Moco le chauffeur de taxi 3
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Moco le chauffeur de taxi 3
La révision de la voiture
Dans une semaine, Pat doit récupérer son permis de conduire. Le petit Léo a bien tété, il dort, Pat est là pour le surveiller. Léa lui propose d'emmener la voiture au garage pour qu'elle puisse être révisée. Il y a un biberon de préparé au cas où elle aurait du retard pour lui donner. Pat apprécie son aide, malgré quelques réticences. Il note sur un feuillet l'adresse du garage que lui Moco et le donne à sa femme.
Depuis l'accouchement, Léa fait très attention à sa silhouette, elle fait du sport à la maison et autour en courant.
Elle a retrouvé son poids d'avant. Son tour de poitrine est devenu un quatre-vingt-dix-sept D avec un tour de taille de soixante-dix et cent-dix de bassin. Le tout accentue une très appétissante silhouette en lui dessinant de belles courbes. Elle attire le regard des hommes qu'elle croise. Pat adore quand d'autres personnes la dévorent des yeux. Être avec une femme telle que Léa le valorise.
Elle a défini son programme de l'après-midi. Elle va s'occuper de la voiture, ensuite faire les magasins pour trouver de la lingerie osée pour pimenter leur vie sexuelle. Elle trouve le garage à l'adresse indiquée par Pat, elle est arrivée au bon endroit. Elle s'arrête devant la grande porte ouverte, un mécano lui fait signe de rentrer la voiture sur le pont mobile. La clarté du garage diminue, un deuxième mécano vient de refermer la grande porte.
L'un des deux mécanos lui demande de quoi elle a besoin. Elle lui dit que son mari l'envoie ici pour faire la vidange du moteur, changé les pneus, vérifier les freins et autre chose si c'est nécessaire. Léa est très fière de cette rappelée tous les point que son mari lui a indiqués.
On lui propose de s’asseoir dans un coin du garage où il y a quatre chaises et une petite table garnie de magazine de toute sorte. Elle s'installe sur la chaise qui lui semble la moins crasseuse. Elle regarde les mécanos s’affairer sur la voiture. Elle ne se sent pas du tout à l'aise dans ce coin du garage. Depuis, qu'elle est descendue de voiture, elle entend un chien couiner derrière une porte. Elle se demande comment son mari a-t-il pu connaître ce garage dans ce quartier douteux ?
La voiture sur le pont change de pneu et est vidangée.
Léa fouille dans les magazines sur la table, elle en sort un qui est un magazine de charme. Elle jette un œil vers la voiture, d'où elle est, les mécanos ne peuvent voir ce qu'elle lit. De page en page, elle remue sur sa chaise. Les photos et les commentaires commencent à l'exciter, elle humidifie son string ficelle, les pointes de ses seins durcissent. Les parties de baise avec Moco et ses amis lui manque.
Les photos du magazine et les deux mécanos qui sont des hommes noirs lui font remonter des souvenirs excitants.
Le plus vieux des deux mécanos vient en souriant, lui donner la facture des réparations. Elle referme vite le magazine qu'elle regardait. Elle lui tend sa carte bleue retirée de son sac à main. Quelques minutes plus tard, il revient vers Léa.
- Excusez-moi madame ? Mais votre carte bleue est rejetée ? Vous avez un autre moyen de paiement ? Léa se confond en excuses et fouille dans son sac à main. Pas de carnet de chèques et encore moins de billets correspondant à la sommes réclamée, qu'elle tend au mécano. - C'est très loin de faire le compte ? Je crois, nous sommes obligés de garder la voiture le temps que la facture soit réglée.
- Je suis désolé, mais je n'ai rien de plus et j'habite trop loin de votre garage pour repartir à pied. Laissez-moi téléphoner à mon mari pour qu'il fasse quelque chose pour vous régler.
A ce moment, l'autre mécano se joint à eux et il saisit le sac de Léa. Il fouille dedans, sort les papiers d’identité de Léa et de la voiture.
- Au moins, on sait à qui on a affaire ?
- Mais, qu'est-ce que je peux faire pour vous convaincre, que vous serez payé intégralement ? - Bon ? Voilà, c'est simple, on va vous faire payer en nature ! Sans perdre un instant, le plus jeune passe derrière Léa pour lui immobiliser les bras dans le dos. Alors, l'autre mécano pose ses mains sur les seins de Léa et se met à les malaxer. Des larmes se mettent à couler sur le visage de Léa.
Ensuite, il passe ses mains sous sa robe et commence à la remonter jusqu'au-dessus de ses seins. Celui qui est derrière elle, libère ses bras et continu de remonter sa robe par-dessus sa tête. Machinalement, dans la confusion, elle lève les bras pour aider à enlever sa robe. Profitant qu'elle a les bras en l'air prisonniers de la robe, celui de devant lui descend son string. Encore dans la confusion, elle lève un par un ses pieds pour libérer le string.
Les bras de Léa retombent le long de son corps. Le jeune lui dégrafe le soutien-gorge, il reste coincé sous ses seins lourds. Celui de devant qui lui a enlevé son string, le porte a son nez. - Elle mouille la salope, elle sent bon la chienne en chaleur ! Puis, il force sur les épaules de Léa à s'agenouiller devant lui, au moment où il baisse son pantalon pour en sortir sa queue. Léa reste béa devant cette bite noire, un peu plus grosse que celle de Moco.
- Oh ! Ne t'en fais pas, la sienne est bien plus grosse que ça. Moi, c'est juste un hors-d’œuvre, suce !
Sans un mot de plus, il lui saisit le haut de la tête et lui enfonce sa queue dans la bouche. Léa tire la langue pour faciliter l'intrusion de sa bite. Alors, il continue de l'enfoncer dans sa gorge, jusqu'à ce qu'elle s'étouffe avec son nez dans les poils du pubis du mécano. Après, avoir bien abusé de la bouche de Léa, il laisse la place à l'autre jeune mécano. Sa queue est vraiment bien plus grosse que celle du premier. Avec Moco, elle a appris à bien sucer une bite. Donc, elle va satisfaire les deux mécanos rapidement pour être libre, pense-t-elle.
Elle suce, aspire, avale en gorge profonde, même la plus grosse. Elle lèche aussi leurs couilles, sentant la sueur. Pendant qu'elle suce le plus jeune, l'autre s’affaire dans la pièce d’à côté. Ensuite, le jeune mécano la relève et l'emmène dans la pièce d'à côté. En rentrant, elle voit un matelas au milieu et le dos au mur une caméra entourée de deux projecteurs. Dans le coin de la pièce, il y a une porte fermée, d'où viennent les jappements du chien qu'elle entendait dans l'atelier. - Souris à la caméra ? Ici, c'est le coin avec lequel les femmes et les hommes payent leur facture en nature.
Voyant, leur air déterminé des deux mécanos devant la porte. Elle se résout à se soumettre à leur désir. Après tout, elle avait déjà cédé à la volonté de Moco, de la partager avec ses amis. Que de très bon souvenir de sandwich entre deux hommes. Le jeune sort un portable, d'on ne sait où, ils sont tous les trois nus. Il met de la musique, ainsi l'autre mécano demande à Léa de se pavaner dans la pièce avec une mine réjouit. Voilà, notre Léa se tortille sur ses escarpins à talons hauts devant les deux hommes et la caméra.
Être nue devant ses deux hommes ne lui pose plus de problème. D'être baisée par les deux mécanos non plus. A force de s’exhiber comme une pute, humidifie sa grotte d'amour.
- Allez, c'est bon ? Allonge-toi sur le matelas et écarte tes cuisses.
Tout de suite, le mécano place son visage entre les cuisses de l'allongée. Il entreprend de lui bouffer la moule, il y introduit deux doigts qu'il agite, pendant que son autre main lui triture un sein.
Au bout de quelques minutes, elle râle un peu de plaisir. Alors, il se met en position pour la baiser. Il gifle plusieurs fois l'entrée de sa moule avec sa queue, avant de mettre le gland à l'entrée du puits d'amour de Léa.
Il se couche pratiquement sur elle. Lorsqu'elle sent la queue s'introduire dans son ventre. Elle pousse un long râle rauque de satisfaction. Croyant, qu'elle va crier, il colle sa bouche sur celle de Léa. Il est étonné, car elle ouvre sa bouche et aspire sa langue pour un baiser d'amoureux. Alors, lentement, il commence à faire des va-et-vient dans le ventre de Léa. Ensuite, plus ils s'embrassent, plus il accélère le rythme de la baise. Plus il la baise, plus elle sent un orgasme venir. Il est là, il éclate, elle jouit bruyamment. Devant le plaisir qu'il donne à cette femme, il se déchaîne sur elle vigoureusement.
Lorsqu'elle sent et l'entend jouir dans son puits d'amour, elle a aussi un autre orgasme, pour le plaisir qu'elle donne et reçoit. Ils s'embrassent en mélangeant leur langue et leur salive, tout le temps qu'ils restent souder ensemble. Quand il se retire, son sperme ruisselle de sa moule béante. Cependant, elle n'ignore pas que la majeure partie sa semence tapisse le col de son utérus.
Le jeune mécano se fait pomper par la bouche de Léa, le temps que sa moule dégorge de sperme. Elle a du mal au début, car sa queue fait au moins dix centimètres de plus en longueur que son collègue d'avant. Elle est aussi plus épaisse.
La queue bien raide dans la gueule de Léa, il se couche sur elle pour aussi la baiser. Contre toute attente, sa queue pénètre facilement dans la moule baveuse lubrifiée du sperme de premier baiseur.
Il imite son collègue, au premier râle de Léa, il colle sa bouche à la sienne. Ils mélangent leur langue et leur salive et étouffent les deux orgasmes de Léa pendant un bon quart d'heure de baise. Le troisième orgasme de Léa éclate à l'air libre lorsqu'il jouit dans son ventre, mélangeant son sperme au restant de son collègue.
Léa reste allongée sur le matelas, elle récupère son souffle, pendant que les deux mécanos se rhabillent.
- Tu n'as pas encore fini d'éponger la dette des réparations de la voiture. Va te laver la moule dans les toilettes du garage ?
Léa se lève péniblement, elle cherche des yeux sa robe et ses sous-vêtements. - On te les rendra quand tu auras remboursé la facture ? C'est nu qu'elle se dirige vers les toilettes. Heureusement que la grande porte est fermée, ça la rassure. Dans les toilettes, il n'y a qu'un lavabo et une serviette de pas trop sale. A côté du lavabo, il y a un robinet mural avec un tuyau d'arrosage. Elle se lave la moule avec sa main droite et prenant son courage, elle rince l'intérieur de sa grotte d'amour avec le tuyau d'arrosage qu'elle enfonce le plus loin possible.
Le jeune la reconduit dans la pièce ?
- Assis toi sur le matelas, tient, tu t’essuieras la moule à chaque fois le prochain. Lui dit-il en lui lançant une serviette de toilette propre. - S'il vous plaît ? Que comptez-vous faire de moi ? Bêtement, elle espérait que les deux mécanos en avaient fini, qu'ils contacteraient son mari, où qu'ils la ramèneraient chez elle. - Ne t'inquiète pas ? On a notre combine pour récupérer le pognon que tu nous dois. - Ah ? Et comment ? En réponse à la question, le mécano se marre. - Je t'explique. A partir de maintenant, tu es notre pute et tu vas te faire baiser jusqu'à ce que l'on ait l'argent de ta facture et même plus.
Après un moment de réflexion, Léa se rend vite compte, que Moco lui avait sûrement fait faire la pute quand il amenait ses amis participer à leurs ébats. Donc, là, ça ne devrait pas être pire qu'avec Moco.
Après, un petit moment d'attente, le premier client entre. Elle lui taille une pipe et se laisse baiser. Ensuite, c'est l'escalade, les clients affluent. Alors, qu'elle est à quatre pattes sur le matelas, en train d'en pomper un tandis qu'un autre la prend en levrette. Moco pénètre dans la pièce avec une chaise à la main. Il s'assoit à côté du matelas, Léa occupé à avaler du sperme dans son corps ne l'a pas vu venir.
C'est fatigué, qu'elle voit Moco quand les deux derniers clients sortent de la pièce. - Oh ? Mon chéri, tu viens me délivrer de ses deux salauds ? - Je vois que tu as encore joui à te faire baiser par des hommes de ma race. Léa veut se lever pour venir se blottir dans ses bras et l'embrasser. - Non ! Reste à quatre pattes, c'est bien ta place de chienne. Je t'autorise de me faire une fellation. - Mais ? Pourquoi tu ne sors pas de là ? - Bon, que les choses soient très claires pour toi. Je suis le patron de ce garage et comme tu n'as pas payé la facture des réparations de votre voiture, mes deux mécanos ont fait ce qu'ils font à ceux qui ne payent pas. Ils t'ont baisé, mais ce n'était pas suffisant pour payer la facture. Alors, ils t'ont fait baiser par d'autres pour rembourser ta facture. Tu sais qu'on a un film qui montre que tu as adoré ça. Que tu t'es prostituée de ton plein gré en jouissant quelques fois. Si on montre ça aux flics, tu perds ton fils et ton mari et encore plus avec ce qui va suivre. Allez, la pipe maintenant.
Résignée à obéir, Léa se met à quatre pattes et avance vers Moco qui a sorti sa queue à l'air libre. Elle commence à emboucher la queue de son maquereau d'amant. Il pousse sa tête sur sa queue pour qu'elle l'avale complètement. Il lui met autour du cou un collier à chien qu'il referme avec un petit cadenas. Elle remue un peu la tête et tire son cou, mais soumise elle continu sa fellation. Léa suce la bite de son Moco, essaye d'entendre la conversation, car Moco a resserré ses cuisses, emprisonnant ses oreilles.
Deux, puis trois doigts enduits d'une étrange crème, investissent sa grotte d'amour Il la branle énergiquement et une chaleur, commence à lui faire monter un orgasme. Moco, a passé une main dans le collier comme pour bien la maintenir en place. Soudain, elle sent une très grosse queue à l'entrée de sa moule baveuse.
Léa reste figée, elle ne suce plus son amant. Moco reprend la tête de Léa et la force a reprendre sa bite en bouche, il l'immobilise à nouveau, et lui dit - Oh là ? Ma belle, un jour, tu m'as dit que tu ferais tout ce que je voudrais ? Alors, à présent, tu es ma pute.
Mais elle ne relève pas la tête pour autant, de toute manière la main posée sur sa nuque lui interdit tout mouvement de retrait, alors que Moco se met à aller et venir dans sa bouche accueillante.
En dépit de l'extraordinaire désir provoqué par la crème aphrodisiaques, Léa craint la douleur en se faisant embrocher, elle sent déjà qu'une énorme queue taraude l'entrée de sa chatte.
- MMMMM ! MMMM ! Gémit Léa, alors que l'énorme bite s'engouffre au plus profond de son intimité.
- ONONONON ! ONONON ! MMEEEE ! Pleurniche-t-elle, alors qu'il va-et-vient avec intensité dans ses profondeurs embrasées.
- RRRAAAAH ! ..RAAAARRRRAAA ! S'époumone t-elle, alors qu'il la cloue véritablement.
Alors, que la bite longue de trente cinq centimètres et de huit diamètres s'enfouit dans ses profondeurs utérines, Léa sent son vagin répondre à cet assaut, ses muqueuses se crispent et se décrispent sur la queue brûlante.
- OUOUOUOOOO ! OOUOUOUOU !
Peu à peu la douleur se transforme en plaisir, alors que l'épais braquemart coulisse de plus en plus facilement dans sa moule engorgée de cyprine.
Moco sourit en sentant qu'elle lui griffe les fesses de ses ongles manucurés, alors qu'il l'autre la laboure de plus belle.
Il adore la voir changer ainsi d'attitude, elle râle à présent.
- RRROOOUUUIIIIII ! RRROUUIIII !
Léa est submergée par un orgasme foudroyant.
Et alors qu'une myriade d'étincelles explosait dans sa tête accompagnant l'éjaculation de l'inconnu au plus profond de son intimité assouvie.
Léa se met à jouir comme jamais Moco l’a vu et de la voir jouir comme ça. Il lui envoie son sperme au fond de sa gorge, qu’elle avale en jouissant. Le trop plein de foutre s'écoule de leur point de jointure s'étalant sur ses cuisses puis sur le sol.
Moco lui dit que la facture des réparations n'est pas encore honorée entièrement. Donc, dès qu'ils lui demanderont de venir pour faire la pute, elle rappliquera sans perdre de temps. Lorsqu'elle appelle son mari avec le portable de Moco. Elle lui raconte que la révision prend plus de temps qu'il avait prévu. Qu'elle est pratiquement presque finie et qu'elle rentrera à la maison bientôt.
Léa retourne se faire un brin de toilette au lavabo et avec le tuyau d'arrosage. Au nom de son fils, elle supplie Moco de ne pas diffuser l'enregistrement de cette après midi. Une semaine plus tard, elle reçoit un petit colis pas la poste. Il s'agit de la vidéo que les deux mécanos de Moco ont fait d'elle. On la voit se faire baiser et jouir avec les deux mécanos. On voit aussi le défiler des clients venus la baiser par n'importe quel trou, avec l'application qu'elle a à remplir son rôle de pute.
Après qu'elle a visionné le film, elle est forcée de constater que ce dernier l'a follement excité, surtout avec la très grosse bite accompagnée de crème. Elle se sent prête à recommencer avec la grosse queue. Elle se doute bien que ce film plairait beaucoup à son mari. Il serait ravi de savoir que sa femme a fait la pute pour Moco et il voudrait à coup sûr la voir se faire baiser par la très grosse queue.
Depuis maintenant deux mois, Léa vient faire la pute dans le garage de Moco. Bien que la dette soit épongée, elle se plaît dans son rôle de pute. Le plus jouissif pour elle, c'est lorsqu'elle se fait baiser à présent par deux ou trois très grosse queues. Moco empoche alors d'énormes sommes d'argent payé par les spectateurs. Il vend aussi les vidéos qui partent en Asie.
Dans une semaine, Pat doit récupérer son permis de conduire. Le petit Léo a bien tété, il dort, Pat est là pour le surveiller. Léa lui propose d'emmener la voiture au garage pour qu'elle puisse être révisée. Il y a un biberon de préparé au cas où elle aurait du retard pour lui donner. Pat apprécie son aide, malgré quelques réticences. Il note sur un feuillet l'adresse du garage que lui Moco et le donne à sa femme.
Depuis l'accouchement, Léa fait très attention à sa silhouette, elle fait du sport à la maison et autour en courant.
Elle a retrouvé son poids d'avant. Son tour de poitrine est devenu un quatre-vingt-dix-sept D avec un tour de taille de soixante-dix et cent-dix de bassin. Le tout accentue une très appétissante silhouette en lui dessinant de belles courbes. Elle attire le regard des hommes qu'elle croise. Pat adore quand d'autres personnes la dévorent des yeux. Être avec une femme telle que Léa le valorise.
Elle a défini son programme de l'après-midi. Elle va s'occuper de la voiture, ensuite faire les magasins pour trouver de la lingerie osée pour pimenter leur vie sexuelle. Elle trouve le garage à l'adresse indiquée par Pat, elle est arrivée au bon endroit. Elle s'arrête devant la grande porte ouverte, un mécano lui fait signe de rentrer la voiture sur le pont mobile. La clarté du garage diminue, un deuxième mécano vient de refermer la grande porte.
L'un des deux mécanos lui demande de quoi elle a besoin. Elle lui dit que son mari l'envoie ici pour faire la vidange du moteur, changé les pneus, vérifier les freins et autre chose si c'est nécessaire. Léa est très fière de cette rappelée tous les point que son mari lui a indiqués.
On lui propose de s’asseoir dans un coin du garage où il y a quatre chaises et une petite table garnie de magazine de toute sorte. Elle s'installe sur la chaise qui lui semble la moins crasseuse. Elle regarde les mécanos s’affairer sur la voiture. Elle ne se sent pas du tout à l'aise dans ce coin du garage. Depuis, qu'elle est descendue de voiture, elle entend un chien couiner derrière une porte. Elle se demande comment son mari a-t-il pu connaître ce garage dans ce quartier douteux ?
La voiture sur le pont change de pneu et est vidangée.
Léa fouille dans les magazines sur la table, elle en sort un qui est un magazine de charme. Elle jette un œil vers la voiture, d'où elle est, les mécanos ne peuvent voir ce qu'elle lit. De page en page, elle remue sur sa chaise. Les photos et les commentaires commencent à l'exciter, elle humidifie son string ficelle, les pointes de ses seins durcissent. Les parties de baise avec Moco et ses amis lui manque.
Les photos du magazine et les deux mécanos qui sont des hommes noirs lui font remonter des souvenirs excitants.
Le plus vieux des deux mécanos vient en souriant, lui donner la facture des réparations. Elle referme vite le magazine qu'elle regardait. Elle lui tend sa carte bleue retirée de son sac à main. Quelques minutes plus tard, il revient vers Léa.
- Excusez-moi madame ? Mais votre carte bleue est rejetée ? Vous avez un autre moyen de paiement ? Léa se confond en excuses et fouille dans son sac à main. Pas de carnet de chèques et encore moins de billets correspondant à la sommes réclamée, qu'elle tend au mécano. - C'est très loin de faire le compte ? Je crois, nous sommes obligés de garder la voiture le temps que la facture soit réglée.
- Je suis désolé, mais je n'ai rien de plus et j'habite trop loin de votre garage pour repartir à pied. Laissez-moi téléphoner à mon mari pour qu'il fasse quelque chose pour vous régler.
A ce moment, l'autre mécano se joint à eux et il saisit le sac de Léa. Il fouille dedans, sort les papiers d’identité de Léa et de la voiture.
- Au moins, on sait à qui on a affaire ?
- Mais, qu'est-ce que je peux faire pour vous convaincre, que vous serez payé intégralement ? - Bon ? Voilà, c'est simple, on va vous faire payer en nature ! Sans perdre un instant, le plus jeune passe derrière Léa pour lui immobiliser les bras dans le dos. Alors, l'autre mécano pose ses mains sur les seins de Léa et se met à les malaxer. Des larmes se mettent à couler sur le visage de Léa.
Ensuite, il passe ses mains sous sa robe et commence à la remonter jusqu'au-dessus de ses seins. Celui qui est derrière elle, libère ses bras et continu de remonter sa robe par-dessus sa tête. Machinalement, dans la confusion, elle lève les bras pour aider à enlever sa robe. Profitant qu'elle a les bras en l'air prisonniers de la robe, celui de devant lui descend son string. Encore dans la confusion, elle lève un par un ses pieds pour libérer le string.
Les bras de Léa retombent le long de son corps. Le jeune lui dégrafe le soutien-gorge, il reste coincé sous ses seins lourds. Celui de devant qui lui a enlevé son string, le porte a son nez. - Elle mouille la salope, elle sent bon la chienne en chaleur ! Puis, il force sur les épaules de Léa à s'agenouiller devant lui, au moment où il baisse son pantalon pour en sortir sa queue. Léa reste béa devant cette bite noire, un peu plus grosse que celle de Moco.
- Oh ! Ne t'en fais pas, la sienne est bien plus grosse que ça. Moi, c'est juste un hors-d’œuvre, suce !
Sans un mot de plus, il lui saisit le haut de la tête et lui enfonce sa queue dans la bouche. Léa tire la langue pour faciliter l'intrusion de sa bite. Alors, il continue de l'enfoncer dans sa gorge, jusqu'à ce qu'elle s'étouffe avec son nez dans les poils du pubis du mécano. Après, avoir bien abusé de la bouche de Léa, il laisse la place à l'autre jeune mécano. Sa queue est vraiment bien plus grosse que celle du premier. Avec Moco, elle a appris à bien sucer une bite. Donc, elle va satisfaire les deux mécanos rapidement pour être libre, pense-t-elle.
Elle suce, aspire, avale en gorge profonde, même la plus grosse. Elle lèche aussi leurs couilles, sentant la sueur. Pendant qu'elle suce le plus jeune, l'autre s’affaire dans la pièce d’à côté. Ensuite, le jeune mécano la relève et l'emmène dans la pièce d'à côté. En rentrant, elle voit un matelas au milieu et le dos au mur une caméra entourée de deux projecteurs. Dans le coin de la pièce, il y a une porte fermée, d'où viennent les jappements du chien qu'elle entendait dans l'atelier. - Souris à la caméra ? Ici, c'est le coin avec lequel les femmes et les hommes payent leur facture en nature.
Voyant, leur air déterminé des deux mécanos devant la porte. Elle se résout à se soumettre à leur désir. Après tout, elle avait déjà cédé à la volonté de Moco, de la partager avec ses amis. Que de très bon souvenir de sandwich entre deux hommes. Le jeune sort un portable, d'on ne sait où, ils sont tous les trois nus. Il met de la musique, ainsi l'autre mécano demande à Léa de se pavaner dans la pièce avec une mine réjouit. Voilà, notre Léa se tortille sur ses escarpins à talons hauts devant les deux hommes et la caméra.
Être nue devant ses deux hommes ne lui pose plus de problème. D'être baisée par les deux mécanos non plus. A force de s’exhiber comme une pute, humidifie sa grotte d'amour.
- Allez, c'est bon ? Allonge-toi sur le matelas et écarte tes cuisses.
Tout de suite, le mécano place son visage entre les cuisses de l'allongée. Il entreprend de lui bouffer la moule, il y introduit deux doigts qu'il agite, pendant que son autre main lui triture un sein.
Au bout de quelques minutes, elle râle un peu de plaisir. Alors, il se met en position pour la baiser. Il gifle plusieurs fois l'entrée de sa moule avec sa queue, avant de mettre le gland à l'entrée du puits d'amour de Léa.
Il se couche pratiquement sur elle. Lorsqu'elle sent la queue s'introduire dans son ventre. Elle pousse un long râle rauque de satisfaction. Croyant, qu'elle va crier, il colle sa bouche sur celle de Léa. Il est étonné, car elle ouvre sa bouche et aspire sa langue pour un baiser d'amoureux. Alors, lentement, il commence à faire des va-et-vient dans le ventre de Léa. Ensuite, plus ils s'embrassent, plus il accélère le rythme de la baise. Plus il la baise, plus elle sent un orgasme venir. Il est là, il éclate, elle jouit bruyamment. Devant le plaisir qu'il donne à cette femme, il se déchaîne sur elle vigoureusement.
Lorsqu'elle sent et l'entend jouir dans son puits d'amour, elle a aussi un autre orgasme, pour le plaisir qu'elle donne et reçoit. Ils s'embrassent en mélangeant leur langue et leur salive, tout le temps qu'ils restent souder ensemble. Quand il se retire, son sperme ruisselle de sa moule béante. Cependant, elle n'ignore pas que la majeure partie sa semence tapisse le col de son utérus.
Le jeune mécano se fait pomper par la bouche de Léa, le temps que sa moule dégorge de sperme. Elle a du mal au début, car sa queue fait au moins dix centimètres de plus en longueur que son collègue d'avant. Elle est aussi plus épaisse.
La queue bien raide dans la gueule de Léa, il se couche sur elle pour aussi la baiser. Contre toute attente, sa queue pénètre facilement dans la moule baveuse lubrifiée du sperme de premier baiseur.
Il imite son collègue, au premier râle de Léa, il colle sa bouche à la sienne. Ils mélangent leur langue et leur salive et étouffent les deux orgasmes de Léa pendant un bon quart d'heure de baise. Le troisième orgasme de Léa éclate à l'air libre lorsqu'il jouit dans son ventre, mélangeant son sperme au restant de son collègue.
Léa reste allongée sur le matelas, elle récupère son souffle, pendant que les deux mécanos se rhabillent.
- Tu n'as pas encore fini d'éponger la dette des réparations de la voiture. Va te laver la moule dans les toilettes du garage ?
Léa se lève péniblement, elle cherche des yeux sa robe et ses sous-vêtements. - On te les rendra quand tu auras remboursé la facture ? C'est nu qu'elle se dirige vers les toilettes. Heureusement que la grande porte est fermée, ça la rassure. Dans les toilettes, il n'y a qu'un lavabo et une serviette de pas trop sale. A côté du lavabo, il y a un robinet mural avec un tuyau d'arrosage. Elle se lave la moule avec sa main droite et prenant son courage, elle rince l'intérieur de sa grotte d'amour avec le tuyau d'arrosage qu'elle enfonce le plus loin possible.
Le jeune la reconduit dans la pièce ?
- Assis toi sur le matelas, tient, tu t’essuieras la moule à chaque fois le prochain. Lui dit-il en lui lançant une serviette de toilette propre. - S'il vous plaît ? Que comptez-vous faire de moi ? Bêtement, elle espérait que les deux mécanos en avaient fini, qu'ils contacteraient son mari, où qu'ils la ramèneraient chez elle. - Ne t'inquiète pas ? On a notre combine pour récupérer le pognon que tu nous dois. - Ah ? Et comment ? En réponse à la question, le mécano se marre. - Je t'explique. A partir de maintenant, tu es notre pute et tu vas te faire baiser jusqu'à ce que l'on ait l'argent de ta facture et même plus.
Après un moment de réflexion, Léa se rend vite compte, que Moco lui avait sûrement fait faire la pute quand il amenait ses amis participer à leurs ébats. Donc, là, ça ne devrait pas être pire qu'avec Moco.
Après, un petit moment d'attente, le premier client entre. Elle lui taille une pipe et se laisse baiser. Ensuite, c'est l'escalade, les clients affluent. Alors, qu'elle est à quatre pattes sur le matelas, en train d'en pomper un tandis qu'un autre la prend en levrette. Moco pénètre dans la pièce avec une chaise à la main. Il s'assoit à côté du matelas, Léa occupé à avaler du sperme dans son corps ne l'a pas vu venir.
C'est fatigué, qu'elle voit Moco quand les deux derniers clients sortent de la pièce. - Oh ? Mon chéri, tu viens me délivrer de ses deux salauds ? - Je vois que tu as encore joui à te faire baiser par des hommes de ma race. Léa veut se lever pour venir se blottir dans ses bras et l'embrasser. - Non ! Reste à quatre pattes, c'est bien ta place de chienne. Je t'autorise de me faire une fellation. - Mais ? Pourquoi tu ne sors pas de là ? - Bon, que les choses soient très claires pour toi. Je suis le patron de ce garage et comme tu n'as pas payé la facture des réparations de votre voiture, mes deux mécanos ont fait ce qu'ils font à ceux qui ne payent pas. Ils t'ont baisé, mais ce n'était pas suffisant pour payer la facture. Alors, ils t'ont fait baiser par d'autres pour rembourser ta facture. Tu sais qu'on a un film qui montre que tu as adoré ça. Que tu t'es prostituée de ton plein gré en jouissant quelques fois. Si on montre ça aux flics, tu perds ton fils et ton mari et encore plus avec ce qui va suivre. Allez, la pipe maintenant.
Résignée à obéir, Léa se met à quatre pattes et avance vers Moco qui a sorti sa queue à l'air libre. Elle commence à emboucher la queue de son maquereau d'amant. Il pousse sa tête sur sa queue pour qu'elle l'avale complètement. Il lui met autour du cou un collier à chien qu'il referme avec un petit cadenas. Elle remue un peu la tête et tire son cou, mais soumise elle continu sa fellation. Léa suce la bite de son Moco, essaye d'entendre la conversation, car Moco a resserré ses cuisses, emprisonnant ses oreilles.
Deux, puis trois doigts enduits d'une étrange crème, investissent sa grotte d'amour Il la branle énergiquement et une chaleur, commence à lui faire monter un orgasme. Moco, a passé une main dans le collier comme pour bien la maintenir en place. Soudain, elle sent une très grosse queue à l'entrée de sa moule baveuse.
Léa reste figée, elle ne suce plus son amant. Moco reprend la tête de Léa et la force a reprendre sa bite en bouche, il l'immobilise à nouveau, et lui dit - Oh là ? Ma belle, un jour, tu m'as dit que tu ferais tout ce que je voudrais ? Alors, à présent, tu es ma pute.
Mais elle ne relève pas la tête pour autant, de toute manière la main posée sur sa nuque lui interdit tout mouvement de retrait, alors que Moco se met à aller et venir dans sa bouche accueillante.
En dépit de l'extraordinaire désir provoqué par la crème aphrodisiaques, Léa craint la douleur en se faisant embrocher, elle sent déjà qu'une énorme queue taraude l'entrée de sa chatte.
- MMMMM ! MMMM ! Gémit Léa, alors que l'énorme bite s'engouffre au plus profond de son intimité.
- ONONONON ! ONONON ! MMEEEE ! Pleurniche-t-elle, alors qu'il va-et-vient avec intensité dans ses profondeurs embrasées.
- RRRAAAAH ! ..RAAAARRRRAAA ! S'époumone t-elle, alors qu'il la cloue véritablement.
Alors, que la bite longue de trente cinq centimètres et de huit diamètres s'enfouit dans ses profondeurs utérines, Léa sent son vagin répondre à cet assaut, ses muqueuses se crispent et se décrispent sur la queue brûlante.
- OUOUOUOOOO ! OOUOUOUOU !
Peu à peu la douleur se transforme en plaisir, alors que l'épais braquemart coulisse de plus en plus facilement dans sa moule engorgée de cyprine.
Moco sourit en sentant qu'elle lui griffe les fesses de ses ongles manucurés, alors qu'il l'autre la laboure de plus belle.
Il adore la voir changer ainsi d'attitude, elle râle à présent.
- RRROOOUUUIIIIII ! RRROUUIIII !
Léa est submergée par un orgasme foudroyant.
Et alors qu'une myriade d'étincelles explosait dans sa tête accompagnant l'éjaculation de l'inconnu au plus profond de son intimité assouvie.
Léa se met à jouir comme jamais Moco l’a vu et de la voir jouir comme ça. Il lui envoie son sperme au fond de sa gorge, qu’elle avale en jouissant. Le trop plein de foutre s'écoule de leur point de jointure s'étalant sur ses cuisses puis sur le sol.
Moco lui dit que la facture des réparations n'est pas encore honorée entièrement. Donc, dès qu'ils lui demanderont de venir pour faire la pute, elle rappliquera sans perdre de temps. Lorsqu'elle appelle son mari avec le portable de Moco. Elle lui raconte que la révision prend plus de temps qu'il avait prévu. Qu'elle est pratiquement presque finie et qu'elle rentrera à la maison bientôt.
Léa retourne se faire un brin de toilette au lavabo et avec le tuyau d'arrosage. Au nom de son fils, elle supplie Moco de ne pas diffuser l'enregistrement de cette après midi. Une semaine plus tard, elle reçoit un petit colis pas la poste. Il s'agit de la vidéo que les deux mécanos de Moco ont fait d'elle. On la voit se faire baiser et jouir avec les deux mécanos. On voit aussi le défiler des clients venus la baiser par n'importe quel trou, avec l'application qu'elle a à remplir son rôle de pute.
Après qu'elle a visionné le film, elle est forcée de constater que ce dernier l'a follement excité, surtout avec la très grosse bite accompagnée de crème. Elle se sent prête à recommencer avec la grosse queue. Elle se doute bien que ce film plairait beaucoup à son mari. Il serait ravi de savoir que sa femme a fait la pute pour Moco et il voudrait à coup sûr la voir se faire baiser par la très grosse queue.
Depuis maintenant deux mois, Léa vient faire la pute dans le garage de Moco. Bien que la dette soit épongée, elle se plaît dans son rôle de pute. Le plus jouissif pour elle, c'est lorsqu'elle se fait baiser à présent par deux ou trois très grosse queues. Moco empoche alors d'énormes sommes d'argent payé par les spectateurs. Il vend aussi les vidéos qui partent en Asie.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vous vous prenez pour 1 poule !!! 🤣😂
Vous êtes parti d’un viol à la base !!! 🤬
Vous êtes parti d’un viol à la base !!! 🤬
cot cot cot coot
décidement vous etes tombé bien bas, la femme vient d'accoucher, fait la pute avec le risque de tomber enceinte et de ramener 1 merde d'IST à son fils ou à son mari.
Mais en plus elle est assez conne pour accepter de continuer de se prostituer comme ça tranquille, vous n'etes pas la chips la plus craquante du sachet quoi vous n'avez pas la lumière à tout les étages !!!
Bref vous avez le QI d'une poule pour écrire des conneries comme celle çi.
Mais en plus elle est assez conne pour accepter de continuer de se prostituer comme ça tranquille, vous n'etes pas la chips la plus craquante du sachet quoi vous n'avez pas la lumière à tout les étages !!!
Bref vous avez le QI d'une poule pour écrire des conneries comme celle çi.