Moco le chauffeur de taxi 6 - histoire érotique

Les effets de la condamnation.

Pat se retrouve dans une cellule pour deux, avec un codétenu antillais prénommé Bob.
- Tu pionces en haut toi !
- Oui monsieur. Que répond Pat timidement.
Après plusieurs jours, Léa rend visite à son mari. Bob se débrouille pour apercevoir la femme de son codétenu. Il pense qu'elle est faite pour sa grosse bite et comme il sait qu'elle faisait la pute pour son mari. Il désire se la faire à tout prix.
Il organise avec ses copains un traquenard dans les douches. Ses copains le tabassent et certain en profite pour le sodomiser. A la visite suivante, Léa est choquée parce qu'elle voit ?
- Oh ? Mon Dieu que t-est-il arrivé ?
- Ce n'est rien, je suis tombé dans les douches. Léa est inquiète pour son mari.

De retour dans sa cellule, il se confit à Bob sur l’inquiétude de son épouse.
- Je peux t'aider pour ça, mais ça te fera cher ?
- Oui, merci, mais je n'ai pas une tune ici ?
- Y a bien quelque chose qui fera ton affaire ? - Je n'ai rien d’intéressant pour toi ? - Accepte mon offre et les autres te laisseront tranquille. - Mais ? Je n'ai rien de rien à t'offrir.

Bob insiste avec une arrière-pensée. - OH ! Mais si tu as quelque chose à concilier. A une de tes visites conjugales, tu m'en laisses une avec ta femme. - Ah ça ? Je ne laisserai jamais ma femme se faire baiser par un mec comme toi ! - OK ! Mais souviens-toi, que je suis le seul ici qui peut te protéger. Mais, ici c'est toi qui vas faire la femme pour les autres ? Ce sera à ton tour d'être la prostituée ? Ne tenant pas compte des recommandations de Bob, Pat se fait à nouveau tabasser et se fait sodomiser encore plus que la dernière fois.

A la prochaine visite conjugale, Léa est atterrée de voir dans quel état est son mari. Il est incapable de faire son devoir conjugal. Il se laisse aller dans les bras de son épouse. - Oh ! Mon chéri ! Dis-moi ce que je peux faire pour que ça s'arrête. - Mon codétenu m'a offert sa protection que si je laissais ma place à notre prochaine visite conjugale. Non ? Mais tu le crois ça ? Les larmes aux yeux, Léa lui répond.
- Si c'est la seule façon de te protéger ? J'accepte sa proposition, car les enfants et moi-même, nous ne pourrons vivre sans toi. - Pas question que tu fasse ça ! Nous avons convenu que tu ne te prostituerais plus du tout.
Après la visite, Léa veut que son mari soit protégé sinon elle risque de ne plus le revoir vivant. Avant de sortir, elle demande un parloir avec Bob le codétenu de son mari. Compréhensif, le chef des gardiens lui accord. Bob s’assoit derrière la vitre. Léa s'adresse à ce grand antillais.
- Pat, m'a dit que vous lui avez promis de la protéger ? - Oh ! Oui ! Mais il a refusé. - Pour que vous protégiez mon mari, j'accepte votre proposition. - Vous êtes sérieuse ? Vous acceptez de ? Avec moi ? - Oui ! Je ferai n'importe quoi pour que mon mari ne soit plus tabassé ? - Ok ! C'est super ! Je m'arrangerai avec le chef, pour votre prochaine visite conjugale.
Lors de la prochaine visite, Léa est escortée à la chambre conjugale.
- Ça ne me regarde pas Madame, mais j’espère que vous savez ce que vous faites là ? Bob sera là dans un instant ? - Merci chef, je l’espère aussi ? Quelques instants plus tard, Bob pénètre dans la pièce.
- C'est bien, tu as tenu parole, sinon ton mari aurait encore pris une dérouillée et jouet à la femme ? - Je veux qu'il reste en vie, alors je fais ce qu'il faut faire pour ça. - Bon, commence par une petite pipe, tu connais la chanson ?

Léa s'agenouille devant ce colosse d'antillais. Elle ouvre son pantalon qui tombe aussitôt sur ses chevilles. Elle écarquille les yeux d’effroi devant cette bite presque monstrueuse. Elle en a vu de toutes les dimensions et de toutes les couleurs, mais jamais une aussi massive et longue. En levant son visage vers celui de Bob, elle demande.
- Jurez-moi, s'il vous plaît, que vous protégerez mon mari ?
- En te regardant, je vois que tu es prête à tous pour sauver ton mari. Alors mets-toi au travail ? Respecte notre accord ? Aller, suce-moi ?
Léa porte sa bouche sur le gland qu'elle embrasse et lèche. Ensuite, elle aspire le pieux qui glisse sur sa langue. Il s'enfonce doucement dans sa gorge et vient buter sur la glotte. Les lèvres dilatées, elle suce avec professionnalisme la massive queue de Bob, qui en profite pour se mettre nu.
Léa obéit, lorsqu'il lui demande de se déshabiller. Il s'assoit sur le lit en l'attirant à lui. Elle se remet à lui sucer la queue avec avidité. Son naturel reprend le dessus. Bob lui tend le préservatif obligatoire de l'administration pénitentiaire.

Elle se démène pour la mettre sur cette bite massive. La capote ne couvre pas plus loin que le gland.
- Je ne peux pas l'enfiler plus loin ? - Ça ne fait rien ? Je vais te sauter quand même. - Ouais ? D'accord, mais gardez-la quand même ? Léa sait très bien que la capote ne tiendra pas sur le gland. Cependant, elle doit absolument baiser avec Bob le protecteur de son mari.
Résignée, elle se couche sur le lit et écarte ses cuisses en signe d'invitation à la copulation.
- Purée ? Tu as une chatte de compétition ? Il a eu raison de te prostituée ton mari, tu as dû lui rapporter du fric à ce pédé.

Bob se couche entre les cuisses de Léa. - A toi de mettre ma queue dans ta chatte de pute blanche ? Fais ce que je veux et tout ira bien. Léa saisit la massive queue du bout de ses doigts, elle est trop grosse pour qu'elle mette sa main autour. Le gland s'enfonce lentement dans son puits d'amour en repoussant les parois et entre entièrement.
- Ouais ! Tu es vachement étroite pour une pute blanche ? Je vais adorer te baiser à fond ? Bob la baise à grand coup de rein, il tape au fond contre son utérus. Elle n'a jamais autant était dilatée avec une seule bite. Avec ses coups de butoir, il finit par repousser son stérilet dans son utérus.

Léa sent un orgasme pointer son nez ?
Oh non ? Il va la faire jouir et elle ne veut pas lui donner ce plaisir. Mais, il n'y a rien à faire, elle râle fort son plaisir naissant.
- AH ? Ma parole ? Tu prends ton pied ? Tu aimes ma grosse queue dans ta chatte baveuse ? Hein ? Tant pis, c'est trop bon. Elle se lâche. - RRRROO ! OOUUUIIII ! C'est bon ! - Je vais tellement te baiser que tu me supplieras de recommencer ?
Il la retourne sur le ventre et la bourre bien à fond. Elle mouille abondamment, il la baise vraiment bien qu'elle pense qu'elle va devenir accro à sa queue, s'il continue de la faire jouir encore longtemps. Les autres d'avant, Moco, ses mécanos, son mari peuvent aller se faire voir ailleurs. Ils ne sont pas à la hauteur de BOB. Il est couché sur son dos, il lui pelote les seins en la baisant à grands coups de reins. - En fait ? Tu es une sacrée chaudasse ? Tu mouilles tant, que j'enfonce ma queue au fond de ton garage ? Ce qui est rare pour moi. Vu comme tu remues ton berlingot sur ma queue ? Tu en veux encore ? - Oui ? Ne t'arrête pas ? J'en veux encore et encore.

Il la retourne sur le dos et se couche sur elle. Leurs bouches s'unissent dans un baiser d'amoureux. Là, Léa se donne corps et âme à son nouvel amant. Plus il la baise, plus elle se lâche, plus elle en redemande.
- Tu l'aimes ma grosse queue ? - OH ! Que oui ! Je ne me suis jamais senti aussi bien de toute ma vie.
Elle s'abandonne complètement à Bob. Elle jouit à plusieurs reprises et elle réalise, qu'il est le meilleur amant qu'elle ait connu.
- OOOH ! Je vais te remplir du jus d'antillais ! Dans l'extase et se sentant protéger, elle râle de bonheur.
- RRROUI ! Viens mon chéri, donne-moi ton jus des Antilles. Bob éjacule une telle quantité de sperme que le préservatif est poussé hors du gland et se noie dans le flot de sperme.
Bob continu de la ramoner légèrement le temps de débander. Quand il retire sa queue molle du puits d'amour de Léa, un flot de sperme s'échappe de sa moule accompagnée du préservatif. En s'essuyant la vulve avec une lingette, elle voit la capote recroquevillée. Oh ? Merde, la capote s'est barrée de son gland. Se dit Léa. Il l'a bien fait jouir et pourtant ce qu'il l'étonne, elle a encore envie de sa massive queue en elle. Léa allongée sur le lit à côté de Bob, elle lui caresse le torse, le ventre et pose sa main sur son braquemart.
- Tu as encore envie que je défonce ton paradis ? J'adore envoyer en l'air une blanche comme toi.
D'elle-même, elle prend sa queue dans sa bouche. Elle la suce, la lèche, l'aspire avec le restant de son jus. Elle est heureuse de lui redonner de la dureté. Elle la lâche quand elle est en mesure de lui redonner du plaisir. Elle est tombée amoureuse de cette monstrueuse queue noire. Elle ne peut s’empêcher de se donner entièrement à Bob et de satisfaire ses désirs quelles que soient les conséquences. Car, pour la première fois de sa vie, elle se donne par amour et envie. Elle sait déjà qu'elle se redonnera à Bob, parce qu'elle en aura besoin de sa queue massive. Son mari et tous les autres sont déjà oubliés.

A présent son mari n'est plus tabassé, à chaque visite Léa voit sa santé s'améliorer. Mais, Pat fait de plus en plus de manière, ce qui est étrange pour Léa, car on croirait qu'il veut la parodier. Lors des visites conjugales avec son mari qui lui fait très peu l'amour ? Elle se console avec Bob. Moyennant finance avec le gardien-chef, elle continue avec enthousiasme la visite conjugale, mais avec son Bob.
A la prison, cela fait deux mois que Pat ne se fait plus tabasser, mais il sert de femme à une dizaine de détenus. Bob en a informé Léa, qui alors, se donne à lui pour se faire remplir le ventre de sa semence fertile des Antilles.