Monsieur voyeur et acteur
Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Monsieur voyeur et acteur
Monsieur sortit de son repère d’observation, pour venir nous rejoindre, Il caressa le visage de Madame, il la regardait avec envie et délicatesse. Visiblement, il éprouvait beaucoup d’affection et d’amour envers son épouse. Il culpabilisait de ses nombreuses absences. Il estimait qu’il ne concrétisait pas assez son amour envers elle et c’est la raison pour laquelle, il l’offrait à des amants.
Monsieur était sportif, cheveux courts, frisés, une belle gueule, une petite barbe bien taillée, des pectoraux bien dessinés, un petit ventre mais pas plus que ça, un sexe court mais assez gros. Des mains féminines et manucurées, il portait un parfum léger et subtil, même nu, il dégageait de la prestance et de la classe.
Les sentiments étaient confus chez lui, un mélange d’amour et de phallocratie. Orné de son statut, on ne montre que rarement ses sentiments dans ces castes ; éducation rigide, le monde des bonnes manières. On ne pleure pas dans ces familles, on serre les mâchoires, on ne rit pas, on sourit sans éclat, on garde tout à l’intérieur en public mais dans la sphère privée, on s’affranchit. C’est un exutoire. On lâche prise, on se libère de la bienséance.
Son impuissance était un frein à leur relation, ils n’avaient pu avoir d’enfant et c’était un manque. Le compensaient-ils par ces pratiques sexuelles un peu extraordinaires ? Voulaient-ils pigmenter leur relation ? Etait-ce le simple plaisir de donner et de recevoir ? Autant de questions que je me posais et dont les réponses m’importaient peu. C’était leurs pratiques, j’étais là pour les combler et me satisfaire et c’était très bien ainsi.
- Est-ce que prendre une douche vous siérait-il ? me proposa Monsieur.
J’étais un peu gêné par la situation. Je n’imaginais pas que le mari de cette femme pouvait nous observer lors de nos ébats ; visiblement, il jouissait de cette scène. Ces jeux sexuels étaient un divertissement comme un autre. De plus, il s’astiquait le manche et jouait avec son trou de balle, en y insérant des petits sextoys très efficaces. J’éprouvais un sentiment mitigé, entre le tort et la honte. Cette expérience me grisait. Je prenais mon pied, Madame aussi, alors au diable la morale.
Pour cacher mon intimité, J’avais mis ma main sur mon sexe encore gorgé de sang. Il était encore gonflé des nombreux va et vient dans Madame. Quelques gouttes de sperme perlaient à son extrémité. Il faut préciser que Madame, ne lubrifie plus beaucoup, les coïts étaient parfois rapides et limites brutaux. J’étais harassé mais encore excité.
- Avec grand plaisir, répondis-je, manifestement soulagé de quitter ma position et de m’échapper car, je commençais à me sentir de trop au sein de ce couple.
Je me rendis à la salle de bain, une grande baignoire avec jets bouillonnants trônait dans un coin de la pièce. Je me jetai sans me faire prier pour récupérer. Je me suis délassé pendant une bonne demi-heure. Je suis sorti et je me suis dirigé vers la douche à l’italienne, pour me rincer et ainsi parfaire ma toilette.
Brutalement, la lumière s’est éteinte, alors que je me savonnais entièrement, deux mains vinrent se plaquer dans mon dos. J’avais du savon qui me brûlait les yeux. Je ne pouvais distinguer à qui appartenaient ces doigts qui me caressaient les épaules, parcouraient mon dos, s’arrêtaient au dessus de mes fesses, remontaient vers ma nuque, qu’elles massaient délicieusement. Ces mêmes mains achevaient de me savonner soigneusement, insistant sur les poplités des bras et des jambes. Cette délicatesse m’envoutait, ce contact de peau chaude glissant suavement sur mon corps m’irradiait.
Une main s’est fourvoyée vers mon sexe légèrement ramolli. Du bout des doigts, elle frôlait lentement sur sa longueur, cheminant sur mes bourses tendues et ridées. Je frissonnais, ces effleurements faisaient renaître le désir. L’autre main me palpait les pectoraux et pinçait mes tétons. A qui appartenaient ces intentions ?! Madame serait-elle de retour, n’était elle point rassasiée ? Mais quelle nympho !!!
Maintenant, c’est une masturbation lente et dirigée qui commençait. Mon désir grandissait, mon anus se contractait, je commençais à bander. Des petits chatouillis naissaient au sein de mon pubis. Mon anus s’affolait, il se contractait plus vite et davantage ; il tremblait. Cette main me décalottait intensément mettant au jour mon gland turgescent. Cette main était virile mais pas trop, juste ce qu’il fallait pour bien étirer le frein du prépuce.
L’autre main s’est faufilée entre mes fesses, les doigts bien à plat me savonnaient la rosace. Je respirais de plus en plus fort, j’haletais, je soufflais. Des « ohouhoooaaaouuuuffffffff » étouffés s’échappaient de ma bouche. Désormais, l’eau coulait sur mon corps, les mains aidant à évacuer la mousse du gel douche. Les mains insistaient sur mes parties intimes. Une bouche est venue se poser sur le bout de mon sexe puis l’enfourna tendrement. Les mouvements et les succions s’accélérèrent très rapidement. La délicatesse a fait place la vigueur et à la vitesse. On me pompait, on me suçait et on me branlait énergiquement.
En extase et presque à l’acmé, Je senti une chose ou objet qui frétillait entre mes fesses. C’est Monsieur, aucun doute. Il excitait sa queue dans ma raie pendant que Madame menait à bien sa besogne sur ma colonne cette fois bien dressée et gonflée de plaisir. Monsieur voudrait entrer en moi, mais je ne suis pas préparé, je suis sec et mon sphincter est trop tendu.
Alors Monsieur s’agenouilla, m’écarta la raie et planta sa langue sur mon trou. Il dessinait, contournait, traçait, crayonnait mon petit trou vierge. Cette pratique était nouvelle pour moi, du moins avec un homme, jusqu’où lui permettrai-je d’aller ? Avide, Madame ne fatiguait pas, elle gouttait goulument mon membre bien érigé. Elle malaxait mes testicules avec maîtrise et fermeté. Quelle coquine !!!! Elle aime vraiment le cul celle-là. Elle se déchaînait sur ma bitte et mes couilles, oh bon sang, de bon sang que c’est bon… !!!!
Et l’autre qui ne demande pas son reste, il est devenu enragé en fourrageant mon cul, il le lubrifiait, le doigtait, inséra un doigt puis deux à l’intérieur. Je m’agrippais au mur de la douche comme je pouvais, je frissonnais, je râlais, je rugissais, j’écartai mes jambes pour me prêter et lui laisser évoluer à sa guise, de bien plonger sa tête et surtout sa langue dans mon trou. Ca pique un peu mais rien à comparer au plaisir décuplé de ces deux bouches qui me flattaient et me mangeaient. Mes jambes tremblaient, je tétanisais.
Soudain, je ressenti une chose plus grosse sur mon trou. J’étais trop excité pour refuser cette pénétration, j’étais hors sol, je voulais qu’on me pénètre, que l’on me fasse jouir. Je voulais que l’on me prenne, que l’on me possède, c’était divin, je bandais, je mouillais, ma tête tournait, je n’étais plus moi-même. J’acceptais tout, j’aurais pris en bouche n’importe quel sexe si, on me l’avait proposé. L’orgasme était proche. Oh… oh.. oh Cette fois, c’était le gland de Monsieur qui progressait. Il m’ordonna de pousser, ce que je fis. La brûlure et la douleur me firent crier, je débandais Madame s’activa de plus belle, je rebandais à ma grande surprise, oh quel pied !!! Le gland était en moi, ça brûlait Monsieur exécutait des petits va et vient, je sentais ce gland flirter avec ma prostate et ma vessie, j’avais comme envie d’uriner. Madame câlinait alternativement mes bourses et celles de Monsieur. J’allais jouir, je me retiens pour faire durer le plaisir. L’échauffement anal s’était atténué et un début de plaisir commençait.
Les coups de bitte dans mon cul résonnaient et me firent éjaculer. Je me vidai les couilles abondamment, plus qu’habituellement. Madame recracha, dans la douche ma semence et revint me nettoyer la queue. C’est douloureux et plaisant à la fois. Monsieur se retira, enleva son préservatif, (petit clin d’œil à une lectrice lors d’un commentaire), pour que Madame le nettoie. Même si Monsieur n’éjacule plus, du précum suintait à son extrémités.
J’ai le trou et le sexe en feu, une douche froide me fera le plus grand bien. La lumière a fait place à la pénombre, je chancelais, j’acceptais enfin cette eau presque froide et vivifiante pour recouvrer mes esprits et calmer mes courbatures et… mes ardeurs.
- Mike, tu seras toujours le bien venu…, Monsieur et moi même souhaiterions te revoir.
- Je suis à votre service, quand vous le voulez !
Quand ? Vous le saurez lors d’une prochaine histoire… .
Le couple disparu me laissant seul avec ces images plein la tête, le corps meurtri de jouissance et de bien-être. Je commence à être addicte à ce couple.
Fiction, réalité, fantasme ? Allez savoir !!!!
Monsieur était sportif, cheveux courts, frisés, une belle gueule, une petite barbe bien taillée, des pectoraux bien dessinés, un petit ventre mais pas plus que ça, un sexe court mais assez gros. Des mains féminines et manucurées, il portait un parfum léger et subtil, même nu, il dégageait de la prestance et de la classe.
Les sentiments étaient confus chez lui, un mélange d’amour et de phallocratie. Orné de son statut, on ne montre que rarement ses sentiments dans ces castes ; éducation rigide, le monde des bonnes manières. On ne pleure pas dans ces familles, on serre les mâchoires, on ne rit pas, on sourit sans éclat, on garde tout à l’intérieur en public mais dans la sphère privée, on s’affranchit. C’est un exutoire. On lâche prise, on se libère de la bienséance.
Son impuissance était un frein à leur relation, ils n’avaient pu avoir d’enfant et c’était un manque. Le compensaient-ils par ces pratiques sexuelles un peu extraordinaires ? Voulaient-ils pigmenter leur relation ? Etait-ce le simple plaisir de donner et de recevoir ? Autant de questions que je me posais et dont les réponses m’importaient peu. C’était leurs pratiques, j’étais là pour les combler et me satisfaire et c’était très bien ainsi.
- Est-ce que prendre une douche vous siérait-il ? me proposa Monsieur.
J’étais un peu gêné par la situation. Je n’imaginais pas que le mari de cette femme pouvait nous observer lors de nos ébats ; visiblement, il jouissait de cette scène. Ces jeux sexuels étaient un divertissement comme un autre. De plus, il s’astiquait le manche et jouait avec son trou de balle, en y insérant des petits sextoys très efficaces. J’éprouvais un sentiment mitigé, entre le tort et la honte. Cette expérience me grisait. Je prenais mon pied, Madame aussi, alors au diable la morale.
Pour cacher mon intimité, J’avais mis ma main sur mon sexe encore gorgé de sang. Il était encore gonflé des nombreux va et vient dans Madame. Quelques gouttes de sperme perlaient à son extrémité. Il faut préciser que Madame, ne lubrifie plus beaucoup, les coïts étaient parfois rapides et limites brutaux. J’étais harassé mais encore excité.
- Avec grand plaisir, répondis-je, manifestement soulagé de quitter ma position et de m’échapper car, je commençais à me sentir de trop au sein de ce couple.
Je me rendis à la salle de bain, une grande baignoire avec jets bouillonnants trônait dans un coin de la pièce. Je me jetai sans me faire prier pour récupérer. Je me suis délassé pendant une bonne demi-heure. Je suis sorti et je me suis dirigé vers la douche à l’italienne, pour me rincer et ainsi parfaire ma toilette.
Brutalement, la lumière s’est éteinte, alors que je me savonnais entièrement, deux mains vinrent se plaquer dans mon dos. J’avais du savon qui me brûlait les yeux. Je ne pouvais distinguer à qui appartenaient ces doigts qui me caressaient les épaules, parcouraient mon dos, s’arrêtaient au dessus de mes fesses, remontaient vers ma nuque, qu’elles massaient délicieusement. Ces mêmes mains achevaient de me savonner soigneusement, insistant sur les poplités des bras et des jambes. Cette délicatesse m’envoutait, ce contact de peau chaude glissant suavement sur mon corps m’irradiait.
Une main s’est fourvoyée vers mon sexe légèrement ramolli. Du bout des doigts, elle frôlait lentement sur sa longueur, cheminant sur mes bourses tendues et ridées. Je frissonnais, ces effleurements faisaient renaître le désir. L’autre main me palpait les pectoraux et pinçait mes tétons. A qui appartenaient ces intentions ?! Madame serait-elle de retour, n’était elle point rassasiée ? Mais quelle nympho !!!
Maintenant, c’est une masturbation lente et dirigée qui commençait. Mon désir grandissait, mon anus se contractait, je commençais à bander. Des petits chatouillis naissaient au sein de mon pubis. Mon anus s’affolait, il se contractait plus vite et davantage ; il tremblait. Cette main me décalottait intensément mettant au jour mon gland turgescent. Cette main était virile mais pas trop, juste ce qu’il fallait pour bien étirer le frein du prépuce.
L’autre main s’est faufilée entre mes fesses, les doigts bien à plat me savonnaient la rosace. Je respirais de plus en plus fort, j’haletais, je soufflais. Des « ohouhoooaaaouuuuffffffff » étouffés s’échappaient de ma bouche. Désormais, l’eau coulait sur mon corps, les mains aidant à évacuer la mousse du gel douche. Les mains insistaient sur mes parties intimes. Une bouche est venue se poser sur le bout de mon sexe puis l’enfourna tendrement. Les mouvements et les succions s’accélérèrent très rapidement. La délicatesse a fait place la vigueur et à la vitesse. On me pompait, on me suçait et on me branlait énergiquement.
En extase et presque à l’acmé, Je senti une chose ou objet qui frétillait entre mes fesses. C’est Monsieur, aucun doute. Il excitait sa queue dans ma raie pendant que Madame menait à bien sa besogne sur ma colonne cette fois bien dressée et gonflée de plaisir. Monsieur voudrait entrer en moi, mais je ne suis pas préparé, je suis sec et mon sphincter est trop tendu.
Alors Monsieur s’agenouilla, m’écarta la raie et planta sa langue sur mon trou. Il dessinait, contournait, traçait, crayonnait mon petit trou vierge. Cette pratique était nouvelle pour moi, du moins avec un homme, jusqu’où lui permettrai-je d’aller ? Avide, Madame ne fatiguait pas, elle gouttait goulument mon membre bien érigé. Elle malaxait mes testicules avec maîtrise et fermeté. Quelle coquine !!!! Elle aime vraiment le cul celle-là. Elle se déchaînait sur ma bitte et mes couilles, oh bon sang, de bon sang que c’est bon… !!!!
Et l’autre qui ne demande pas son reste, il est devenu enragé en fourrageant mon cul, il le lubrifiait, le doigtait, inséra un doigt puis deux à l’intérieur. Je m’agrippais au mur de la douche comme je pouvais, je frissonnais, je râlais, je rugissais, j’écartai mes jambes pour me prêter et lui laisser évoluer à sa guise, de bien plonger sa tête et surtout sa langue dans mon trou. Ca pique un peu mais rien à comparer au plaisir décuplé de ces deux bouches qui me flattaient et me mangeaient. Mes jambes tremblaient, je tétanisais.
Soudain, je ressenti une chose plus grosse sur mon trou. J’étais trop excité pour refuser cette pénétration, j’étais hors sol, je voulais qu’on me pénètre, que l’on me fasse jouir. Je voulais que l’on me prenne, que l’on me possède, c’était divin, je bandais, je mouillais, ma tête tournait, je n’étais plus moi-même. J’acceptais tout, j’aurais pris en bouche n’importe quel sexe si, on me l’avait proposé. L’orgasme était proche. Oh… oh.. oh Cette fois, c’était le gland de Monsieur qui progressait. Il m’ordonna de pousser, ce que je fis. La brûlure et la douleur me firent crier, je débandais Madame s’activa de plus belle, je rebandais à ma grande surprise, oh quel pied !!! Le gland était en moi, ça brûlait Monsieur exécutait des petits va et vient, je sentais ce gland flirter avec ma prostate et ma vessie, j’avais comme envie d’uriner. Madame câlinait alternativement mes bourses et celles de Monsieur. J’allais jouir, je me retiens pour faire durer le plaisir. L’échauffement anal s’était atténué et un début de plaisir commençait.
Les coups de bitte dans mon cul résonnaient et me firent éjaculer. Je me vidai les couilles abondamment, plus qu’habituellement. Madame recracha, dans la douche ma semence et revint me nettoyer la queue. C’est douloureux et plaisant à la fois. Monsieur se retira, enleva son préservatif, (petit clin d’œil à une lectrice lors d’un commentaire), pour que Madame le nettoie. Même si Monsieur n’éjacule plus, du précum suintait à son extrémités.
J’ai le trou et le sexe en feu, une douche froide me fera le plus grand bien. La lumière a fait place à la pénombre, je chancelais, j’acceptais enfin cette eau presque froide et vivifiante pour recouvrer mes esprits et calmer mes courbatures et… mes ardeurs.
- Mike, tu seras toujours le bien venu…, Monsieur et moi même souhaiterions te revoir.
- Je suis à votre service, quand vous le voulez !
Quand ? Vous le saurez lors d’une prochaine histoire… .
Le couple disparu me laissant seul avec ces images plein la tête, le corps meurtri de jouissance et de bien-être. Je commence à être addicte à ce couple.
Fiction, réalité, fantasme ? Allez savoir !!!!
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