Mes nuits à l'hôtel, avec Gilles ! 3 - histoire érotique

La semaine avant la deuxième foire, je ne vois pas Gilles !
Seulement son copain, en manque de fellation, un matin.

Je me lasse un peu de ce genre de relation, même si c'est toujours agréable d'avaler une bonne dose de sperme avant d'ouvrir le magasin !

Mais, parfois, c'est aussi frustrant ! Sucer, cette délicieuse bite, me donne parfois envie qu'il m'encule, vite fait !
Mais je devine, qu'il vient de plus en plus souvent, pour se vider d'un besoin matinal de se faire sucer, c'est tout !

Le vendredi, lors de ma préparation du stock, pour la foire, je vois arriver Gilles !

"Ah ! Tu m'as fait peur ! Je t'ai pas vu cette semaine !".
"Oui, je t'expliquerai ! Bon, qu'est-ce qu'il faut faire ?".

On charge ce dont, on a besoin, puis on prend la route vers Montpellier.

"Alors tu m'expliques pourquoi t'es pas venu ?".
"Ben, je suis allé au Sex-Shop !".
"Ah ! Et, tas baisé un autre mec !".
"Euh, pas vraiment, je me suis fais sucer, en fait !".
"D'accord ! Je comprends, c'est ton droit, tu m'appartiens pas !".
"Mais j'y suis pas allé pour baiser ! Je t'ai acheté un cadeau ! Maintenant que je vis seul, je me fais plaisir ! Regardes dans mon sac !".

J'ouvre son sac à dos, et vois une grosse boite.
L'emballage est explicite ! Il m'a acheté un plug anal !

"Putain, t'as pas pris le plus petit !".
"Ben, il est parfait pour ta chatte, mon bébé ! Mets le, tout de suite !".
"Déjà ?".
"Oui, comme ça, je t'encule dès que je peux, tu seras toujours prêt !".

C'est pas évident pour moi, de m'introduire l'objet très large et froid, dans l'anus.
Surtout, sans me faire voir des autres automobilistes !

Il me demande de rester avec les jambes nues, et de lui montrer l'opercule, qui révèle la présence du plug au centre de mon cul.

"Putain, je bande chéri ! Il va falloir s'arrêter bientôt ! Tu veux bien ?".
"Tu sais que je peux rien te refuser !...Chéri !".

J'ai enfin passé le cap d'oser l'appeler ainsi ! Depuis quelques semaines, il me féminise de plus en plus, et j'aime ça !

Mon anus devient sa chatte, il m'appelle son bébé, Chéri, ma puce ! Son p'tit chat, ou chatte ! Et cela depuis qu'il a quitté sa femme, y a t'il un rapport ? Je ne sais pas !

Je sais qu'il n'est pas question de sentiments entre nous, et ça me va parfaitement, j'aime notre complicité sexuelle et amicale !

Contre toute attente, il sort de l'autoroute, et prend une route en direction d'un bois.
Il arrête le véhicule, en le serrant contre la forêt, je sors également en remontant mon pantalon sur mes fesses.

Il sort une couverture qui me sert à cacher mon stock sur les foires.
Il m'entraine du coté de la porte latérale, en étalant le grand tissu sur un endroit libre.
Je comprends à présent pourquoi, il ne voulait pas utiliser cet espace ! Il m'a laissé de quoi poser mon corps pour le recevoir !

Il me dénude le cul, en m'obligeant à tenir mes jambes avec mes bras, puis il tire sur le plug, en jouant avec mon anus.
Il parvient à me retirer le plug, puis le rentre encore et le sort sans cesse.
Je prends du plaisir à ce petit jeu pervers !

Pendant ce temps, il se crache entre les doigts, pour lubrifier sa grosse bite.
Le plug m'écartèle une dernière fois, en sortant de mon anus.

Son gros gland entre aussitôt après, et coulisse interminablement jusqu'à mon virage anal.

"Arhhhhhhhhhhh ! Putain ! Gilles ! Chéri ! Tu rentres d'un coup ! Orghhhhhhhhhh ! C'est fort !".
"Je suis trop excité ! Ma p'tite chatte ! Je te veux tout entier, sur ma bite !".

Il exerce plusieurs poussées et me pénètre jusqu'aux couilles.

Je lâche mes jambes pliées, d'une main pour mordre mon bras, en jouissant de plus en plus fort, sous ses assauts profonds.

On entend quelques véhicules passer derrière nous, de loin, ils doivent penser qu'il cherche dans le camion.
Mais ce qu'il trouve c'est mon anus, qu'il retourne avec son énorme bite !

Je prends une succession d'orgasmes puissants, je sens qu'il va bientôt m'inséminer.

"Mon chéri, ne me jouis pas dans la chatte ! Je vais pas pouvoir le gérer tout à l'heure !".
"Arhhhhhhhhhhhhhhh ! Trop tard ! Arghhhhhhhhhhhh ! Putain ! j'adore ça ! Argggggggggghhhhhhhh !".

Malgré mon futur souci, j'ai une montée de plaisir cérébral, pendant qu'il m'insémine longuement.
Il me fait bénéficier encore de ses nombreux spasmes péniens, alors qu'il me remplit l'anus de foutre épais.

A cet instant précis, j'aurai apprécié un long baiser partagé, mais mes jambes l'en empêche !
Je ressens mes dernières sensations anales, quand il retire lentement sa bite en me tenant les cuisses relevées.
Puis, alors que j'allais évacuer son foutre, il me remet son plug dans le cul.
Il me nettoie avec un kleenex et me dit:

"Voilà ! On verra, si ça t'aide à garder mon foutre !".

Il m'aide à me remettre sur mes pieds, je me rhabille sous son regard amusé et malicieux.
Je lui souris aussi, j'ai pris gout à son jeu !

Je ressens chaque pas comme une suite à sa défonce anale.
Le plug entretient mon désir de jouir du cul, encore et encore.
Ma queue se met à bander après 45 minutes de route environ.

"Orghhhhhhh ! Chéri, il faut que je me branles ! Je ressens toutes les secousses de la route dans mon cul ! J'en peux plus !".
"Putain ! J'adore ! Branles toi bébé ! Personne ne te verras !".

Je baisse mon pantalon, et fais coulisser mes doigts sur ma bite en érection, tout en ondulant du bassin pour me donner du plaisir anal avec le plug.

Gilles n'en peux plus, il préfère sortir sur une aire pour me regarder faire.
Il recommence à bander fermement, il se caresse à coté de moi !

"Arhhhhh ! Putain Gilles ! Mon chéri ! J'ai trop envie, encules moi encore, j'en peux plus !".
"Avec plaisir ! Ma p'tite chatte ! Viens, on va dans les chiottes ! Y a pas de voiture , on est tout seuls !".

Je sors en me tenant le pantalon à la ceinture.
Dès qu'on est à l'intérieur, je fais tomber le tout en me baissant, et m'appuyant au mur, au dessus du bidet.
Il enlève le plug et me remplit l'anus aussitôt.

"Arghhhhhhhhhhh ! Enfin ! Putain, ça fait du bien ! Défonces-moi ! Ne te retiens pas ! Tu m'as rendu fou avec ton plug !".
"Putain ! Bébé ! Je t'ai jamais vu aussi excité !".
"C'est ta faute ! Ton truc m'a stimulé ! Il faut assumer maintenant ! Casses-moi le cul ! J'veux que tu défonces comme une salope !".

Il se déchaine comme un dingue ! Je l'encourage à me besogner encore plus fort, plus profond.
Je connais une succession d'orgasmes qui augmentent en intensité.

Jusqu'à l'orgasme ultime, pendant lequel, je me redresse en me cambrant sur sa grosse bite.
Je fixe mon sexe qui décharge mon plaisir pénien dans la cuvette sous moi.
Mon amant admire mon éjaculation, pendant qu'il continue de m'enculer à fond.

J'ai enfin éjaculé tout mon jus. je reprend ma position, afin de permettre à mon Gilles chéri, de me besogner encore jusqu'à son propre orgasme.
Il me procure d'autres montées de plaisir anal, puis se retire pour m'offrir sa verge à boire.

En pivotant, je remarque qu'elle est couverte d'une couche blanchâtre jusqu'à sa base.
C'est sa première giclée de sperme, qui lui a recouvert la bite !
Je m'en délecte encore plus vicieusement !

J'avale sa deuxième dose, avec passion, puis lui lave longuement la queue.
Pendant qu'il gémit de plaisir, je ne cesse de le remercier de m'avoir donné autant de bonheur anal.
Son jus coule lentement de mon anus, sous moi.
Trop tard, pour le plug !

Quand la prochaine personne entrera dans le cabinet de toilettes, entre la tache au sol, et ce qui flotte dans le bidet, il devinera que quelqu'un a baisé avant qu'il arrive !

Je m'essuie le cul, puis jette le Kleenex dans la poubelle en sortant.
Laisser les traces de nos ébats, excite mon amant adoré !

On convient qu'il vaut mieux que je laisse le plug dans le sac, je le replacerai pour le diner !
Pendant la suite de la route, j'avale un comprimé de paracétamol, pour atténuer les effets de la défonce anale que j'ai adoré subir.
Puis, je me couche en travers, en posant ma tête contre la cuisse de Gilles.
Je me sens comme une chatte amoureuse.

"Ca va, mon p'tit chat ?".
"Ca peut pas aller mieux, tu m'as bien défoncé !... Mon chéri !".
"Hummm, tu sais que j'adore quand tu me parles comme ça !".
"C'est pour ça que je le fais, tu le mérites ! Tu t'occupes bien de ma "chatte", après tout !".
"C'est vrai que deux fois d'affilée ! Ca commence fort ! Putain, j'ai les couilles complètement vidées ! Vivement qu'on s'arrête pour manger ! J'ai besoin de reprendre des forces !".

"Tu me préviens pour que je remette ton cadeau !".
"Ca, je risque pas de l'oublier ! Ma p'tite chatte ! Merci de jouer le jeu ! J'adore ça !".
"Ce qui serait idéal, c'est de manger à Montpellier ! Plutôt que sur une aire ! Ce sera meilleur !".
"Ouais, t'as raison ! On va faire ça ! Il reste moins d'une heure !".

"Je me repose un peu, tu me réveilles, un peu avant d'arriver ! Comme ça, tu me remettras toi-même, ton cadeau !".
"Ok ! Ma p'tite chatte ! Reposes-toi ! Je comprends !".

Le comprimé rempli son rôle, pendant mon repos.
Je sors de mes songes, en meilleure forme, qu'avant de monter dans le véhicule.

"On arrive bientôt ?".
"Dans dix minutes ! Mon Bébé !".
"Tu me remets le plug ?".
"J'osais pas te le demander !".

J'ouvre ma braguette, puis baisse mon pantalon, en me penchant sur le coté.
Il saisit le plug et le dirige vers mon anus.
En quelques poussées, il m'investit l'anus, aidé du reste de sperme, encore présent.

Gilles admire encore l'opercule qui décore mon anus, comme le centre d'une cible ! C'est là qu'il doit mettre sa grosse bite !

Je couvre mes fesses, content de lui donner ce plaisir.
Notre repas est copieux, on a un grosse faim !

On ne tarde pas, il faut se lever tôt, pour installer le stand, demain matin !

Devant l'accueil de l'hôtel, je n'ai qu'une hâte, c'est de me doucher et me détendre, après toute cette route, ponctuée de baises.
On pose nos affaires, en entrant dans la chambre.

Il m'attrape par le haut du bras pour m'attirer vers ses lèvres.
Ses mains me couvrent le corps de caresses.
Après tout ce sexe, il a parfaitement compris qu'à présent, c'est le temps de la sensualité entre nous.

Je dégrafe ses boutons de chemise, un à un, puis la fait tomber au sol.
Mes doigts libèrent son sexe, des vêtements qui m'en interdisent l'accès.
Il a ôté depuis un moment mon Tee-shirt, et mon pantalon glisse sur mes jambes.

Nos pieds se défont de nos chaussures, en même temps, que de l'entrave de nos derniers habits.

Je replonge dans ses bras, je frissonne de plaisir en ressentant son grand corps puissant contre le mien, si mince et imberbe.
Pendant qu'il me couvre de baisers et de caresses, il joue à toucher l'opercule du plug, encore dans mon anus.

Il m'emmène sous la douche.
Il me colle contre la paroi, et ôte son délicieux cadeau, qui se rince sous les gouttes du jet d'eau.

Il se savonne les mains et me lave les fesses tendrement.
Je me cambre de plaisir, j'aime ce qu'il me fait, ses doigts s'insinuent dans mon anus, ajoutant à mon plaisir.
Puis son gros gland me transperce en même temps qu'il se colle à mon dos.

"Arghhhhhhhhhhh ! Gilles ! Orhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Ne me défonces pas, s'il te plait ! Continues doucement, c'est trop bon !".
"C'est ce que je veux, moi aussi ! Mon bébé ! J'ai eu ma dose de sexe ! J'ai envie de ta chatte, comme ça !".

Je prends un plaisir énorme, à ressentir les glissements amples de son gland, qui entre en moi et vient me stimuler le virage anal, le plus profondément possible.

Il me submerge de spasmes anaux, mes jambes flagellent pendant chacun de mes orgasmes.

Mes râles sont interminables, puis, je suis obligé de vider ma vessie, contre la paroi de douche.
Je me retenais depuis un moment déjà, la sollicitation de ma prostate, ne me permet plus de retenir ce besoin.

Il saisit mon sexe, en continuant ses assauts, sa non-réaction me fait plaisir.
Je me libère en appréciant plus encore mon orgasme anal, montant.

"J'adore te faire jouir du cul ! Ma p'tite chatte ! On est bien tous les deux ! Tu trouves pas !".
"Ben, là ! Avec ta bite en moi, je peux pas dire non ! J'ai bien joui ! C'était bon ! Chéri !".

Il quitte mon anus, je prend la suite en le lavant à mon tour.
Le moment, le plus divin, est bien sûr, le lavage de sa bite, et la longue fellation qui a suivi.

Chacun sèche l'autre, puis on se glisse sous les draps.

La télévision passe une série, alors qu'il glisse en moi, sensuellement, par derrière.
J'avoue qu'on ne prête guère attention à la TV.

Il me tourne au dessus de lui, je me tiens sur mes pieds et mes mains, empalé sur sa bite, en lui tournant le dos.
Je me soulève pour coulisser amplement sur son gros sexe, j'adore onduler du bassin ensuite, quand je sens la base de son membre contre mon anus.
On se dit des mots sensuels et tendres, pour conserver cette ambiance enivrante.
Après de longues et intenses minutes de fouille anale.

Il me demande de changer, je me soulève, puis, je l'accueille entre mes cuisses, en l'entourant de mes quatre membres.

Il me fait encore jouir puissamment, en étouffant mes râles en m'embrassant.

Nos gémissements s'entremêlent enfin, lorsque je reconnais le moment ou il se libère de son jus en moi.
Chacun est excité des râles de l'autre, dans sa bouche.

On ne calcule plus rien, On se laisse guider par la recherche du plaisir extrême, c'est tout !
Je mets un temps interminable à redescendre de mon super orgasme, cérébral et anal.

Il est étendu sur moi, repu de plaisir, doucement, il se soulève et me dépose de nombreux petits baisers !

"J'ai adoré ! C'était génial, mon bébé !".
"Moi aussi ! On le fait pas assez souvent ! J'adore le sexe ! Mais ça aussi, ça fait du bien ! Merci !".
"Putain, je crois que je vais pas faire long feu ! Je tombe de sommeil, maintenant !".
"Moi, aussi ! J'éteins la télé ?".
"Oui ! Encore un bisou, et dodo !".

Il se place à coté de moi, j'appuie sur la télécommande, pendant qu'il se colle à mon dos.
Je sens sa main puissante qui maintient ma hanche, puis je pousse un long râle, pendant qu'il me transperce encore.
On s'endort rapidement ensuite, soudés analement.

La matinée est très occupée par le travail, on est obligé de manger des sandwichs.
Il ne m'a pas demandé de replacer le plug, je retrouve des sensations normales, surtout après le long moment de rejets de muqueuses, de sperme et de flatulences du matin !

L'après midi aussi, est mouvementée, les affaires marchent à merveille !
On se fait plaisir, dans un restaurant conseillé par d'autres vendeurs.

Le retour à l'hôtel, se fait, sous les rires, on est un peu éméchés par le vin du repas.

Sa bouche cherche la mienne, il me déshabille avec frénésie.
Je l'aide, moi aussi, je le désire comme un fou !

Il me couche sur le lit, et me soulève les cuisses pour placer mon anus devant sa grosse langue.
Il me dévore et me fouille la chatte comme un affamé.

Je me détend analement, puis il se relève et colle son gros gland contre mon œillet lubrifié.
Ses courts, mais puissants enfoncements, atteignent leur but, je le reçois en moi très rapidement.

On échange de nombreux baisers pervers, pendant qu'il me burine sans ménagement.
Je ne compte plus mes orgasmes, dans ses bras.

Je l'ai rarement vu aussi excité, j'aime quand il est dans cet état !
Il se retire, je le vois se masturber, il n'a pas besoin d'en dire plus !

Je me place devant son gros gland rouge écarlate, brillant de jus, et gonflé de désir.
Il me tient le visage en arrière, et m'arrose complètement en râlant de plaisir.
La chaleur de son sperme gluant et épais, me fait gémir cérébralement.
Je suis couvert de sa semence, j'en bande comme un dingue.

Je me masturbe, frénétiquement.
Mon plaisir monte rapidement, excité par la situation.
Il glisse enfin entre mes lèvres en me parlant crûment.

"Ouais, avales mon foutre ! Ma p'tite salope ! Tu l'aimes mon jus ! C'est bon !".
"Mmmmmmm ! Oui, glllllp ! Mmmmmmmmmui ! J'aime quand tu me gicles sur le visage !".
"Hummm ! C'est bon, elle est bonne ta bouche, bébé ! Tu m'excites avec mon foutre sur la gueule !".
"Arhhhhhhhh ! Je joui, moi aussi ! Arghhhhhhhhhhhh !".

Il me remet sa grosse bite au fond de la gorge, pendant que je me déverse, sur le sol de la chambre d'hôtel.
Il prend un plaisir pervers, mais partagé à se faire lécher la queue après récupération de son foutre sur ma face.

"Oui, comme ça, bébé, lêches-moi bien ! Putain, c'est bon, ça aussi ! Tu aimes ?".
"Mmmm ! Gllllllrp ! J'adore ! Tu me connais bien ! Mmmmmmm !".

Un long moment plus tard, on passe sous la douche, très propice à de nombreuses caresses plus tendres.

On regarde ensuite une émission du samedi, puis on éteint l'appareil.
Ses mains sur mon corps, me donnent envie de lui rendre ses caresses.
Il me dirige vers son sexe.

"Suces moi ! Mon bébé ! J'ai envie que tu m'avales encore !".

Ce sera l'une de mes fellations, la plus longue et passionnée, sur sa bite !
J'ai adoré son explosion dans ma gorge, ses grognements trahissaient la puissance de son plaisir.
Quoi de plus enivrant pour moi ?

Je me suis délecté de sa semence, avec un plaisir immense.

Puis, j'ai couché sa longue et grosse verge sur son ventre, en la gardant sous mes doigts.
J'ai répondu à son baiser, en me collant à son corps, pour m'endormir avec lui.

Le dimanche fut encore mouvementé, au point de vue travail.
Le soir, nous avons encore baisé, en nous couchant.
Cette fois, j'ai tout reçu dans l'anus !

Le lundi, je lui dit en montant dans le véhicule utilitaire:

"Si tu veux m'enculer, n'attends pas trop ! Parce que sinon, ça va me gêner pour faire l'amour à Corinne ! je la connais, elle en aura envie, dès que je rentrerai !".
"Bon, ben, prépares ta chatte ! Je vais t'enculer à la première aire !".

Ce fut bestial et pervers, plein de mots crus, cette fois !
Il a pensé à moi, en se contrôlant pour éjaculer dans ma bouche.

C'est vrai, que c'est plus facile à gérer, pour moi, et j'aime tellement le boire !

Corinne me reçoit lors de mon retour.

"Alors, ca a bien marché ?".
"Oui, super ! Je dois continuer les foires, je fais de bons chiffres à chaque fois !".

"Et avec Gilles ? Ca s'est bien passé aussi ?".
"On a pas arrêté encore ! Mais c'était bon !".
"Tu arriveras à me faire l'amour quand même ?".

Je l'embrasse en bandant.

"Bien sûr ! Mon amour, je suis même, bien ressourcé, j'ai envie de te donner énormément de plaisir et d'amour !".
"Humm ! Tant mieux ! Parce que moi aussi, j'ai eu ma dose de sexe ! Tu te doutes bien que j'allais pas rester à imaginer ce que tu faisais, sans en avoir envie moi aussi ! Mais j'ai envie de tendresse maintenant !".

"Je m'en doutais, t'as eu raison, mon bébé ! C'était bon, pour toi aussi ?".
"Oui, comme d'habitude avec lui ! Mais je te raconterai après ! Viens !".