Moco le chauffeur de taxi 4
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Moco le chauffeur de taxi 4
Pat reprend la main.
Pat s'aperçoit que sa femme utilise des serviettes hygiéniques. Alors qu'elle semble ne pas être indisposée, car elle n'en porte pas le soir, la nuit et le matin ? Il décide de jouet au détective, il va l'espionner. Il prend une journée de RTT. Il part ce matin pour le travail comme d'habitude. Mais, gare sa voiture dans un autre quartier et revient surveiller sa maison discrètement. De toute la matinée, il ne ce passe rien d’inhabituel. Après le repas de midi, il abandonne sa surveillance. Il a faim, alors il se dirige toujours aussi discrètement vers sa voiture. Soudain, il voit le taxi de Moco passé dans la rue ? Il court direction la maison. Oh, oui, il voit bien le taxi de Moco stationner devant son garage ?
Il sort de la maison, suivit de Léa avec le petit Léo dans les bras. Ils montent tous les trois dans le taxi. Pat se retourne et court à sa voiture. A peine rentré dans l'habitacle, qu'il voit dans le rétro passé derrière lui le taxi de Moco avec sa femme côté passager. Une marche arrière et il se lance à leur poursuite.
Arrivé à l'entrée d'un quartier qui craint, le taxi rentre dans l'atelier d'un garage. Un homme noir referme la grande porte. Pat désire voir ce qui se passe à l'intérieur. Il y a des vasistas un peu haut sur le côté de la petite rue parallèle à la façade.
Il y approche sa voiture, le côté droit affleure du mur. Il se résout à monter sur le toit de sa voiture pour attendre deux vasistas. Un regarde dans l'atelier d'où on peut voir le taxi. L'autre regarde sur une pièce dans laquelle il y a un lit pour deux avec un matelas recouvert d'une housse. Il est étonné de voir qu'adossé au mur face au lit, il y a une caméra sur pied entourée de deux projecteurs.
Léa est là avec Léo dans les bras avec à ses pieds le sac de change pour Léo. Une femme noire qui embrasse Léa sur la bouche, lui retire Léo des bras. La môme lui sourit en se blottissant dans ses bras. On voit bien que ce n'est pas la première fois qu'ils sont réunis. Moco, entraîne Léa dans la pièce adjacente. Elle l'embrasse d'un baiser d'amoureuse pendant qu'il la déshabille. Pat voit bien qu'elle est là, consentante, Moco allongé sur le lit, elle le chevauche et un mécano vient le prendre en sandwich.
Après, l'avoir bien baisée, ils sont remplacés par deux autres hommes de couleur qui là prennent aussi en sandwich. Pat bande à regarder sa femme se faire baiser à la chaîne. Il n'en verra pas plus. Car, des gamins crient et lui jettent des pierres en le traitant de voyeur pervers. Il descend rapidement du toit de sa voiture et s'échappe aussitôt.
Arrivé chez lui, il fouille dans les affaires de sa femme. Dans le tiroir de ses culottes, il trouve un DVD bien caché au fond.
Affalé dans un fauteuil avec un verre d'alcool à la main et sa queue dans l'autre. Il regarde le DVD ou il voit sa femme jouir de se faire sauter par beaucoup d'hommes différents. Il n'est pas arrivé à l'épisode avec la très grosse bite, que sa femme rentre à la maison avec Léo dans les bras. Elle est surprise de voir Pat la bite en à l'air, quand elle tourne la tête vers l'écran de la télévision, elle comprend la scène qui se trouve devant elle.
Léa, inquiète, va coucher le petit dans son lit parapluie et retourne voir son mari dans le salon.
- Peux-tu m'expliquer ce que je viens de voir ? Tu continues de te faire baiser par Moco et ses acolytes ? Nous avions dit que tu ne forniquerais plus avec lui, après ton accouchement ? Sur l'écran, Léa voit que le film arrive à l'épisode de la grosse queue.
- Éteint ça tout de suite ! Je vais t'expliquer la situation. Pat éteint l'écran juste avant la scène de la défonce de la chatte.
Léa lui narre ce qui s'est passé lors de la révision de la voiture et lui apprend que le garage conseillé par Moco, qu'il en est le patron.
Qu'elle est de nouveau enceinte, mais comme Moco la prostitue dans son garage et que ses clients ne prennent pas de préservatif, car il lui affirme qu'ils sont tous sains. Alors, elle ne s'est pas qui est le géniteur de l'enfant à venir.
Pat, frustré, se lève d'un coup de rein. Il prend le bord de la robe et la remonte vivement par-dessus les épaules de sa femme. Il a la réponse à sa question. Une serviette hygiénique tapisse le fond de la petite culotte de Léa pour empêcher que le restant du sperme de ses clients qui suinte de ses deux puits d'amour ne tâche le sous-vêtement.
Pat fait passer totalement la robe de sa femme par-dessus sa tête. Elle empoigne la bite de son mari qui est encore à l'air libre.
- Mon salaud ? De voir ta femme se faire baiser te fait bander ! Tu es jaloux ? Que ce n'est pas toi qui me prostitues. Tu voudrais que ce soit toi que l'on paye pour coucher avec moi ? En aurais-tu le courage ? Je suis toute à toi si tu oses. Léa a prononcé ses mots intentionnellement en regardant Pat dans les yeux. - Puisque tu me le proposes, si tu en as envie et que la somme est correcte ? Y a qu'à ? on y va ? - Combien-crois tu qu'un gars serait prêt à payer pour me sauter ?
Pat lui répond le sourire aux lèvres. - Ça dépend de ce que tu lui laisses te faire ? Par-devant, ce n'est pas le même prix que la sodomie ou la pipe. Ça peut aller de cinquante euros à cent cinquante euros, et plus avec des suppléments. - Tu n'es pas vraiment un bon maquereau, tu trouves que la marchandise ne vaut pas plus ? Claironne en enlevant son soutient gorge et sa petite culotte. - Demain soir, on fait venir la baby-sitter à vingt heures et on va étrenner le break que je viens d'acheter.
- OH ? Oui ! Je t'aime mon cœur chéri.
Léa s'accroupit devant pat et embouche sa queue en lui taillant une pipe mémorable. Elle lui enfonce le majeur dans l'anus. Lorsqu'il jouit dans sa gorge et elle avale toute sa semence.
Ce soir, la baby-sitter est là, après les recommandations d'usage. Ensuite, Léa et Pat montent dans leur voiture break qu'il a préparé en transformant la banquette arrière en couchette.
Les voilà dans les rues de la préfecture de leur département qui se trouve à plus d'une centaine de kilomètres de leur petite ville.
Léa s'est habillée d'une robe légère qui s'ouvre sur le devant. Elle ne porte pas de soutien-gorge et avec les sursauts de la voiture, ses gros seins bougent, tressautent, ça fait bander Pat à mort.
Il stoppe à un feu rouge, Léa se penche vers lui et l'embrasse dans le cou. Ensuite, elle remonte jusqu'à son oreille, qu'elle lèche et ensuite, elle lui mordille le lobe et le suce.
- Je t'aime mon amour, je suis ta pute à présent, tu peux faire de moi tout ce que tu désires. Je le ferai. Intérieurement, Pat rayonne, depuis qu'il a assisté au viol de sa femme par le chauffeur de taxi qu'est Moco. Il n'a plus qu'une idée en tête : La faire baiser par d'autres devant lui et pour lui. Il désire plus que tout, la pendre en sandwich avec d'autres hommes, blancs ou noirs peu importe.
- Je te prends au mot ma chérie ? Je fais le faire, puisque tu me le demandes.
Elle est devenue une représentation de la décadence féminine. Elle remonte sa robe jusque sous ses seins en écartant très largement ses cuisses ? Une main descend sur sa moule et elle commence à la frotter dans un bruit mouillé. Après, plusieurs râles de plaisir, elle délaisse sa moule et baisse le haut de sa robe, libérant ses seins. Elle les malaxe, triture et étire ses tétons qui pointent.
Pat respire de plus en plus vite, il a du mal à être attentionné a la conduite de l'auto.
Il est temps de mettre en pratique ce qu'ils espèrent, alors Pat s'arrête devant un bar fréquenté par beaucoup de soudards.
- Allez viens ? On va voir de quoi on est capable tous les deux ? Dit Pat en ouvrant sa portière.
- OK ! Répond Léa en se retournant vers Pat, avec un sourire narquois.
Elle rajuste sa robe pour être plus décente et descend de l'auto. - Tu n'est qu'une petite pute ? Lui dit Pat en lui prenant la main.
- Oui, mais tu l'aimes. Ta pute ? Elle te fait jouir, ta petite salope et t'aime ça mon cochon adoré ! Dit-elle assez fort.
Jamais Pat n'aurait pu croire, qu'elle aurait cette attitude de pute, compte tenu de son éducation.
Ils s'installent au fond de la salle, pas loin du couple, il y a une table de cinq types. Ils ne se privent pas de mater Léa. Et Pat ne leur en veut pas du tout, bien au contraire.
- Tu as vu chérie, tu as l'air de leur plaire. Lui dit Pat.
- Oui ? J'ai remarqué. Dit-elle.
- Alors, montre-leur ce que tu caches sous ta robe ?
- Oh ! mon chéri, ça fait un moment qu'ils ont une belle vue sur ma chatte. Lui dit elle en riant.
Pat se retrouve pris au dépourvu. Sa femme excite déjà des hommes. Il ne peut plus reculer. - Tu les veux comme nos premiers clients ? Je me trompe ? Qu'il lui demande.
- Oui ? Si tu le veux. Qu'elle lui répond en le jaugeant du regard
- Bon ? Je vais leur proposer, ma pute, qui fera ce qu'ils ont envie. Et, que je regarderai. Lui dit-il.
Léa soutient son regard, se demandant s'il va le faire ou pas. Mais, il va la jetée en pâture à des inconnus la première fois à si grand nombre d'un coup.
- Tu ferais ça ? Lui dit elle en le défiant.
- Je vais même le faire, je vais aller leur proposer. Lui répond Pat en lui prenant la main.
Léa se met à trembler légèrement ainsi que sa lèvre inférieure. Elle regarde les mecs du coin de l’œil. Pat a un moment de flottement. Allait-il trop loin ?
Il se lève et se dirige vers la table des cinq gars. Pat sent en s'approchant qu'ils sont sur le qui vive, pensant sans doute qu'il va les engueuler parce qu'ils matent ma femme.
Les cinq types sont d'ages divers. L'un d'eux a passé la cinquantaine, bedonnant, c'est le type même du routier. Les autres plus jeunes, l'un surtout est à peu près de son âge. Ce sont des gars qui bossent. Le plus jeune est beau mec, les autres sont du monsieur tout le monde.
- Bonjour ! Messieurs. Commence à leur dire Pat.
- Qu’est-ce que tu veux toi ? dit le plus jeune. De la main, le plus âgé l’empêche de se lever.
- J'ai juste un truc à vous proposer ? J'ai vu que vous aviez l'air de trouver ma femme plutôt agréable à regarder. Répond inquiet Pat.
- Ouais ! Et elle n'a qu'à s'habiller autrement, si tu ne veux pas qu'on la mate. Dit un gars à sa droite.
- Ce n'est pas un problème, bien au contraire. Commence par leur dire Pat.
- Alors, tu veux quoi ? Demande le vieux.
- Bon, ma femme à l'aire de vous avoir tapé dans l’œil. Ça vous plairez d'en voir plus ? Et si vous avez envie de vous la faire ? Renchéris Pat toujours aussi mal à l'aise.
- Quoi ? Attend ? Tu es qui ? Son mac ? Clame l'ancien.
Pat lui fit signe que non de la main avant de reprendre la parole rapidement.
- Non ! Je suis son mari, on est un couple, un peu spécial, on aime les choses étranges et on a besoin d'argent. Elle peut se faire baiser par vous cinq. Mais, moi, je mate, alors si ça vous tente. Elle fait tout ce que je demande. Elle est très soumise et ça la branche aussi. Explique Pat angoissé.
Les types se regardent, s'interrogent du regard. Ils semblent ne pas croire à sa proposition. Il faut bien l'avouer, que ce n'est pas tous les jours qu'on vous aborde pour un tel truc.
- C'est quoi cette connerie ? Tu te moques de nous ou quoi. C'est dément ton truc. Vous êtes dans la dèche autant que ça pour que tu prostitues ta femme ? Demande l'ancien.
- Oh ! Je suis sérieux, écoutez ? Je ne veux pas vous emmerder, c'est juste une proposition, c'est tout. Si vous ne voulez pas, on repart, c'est tout. Arrive à dire difficilement Pat.
- OK ! on va voir ? Dit l'ancien en regardant tour à tour ses potes.
Pat leur tourne le dos et rejoint Léa à leur table.
- Alors ? Demande-t-elle.
- Je ne sais pas, ils se méfient. Fais leur signe pour montrer que tu es partante ?
Léa fait un petit signe de la main et leur envoie un bisou. Elle semble nerveuse en les regardant.
- Ça va ? Tu as peur ? Lui demande Pat
- Oui, un peu quand même. D'habitude ça se passe dans le garage de Moco. Je suis juste là pour me faire baiser et je ne sais rien de ce qui se trame en dehors de la pièce ou je suis. A la maison, ça devait être pareil ? Avoue Léa.
- Si tu ne veux plus ? Dis-le ? Et on remonte dans la voiture. Propose Pat.
- Oh ! Non, je t'ai dit que je ferais la pute pour toi et tout ce que tu veux que je fasse ? Dis-moi ? Ordonne ! Dit-elle d'une voix assez peu assurée.
Pat comprend qu'elle en a envie, qu'elle osera, mais qu'il lui faut l'impulsion que seul Pat peut lui donner. Elle veut qu'il lui demande, qu'il l'oblige.
- Oh que Oui ? Tu vas le faire. Tu es ma pute et je veux te voir avec ces mecs. Tu vas baiser avec eux. Que je lui enjoins en fronçant les sourcils.
- Oh ? Elle ne veut plus ? Demande une voie forte à côté de moi.
C'est l'ancien qui parle, il surprend Pat en faisant le tour de la salle. - Quel prix vous demandez ? - Heu ? Cent euros par l'entrée de devant ou cent cinquante pour l'entrée de derrière. - Ok ! Ça nous va et elle fait des pipes ? - Oui ! Cent euros et elle avale la fumée. - Bon ? On est d'accord. Nous sommes des déménageurs et nous avons un camion à côté avec de la place et il y a aussi un lit avec un matelas. On va le recouvrir d'un plastique pour que la dame ne le tâche pas. D'accord ? On y va ?
- Non, aucun problème. Madame est à votre disposition. Répond Pat.
Pat laisse l'argent de la boisson sur la table. Et prend sa femme par la main. Ils suivent le groupe des déménageurs. Ils montent à l'arrière du camion. Pendant que deux jeunes s'affairent à mettre une toile de plastique sur le double lit, qu'ils ont déplié. L'ancien demande à voir la marchandise avant de payer.
- Oui ! Viens là ma chérie ? Je vous présente ma femme, enfin ma pute Léa. Proclame Pat.
Il déboutonne la robe de sa femme, laissant s'échapper ses beaux seins.
Les types ont les yeux qui leur sortent de la tête, ils sont estomaqués par la beauté de Léa. Leurs regards semblent jauger la marchandise. Et, lorsqu'elle enlève son string, le plus jeune parais plus impressionné encore. Les gars se parlent à l'oreille.
Pat encaisse cinq cents euros que lui donne l'ancien en lui disant qu'il aura plus tard les suppléments s'il y en a ? Léa nue, elle s'approche des mecs.
- Elle est belle ? Dit le jeune.
- Ah ! tu ne dois pas t'ennuyer ? Dit un autre à l'attention de Pat.
Léa pose sa main sur les braguettes de l'ancien et du jeune. Les autres commencent à la toucher timidement, puis s'enhardissent. Passant leurs mains sur ses fesses, sur ses seins, entre ses cuisses. Léa se laisse aller, gouttant la sensation d'être désirée par tous ces hommes. Visiblement, ils ont envie, car des bosses commencent à être perceptibles sous les pantalons. Même celui de son mari, il est surpris de l'intensité de son excitation à voir sa femme aux mains de ces gars.
- Allez la pute, fait ton travail, fais leur plaisir ? Lui ordonne son mari.
Les mecs le regardent presque sidérés de la façon dont il agit. Il a même l’impression que l'ancien le regarde avec un œil plutôt réprobateur.
Léa ouvre les braguettes des mecs et sort deux queues, celle du jeune et un autre.
Le jeune a une queue assez impressionnante, pas moins de vingt cm et une épaisseur en rapport. L'autre gars est moins bien pourvu. Elle a les mains occupées, les autres queues sortent maintenant des braguettes.
Elle engloutit la queue du jeune et les coins de sa bouche sont distendus, elle le pompe. Tandis qu'elle prend dans ses mains les queues de l'ancien et d'un autre gars. Les deux autres sont assez proches pour que de temps à autre, elle les prend à son tour dans sa bouche.
- Ah la vache ! Elle suce bien ! Oh, oui, continue ? Clame le jeune.
- Et moi, ne m'oublie pas ? Dit l'autre.
Pat s'approche par-derrière et passe une main entre les cuisses de sa femme ? Elle mouille naturellement, il en ressort les doigts trempés.
- Viens mon chéri, viens ? Tu es bien dure, baise-moi. Demande Léa au jeune.
- Des capotes ? Je n'en ai pas ! Dit-il penaud.
- M'en fous, tu as payé, alors baise-moi. Murmure Léa.
Il ne se fait pas prier. Il la pousse vers le lit ou elle tombe plié, les bras tendus. Les deux jambes écartées avec les pieds au sol. Il s'installe derrière elle et sans chercher et d'un coup de rein lui plante sa queue dans la chatte. Elle émet alors un râle de satisfaction.
- Ouah ! elle est bonne ? Elle est bouillante ? S'exclame le jeune.
Il donne de grands coups de reins en tenant Léa aux hanches. Il lui met même de petites claques sur les fesses.
A grand de coups de reins, rapidement, il est sur le point de jouir.
- Je vais partir ! je vais partir ! Qu'il beugle en faisant mine de se retirer.
Léa recule sa croupe et s'empale à fond.
- Non ! Balance-moi tout, je suis une putain, met-moi tout dans la chatte. Clame-t-elle
Il ne se fait pas prier et en quelques aller et retour, c'est plié. Il balance de grosses giclées dans la grotte de Léa. Qui remue sa croupe en sentant le sperme lui inonder son puits d'amour. Le gars se retire, une longue coulée blanche s'échappe de la moule béante de la pute. Cette image et aussi celle des mecs qui s'agitent autour de sa femme, s'imprime sur la rétine de Pat. Ainsi que la trace noirâtre de poussière déposée là par une main, sur sa fesse gauche.
Elle reste là, pliée, la croupe tendue, les deux bras tendus, avec les mains sur le lit.
- Hum, c'est bon, à qui le tour ? Demande Léa déchaînée.
L'ancien s'installe derrière elle et lui tape sur l'épaule. Il proclame.
- J'ai payé le supplément pour te prendre par le petit. Qu'il exige très gentiment.
- Oh ? Oui mon chéri, encule-moi, j'adore ça ! Dit-elle en le regardant par-dessus son épaule.
Il enfonce sa queue lentement en savourant ce cul qui l'accueille.
Un des déménageurs interroge Pat. - Vous devez être dans une sacrée dèche pour que tu prostitues ta femme. C'est la première fois ? - Oui, c'est la première fois qu'elle fait la pute pour moi. Pat ne ment qu'à moitié, c'est bien la première fois qu'il lui fait faire la pute, mais pour elle ce n'est pas la première fois qu'elle fait ça. Il est hyper excité d'assister à ça. Le jeune se rajuste et encourage ses potes.
- Vas-y Étienne, bourre-lui bien le cul ? Qu'il clame à l'attention de l'ancien qui encule Léa avec art.
Les déménageurs s'en donnent à cœur joie. L'ancien défonce le cul de Léa qui pompe tour à tour les autres queues.
- Allez Étienne, on la prend des deux côtés ensemble ? Propose un gars.
L'ancien sort de son anus et s'allonge sur le lit, puis il attrape la pute d'épouse par la taille et la fait s'empaler sur sa queue en passant de son anus à sa moule. Un des gars vient le remplacer dans l'anus de Léa qui aspire toujours le nœud des deux autres mecs.
- Oh ? Quelle pute ? quelle pute ? Je n'en ai jamais tiré une comme ça ? Proclame celui qui lui prend l'anus.
- Elle est toujours comme ça ? Demande à Pat le jeune. Il ne perd pas une miette de la scène. Il a ressorti sa queue et se branle.
- Oh oui et encore, là, elle est calme. Lui répond Pat.
Les deux qui prennent Léa en sandwich commencent à arriver au bout de leur résistance. Elle prend visiblement son pied. Elle pousse des râles en suçant et branlant, les autres.
- Oh la salope ! elle va me faire partir ? Râle l'ancien.
- Allez-y mes salauds ? Baisez-moi ! Je JOUIIIS ! JE JOUIIIS ! Clame-t elle en se démenant en lançant sa croupe contre les queues qui la pistonne.
- Tiens ! prend tout ! Ahane celui qui l'encule avant de donner une dernière ruade qui enfouit sa queue au fond du boyau pour y décharger toute sa semence.
L'ancien lui aussi, lui garnit copieusement la moule, on voit la mouille grasse de la pute se mêler au sperme qui dégouline. Elle regarde le gars qui s'agenouille sur le bord du lit.
- Moi, je veux jouir dans ta bouche ? Dit-il en approchant sa queue de la bouche de Léa.
Les précédents laissent la place. Le cul et la chatte de la pute Léa sont largement ouverts, luisants de sperme et de mouille. Un gars enfonce sa queue sans y regarder dans la chatte ruisselante. Il clame. - Ah les mecs ? Vous l'avez bien fourrée ! Ça glisse !
- Mets les chaînes ? Dit l'ancien et tape sur l'épaule du mari maquereau. - Tu te n'es pas foutu de notre gueule, un truc comme ça ne met jamais arrivé. Ensuite, baissant la voix. - C'est vrai que vous avez besoin de fric, car on voit qu'elle aime que tu la prostitues ?
- Oui, c'est exact que l'on ait besoin de fric et je découvre qu'elle aime ça de faire la pute. J'ai eu un peu de mal à l'accepter, mais j’aime beaucoup maintenant. Tu pourras lui demander, si je la force ?
- Je la trouve géniale ta femme, alors je n'aimerais pas savoir que c'est toi seul qui la force à faire ça ? Répond l'ancien en regardant Pat d'un air un peu menaçant.
Le mec qui se fait sucer pousse un grognement lorsqu'il balance tout dans la bouche de Léa qui avale au fur et à mesure. Et quelques instants plus tard, l'autre gars lui fourre tout son sperme dans la moule en grommelant. - Ah la pute ! tiens prend ça !
Pat, totalement excité s'approche de sa femme que les mecs ont laissée, seule agenouillée, en sueur, les cuisses détrempées, ruisselantes, la bouche pleine de sperme.
Le voyant s'approcher, sa femme noue ses mains sur sa nuque.
- Contente d'avoir fait la pute ?
- Oh ! oui mon chéri, c'était bon ! Dit-elle.
- Ouvre ta bouche, allez en grand. Lui ordonne Pat.
Il entend un murmure du côté des gars. Pat crache dans la bouche de sa femme qui savoure sa salive.
Léa a les yeux qui brillent d'un feu intense. Elle aime la situation, elle est dans un état second. Elle voudrait encore continuer longtemps, mais il faut mettre un point final, à tout ça pour l'instant.
Pat discute un peu avec les gars, pendant que Léa s'essuie la croupe avec une serviette que lui a tendu l'ancien, ensuite, elle se rhabille. Ils leur demandent que s'ils repassent dans le coin. Ils seront un peu intéressés. Pat laisse son 06 à l'ancien, car si des fois, s'ils traînent dans la région, ils seraient les bienvenus.
On se dit au revoir. Léa, embrasse tout le monde, en fait elle roule une pelle à tous les gars.
L'ancien me prit à part.
- J'ai demandé à ta femme, tu as raison, elle aime faire ça et elle a l'air de t'avoir dans la peau. J'ai cru qu'elle allait m'arracher les yeux, quand je lui ai demandé si tu la traitais bien ?
- Passe-moi un coup de fil, si tu viens dans le coin. On sera content de t’avoir comme client.
Ensuite, chacun est parti de son côté.
En remontant en voiture, Léa se pend au cou de son mari et l'embrasse longuement avec fougue.
- Merci, mon chéri, tu as assuré comme un génial proxénète. C'était trop ! j'ai adoré être prise pour ta putain. Proclame Léa.
- Tu veux le refaire alors ? L'interroge son mari.
Elle hocha la tête pour dire oui et ajoute. - Tout de suite encore si tu le veux, je m'en lasserai pas pour toi.
Ils roulent dans des rues sombres. Pat s'arrête dans une petite rue où il y a un tas de contenaires de poubelles, il va vider sa vessie derrière l'un de. Quand il revient à la voiture, un grand homme noir discute avec sa femme par la fenêtre ouverte. Il se retourne pour regarder Pat. - Pat ? Monsieur veut connaître le prix pour une passe ? Il s'approche de la voiture, regarde sa femme et son futur client. - Cent euros par l'entrée de devant, cent cinquante pour l'entrée de derrière et pour une pipe, c'est Cent euros et elle avale la fumée. Il ne lui a fallu pas plus d'une seconde pour prendre sa décision. L'homme regarde la femme et son maquereau de mari avant de dire. - Je donne deux cents pour la prendre par-derrière, mais elle me suce avant ? Ok ?
Pat regarde une nouvelle fois sa femme qui hoche la tête en signe d’approbation. - OK ! Toi, la pute monte derrière et mets-toi à poil que monsieur puisse voir la marchandise. Moi, je reste au volant au cas où, il faut déguerpir. Ordonne Pat. Sans perdre un instant, Léa passe sur la banquette arrière dépliée en lit. L'homme vient s'asseoir à côté de la femme qui retire sa robe et son string. Une fois nue, elle enfourche l'homme noir. A cheval sur lui, elle branle activement sa pine qui sort de son pantalon. Pat voit une énorme et majestueuse bite noire, tellement plus grosse que celle de Moco, qu'il en est choqué.
Pat voit sa femme excitée, caresser la longue bite avant de soulever ses fesses pour en faire glisser le gland dans son entrecuisse. Son mari baisse sa tête entre les deux sièges avant ? Il voit la grosse pine s'enfoncer dans la moule de sa femme sans problème, sans douleur pour elle. Quand les fesses de sa femme s'écrasent sur les cuisses de l'homme noir. Elle colle sa bouche sur la sienne pour lui rouler une pelle. Pendant ce temps-là, avec une main, il fouille dans une poche de son pantalon et en sort deux billets de cinquante euros qu'il brandit vers l'avant du véhicule. - OK ! Pour le supplément ! Clame Pat en saisissant les billets. Léa se décolle de la bouche de son client. - C'est quoi ton petit nom ? - Moi ? C'est Lolo pour les intimes.
Ensuite, Lolo fait monter et descendre la moule de Léa sur sa grosse queue noire. Dans un mélange de grognements et de halètements. Pat se masturbe discrètement devant ce spectacle excitant. Léa commence à pousser des râles de plaisir de plus en plus fort, laissant échapper sans la moindre pudeur, ses plaisirs qui la consument. Lolo retire son polo et arrive en soulevant son fessier à retirer son pantalon avec le caleçon. Ensuite, la bouche de Lolo trouve rapidement les tétons dressés de la femme. Léa ne se comporte plus comme une pute, elle se comporte comme une vraie salope à présent. Son visage s'empourpre, alors que sa langue lèche le torse en sueur de Lolo. Elle embrasse ses tétons et les suce un par un.
Incroyable ? Elle enfouit son museau dans une aisselle de Lolo, pour lécher à grands coups de langue, ses sécrétions de sueur. Pat voit bien que Lolo n'a jamais vu une pute blanche se comporter ainsi. Alors, très tendrement, il enlace le visage de la pute entre ses mains. Il enroule ses doigts dans sa chevelure blonde. Il presse son visage entre ses grosses mains et l'attire vers le sien pour l'embrasser. Pendant qu'ils se roulent une pelle, Pat sûr enchéri. - Après t'avoir fait décharger, elle te la sucera pour que tu puisses l'enculer avec une queue bien raide.
A l'évocation de la pipe d'après la baise, Pat voit lolo se crisper et il comprend que Lolo ne va pas tarder à jouir, dans la moule élargie de sa pute adorée. Lolo attrape les fesses de Léa à pleine main et son index droit s'enfonce dans l'anus de la femme, pendant qu'il lui remplit son puits d'amour de son sperme. La situation insolite et excitante, provoque un orgasme foudroyant à la pute Léa. En entendant et voyant leurs bruyants râles de plaisir, Pat décharge dans le mouchoir qui recouvre sa queue.
Dans la voiture du couple, trois personnes qui viennent de prendre leur pied, reprennent leur souffle. Dix minutes plus tard, Léa se met à lécher la matraque noire de Lolo. Elle s’applique avec un tel amour et tant de concentration que l'on ne peut croire, qu'elle fait ça pour de l'argent. En raison de son indiscutable talent, la grosse bite flasque de Lolo commence à se redresser. De nouveau raide, il bascule Léa sur la banquette arrière pour entamer un soixante-neuf. Chose pas croyable, le client bouffe la moule de la pute qu'il vient d'engrosser. Quant t'as la pute Léa, cela ne lui suffit pas encore. Elle suce avec avidité le gourdin noir, le serrant fortement entre ses mâchoires.
Elle l'avale entièrement jusqu'au fond de sa gorge pour aspirer le sperme qui reste dedans. Lolo lui dévore la moule. En voyant comme elle se déhanche sur la langue de Lolo, il a la bonne technique pour s'occuper de son bouton d'amour. Pat peut voir le sperme de Lolo inonder la bouche de sa femme, qu'elle tente d'avaler complètement, pourtant il lui en sort sur le côté de la bouche. Épuisé et comblé, Lolo s'allonge sur le dos. - Tourne-toi et pompe-moi la queue pour qu'elle soit raide pour que je t'encule. J'ai payé pour le faire.
Sans hésitation, Léa se retourne et prend le boudin noir, mou et poisseux de Lolo dans sa bouche. Elle le lèche, l'aspire, le mordille et il remet à grossir pour la troisième fois. Lorsque la queue de Lolo est redevenue raide, il ordonne à la pute de Léa de faire volte face sur la banquette. Afin, de lui offrir en se cambrant au maximum, son généreux postérieur pour qu'il l'examine une nouvelle fois. Lolo, crache sur l'anus de la pute et y enfonce ses doigts sans le moindre ménagement pour assouplir l'entrée. La pute râle de plaisir d'être ainsi triturée. Après ça, il fait pénétrer son braquemart à présent rigide dans le rectum de l'épouse pute. A moitié enfoncé, il s'arrête et commande à la pute de ne plus bouger et de se tenir tranquille, car il bande comme un taureau à présent.
Là, accroupi derrière la pute d'épouse, d'une ultime poussée, il encule Léa jusqu'aux couilles. Il commence de la sodomiser énergiquement. Léa commence à râler de plaisir. Ensuite, il s'immobilise s'en rein faire, uniquement concentré sur sa respiration ? Il reste là sa grosse queue enfoncée dans le boyau de Léa. - HUMMM ! C'est chaud ? C'est bon ! Oh, oui, c'est ? ORH ! Mais, il me pisse dans mon ventre ! Ce salaud de Lolo, bien agrippé aux hanches de Léa, il urine dans les entrailles de l'épouse pute. Léa a l'air d'être en état de choc, tandis que le chaud liquide du pervers client noir emplit son boyau comme un super lavement anal.
Au fut et à mesure que l'urine brûlante remplit ses entrailles, Léa a la drôle de sensation que bientôt, elle sera prête à l'éjecter violemment. Pour Pat, c'est excitant de la voir se contorsionner pendant Lolo que son client noir se réjouit et se satisfait d'avoir baisé encore et encore cette putain blanche en la remplissant par tous ses orifices.
Lorsqu'il retire sa bite molle de l'anus de Léa, il l'enlace tendrement, et avec douceur, il embrasse la pute. L'épouse pute, toute étonnée par ce geste que son maquereau de mari. Lui rend affectueusement son baiser en lui roulant une pelle. Ensuite, il se décolle des lèvres de Léa et sort d'un bond de la voiture, laissant là le couple hors norme. Après que Lolo les a quittés, Léa se rhabille de sa robe chiffonnée. Elle se bourre l'anus avec son string entouré du mouchoir souillé de son mari, afin de garder toute la pisse de Lolo dans ses entrailles.
Après que sa femme s'est assise à l'avant à côté de son mari, il démarre la voiture et ils rentrent à leur domicile. Ils sont encore trop abasourdis par les événements de la soirée pour parler. Une fois à la maison, la baby-sitter remarque qu'il y a une chose qui sent mauvais. - Pat chéri ? Tu dédommages la baby-sitter pendant que je vais me changer, car je suis tombée le cul dans un truc immonde, ment-elle. Tout en disant cela, Léa se tourne vers son mari et lui fait un clin d’œil. La voilà tapineuse pour son mari et très fière de l'être.
Pat s'aperçoit que sa femme utilise des serviettes hygiéniques. Alors qu'elle semble ne pas être indisposée, car elle n'en porte pas le soir, la nuit et le matin ? Il décide de jouet au détective, il va l'espionner. Il prend une journée de RTT. Il part ce matin pour le travail comme d'habitude. Mais, gare sa voiture dans un autre quartier et revient surveiller sa maison discrètement. De toute la matinée, il ne ce passe rien d’inhabituel. Après le repas de midi, il abandonne sa surveillance. Il a faim, alors il se dirige toujours aussi discrètement vers sa voiture. Soudain, il voit le taxi de Moco passé dans la rue ? Il court direction la maison. Oh, oui, il voit bien le taxi de Moco stationner devant son garage ?
Il sort de la maison, suivit de Léa avec le petit Léo dans les bras. Ils montent tous les trois dans le taxi. Pat se retourne et court à sa voiture. A peine rentré dans l'habitacle, qu'il voit dans le rétro passé derrière lui le taxi de Moco avec sa femme côté passager. Une marche arrière et il se lance à leur poursuite.
Arrivé à l'entrée d'un quartier qui craint, le taxi rentre dans l'atelier d'un garage. Un homme noir referme la grande porte. Pat désire voir ce qui se passe à l'intérieur. Il y a des vasistas un peu haut sur le côté de la petite rue parallèle à la façade.
Il y approche sa voiture, le côté droit affleure du mur. Il se résout à monter sur le toit de sa voiture pour attendre deux vasistas. Un regarde dans l'atelier d'où on peut voir le taxi. L'autre regarde sur une pièce dans laquelle il y a un lit pour deux avec un matelas recouvert d'une housse. Il est étonné de voir qu'adossé au mur face au lit, il y a une caméra sur pied entourée de deux projecteurs.
Léa est là avec Léo dans les bras avec à ses pieds le sac de change pour Léo. Une femme noire qui embrasse Léa sur la bouche, lui retire Léo des bras. La môme lui sourit en se blottissant dans ses bras. On voit bien que ce n'est pas la première fois qu'ils sont réunis. Moco, entraîne Léa dans la pièce adjacente. Elle l'embrasse d'un baiser d'amoureuse pendant qu'il la déshabille. Pat voit bien qu'elle est là, consentante, Moco allongé sur le lit, elle le chevauche et un mécano vient le prendre en sandwich.
Après, l'avoir bien baisée, ils sont remplacés par deux autres hommes de couleur qui là prennent aussi en sandwich. Pat bande à regarder sa femme se faire baiser à la chaîne. Il n'en verra pas plus. Car, des gamins crient et lui jettent des pierres en le traitant de voyeur pervers. Il descend rapidement du toit de sa voiture et s'échappe aussitôt.
Arrivé chez lui, il fouille dans les affaires de sa femme. Dans le tiroir de ses culottes, il trouve un DVD bien caché au fond.
Affalé dans un fauteuil avec un verre d'alcool à la main et sa queue dans l'autre. Il regarde le DVD ou il voit sa femme jouir de se faire sauter par beaucoup d'hommes différents. Il n'est pas arrivé à l'épisode avec la très grosse bite, que sa femme rentre à la maison avec Léo dans les bras. Elle est surprise de voir Pat la bite en à l'air, quand elle tourne la tête vers l'écran de la télévision, elle comprend la scène qui se trouve devant elle.
Léa, inquiète, va coucher le petit dans son lit parapluie et retourne voir son mari dans le salon.
- Peux-tu m'expliquer ce que je viens de voir ? Tu continues de te faire baiser par Moco et ses acolytes ? Nous avions dit que tu ne forniquerais plus avec lui, après ton accouchement ? Sur l'écran, Léa voit que le film arrive à l'épisode de la grosse queue.
- Éteint ça tout de suite ! Je vais t'expliquer la situation. Pat éteint l'écran juste avant la scène de la défonce de la chatte.
Léa lui narre ce qui s'est passé lors de la révision de la voiture et lui apprend que le garage conseillé par Moco, qu'il en est le patron.
Qu'elle est de nouveau enceinte, mais comme Moco la prostitue dans son garage et que ses clients ne prennent pas de préservatif, car il lui affirme qu'ils sont tous sains. Alors, elle ne s'est pas qui est le géniteur de l'enfant à venir.
Pat, frustré, se lève d'un coup de rein. Il prend le bord de la robe et la remonte vivement par-dessus les épaules de sa femme. Il a la réponse à sa question. Une serviette hygiénique tapisse le fond de la petite culotte de Léa pour empêcher que le restant du sperme de ses clients qui suinte de ses deux puits d'amour ne tâche le sous-vêtement.
Pat fait passer totalement la robe de sa femme par-dessus sa tête. Elle empoigne la bite de son mari qui est encore à l'air libre.
- Mon salaud ? De voir ta femme se faire baiser te fait bander ! Tu es jaloux ? Que ce n'est pas toi qui me prostitues. Tu voudrais que ce soit toi que l'on paye pour coucher avec moi ? En aurais-tu le courage ? Je suis toute à toi si tu oses. Léa a prononcé ses mots intentionnellement en regardant Pat dans les yeux. - Puisque tu me le proposes, si tu en as envie et que la somme est correcte ? Y a qu'à ? on y va ? - Combien-crois tu qu'un gars serait prêt à payer pour me sauter ?
Pat lui répond le sourire aux lèvres. - Ça dépend de ce que tu lui laisses te faire ? Par-devant, ce n'est pas le même prix que la sodomie ou la pipe. Ça peut aller de cinquante euros à cent cinquante euros, et plus avec des suppléments. - Tu n'es pas vraiment un bon maquereau, tu trouves que la marchandise ne vaut pas plus ? Claironne en enlevant son soutient gorge et sa petite culotte. - Demain soir, on fait venir la baby-sitter à vingt heures et on va étrenner le break que je viens d'acheter.
- OH ? Oui ! Je t'aime mon cœur chéri.
Léa s'accroupit devant pat et embouche sa queue en lui taillant une pipe mémorable. Elle lui enfonce le majeur dans l'anus. Lorsqu'il jouit dans sa gorge et elle avale toute sa semence.
Ce soir, la baby-sitter est là, après les recommandations d'usage. Ensuite, Léa et Pat montent dans leur voiture break qu'il a préparé en transformant la banquette arrière en couchette.
Les voilà dans les rues de la préfecture de leur département qui se trouve à plus d'une centaine de kilomètres de leur petite ville.
Léa s'est habillée d'une robe légère qui s'ouvre sur le devant. Elle ne porte pas de soutien-gorge et avec les sursauts de la voiture, ses gros seins bougent, tressautent, ça fait bander Pat à mort.
Il stoppe à un feu rouge, Léa se penche vers lui et l'embrasse dans le cou. Ensuite, elle remonte jusqu'à son oreille, qu'elle lèche et ensuite, elle lui mordille le lobe et le suce.
- Je t'aime mon amour, je suis ta pute à présent, tu peux faire de moi tout ce que tu désires. Je le ferai. Intérieurement, Pat rayonne, depuis qu'il a assisté au viol de sa femme par le chauffeur de taxi qu'est Moco. Il n'a plus qu'une idée en tête : La faire baiser par d'autres devant lui et pour lui. Il désire plus que tout, la pendre en sandwich avec d'autres hommes, blancs ou noirs peu importe.
- Je te prends au mot ma chérie ? Je fais le faire, puisque tu me le demandes.
Elle est devenue une représentation de la décadence féminine. Elle remonte sa robe jusque sous ses seins en écartant très largement ses cuisses ? Une main descend sur sa moule et elle commence à la frotter dans un bruit mouillé. Après, plusieurs râles de plaisir, elle délaisse sa moule et baisse le haut de sa robe, libérant ses seins. Elle les malaxe, triture et étire ses tétons qui pointent.
Pat respire de plus en plus vite, il a du mal à être attentionné a la conduite de l'auto.
Il est temps de mettre en pratique ce qu'ils espèrent, alors Pat s'arrête devant un bar fréquenté par beaucoup de soudards.
- Allez viens ? On va voir de quoi on est capable tous les deux ? Dit Pat en ouvrant sa portière.
- OK ! Répond Léa en se retournant vers Pat, avec un sourire narquois.
Elle rajuste sa robe pour être plus décente et descend de l'auto. - Tu n'est qu'une petite pute ? Lui dit Pat en lui prenant la main.
- Oui, mais tu l'aimes. Ta pute ? Elle te fait jouir, ta petite salope et t'aime ça mon cochon adoré ! Dit-elle assez fort.
Jamais Pat n'aurait pu croire, qu'elle aurait cette attitude de pute, compte tenu de son éducation.
Ils s'installent au fond de la salle, pas loin du couple, il y a une table de cinq types. Ils ne se privent pas de mater Léa. Et Pat ne leur en veut pas du tout, bien au contraire.
- Tu as vu chérie, tu as l'air de leur plaire. Lui dit Pat.
- Oui ? J'ai remarqué. Dit-elle.
- Alors, montre-leur ce que tu caches sous ta robe ?
- Oh ! mon chéri, ça fait un moment qu'ils ont une belle vue sur ma chatte. Lui dit elle en riant.
Pat se retrouve pris au dépourvu. Sa femme excite déjà des hommes. Il ne peut plus reculer. - Tu les veux comme nos premiers clients ? Je me trompe ? Qu'il lui demande.
- Oui ? Si tu le veux. Qu'elle lui répond en le jaugeant du regard
- Bon ? Je vais leur proposer, ma pute, qui fera ce qu'ils ont envie. Et, que je regarderai. Lui dit-il.
Léa soutient son regard, se demandant s'il va le faire ou pas. Mais, il va la jetée en pâture à des inconnus la première fois à si grand nombre d'un coup.
- Tu ferais ça ? Lui dit elle en le défiant.
- Je vais même le faire, je vais aller leur proposer. Lui répond Pat en lui prenant la main.
Léa se met à trembler légèrement ainsi que sa lèvre inférieure. Elle regarde les mecs du coin de l’œil. Pat a un moment de flottement. Allait-il trop loin ?
Il se lève et se dirige vers la table des cinq gars. Pat sent en s'approchant qu'ils sont sur le qui vive, pensant sans doute qu'il va les engueuler parce qu'ils matent ma femme.
Les cinq types sont d'ages divers. L'un d'eux a passé la cinquantaine, bedonnant, c'est le type même du routier. Les autres plus jeunes, l'un surtout est à peu près de son âge. Ce sont des gars qui bossent. Le plus jeune est beau mec, les autres sont du monsieur tout le monde.
- Bonjour ! Messieurs. Commence à leur dire Pat.
- Qu’est-ce que tu veux toi ? dit le plus jeune. De la main, le plus âgé l’empêche de se lever.
- J'ai juste un truc à vous proposer ? J'ai vu que vous aviez l'air de trouver ma femme plutôt agréable à regarder. Répond inquiet Pat.
- Ouais ! Et elle n'a qu'à s'habiller autrement, si tu ne veux pas qu'on la mate. Dit un gars à sa droite.
- Ce n'est pas un problème, bien au contraire. Commence par leur dire Pat.
- Alors, tu veux quoi ? Demande le vieux.
- Bon, ma femme à l'aire de vous avoir tapé dans l’œil. Ça vous plairez d'en voir plus ? Et si vous avez envie de vous la faire ? Renchéris Pat toujours aussi mal à l'aise.
- Quoi ? Attend ? Tu es qui ? Son mac ? Clame l'ancien.
Pat lui fit signe que non de la main avant de reprendre la parole rapidement.
- Non ! Je suis son mari, on est un couple, un peu spécial, on aime les choses étranges et on a besoin d'argent. Elle peut se faire baiser par vous cinq. Mais, moi, je mate, alors si ça vous tente. Elle fait tout ce que je demande. Elle est très soumise et ça la branche aussi. Explique Pat angoissé.
Les types se regardent, s'interrogent du regard. Ils semblent ne pas croire à sa proposition. Il faut bien l'avouer, que ce n'est pas tous les jours qu'on vous aborde pour un tel truc.
- C'est quoi cette connerie ? Tu te moques de nous ou quoi. C'est dément ton truc. Vous êtes dans la dèche autant que ça pour que tu prostitues ta femme ? Demande l'ancien.
- Oh ! Je suis sérieux, écoutez ? Je ne veux pas vous emmerder, c'est juste une proposition, c'est tout. Si vous ne voulez pas, on repart, c'est tout. Arrive à dire difficilement Pat.
- OK ! on va voir ? Dit l'ancien en regardant tour à tour ses potes.
Pat leur tourne le dos et rejoint Léa à leur table.
- Alors ? Demande-t-elle.
- Je ne sais pas, ils se méfient. Fais leur signe pour montrer que tu es partante ?
Léa fait un petit signe de la main et leur envoie un bisou. Elle semble nerveuse en les regardant.
- Ça va ? Tu as peur ? Lui demande Pat
- Oui, un peu quand même. D'habitude ça se passe dans le garage de Moco. Je suis juste là pour me faire baiser et je ne sais rien de ce qui se trame en dehors de la pièce ou je suis. A la maison, ça devait être pareil ? Avoue Léa.
- Si tu ne veux plus ? Dis-le ? Et on remonte dans la voiture. Propose Pat.
- Oh ! Non, je t'ai dit que je ferais la pute pour toi et tout ce que tu veux que je fasse ? Dis-moi ? Ordonne ! Dit-elle d'une voix assez peu assurée.
Pat comprend qu'elle en a envie, qu'elle osera, mais qu'il lui faut l'impulsion que seul Pat peut lui donner. Elle veut qu'il lui demande, qu'il l'oblige.
- Oh que Oui ? Tu vas le faire. Tu es ma pute et je veux te voir avec ces mecs. Tu vas baiser avec eux. Que je lui enjoins en fronçant les sourcils.
- Oh ? Elle ne veut plus ? Demande une voie forte à côté de moi.
C'est l'ancien qui parle, il surprend Pat en faisant le tour de la salle. - Quel prix vous demandez ? - Heu ? Cent euros par l'entrée de devant ou cent cinquante pour l'entrée de derrière. - Ok ! Ça nous va et elle fait des pipes ? - Oui ! Cent euros et elle avale la fumée. - Bon ? On est d'accord. Nous sommes des déménageurs et nous avons un camion à côté avec de la place et il y a aussi un lit avec un matelas. On va le recouvrir d'un plastique pour que la dame ne le tâche pas. D'accord ? On y va ?
- Non, aucun problème. Madame est à votre disposition. Répond Pat.
Pat laisse l'argent de la boisson sur la table. Et prend sa femme par la main. Ils suivent le groupe des déménageurs. Ils montent à l'arrière du camion. Pendant que deux jeunes s'affairent à mettre une toile de plastique sur le double lit, qu'ils ont déplié. L'ancien demande à voir la marchandise avant de payer.
- Oui ! Viens là ma chérie ? Je vous présente ma femme, enfin ma pute Léa. Proclame Pat.
Il déboutonne la robe de sa femme, laissant s'échapper ses beaux seins.
Les types ont les yeux qui leur sortent de la tête, ils sont estomaqués par la beauté de Léa. Leurs regards semblent jauger la marchandise. Et, lorsqu'elle enlève son string, le plus jeune parais plus impressionné encore. Les gars se parlent à l'oreille.
Pat encaisse cinq cents euros que lui donne l'ancien en lui disant qu'il aura plus tard les suppléments s'il y en a ? Léa nue, elle s'approche des mecs.
- Elle est belle ? Dit le jeune.
- Ah ! tu ne dois pas t'ennuyer ? Dit un autre à l'attention de Pat.
Léa pose sa main sur les braguettes de l'ancien et du jeune. Les autres commencent à la toucher timidement, puis s'enhardissent. Passant leurs mains sur ses fesses, sur ses seins, entre ses cuisses. Léa se laisse aller, gouttant la sensation d'être désirée par tous ces hommes. Visiblement, ils ont envie, car des bosses commencent à être perceptibles sous les pantalons. Même celui de son mari, il est surpris de l'intensité de son excitation à voir sa femme aux mains de ces gars.
- Allez la pute, fait ton travail, fais leur plaisir ? Lui ordonne son mari.
Les mecs le regardent presque sidérés de la façon dont il agit. Il a même l’impression que l'ancien le regarde avec un œil plutôt réprobateur.
Léa ouvre les braguettes des mecs et sort deux queues, celle du jeune et un autre.
Le jeune a une queue assez impressionnante, pas moins de vingt cm et une épaisseur en rapport. L'autre gars est moins bien pourvu. Elle a les mains occupées, les autres queues sortent maintenant des braguettes.
Elle engloutit la queue du jeune et les coins de sa bouche sont distendus, elle le pompe. Tandis qu'elle prend dans ses mains les queues de l'ancien et d'un autre gars. Les deux autres sont assez proches pour que de temps à autre, elle les prend à son tour dans sa bouche.
- Ah la vache ! Elle suce bien ! Oh, oui, continue ? Clame le jeune.
- Et moi, ne m'oublie pas ? Dit l'autre.
Pat s'approche par-derrière et passe une main entre les cuisses de sa femme ? Elle mouille naturellement, il en ressort les doigts trempés.
- Viens mon chéri, viens ? Tu es bien dure, baise-moi. Demande Léa au jeune.
- Des capotes ? Je n'en ai pas ! Dit-il penaud.
- M'en fous, tu as payé, alors baise-moi. Murmure Léa.
Il ne se fait pas prier. Il la pousse vers le lit ou elle tombe plié, les bras tendus. Les deux jambes écartées avec les pieds au sol. Il s'installe derrière elle et sans chercher et d'un coup de rein lui plante sa queue dans la chatte. Elle émet alors un râle de satisfaction.
- Ouah ! elle est bonne ? Elle est bouillante ? S'exclame le jeune.
Il donne de grands coups de reins en tenant Léa aux hanches. Il lui met même de petites claques sur les fesses.
A grand de coups de reins, rapidement, il est sur le point de jouir.
- Je vais partir ! je vais partir ! Qu'il beugle en faisant mine de se retirer.
Léa recule sa croupe et s'empale à fond.
- Non ! Balance-moi tout, je suis une putain, met-moi tout dans la chatte. Clame-t-elle
Il ne se fait pas prier et en quelques aller et retour, c'est plié. Il balance de grosses giclées dans la grotte de Léa. Qui remue sa croupe en sentant le sperme lui inonder son puits d'amour. Le gars se retire, une longue coulée blanche s'échappe de la moule béante de la pute. Cette image et aussi celle des mecs qui s'agitent autour de sa femme, s'imprime sur la rétine de Pat. Ainsi que la trace noirâtre de poussière déposée là par une main, sur sa fesse gauche.
Elle reste là, pliée, la croupe tendue, les deux bras tendus, avec les mains sur le lit.
- Hum, c'est bon, à qui le tour ? Demande Léa déchaînée.
L'ancien s'installe derrière elle et lui tape sur l'épaule. Il proclame.
- J'ai payé le supplément pour te prendre par le petit. Qu'il exige très gentiment.
- Oh ? Oui mon chéri, encule-moi, j'adore ça ! Dit-elle en le regardant par-dessus son épaule.
Il enfonce sa queue lentement en savourant ce cul qui l'accueille.
Un des déménageurs interroge Pat. - Vous devez être dans une sacrée dèche pour que tu prostitues ta femme. C'est la première fois ? - Oui, c'est la première fois qu'elle fait la pute pour moi. Pat ne ment qu'à moitié, c'est bien la première fois qu'il lui fait faire la pute, mais pour elle ce n'est pas la première fois qu'elle fait ça. Il est hyper excité d'assister à ça. Le jeune se rajuste et encourage ses potes.
- Vas-y Étienne, bourre-lui bien le cul ? Qu'il clame à l'attention de l'ancien qui encule Léa avec art.
Les déménageurs s'en donnent à cœur joie. L'ancien défonce le cul de Léa qui pompe tour à tour les autres queues.
- Allez Étienne, on la prend des deux côtés ensemble ? Propose un gars.
L'ancien sort de son anus et s'allonge sur le lit, puis il attrape la pute d'épouse par la taille et la fait s'empaler sur sa queue en passant de son anus à sa moule. Un des gars vient le remplacer dans l'anus de Léa qui aspire toujours le nœud des deux autres mecs.
- Oh ? Quelle pute ? quelle pute ? Je n'en ai jamais tiré une comme ça ? Proclame celui qui lui prend l'anus.
- Elle est toujours comme ça ? Demande à Pat le jeune. Il ne perd pas une miette de la scène. Il a ressorti sa queue et se branle.
- Oh oui et encore, là, elle est calme. Lui répond Pat.
Les deux qui prennent Léa en sandwich commencent à arriver au bout de leur résistance. Elle prend visiblement son pied. Elle pousse des râles en suçant et branlant, les autres.
- Oh la salope ! elle va me faire partir ? Râle l'ancien.
- Allez-y mes salauds ? Baisez-moi ! Je JOUIIIS ! JE JOUIIIS ! Clame-t elle en se démenant en lançant sa croupe contre les queues qui la pistonne.
- Tiens ! prend tout ! Ahane celui qui l'encule avant de donner une dernière ruade qui enfouit sa queue au fond du boyau pour y décharger toute sa semence.
L'ancien lui aussi, lui garnit copieusement la moule, on voit la mouille grasse de la pute se mêler au sperme qui dégouline. Elle regarde le gars qui s'agenouille sur le bord du lit.
- Moi, je veux jouir dans ta bouche ? Dit-il en approchant sa queue de la bouche de Léa.
Les précédents laissent la place. Le cul et la chatte de la pute Léa sont largement ouverts, luisants de sperme et de mouille. Un gars enfonce sa queue sans y regarder dans la chatte ruisselante. Il clame. - Ah les mecs ? Vous l'avez bien fourrée ! Ça glisse !
- Mets les chaînes ? Dit l'ancien et tape sur l'épaule du mari maquereau. - Tu te n'es pas foutu de notre gueule, un truc comme ça ne met jamais arrivé. Ensuite, baissant la voix. - C'est vrai que vous avez besoin de fric, car on voit qu'elle aime que tu la prostitues ?
- Oui, c'est exact que l'on ait besoin de fric et je découvre qu'elle aime ça de faire la pute. J'ai eu un peu de mal à l'accepter, mais j’aime beaucoup maintenant. Tu pourras lui demander, si je la force ?
- Je la trouve géniale ta femme, alors je n'aimerais pas savoir que c'est toi seul qui la force à faire ça ? Répond l'ancien en regardant Pat d'un air un peu menaçant.
Le mec qui se fait sucer pousse un grognement lorsqu'il balance tout dans la bouche de Léa qui avale au fur et à mesure. Et quelques instants plus tard, l'autre gars lui fourre tout son sperme dans la moule en grommelant. - Ah la pute ! tiens prend ça !
Pat, totalement excité s'approche de sa femme que les mecs ont laissée, seule agenouillée, en sueur, les cuisses détrempées, ruisselantes, la bouche pleine de sperme.
Le voyant s'approcher, sa femme noue ses mains sur sa nuque.
- Contente d'avoir fait la pute ?
- Oh ! oui mon chéri, c'était bon ! Dit-elle.
- Ouvre ta bouche, allez en grand. Lui ordonne Pat.
Il entend un murmure du côté des gars. Pat crache dans la bouche de sa femme qui savoure sa salive.
Léa a les yeux qui brillent d'un feu intense. Elle aime la situation, elle est dans un état second. Elle voudrait encore continuer longtemps, mais il faut mettre un point final, à tout ça pour l'instant.
Pat discute un peu avec les gars, pendant que Léa s'essuie la croupe avec une serviette que lui a tendu l'ancien, ensuite, elle se rhabille. Ils leur demandent que s'ils repassent dans le coin. Ils seront un peu intéressés. Pat laisse son 06 à l'ancien, car si des fois, s'ils traînent dans la région, ils seraient les bienvenus.
On se dit au revoir. Léa, embrasse tout le monde, en fait elle roule une pelle à tous les gars.
L'ancien me prit à part.
- J'ai demandé à ta femme, tu as raison, elle aime faire ça et elle a l'air de t'avoir dans la peau. J'ai cru qu'elle allait m'arracher les yeux, quand je lui ai demandé si tu la traitais bien ?
- Passe-moi un coup de fil, si tu viens dans le coin. On sera content de t’avoir comme client.
Ensuite, chacun est parti de son côté.
En remontant en voiture, Léa se pend au cou de son mari et l'embrasse longuement avec fougue.
- Merci, mon chéri, tu as assuré comme un génial proxénète. C'était trop ! j'ai adoré être prise pour ta putain. Proclame Léa.
- Tu veux le refaire alors ? L'interroge son mari.
Elle hocha la tête pour dire oui et ajoute. - Tout de suite encore si tu le veux, je m'en lasserai pas pour toi.
Ils roulent dans des rues sombres. Pat s'arrête dans une petite rue où il y a un tas de contenaires de poubelles, il va vider sa vessie derrière l'un de. Quand il revient à la voiture, un grand homme noir discute avec sa femme par la fenêtre ouverte. Il se retourne pour regarder Pat. - Pat ? Monsieur veut connaître le prix pour une passe ? Il s'approche de la voiture, regarde sa femme et son futur client. - Cent euros par l'entrée de devant, cent cinquante pour l'entrée de derrière et pour une pipe, c'est Cent euros et elle avale la fumée. Il ne lui a fallu pas plus d'une seconde pour prendre sa décision. L'homme regarde la femme et son maquereau de mari avant de dire. - Je donne deux cents pour la prendre par-derrière, mais elle me suce avant ? Ok ?
Pat regarde une nouvelle fois sa femme qui hoche la tête en signe d’approbation. - OK ! Toi, la pute monte derrière et mets-toi à poil que monsieur puisse voir la marchandise. Moi, je reste au volant au cas où, il faut déguerpir. Ordonne Pat. Sans perdre un instant, Léa passe sur la banquette arrière dépliée en lit. L'homme vient s'asseoir à côté de la femme qui retire sa robe et son string. Une fois nue, elle enfourche l'homme noir. A cheval sur lui, elle branle activement sa pine qui sort de son pantalon. Pat voit une énorme et majestueuse bite noire, tellement plus grosse que celle de Moco, qu'il en est choqué.
Pat voit sa femme excitée, caresser la longue bite avant de soulever ses fesses pour en faire glisser le gland dans son entrecuisse. Son mari baisse sa tête entre les deux sièges avant ? Il voit la grosse pine s'enfoncer dans la moule de sa femme sans problème, sans douleur pour elle. Quand les fesses de sa femme s'écrasent sur les cuisses de l'homme noir. Elle colle sa bouche sur la sienne pour lui rouler une pelle. Pendant ce temps-là, avec une main, il fouille dans une poche de son pantalon et en sort deux billets de cinquante euros qu'il brandit vers l'avant du véhicule. - OK ! Pour le supplément ! Clame Pat en saisissant les billets. Léa se décolle de la bouche de son client. - C'est quoi ton petit nom ? - Moi ? C'est Lolo pour les intimes.
Ensuite, Lolo fait monter et descendre la moule de Léa sur sa grosse queue noire. Dans un mélange de grognements et de halètements. Pat se masturbe discrètement devant ce spectacle excitant. Léa commence à pousser des râles de plaisir de plus en plus fort, laissant échapper sans la moindre pudeur, ses plaisirs qui la consument. Lolo retire son polo et arrive en soulevant son fessier à retirer son pantalon avec le caleçon. Ensuite, la bouche de Lolo trouve rapidement les tétons dressés de la femme. Léa ne se comporte plus comme une pute, elle se comporte comme une vraie salope à présent. Son visage s'empourpre, alors que sa langue lèche le torse en sueur de Lolo. Elle embrasse ses tétons et les suce un par un.
Incroyable ? Elle enfouit son museau dans une aisselle de Lolo, pour lécher à grands coups de langue, ses sécrétions de sueur. Pat voit bien que Lolo n'a jamais vu une pute blanche se comporter ainsi. Alors, très tendrement, il enlace le visage de la pute entre ses mains. Il enroule ses doigts dans sa chevelure blonde. Il presse son visage entre ses grosses mains et l'attire vers le sien pour l'embrasser. Pendant qu'ils se roulent une pelle, Pat sûr enchéri. - Après t'avoir fait décharger, elle te la sucera pour que tu puisses l'enculer avec une queue bien raide.
A l'évocation de la pipe d'après la baise, Pat voit lolo se crisper et il comprend que Lolo ne va pas tarder à jouir, dans la moule élargie de sa pute adorée. Lolo attrape les fesses de Léa à pleine main et son index droit s'enfonce dans l'anus de la femme, pendant qu'il lui remplit son puits d'amour de son sperme. La situation insolite et excitante, provoque un orgasme foudroyant à la pute Léa. En entendant et voyant leurs bruyants râles de plaisir, Pat décharge dans le mouchoir qui recouvre sa queue.
Dans la voiture du couple, trois personnes qui viennent de prendre leur pied, reprennent leur souffle. Dix minutes plus tard, Léa se met à lécher la matraque noire de Lolo. Elle s’applique avec un tel amour et tant de concentration que l'on ne peut croire, qu'elle fait ça pour de l'argent. En raison de son indiscutable talent, la grosse bite flasque de Lolo commence à se redresser. De nouveau raide, il bascule Léa sur la banquette arrière pour entamer un soixante-neuf. Chose pas croyable, le client bouffe la moule de la pute qu'il vient d'engrosser. Quant t'as la pute Léa, cela ne lui suffit pas encore. Elle suce avec avidité le gourdin noir, le serrant fortement entre ses mâchoires.
Elle l'avale entièrement jusqu'au fond de sa gorge pour aspirer le sperme qui reste dedans. Lolo lui dévore la moule. En voyant comme elle se déhanche sur la langue de Lolo, il a la bonne technique pour s'occuper de son bouton d'amour. Pat peut voir le sperme de Lolo inonder la bouche de sa femme, qu'elle tente d'avaler complètement, pourtant il lui en sort sur le côté de la bouche. Épuisé et comblé, Lolo s'allonge sur le dos. - Tourne-toi et pompe-moi la queue pour qu'elle soit raide pour que je t'encule. J'ai payé pour le faire.
Sans hésitation, Léa se retourne et prend le boudin noir, mou et poisseux de Lolo dans sa bouche. Elle le lèche, l'aspire, le mordille et il remet à grossir pour la troisième fois. Lorsque la queue de Lolo est redevenue raide, il ordonne à la pute de Léa de faire volte face sur la banquette. Afin, de lui offrir en se cambrant au maximum, son généreux postérieur pour qu'il l'examine une nouvelle fois. Lolo, crache sur l'anus de la pute et y enfonce ses doigts sans le moindre ménagement pour assouplir l'entrée. La pute râle de plaisir d'être ainsi triturée. Après ça, il fait pénétrer son braquemart à présent rigide dans le rectum de l'épouse pute. A moitié enfoncé, il s'arrête et commande à la pute de ne plus bouger et de se tenir tranquille, car il bande comme un taureau à présent.
Là, accroupi derrière la pute d'épouse, d'une ultime poussée, il encule Léa jusqu'aux couilles. Il commence de la sodomiser énergiquement. Léa commence à râler de plaisir. Ensuite, il s'immobilise s'en rein faire, uniquement concentré sur sa respiration ? Il reste là sa grosse queue enfoncée dans le boyau de Léa. - HUMMM ! C'est chaud ? C'est bon ! Oh, oui, c'est ? ORH ! Mais, il me pisse dans mon ventre ! Ce salaud de Lolo, bien agrippé aux hanches de Léa, il urine dans les entrailles de l'épouse pute. Léa a l'air d'être en état de choc, tandis que le chaud liquide du pervers client noir emplit son boyau comme un super lavement anal.
Au fut et à mesure que l'urine brûlante remplit ses entrailles, Léa a la drôle de sensation que bientôt, elle sera prête à l'éjecter violemment. Pour Pat, c'est excitant de la voir se contorsionner pendant Lolo que son client noir se réjouit et se satisfait d'avoir baisé encore et encore cette putain blanche en la remplissant par tous ses orifices.
Lorsqu'il retire sa bite molle de l'anus de Léa, il l'enlace tendrement, et avec douceur, il embrasse la pute. L'épouse pute, toute étonnée par ce geste que son maquereau de mari. Lui rend affectueusement son baiser en lui roulant une pelle. Ensuite, il se décolle des lèvres de Léa et sort d'un bond de la voiture, laissant là le couple hors norme. Après que Lolo les a quittés, Léa se rhabille de sa robe chiffonnée. Elle se bourre l'anus avec son string entouré du mouchoir souillé de son mari, afin de garder toute la pisse de Lolo dans ses entrailles.
Après que sa femme s'est assise à l'avant à côté de son mari, il démarre la voiture et ils rentrent à leur domicile. Ils sont encore trop abasourdis par les événements de la soirée pour parler. Une fois à la maison, la baby-sitter remarque qu'il y a une chose qui sent mauvais. - Pat chéri ? Tu dédommages la baby-sitter pendant que je vais me changer, car je suis tombée le cul dans un truc immonde, ment-elle. Tout en disant cela, Léa se tourne vers son mari et lui fait un clin d’œil. La voilà tapineuse pour son mari et très fière de l'être.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et le mari finira avec la mondaine au cul, quand à la femme à force de prendre des risques avec 1 IST voire 1 malformation du foetus pour avoir niquer sans capotes.
Vous etes bien 1 mec pour aimer écrire 1 histoire qui part d'un viol pour finir sur la prostitution !!!
Vous n'avez pas de figure comme on dit dans le sud.
Vous etes bien 1 mec pour aimer écrire 1 histoire qui part d'un viol pour finir sur la prostitution !!!
Vous n'avez pas de figure comme on dit dans le sud.