Moco le chauffeur de taxi

- Par l'auteur HDS SAM BOTTE -
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Moco le chauffeur de taxi Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Moco le chauffeur de taxi
Ma femme Léa a de beaux yeux bleu, mesure un mètre soixante dix pour un poids de soixante kilos. Elle a des longs cheveux blonds qui lui tombent sur les épaules.
Je suis un homme ordinaire, je mesure un mètre quatre vingt pour soixante dix kilos.
Ce soir, nous sommes invités à l'anniversaire de mariage de mon frère. Il y aura beaucoup de monde. Nous allons bien nous amuser et surtout boire un peu, ma femme est moi.

Nous allons nous y rendre en taxi, car mon permis de conduire est suspendu pour dix huit mois suite à un accident, après avoir franchi un feu tricolore entre l'orange et le rouge.
J'ai téléphoné à la compagnie de taxi la plus proche pour réserver la course. Il doit venir nous prendre devant la maison à dix neuf heures et nous ramener à deux heu?res du matin. Comme ça, nous serons bien obligés de partir de la fête.

A l'heure dite, le taxi s'est stationné devant la porte de notre garage.
Le chauffeur est un grand noir. Il est large d'épaules, il a des mains qui ressemble à des battoirs. Il a sur chaque joue trois scarifications rituelles. Léa le trouve laid avec ses cheveux qui font une boule sur son crâne. A peine assis sur la banquette arrière du taxi, je vois que le chauffeur ajuste son rétroviseur afin de pouvoir reluquer le décolleté de Léa et aussi ses cuisses nues. Car elle s'est habillée d'une robe légère qui s'arrête avant les genoux.

Léa a aussi remarqué le manège du chauffeur. Elle me regarde avec une lueur d’inquiétude dans les yeux. Elle resserre ses cuisses, elle me prend la main qu'elle serre fort, pour me faire part de son embarras.
Nous sommes bien arrivés à la salle des fêtes où se déroule la fête. L'assemblée est bien joyeuse. Nous discutons avec la famille, les amis, nos verres ne sont jamais vides. Le buffet est bien garni. Les mets sont bien épicés ce qui nous fait boire plus que de raison.

C'est une excellente fête d'anniversaire, j'ai un peu forcé sur la boisson alcoolisée. Je conseille à Léa de ralentir un peu sur le punch qui est bien alcoolisé. Elle me sourit légèrement, car le mal est déjà fait. Elle est aussi alcoolisée que moi. Nous passons une bonne soirée et je continue à boire dans la gaieté. Un membre de la famille me signale que mon taxi est déjà là, à nous attendre. Il est deux heures moins le quart déjà ?

Bien que saoul, je suis obligé de porter Léa jusqu'au taxi qui nous attend. Je la fais asseoir sur la banquette arrière du taxi. Une fois bien installée, je me glisse à côté d'elle. Elle ouvre un œil et vient se blottir contre moi avant sombrer dans un profond sommeil alcoolisé. Ses cuisses ouvertes et son dévolté qui déborde, elle n'en fait plus attention. L'air frais du dehors m'avait légèrement dégrisé, mais la chaleur du taxi et le bercement de la route m’achève rapidement. Je sombre moi aussi.

Lorsque nous sommes arrivés devant la maison, le chauffeur noir se met à me secouer énergiquement pour me faire sortir de ma léthargie. Ma réaction est négligeable, il m'aide à sortir de la voiture et me soutient jusque devant la porte de notre maison. J'ai du mal à sortir mon trousseau de clefs. C'est lui qui ouvre la porte, nous rentrons dans le vestibule. Il me propose de m'accompagner dans l'endroit où il pourra me déposer. Alors, il m'aide à monter les escaliers jusqu'au premier étage où le lui est indiqué l'endroit où se trouve notre chambre.

Une fois arrivé dans la chambre, il me laisse choir dans l’espèce de fauteuil qui est devant la coiffeuse de Léa. Je suis affalé dans le siège de la coiffeuse. Dans ma somnolence, le bruit du grincement des marches de l'escalier me fait sortir de ma torpeur. J’entrouvre un œil et là, je vois entrer le chauffeur du taxi avec Léa dans ses bras qu'il installe sur notre lit.
Dans ma semi léthargie, je le vois faire demi tour et une fois devant la porte, il la referme doucement ?
Bien qu'à moitié endormi, je le vois revenir devant le lit où est couchée Léa ? Très calmement, il attrape, une à une, les chevilles de Léa et lui retire ses talons aiguilles. Ensuite, il glisse sa grosse main sous la robe de Léa. Elles remontent très haut afin d'empoigner sa petite culotte pour lui enlever. Une fois les pieds dépassés, il la jette dans un coin de la chambre.

Je sais qu'il faut que je réagisse pour intervenir, mais à cause de ma soûlographie, je suis incapable de faire quoi que ce soit. Il tire le corps inerte de Léa au bord du lit sur lequel elle est avachie. Il remonte sa robe jusqu'à son soutient gorge, dévoilant sa moule imberbe avec juste au dessus une touffe de poil blond.
Le chauffeur se déshabille en retirant son tee-shirt et son pantalon accompagné d'un caleçon. Pendant qu'il se déshabille, ma tête remplit de kangourous sauteurs se tourne vers ma tendre épouse.

Léa a vingt trois ans et moi trente ans. Il y a deux ans que nous sommes mariés. Lorsque nous faisons l'amour, elle prend sa température avant pour éviter la fécondation. Lorsque l'ovulation est censée être présente, elle me finit avec la bouche en avalant ma semence jusqu'à la dernière goutte. Après, elle me demande de la finir avec une remplaçante légèrement plus grosse que la mienne.

Le chauffeur noir est maintenant à poil. Il est bien musclé et pratiquement imberbe. J'aperçois sa verge au repos qui est déjà aussi grosse que la remplaçante, elle pend jusqu'à mi-cuisse. Il vient s'agenouiller entre les cuisses de Léa qu'il écarte. Sa tête s'avance contre sa vulve, je ne vois pas bien se qu'il fait. Mais, en entendant les soupirs de Léa, je suppose qu'il lui bouffe la moule. Au bout d'un moment, il se relève. Sa verge est à présent en érection, elle me paraît plus grosse que tout à l'heure. Il s'agenouille encore entre les cuisses de Léa.

Je devrais arrêter cette bite sans protection qui va s'introduire dans le puits d'amour de ma femme alors, qu'elle n'a pas pris sa température. Mais, je suis trop excité par le gémissement de Léa. Donc,
je le regarde lâchement frotter sa grosse bite à l'entrée de la moule de ma femme. En très peu de temps, je peux entendre le bruit mouillé que fait la bite du chauffeur à l'entrée de la moule de ma femme. Le salaud, il la prépare pour que sa moule avale sa bite sans difficulté.

Cependant, je réalise bien que si je reste là sans bouger en le laissant atteindre son but. Il y a des grandes chances pour que ma femme se retrouve avec un polichinelle noir dans son ventre. Mais, je demeure immobile, écrasé par l'alcool. Cependant, je désire assister au spectacle de ma jeune épouse se faire baiser par un homme noir malgré elle. Le noir va éjaculer dans le ventre d'une femme blanche qui les déteste.

De toute façon, je sais qu'à présent, il est trop tard pour que je puisse faire quelque chose. Je vois le bassin du chauffeur s'avancer inexorablement entre les cuisses de Léa. Je sais qu'il a introduit sa bite dans la moule de Léa, lorsqu'elle laisse échapper un long soupir. Ça y est totalement dans son ventre, car je vois que les deux pubis se sont rejoints.

Il attrape Léa par ses cuisses et entame un léger va et vient dans la moule de ma femme. Il ne se presse pas. Il prend son temps pour profiter de la moule chaude et humide de mon épouse qui apprécie à voir ses jambes raidies sous le plaisir. Durant une bonne vingtaine de minutes, il la baise très calmement et enfin, il amorce une accélération de son bassin. Je comprends qu'il entame l'ultime ligne droite et qu'il va bientôt jouir dans le fond du puits d'amour de ma femme.

Soudain, après avoir collé son pubis sur celui de Léa, il se crispe en se raidissant avec un grognement rauque, il doit inonder de sperme l'utérus de ma femme. Ensuite, dans une dernière puissante contraction, il se raidit à nouveau pour finir de vider ses couilles dans le ventre de ma femme qui soupir mon prénom à plusieurs reprises.

Doucement, il se retire d'entre les cuisses de Léa, il se relève. Son imposante verge pend mollement, brillante de sécrétion de sperme et de jus de moule. Il se rhabille nonchalamment, une fois habillé, il va ouvrir la porte de la chambre. Sans un mot, il se retourne, me regarde avec un rictus et me fait un clin d’œil avant de sortir.

Je prends mon courage à deux mains, malgré que les kangourous sautent toujours dans mon crâne ? J'attends que le bruit du taxi parte pour être certain, que son chauffeur ait quitté les lieux. Je vais voir ma femme qui dort toujours, les cuisses écartées avec les fesses au bord du lit. En m'approchant
je vois la moule de ma femme encore ouverte, rejetant l’excédant de sperme du chauffeur. Je lui retire sa robe et son sous-tif. Je la remonte nue à la tête du lit, je la recouvre du drap et me couche à ses côtés.

Nous sommes vers midi, avec une gueule de bois carabinée. Léa a rejeté les draps, elle est encore poisseuse entre les jambes. Elle me regarde et me demande :
- Nous avons fait l'amour cette nuit mon chéri ? Je m'en rappelle pas ?
Hypocritement, je lui réponds.
- Non ! Je me souviens juste que le chauffeur du taxi m'a aidé à entrer dans la maison et que j'ai repris conscience un bref instant sur le fauteuil de ta coiffeuse. Toi, tu étais allongé au pied du lit, le ventre a l'air sans ta petite culotte.

Léa reste un long moment songeuse, subitement, elle me fixe et ajoute d'un air inquiète.
- Pat, je crois que le chauffeur de taxi m'a violé et qu'il a éjaculé en moi ? Je lui demande si elle est absolument sûre de ce qu'elle affirme ? Alors, elle me répond.
- Hélas oui ? Il y a encore du sperme qui sort de mon puits d'amour. Je l'enlace tendrement et je finis par lui dire tout doucement.
- C'était un chauffeur africain à la peau bien noire. - Que va t'on faire ? Si ce salaud ma mise enceinte, mon chéri ? - Ne t'inquiète pas. Je suis là et il n'y est pas de raison que tu sois enceinte de lui.

Elle plonge ses yeux dans les miens et me murmure avec peine. - Oh ! Mais, si j'attends un bébé de lui, il sera noir ? En guise de réponse, je la serre contre moi, je l'embrasse sur la bouche. Nos langues se mélangent dans un baiser passionné qui dure un long moment. J'en ai un début d'érection. Après ça, nous nous levons et nous descendons dans la cuisine. Léa nous sert un café fort. Une fois bu, je vais m'affaler dans un des fauteuils du salon. Je regarde la télévision en zappant avec la télécommande.

Léa rentre dans le salon et vient s'asseoir sur mes genoux et pose son visage dans mon cou pour un câlin en se blottissant contre ma poitrine. Je lui caresse le dos tendrement. Comme nous nous enlaçons, elle me demande soudainement. - Chéri ? Ça te fait quoi de savoir que ce chauffeur ma sexuellement possédée ? Je reste silencieux, car dans mon pantalon, je sens le début d'une érection naissante. Lorsque les images de ma Léa prise par ce chauffeur de taxi me reviennent en mémoire et surtout ses gémissements de plaisir en murmurant mon prénom.

- Oh ? Je sens que cette situation te fait bander. Ça t'excite d'imaginer ce chauffeur noir me faisant l'amour ?
- M ? Oui, c'est vrai. Je dois bien admettre que la simple pensée de te voir baiser avec ce chauffeur noir et qu'après ça que tu te retrouves enceinte d'un bébé noir ? Me plaît. Toujours, blottie contre ma poitrine avec sa tête appuyée dans mon cou. Elle reste comme ça inerte pendant un bon quart d'heure. Ensuite, elle me demande calmement. - Donc ? Si je comprends bien, tu aimerais beaucoup me voir baiser avec ce chauffeur noir ? - Oui, c'est ça ? J'ai son numéro et si tu en as envie ? Je suis sûr viendra vite à la maison pour te faire jouir ?
Qu'elle n'est pas mon étonnement lorsqu'elle me répond. - D'accord ! Passe lui un coup de téléphone et demande lui de venir ici, chez nous. Comme convenu, je téléphone au chauffeur en lui expliquant notre demande. - Ok ! Je serai chez vous dans une heure. - Ouais ! Je veux aussi vous mater lorsque vous baiserez ? - Je sais que tu m'as vu la baiser sans lever le petit doigt. Alors, il est logique que ta femme soit à moi ? J'ai coupé la communication et j'ai averti Léa que le chauffeur se fait une joie de venir à la maison pour toi. Elle me regarde d'un air interrogatif. Elle vient me rouler une pelle de remerciement. Là, je sais qu'elle est fécondable.

Les avis des lecteurs

Même si Madame veut remettre ça et que ça a excité Monsieur, il s'agit bel et bien d'un viol!

Histoire Libertine
Sérieusement le mec viole la femme et elle en redemande au point de vouloir niquer sans préservatif !!!

A gerber.



Texte coquin : Moco le chauffeur de taxi
Histoire sexe : Une rose rouge
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