussi grosse ; elle était tellement épaisse qu’elle remplissait toute sa bouche et lui faisait mal à la machoire ; elle était tellement longue qu’il avait l’impression de ne pouvoir l’avaler qu’à moitié.
Il n’avait jamais non plus sucé un mec aussi âgé, il réalisait en fait que le plus vieux mec avec qui il avait couché c’était... Dimitri, avec ses 36 ans. Les autres, c’était des gars, en gros, de son âge, un peu plus, un peu moins.
Mais il était attiré par ces hommes, par cette forme de beauté, par ce genre de corps, par la façon dont ils l’avaient abordé.
Pendant que ce beau blond s’occupait de sa bouche, le brun s’occupait de son cul, accessoirement de sa bite, qu’il sentait bien dressée, mais essentiellement de son cul, qu’il avait manifestement envie de posséder.
Mattéo, très excité par la situation, se laissait totalement faire. Il aimait ça et s’il était venu au sauna c’était aussi pour vivre de tels moments. D’abus consentis.
Pendant qu’il se régalait de la bite du blond, qu’il avait un peu de mal à encaisser entièrement, il sentait la langue du brun lui lécher l’orifice anal. Pour son plus grand plaisir. Il aimait ça, et, en fait, dans sa vie, pas grand monde le lui avait fait. Il aimait aussi la délicatesse, paradoxale, de cet homme qui ne lui avait pas demandé son accord, mais savait en même temps lui procurer du plaisir et lui faire ce qu’il aimait.
Pour que ce soit plus clair il leur dit (en italien) :
“ je suis à vous, faites de moi ce que vous voulez... je peux vous donner ma bouche et mon cul, mais fermez la porte... s’il vous plaît “.
Le brun qui, manifestement, comprenait l’italien (il l’était sans doute) alla fermer la porte, coulissante, et revint s’occuper du cul de Mattéo, qui avait relevé ses jambes et était prêt à se donner à ces hommes, entreprenants, mais également prévenants. De toute façon eux comme lui étaient là pour ça. Pour prendre et donner du plaisir.
Mattéo, allongé sur le dos, les jambes écartées, leur offrit ainsi son corps. Le brun avait continué un peu son anulingus, avant de se relever, de se mettre à genoux à hauteur de l’entrejambes de Mattéo, sa bite dressée au contact de son fessier relevé.
Le blond aussi s’était mis à genoux à l’arrière de sa tête, basculée en arrière, lui offrant sa bite que Mattéo avait reprise en bouche.
Le brun commença à le doigter, ce qui fit gémir Mattéo, la bouche ouverte qui continuait à encaisser la bite du blond.
Mattéo savait ce qui allait se passer, et il y était prêt. Il se disait que jamais son cul n’avait encaissé de telles bites, et il appréhendait un peu. En même temps il en avait très envie.
De toute façon il n’avait plus le choix. Il venait de dire à ces hommes que son cul était à leur dispo, il ne pouvait pas se dérober.
Il s’efforça de se mettre en mode “salope”. Il se dit qu’il pouvait commander son cerveau, qui pouvait commander son corps. Il sentit celui-ci se relâcher et commanda à son cul de s’ouvrir, il eut instantanément l’impression que c’était ce qui se passait. Il se sentait ouvert, prêt à encaisser les bites de ces deux hommes.
Ça tombait bien, c’est à ce moment là que le brun remplaça ses doigts par sa bite. Et l’enfonça. Sans ménagement. Mais Mattéo encaissa sans problème. Et très vite il prit un pied d’enfer.
Ce fut en effet le début d’une longue chevauchée. Dans toutes les positions. Le brun le prit d’abord dans sa position initiale, allongé sur le dos, les jambes écartées et relevées, la croupe ouverte.
En même temps il continuait à sucer et bouffer la queue du blond qui avec ses mains caressait le reste de son corps, et notamment son entrejambes, qu’il maintenait écarté, ce qui facilitait le coït de son acolyte.
Mattéo se laissait totalement aller, il ne ressentait aucune douleur, ce qui l’étonnait quand même, mais que du plaisir. Le plaisir du sexe viril entre mecs. L’impudeur totale de la baise avec des inconnus, à qui il se donnait totalement, mais dont il ne savait rien, dont il ne saurait jamais rien, et qu’il ne reverrait jamais. Le pied, quoi.
Il voyait aussi que ces deux hommes prenaient leur pied et étaient manifestement très excités par son corps.
A un moment, quand il fut revenu dans la position initiale, les deux hommes changèrent de place, et ce fut le blond qui l’encula. Ce fut encore meilleur. Cela venait peut-être de ce qu’il lui avait davantage relevé les jambes. Il faut dire qu’en même temps le brun avait positionné son entrejambes au niveau de sa bouche, ce qui lui permettait de lui lécher les boules et d’admirer sa bite dressée, qu’il engloutit également et suça avec gourmandise.
Les deux hommes n’en pouvaient plus. Le brun le reprit, cette fois par derrière alors qu’il était sur le ventre, le fessier relevé, et il branla le blond qui s’était allongé à côté de lui. A un moment le brun se retira, se finit en se touchant, et éjacula sur ses fesses et le bas de son dos en poussant des cris rauques et puissants.
Le brun se décala et s’essuya, avant de laisser la place au blond qui l’encula à nouveau, pour se finir.
Ça dura un petit moment quand même, il prit son temps, pour le plus grand bonheur de Mattéo qui encaissait ses coups de boutoir en gémissant.
Il n’avait pas vu que le brun avait quitté la pièce, pour aller prendre une douche, et qu’il était sorti sans refermer la porte.
Mattéo était donc seul avec le blond qui l’enculait, mais au vu et au su de tout le monde, d’autant que les deux hommes rythmaient leur baise effrénée de bruits divers, particulièrement sonores : des cris rauques et graves de la part de l’enculeur, des gémissements aigus et continus de la part de l’enculé.
Le blond finit par cracher toute la sauce qui s’était accumulée en lui depuis son entrée dans cette cabine. Il se retira brutalement de l’orifice de Mattéo, qui, là, eut mal, et, après à peine quelques mouvements de va-et-vient, éjacula puissamment et inonda le fessier et le bas du dos du jeune homme, encore souillé du sperme du brun.
Mattéo n’avait pas joui, et, en une fraction de seconde, son cerveau se déconnecta du mode “salope”. Le blond remit sa serviette autour de sa taille, puis, sans un mot, sans un regard, quitta la pièce.
Un peu dépité, Mattéo lui aussi reprit sa serviette, qu’il ne prit pas la peine de nouer autour de sa taille, et c’est totalement à poil qu’il fendit la foule de mecs qui s’étaient agglutinés à côté de sa cabine, et qui le reluquaient voire pour certains le touchaient quand il passait à proximité.
Il s’en foutait, il avait surtout envie d’une bonne douche, bien chaude, et avait même besoin de se nettoyer, y compris à l’intérieur de lui.
Pendant ce temps, un beau black, jeune, athlétique, imberbe, plutôt timide, qui l’avait repéré depuis un moment, et qui était marri de le voir ou de l’imaginer se faire baiser dans tous les sens par ces deux vieux, l’avait suivi jusqu’à la douche. Il était resté dehors, et attendait.
Patiemment.
A suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par EricDeFrance
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...