Niqué par mon artisan ( Une histoire d'hommes 3 )
Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Niqué par mon artisan ( Une histoire d'hommes 3 )
Nous avons récupéré ma voiture que j'avais garée dans le quartier Villejean lorsque je suis allé assister au match de foot au Roazhon Park hier soir et David m'a suivi jusque chez moi, à quelques kilomètres de Rennes.
David est un peu sur la réserve lorsqu'il voit que j'habite une maison moderne et récente pour moi tout seul. Il n'avait pas pensé que je puisse être à l'aise et disposer d'un tel logement. Pour la voiture, je lui ai expliqué, c'est une voiture de fonction.
Arrivant de la région parisienne et pouvant me le permettre, j'avais sauté sur cette opportunité. Une petite terrasse avec un jardin sans vis-à-vis et le calme la plupart du temps.
" Laurent, c'est magnifique chez toi. C'est très masculin comme j'aime, c'est beau. Tu as très bon goût.
" David, tu es chez moi parce que tu me plais énormément, que je me sens bien avec toi alors laisses toi aller et fais comme si tu étais aussi chez toi.
" Merci Laurent. Tu peux avoir confiance, Bébé, je suis pas un salaud pour profiter de toi.
Il me remercie d'une caresse et d'un baiser d'homme. Il prend sur lui pour ne pas montrer qu'il est ému. Il a bien compris que je vise bien au-delà d'une partie de cul.
Jamais je n'aurais pensé ramener un jour un mec comme David chez moi. J'en suis fou, j'en suis éperdument amoureux et je ressens en lui cette même ardeur, ce même feu.
Ce mec balèze, taillé comme un catcheur super lourd, m'a niqué à me faire un gosse et j'ai aimé, j'ai apprécié comme jamais cela ne n'était arrivé. J'ai vu son bonheur, j'ai ressenti son plaisir et le soin, son attention à ce que j'éprouve les même sensations que lui sous ses assauts.
Dynamique, voulant vraiment me faire plaisir, rester le mâle qui s'investit, il se propose de m'aider et passe aussitôt à l'action. Visiblement, c'est un manuel et pas du tout empoté. Je sens ce besoin en lui d'être aimé et sa reconnaissance envers moi parce que je l'accepte, je le veux, lui, l'homme sans manière et un peu cabossé.
Il est émerveillé mais reste respectueux et se comporte avec moi comme si j'étais la personne la plus importante de sa vie. Son comportement envers moi est même au-delà de mes espérances.
Il ne pense pas à me baiser aussitôt rentré comme ceux qui sont là pour seulement une partie de cul sans lendemain et se taillent après avoir vidé leurs couilles en te méprisant.
Il ne va pas s'affaler dans le canapé et réclamer une bière en attendant la bouffe…ça, je ne l'aurais pas supporté.
Il me bécote simplement lorsqu'il le peut en m'aidant à ranger quelques cartons d'ameublement en attente de montage et que je venais d'acheter ou me distribue à la volée des gestes tendres lorsqu'il me frôle dans la cuisine. C'est sa tendresse qui déborde. Moi aussi, dès que je peux, je lui rend quelques douceurs sans faire ma chochotte. Je veux rester un homme. Dans mon esprit, je suis homo et je ne veux pas me comporter comme une femme. C'est un peu bizarre à décrire. C'est sans doute pour cela que je plais tant à mon mec de chantier, mon poids lourd de rêve, parce que je ne suis pas du tout efféminé.
Il est encore possible d'aller au marché ce dimanche matin et nous y allons sans perdre de temps. Je suis ravi de l'aisance qu'il a à me côtoyer. Il est fier d'être avec moi, rayonnant. Toujours d'une grande correction, il s'affirme, me donne ses goûts culinaires et choisit aussi pour moi. Quand je demande une part généreuse, il comprend que je ne lui reproche pas d'être un peu enrobé et je voie ses yeux remplis d'amour, de reconnaissance de l'accepter tel qu'il est.
Sur le chemin du retour, il va acheter quelques bricoles au supermarché encore ouvert. Soudain, comme nous sommes à pied et personne à proximité, il s'arrête et en profite pour me dire:
" Laurent, si tu savais comme je suis heureux d'être avec toi. Ca me fait tout drôle.
" Moi aussi, David, je me sens très bien avec toi. J'adore quand tu exprimes tes émotions.
" T'es trop beau, Bébé. Et t'es pas une pétasse, je suis fou de toi.
" Merci Doudou, c'est gentil. Toi aussi, tu es magnifique.
Les petits câlins se poursuivent pendant la préparation du repas. Nos corps se sont exprimés pleinement la nuit dernière ainsi que ce matin alors ce petit intermède est pour nous comme une musique de fond, qui ne fait qu'augmenter notre désir l'un pour l'autre.
Pendant le repas, David me laisse égrener diverses étapes de ma vie sans me juger et se livre lui aussi. Cela me fait du bien de parler, d'être écouté. A la fin du repas, comme un couple normal, comme s'il avait déjà intégré la maison, il se lève, débarrasse et prépare un café.
Je ris de son adaptation rapide et il comprend pourquoi. Il prend ses marques, j'adore.
" Doudou, une petite sieste après le café, ça te dirait ?
" HUMMM, une sieste après le café…. Je ne voudrais pas priver mon homme…
Il bout d'excitation parce que je traîne à boire mon café mais attend, par jeu, par respect puis n'y tenant plus, va vers le canapé et s'allonge, se met à l'aise, se frotte la braguette. A mon tour je ne tiens plus et le rejoins.
A genoux devant lui, entre ses jambes, il comprend mon désir.
" Bébé, des mecs qui veulent me sucer, j'en ai eu. Toi, c'est différent. Je veux pas faire ça comme cela avec toi.
Il saisit ma tête, me regarde au fond des yeux, très épris:
" Laurent, tu es "mon homme" et tu as droit à tout mon corps. Je sais que tu as envie.
" Doudou, tu veux aller dans la chambre.
" Oui, on sera mieux dans… "notre lit"…. et il m'emmène vers "notre paradis"…. en riant.
Nos lèvres enflammées au goût de café se rejoignent pendant que ses bras m'accueillent. Il s'offre, étalant son corps massif de toute sa splendeur au milieu du lit en se calant dans les oreillers. Il rit de mes yeux émerveillés, de mes sens égarés et me conduit vers son sexe qui m'a tant dilaté l'anus. Sa grosse bite raide répand déjà de la mouille vers son nombril.
" Bébé, elle sera rien que pour toi, maintenant.
David veut me faire comprendre qu'il a envie de rester avec moi, à sa manière. Il n'est pas envahissant, il cherche sa place chez moi parce qu'il a envie lui aussi, parce que je lui ai proposé.
Pour la première fois, avec toute la douceur que je lui connais, il m'offre son sexe, son ventre, ses poils, ses tétons, sa bouche, ses bras, son corps entier.
" Profites, mon chéri.
Mon Dieu quel goût exquis elle a sa bite, sa grosse queue épaisse lorsque ma langue fait le tour du gland et saisit ce fruit gorgé de sève translucide qui perle par le désir.
Nul besoin de me forcer à déguster ce bâton dur et veineux, mes lèvres s'ouvrent d'instinct et s'en accordent si bien.
Ma salive coule sur ce symbole de virilité et ma langue râpe, astique, passe et repasse.
J'entends geindre le bénéficiaire qui se tortille sous ces bienfaits et le prend pour des remerciements. Ses larges mains me frottent là ou elles peuvent pour m'inviter à continuer.
La nature a ses limites et la moitié du bambou s'avère déjà un exploit tant le calibre est imposant. Le sucé ne m'en tient pas rigueur et se délecte ensuite lorsque ma langue va gober ses figues telles les couilles du pape, masser subtilement le sac doux et poilu qui les contiennent.
Mon mâle s'offre, étourdi par le désir, bénéficiant de ma bouche chaude et humide. Ses soupirs érotiques, ses vibrations, ses paroles grivoises sont une provocation au vice et une invitation à parcourir ce corps enfiévré.
Les flancs à découvert, la toison suante de testostérones, il attend qu'on le tète, qu'on profite de sa poitrine généreuse, qu'on trouve ses tétons dans son pelage d'ours.
Tel un affamé de friandises, je suçote, j'aspire et me délecte de ces appendices tels des petits bonbons. Une récompense tout aussi sublime m'attend par ses lèvres douces et aimantes, par ses caresses reposantes, bienfaitrices.
Nos mains se rejoignent et nous frottons son ventre dur et couvert de poils qu'il me sait aimer.
Nos langues pleines de nos salives peinent à se séparer. Les yeux fermés, il ondule. Ses bras vigoureux d'artisan se referment sur moi comme une corolle, sans excès, juste pour me retenir.
La raideur de son sexe large et imposant me rappelle. Il écarte ses cuisses musclées pour mieux se faire biberonner sans toutefois me donner l'accès à son issue de secours cachée entre ses fesses.
Son bassin se soulève tant le bonheur est au rendez vous. Il va et vient entre mes lèvres, masse ses couilles en complément, se frotte le ventre, pince ses tétons.
"Mon chéri, je vais juter… Ah, putain, …c'est trop bon, Bébé.
Son gros bazooka va envoyer…. L'issue semble inévitable. Mon corps transpire de bonheur tant j'attend ce moment. Rien ne doit être perdu.
" T'es pas obligé, Bébé…..me dit il de sa voix grave, profonde et si pénétrante.
Comment a-t-il deviné que je veux son jus, que je m'apprête à avaler tout son sirop d'homme, la liqueur de mon mâle.
Il est trop tard, le point de non retour est dépassé. Il est pour moi, il va tout me donner. Il a compris et ne s'y oppose pas et met un point d'honneur à bien me servir. Il a rouvert les yeux, me regarde de son petit nuage, veille à ce que sa bite soit bien logée dans ma bouche, me maintient la nuque…
" Bébé, je viens…AAAAHHHHH…. Prends tout, mon chéri…AAAHHHHHhhhhhh
Le gros bambou gicle sa moelle qui se répand dans ma bouche, crémeuse, onctueuse.
Je me réjouis, me régale de cette sauce gluante au gout iodé un peu fort que je goûte et savoure. Ma bouche est maintenant pleine tellement la livraison me semble abondante, généreuse. J'avale ce copieux repas avec délice, comme une victoire. Un filet blanchâtre s'est échappé et a coulé sur la hampe que je récupère aussitôt. Rien ne doit être négligé pour mon mâle d'amour.
Son gland baveux et soulagé dégueule ses dernières gouttes et ma langue les récupère aussitôt.
Ivre de ma réussite, j'ai la tête à l'envers. Ma queue et mes couilles me font mal, prêtes à l'explosion tant j'avais envie et que le résultat dépasse mes espérances.
Je me redresse, pendant que mon beau mâle plane encore dans son nirvana, me touche à peine le nœud et gicle sur le ventre de David pour me libérer, pour me soulager.
Les jets de sperme aspergent son ventre velu et vont même jusqu'à sa poitrine fournie. Il ne bouge pas, il sait ma virilité et vient de sa main caresser mon sexe qui bave encore.
Repu, vidé, le goût fort de sa semence encore présent dans ma bouche, je m'affale sur mon Doudou qui me reçoit et m'enveloppe dans ses bras protecteurs. Nous ne sommes pas dégoûtés de ce foutre qui nous colle, qui lui barbouille la toison.
D'un geste aimant, il se positionne pour que je me blottisse contre son corps de poids lourd, de mec balèze, en silence, la tête calée dans son cou.
Nul besoin de courir se laver. Nous sommes deux hommes heureux d'être ensemble, avec la même tendresse, le même désir de soulager nos corps et de s'aimer.
" Doudou,…. mais il semble s'assoupir d'aise.
" Mon homme… la prochaine fois, tu me donnera ton jus, parce que c'est toi…
La sieste peut commencer… Je ferme les yeux…Je vis un rêve.
***
Il a attendu que j'émerge de ma sieste, en silence, respectueux, heureux, aimant.
Dans la salle de bains, je découvre une brosse à dents et du dentifrice qu'il a acheté ce matin au supermarché.
" David, il manque un rasoir. Non, je plaisante, tu es trop beau comme tu es.
" Bébé, je veux pas te forcer. C'est la première fois que j'ai envie de vivre avec un homme qui me plait. Tous les autres, je les ai niqués mais ils en avaient rien à foutre de moi. Et, en plus, je ne me voyais pas vivre avec eux.
" David, si je t'ai proposé de venir chez moi, c'est pour vivre autre chose que du sexe, pour voir si je compte pour toi. Je suis vraiment heureux.
" Bien sûr que tu comptes pour moi. Ca me fait tout drôle que tu m'acceptes, que tu m'aimes. Si on s'était quittés ce matin sans que t'ai envie de me revoir, j'aurais chialé tellement j'avais envie d'être avec toi.
Et David continue…
" Laurent, nous sommes deux hommes et on s'aime mais je veux que ton cul, il soit rien que pour moi.
" David, mon Doudou, t'as pas besoin de mettre de cadenas, c'est toi que j'ai choisi.
" T'as vu, Bébé, j'ai une grosse bite mais je ne t'ai pas fait mal.
" C'est vrai, hier soir, tu as pris soin de moi, tu voulais que j'apprécie. Merci Doudou.
C'est vrai, hier soir, à l'hôtel, vu son gros gourdin entre les jambes, il aurait pu m'exploser le cul. Avec son gabarit, sa force, il pouvait me baiser sans ménagement, se vider, me traiter comme une pute mais il m'a aimé, respecté…Dès le départ, il ne m'a pas baisé, il m'a fait l'amour.
Un simple bisou et une très longue étreinte, de petits frottements sensuels, des regards profonds dans les yeux …comme si toute cette confiance était l'évidence même.
J'ai lavé les poils de David collés par mon sperme et bien sûr les gestes tendres et affectueux ont continués et nous sommes retournés à poil nous allonger dans "notre lit"
En homme responsable, David n'a éludé aucune de ses difficultés à vivre complètement avec moi … la distance pour son travail, ses angoisses à expliquer à ses parents, notamment à son père son choix de vivre avec un homme….
On ne s'est même pas posé la question de l'impossibilité, de la rapidité de notre décision ou autres questions.
" Bébé…Je sais que j'ai un physique pas terrible mais je suis pas une brute. Moi, ce que j'ai envie, c'est de te faire un câlin tous les soirs dans le lit. Tes câlins, j'en ai trop besoin.
" David, tes câlins sont les meilleurs et je sais que tu es très doux. Moi, je t'ai trouvé très viril dès le départ, très attirant, et ta balafre n'est absolument pas un problème pour moi.
Comme tous les amoureux, nous avons prolongé ce temps de confidences, de mamours…et continué à découvrir nos corps par des gestes sensuels.
" Ca donne soif, tout ça.
" Oui. Tu as des bières, Laurent ?
" Pas de problème, David.
Ah, qu'est ce qu'on a pu en boire des bières depuis toutes ces années, avec mon Doudou. Comme ce jour fut beau, ce jour ou nous avons scellé notre amour.
La bière n'était finalement pas terrible mais David m'a conseillé pour mes prochains achats et s'est proposé d'en acheter pour le week-end suivant.
Peu pressé de repartir, c'est très dur quand on aime quelqu'un, il est resté avec moi le soir et la nuit fût très câline. On a préféré mettre le réveil très tôt le lundi matin pour ne rien perdre de ce bonheur exquis.
Comme deux hommes très raisonnables, le voisin en face nous a vus dehors mais n'a pas entendu nos derniers mots, pleins d'amour.
David avait plus d'une heure de route pour rejoindre son domicile et reprendre le travail.
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Dans ces rencontres entre hommes ( les autres, je suppose que c'est pareil ), on craint toujours, qu'on soit passif ou actif, de tomber sur le mec qui n'en a rien à foutre de toi, qui te prend pour une merde, qui butine d'un mec à l'autre chaque week-end, qui va te faire tourner en bourrique avec 200 sms par jour ou, encore pire, te répondre avec deux mots, trois au maximum, ou qui ne te répond pas du tout… L'euphorie d'un week-end et la réalité de la vie reprend le dessus… tout change si vite.
Je ne voulais pas être "collant" ni le mettre mal à l'aise vu que son patron, c'était aussi son père. Nous avions convenu d'un appel le soir.
J'ai attendu qu'il ait fini sa journée de travail pour envoyer un sms à David.
Mon Doudou m'a répondu aussitôt, comme s'il brûlait d'impatience et m'a demandé s'il pouvait m'appeler. Bien sûr que oui.
Je ne sais pas ou il se trouvait mais il s'est complètement lâché en mots doux, en mots gentils. Il savait que sa voix ronronnait en moi. Il m'a parlé de sexe, décrivant son plaisir à me faire l'amour, à se rouler contre mon corps lisse et tout le plaisir qu'il avait eu à s'offrir à moi, sa grande reconnaissance à l'accepter bien qu'il ne soit pas dans les standards, son bonheur d'avoir passé la fin du week-end chez moi…de l'amour qu'il avait senti chez moi dès la première étreinte…et de ses précautions pour me prendre avec sa grosse pine.
Je sais aussi tout le bonheur qu'il a du avoir à m'entendre dire que je l'aimais, qu'il faisait si bien l'amour, qu'il était beau, magnifiquement beau, que j'aimais son visage viril, son corps de poids lourd, ses mots doux, ses gestes tendres, ses baisers si onctueux, son comportement respectueux.
Dès le départ, au stade, c'est son attitude d'homme qui m'a séduit. Quand il a compris que son métier manuel n'était pas un obstacle pour moi, son bonheur a été amplifié, illimité. J'ai su que son cœur et que son corps allaient s'installer chez moi.
Après cet appel, je me suis allongé sur mon lit et j'ai senti son souffle m'envahir…
Le mardi, je me trouvais à Paris pour le travail et j'ai réalisé combien il me manquait… sa présence, sa voix, son amour, ses câlins. Adieu les saunas Parisiens et les bars du Marais.
Le mercredi, le midi, j'étais seul à la maison car j'avais des heures à récupérer. Un petit sms discret à David et celui-ci m'a répondu presque aussitôt, enchanté, ravi, toujours aussi agréable.
" Bébé, je te rappelle ce soir.
" Pas de problème, David. Prends soin de toi.
A peine 17h, Doudou me rappelle pour me dire:
" Bébé, je finis ma journée. Mon père est sur un autre chantier. J'ai envie de toi, Bébé.
" Moi aussi, mon Doudou mais hélas, je suis pas à côté de toi.
" Bébé, je vais aller te voir. Est-ce que tu veux bien?
" David, tu n'as pas à demander l'autorisation. Tu veux que je fasse la moitié du chemin?
" Je veux dormir avec toi, Laurent. Mais j'ai pas encore pris ma douche.
" Doudou, vient comme tu es, je m'en fout complètement.
" J'arrive, Laurent, mon chéri. Je pars. J'ai trop envie de toi.
Je connais déjà David et, au son de sa voix, je sais qu'il va être très raide en arrivant, bavant d'envie de me féconder. Je file à la salle de bains préparer mon petit trou. Le week-end dernier il ne m'a pas fait mal mais comme il est super bien gâté par la nature niveau sexe, je met donc un soin particulier à m'entretenir.
Juste une heure plus tard, une portière claque. David n'a pas besoin de sonner, j'ai ouvert la porte, ébloui par mon homme qui rayonne, archi heureux de me voir l'accueillir.
Avec son pantalon d'artisan, bicolore, je le trouve encore plus beau ainsi, encore plus viril. Les poils qui débordent de son teeshirt qui baille me mettent dans un état second. Je bande, j'ai chaud. Il me violerait que je serais consentant.
Il referme la porte et, comme chez lui, tourne la clé.
Nous nous prenons dans les bras, nos lèvres se retrouvent. Il sent l'homme, la sueur, il sent le chantier mais je le veux, je l'aime, je le désire en moi.
Derrière la porte, il me déshabille, bave son désir sur mes lèvres, ronronne, me fait sentir sa bite raide et simule déjà une pénétration. Le feu est en lui, sûr de son charme sur moi, sûr de mon acceptation, en totale confiance.
" Bébé, je vais te niquer, j'ai trop envie. Oh, putain, mon Bébé d'amour, tu me rends dingo.
Je le laisse faire, je ne voudrais pas lui retirer ce plaisir. La première fois, j'ai trop ressenti tout le plaisir qu'il y a pris.
Il admire mon corps sans le moindre poil, en palpe les formes, savoure son bonheur.
Il me voit bander et en tire une énorme fierté puis, envahi par sa soif de me baiser, il me soulève et pose mon cul sur le petit meuble qui se trouve là, juste à bonne hauteur pour nous et pousse ce qui gêne pour nos ébats. Il n'ira pas plus loin et j'ai compris ce qu'il va faire.
Il se libère de ses vêtements, découvrant ses pectoraux archis poilus et son ventre ferme qui l'est tout autant puis, d'une main assurée, défait son ceinturon et laisse tomber le reste.
Sa queue apparaît, monstrueuse, magnifique, le gland gorgé et dégoulinant de désir. Il est fier de son anatomie, de ses poils, de sa virilité. Il me voit regarder avec admiration et envie son membre bandé et sourit parce qu'il en connaît la suite.
D'un geste sûr, avec ses bras pleins de force, il lève mes jambes, positionne mon cul et vient vérifier mon petit trou. Il constate que je me suis préparé.
" Oh, putain, mon chéri, t'en as envie autant que moi.
Il crache dans sa main et s'astique, saisit son manche et vient m'enquiller dans la foulée.
Je gueule comme un enculé tant la pénétration est virile et tellement il m'a rempli le conduit.
" Oh putain, Bébé....Putain que c'est bon…Mon chéri, je t'aime comme un fou.
Il ne m'a pas fait mal, il a senti mon désir et, ne sentant pas de résistance, a glissé son gros mandrin jusqu'aux couilles.
Je m'accroche à son cou et il en profite pour me redonner un coup de reins. Il me regarde, vainqueur, satisfait de sa réussite. Il vient de m'envoyer dans un autre monde et sait que nous ne faisons plus qu'un, que nos corps se confondent dans le même puzzle.
Les jouets sont en place et il ne tarde pas à aller et venir en moi, se réjouissant de mon bonheur, de mes mains qui caressent ses tétons durcis perdus dans sa moquette.
Il est beau, il me baise, vient chercher un baiser de temps en temps, me fait caresser sa balafre puis accélère, me démonte le cul, sûr de son pouvoir. De temps en temps, il me soulève davantage une jambe pour mieux m'emboîter, mieux me ramoner.
Sa puissance s'exprime pendant qu'il se réjouit de mes gémissements, de mes Oui d'amour. Il accélère encore, amplifie le mouvement, rentrant et sortant de mon trou ouvert qui aspire son énorme dard et attend la fécondation.
Je vacille sous ses coups et perd le contrôle, c'est trop bon.
" Bébé, je veux ton jus. Retiens toi, mon cœur.
Il est trop tard, mes couilles envoient, ma queue gicle tel un feu d'artifice. Le foutre atterri sur mon ventre, jusque sur ma poitrine.
David gueule sa jouissance en me regardant au fond des yeux, me rempli, se vide dans mes boyaux, m'ensemence de sa fertilité.
Il se retire, le gland encore baveux et viens lécher mon ventre, aspirer ma semence, suce ma queue qui se ramolli, lèche ce nectar qu'il ne veut pas perdre.
" Mon homme, je t'en ai mis une bonne dose, j'avais trop envie. Oh putain, je t'ai bien ramoné le cul. C'est trop bon sans capote. T'as aimé, bébé ?
Puis, sans attendre ma réponse, encore sous le coup de l'excitation, viens me lécher le trou qui suinte son foutre. Je trouve ça dégueulasse mais c'est trop bon.
" J'avais encore jamais fait ça. C'est bon, Bébé ?
Il n'attend pas, me roule une pelle gluante, me lèche la gueule, me couvre de baisers puis se calme en me serrant, en me frottant le dos de ses mains larges comme des battoirs.
" Désolé Laurent, j'avais trop envie de toi. On est deux hommes alors on baise comme des hommes mais, tu sais, j'ai aussi beaucoup de tendresse pour toi.
" David, tout ce que tu fais avec moi, c'est trop bien, c'est trop bon.
Et je l'embrasse tendrement, lui caresse la nuque et les joues car je sais que c'est son pêché mignon, la preuve ultime que je l'aime, que sa cicatrice n'est pas un problème. Il ferme les yeux, savourant ce bonheur partagé, ému, se retenant de crier tellement il exulte, tellement il se sent aimé.
Il laisse passer le temps tellement ces gestes tendres sont importants pour lui, le ciment de notre amour.
" Merci mon homme.
" Doudou, tu es formidable. C'est trop bon. Tu as soif ?
" Bien sûr, c'est salé, tout ça. Je suis venu pour ça, pour une bonne bière bien fraîche….
Et il rit de cette liberté de paroles et de cette aisance qu'il a maintenant avec moi.
" Doudou, j'aime ta façon de parler, ta façon d'être. C'est toi que j'aime.
" Je sais bien, mon cœur, que tu m'aimes…. Je me sens à l'aise avec toi, je suis heureux. Putain, j'avais la trique en venant. j'avais trop envie de te voir, d'être avec toi, de te juter dans le cul. Sans capote, c'est encore meilleur.
Le changement est total. Sa façon de parler "entre hommes" me rend encore plus amoureux de lui. Il me nique mais je sais qu'il me respecte et tient énormément à moi.
Il remonte son pantalon et m'aide à récupérer mes affaires.
Dans la salle de bains, il remarque que j'ai préparé des serviettes pour lui et que sa place est acquise. Il redouble de tendresse.
" Bébé, c'est gentil. J'ai hâte d'être avec toi tous les soirs. Tu sais, je te baiserai pas tous les soirs comme ça mais pour les câlins, je veux bien.
Après ces douceurs, David, comme s'il était chez lui, se sert au frigo et m'offre à boire puis, toujours aussi câlin, ses bras s'ouvrent pour que je le rejoigne dans le canapé.
" Laurent, j'ai fait une prise de sang hier. Le toubib m'a regardé d'un drôle d'air. Il pensait pas que je mâtais les mecs. C'est après t'avoir juté dans le cul mais je veux pas que tu t'inquiètes. Les autres avant, j'ai toujours mis des capotes.
" David, j'ai confiance en toi et je vois que tu te conduis en homme responsable. Je suis fier de toi.
" Bébé, je ferai tout ce qu'il faut pour que tu me gardes. Si je fais une connerie ou un truc qui te gêne, tu me dis.
La soirée s'est déroulée comme dans un rêve et David s'est encore soulagé dans mon corps dans notre lit après le repas. Je n'ai pas voulu aller me laver mais rester dans ses bras. Je voulais garder en moi sa semence, comme le fruit de son amour.
Le lendemain matin, dès pétro minet, j'étais peut être encore plus malheureux que David qu'on se sépare. Mais, en tant qu'homme fort, j'ai pris sur moi. Comme m'a dit mon Doudou, "on ne va pas faire comme les gonzesses, on est des hommes"…ce qui n'empêche pas d'avoir des sentiments.
" A vendredi soir, Bébé. Je t'aime, Laurent.
" David, moi aussi, je t'aime. Enormément.
" Je sais, mon Laurent. Je l'ai ressenti dès le départ. Si tu savais comme je suis heureux…….Bébé, je file sinon, si je suis en retard, je vais encore me faire laver la gueule par le pater.
***************************A suivre
Raconter sa vie, raconter ses fantasmes…. quel plaisir.
Merci pour vos mailsN'oubliez pas les petits carrés de gel et de capotes…
David est un peu sur la réserve lorsqu'il voit que j'habite une maison moderne et récente pour moi tout seul. Il n'avait pas pensé que je puisse être à l'aise et disposer d'un tel logement. Pour la voiture, je lui ai expliqué, c'est une voiture de fonction.
Arrivant de la région parisienne et pouvant me le permettre, j'avais sauté sur cette opportunité. Une petite terrasse avec un jardin sans vis-à-vis et le calme la plupart du temps.
" Laurent, c'est magnifique chez toi. C'est très masculin comme j'aime, c'est beau. Tu as très bon goût.
" David, tu es chez moi parce que tu me plais énormément, que je me sens bien avec toi alors laisses toi aller et fais comme si tu étais aussi chez toi.
" Merci Laurent. Tu peux avoir confiance, Bébé, je suis pas un salaud pour profiter de toi.
Il me remercie d'une caresse et d'un baiser d'homme. Il prend sur lui pour ne pas montrer qu'il est ému. Il a bien compris que je vise bien au-delà d'une partie de cul.
Jamais je n'aurais pensé ramener un jour un mec comme David chez moi. J'en suis fou, j'en suis éperdument amoureux et je ressens en lui cette même ardeur, ce même feu.
Ce mec balèze, taillé comme un catcheur super lourd, m'a niqué à me faire un gosse et j'ai aimé, j'ai apprécié comme jamais cela ne n'était arrivé. J'ai vu son bonheur, j'ai ressenti son plaisir et le soin, son attention à ce que j'éprouve les même sensations que lui sous ses assauts.
Dynamique, voulant vraiment me faire plaisir, rester le mâle qui s'investit, il se propose de m'aider et passe aussitôt à l'action. Visiblement, c'est un manuel et pas du tout empoté. Je sens ce besoin en lui d'être aimé et sa reconnaissance envers moi parce que je l'accepte, je le veux, lui, l'homme sans manière et un peu cabossé.
Il est émerveillé mais reste respectueux et se comporte avec moi comme si j'étais la personne la plus importante de sa vie. Son comportement envers moi est même au-delà de mes espérances.
Il ne pense pas à me baiser aussitôt rentré comme ceux qui sont là pour seulement une partie de cul sans lendemain et se taillent après avoir vidé leurs couilles en te méprisant.
Il ne va pas s'affaler dans le canapé et réclamer une bière en attendant la bouffe…ça, je ne l'aurais pas supporté.
Il me bécote simplement lorsqu'il le peut en m'aidant à ranger quelques cartons d'ameublement en attente de montage et que je venais d'acheter ou me distribue à la volée des gestes tendres lorsqu'il me frôle dans la cuisine. C'est sa tendresse qui déborde. Moi aussi, dès que je peux, je lui rend quelques douceurs sans faire ma chochotte. Je veux rester un homme. Dans mon esprit, je suis homo et je ne veux pas me comporter comme une femme. C'est un peu bizarre à décrire. C'est sans doute pour cela que je plais tant à mon mec de chantier, mon poids lourd de rêve, parce que je ne suis pas du tout efféminé.
Il est encore possible d'aller au marché ce dimanche matin et nous y allons sans perdre de temps. Je suis ravi de l'aisance qu'il a à me côtoyer. Il est fier d'être avec moi, rayonnant. Toujours d'une grande correction, il s'affirme, me donne ses goûts culinaires et choisit aussi pour moi. Quand je demande une part généreuse, il comprend que je ne lui reproche pas d'être un peu enrobé et je voie ses yeux remplis d'amour, de reconnaissance de l'accepter tel qu'il est.
Sur le chemin du retour, il va acheter quelques bricoles au supermarché encore ouvert. Soudain, comme nous sommes à pied et personne à proximité, il s'arrête et en profite pour me dire:
" Laurent, si tu savais comme je suis heureux d'être avec toi. Ca me fait tout drôle.
" Moi aussi, David, je me sens très bien avec toi. J'adore quand tu exprimes tes émotions.
" T'es trop beau, Bébé. Et t'es pas une pétasse, je suis fou de toi.
" Merci Doudou, c'est gentil. Toi aussi, tu es magnifique.
Les petits câlins se poursuivent pendant la préparation du repas. Nos corps se sont exprimés pleinement la nuit dernière ainsi que ce matin alors ce petit intermède est pour nous comme une musique de fond, qui ne fait qu'augmenter notre désir l'un pour l'autre.
Pendant le repas, David me laisse égrener diverses étapes de ma vie sans me juger et se livre lui aussi. Cela me fait du bien de parler, d'être écouté. A la fin du repas, comme un couple normal, comme s'il avait déjà intégré la maison, il se lève, débarrasse et prépare un café.
Je ris de son adaptation rapide et il comprend pourquoi. Il prend ses marques, j'adore.
" Doudou, une petite sieste après le café, ça te dirait ?
" HUMMM, une sieste après le café…. Je ne voudrais pas priver mon homme…
Il bout d'excitation parce que je traîne à boire mon café mais attend, par jeu, par respect puis n'y tenant plus, va vers le canapé et s'allonge, se met à l'aise, se frotte la braguette. A mon tour je ne tiens plus et le rejoins.
A genoux devant lui, entre ses jambes, il comprend mon désir.
" Bébé, des mecs qui veulent me sucer, j'en ai eu. Toi, c'est différent. Je veux pas faire ça comme cela avec toi.
Il saisit ma tête, me regarde au fond des yeux, très épris:
" Laurent, tu es "mon homme" et tu as droit à tout mon corps. Je sais que tu as envie.
" Doudou, tu veux aller dans la chambre.
" Oui, on sera mieux dans… "notre lit"…. et il m'emmène vers "notre paradis"…. en riant.
Nos lèvres enflammées au goût de café se rejoignent pendant que ses bras m'accueillent. Il s'offre, étalant son corps massif de toute sa splendeur au milieu du lit en se calant dans les oreillers. Il rit de mes yeux émerveillés, de mes sens égarés et me conduit vers son sexe qui m'a tant dilaté l'anus. Sa grosse bite raide répand déjà de la mouille vers son nombril.
" Bébé, elle sera rien que pour toi, maintenant.
David veut me faire comprendre qu'il a envie de rester avec moi, à sa manière. Il n'est pas envahissant, il cherche sa place chez moi parce qu'il a envie lui aussi, parce que je lui ai proposé.
Pour la première fois, avec toute la douceur que je lui connais, il m'offre son sexe, son ventre, ses poils, ses tétons, sa bouche, ses bras, son corps entier.
" Profites, mon chéri.
Mon Dieu quel goût exquis elle a sa bite, sa grosse queue épaisse lorsque ma langue fait le tour du gland et saisit ce fruit gorgé de sève translucide qui perle par le désir.
Nul besoin de me forcer à déguster ce bâton dur et veineux, mes lèvres s'ouvrent d'instinct et s'en accordent si bien.
Ma salive coule sur ce symbole de virilité et ma langue râpe, astique, passe et repasse.
J'entends geindre le bénéficiaire qui se tortille sous ces bienfaits et le prend pour des remerciements. Ses larges mains me frottent là ou elles peuvent pour m'inviter à continuer.
La nature a ses limites et la moitié du bambou s'avère déjà un exploit tant le calibre est imposant. Le sucé ne m'en tient pas rigueur et se délecte ensuite lorsque ma langue va gober ses figues telles les couilles du pape, masser subtilement le sac doux et poilu qui les contiennent.
Mon mâle s'offre, étourdi par le désir, bénéficiant de ma bouche chaude et humide. Ses soupirs érotiques, ses vibrations, ses paroles grivoises sont une provocation au vice et une invitation à parcourir ce corps enfiévré.
Les flancs à découvert, la toison suante de testostérones, il attend qu'on le tète, qu'on profite de sa poitrine généreuse, qu'on trouve ses tétons dans son pelage d'ours.
Tel un affamé de friandises, je suçote, j'aspire et me délecte de ces appendices tels des petits bonbons. Une récompense tout aussi sublime m'attend par ses lèvres douces et aimantes, par ses caresses reposantes, bienfaitrices.
Nos mains se rejoignent et nous frottons son ventre dur et couvert de poils qu'il me sait aimer.
Nos langues pleines de nos salives peinent à se séparer. Les yeux fermés, il ondule. Ses bras vigoureux d'artisan se referment sur moi comme une corolle, sans excès, juste pour me retenir.
La raideur de son sexe large et imposant me rappelle. Il écarte ses cuisses musclées pour mieux se faire biberonner sans toutefois me donner l'accès à son issue de secours cachée entre ses fesses.
Son bassin se soulève tant le bonheur est au rendez vous. Il va et vient entre mes lèvres, masse ses couilles en complément, se frotte le ventre, pince ses tétons.
"Mon chéri, je vais juter… Ah, putain, …c'est trop bon, Bébé.
Son gros bazooka va envoyer…. L'issue semble inévitable. Mon corps transpire de bonheur tant j'attend ce moment. Rien ne doit être perdu.
" T'es pas obligé, Bébé…..me dit il de sa voix grave, profonde et si pénétrante.
Comment a-t-il deviné que je veux son jus, que je m'apprête à avaler tout son sirop d'homme, la liqueur de mon mâle.
Il est trop tard, le point de non retour est dépassé. Il est pour moi, il va tout me donner. Il a compris et ne s'y oppose pas et met un point d'honneur à bien me servir. Il a rouvert les yeux, me regarde de son petit nuage, veille à ce que sa bite soit bien logée dans ma bouche, me maintient la nuque…
" Bébé, je viens…AAAAHHHHH…. Prends tout, mon chéri…AAAHHHHHhhhhhh
Le gros bambou gicle sa moelle qui se répand dans ma bouche, crémeuse, onctueuse.
Je me réjouis, me régale de cette sauce gluante au gout iodé un peu fort que je goûte et savoure. Ma bouche est maintenant pleine tellement la livraison me semble abondante, généreuse. J'avale ce copieux repas avec délice, comme une victoire. Un filet blanchâtre s'est échappé et a coulé sur la hampe que je récupère aussitôt. Rien ne doit être négligé pour mon mâle d'amour.
Son gland baveux et soulagé dégueule ses dernières gouttes et ma langue les récupère aussitôt.
Ivre de ma réussite, j'ai la tête à l'envers. Ma queue et mes couilles me font mal, prêtes à l'explosion tant j'avais envie et que le résultat dépasse mes espérances.
Je me redresse, pendant que mon beau mâle plane encore dans son nirvana, me touche à peine le nœud et gicle sur le ventre de David pour me libérer, pour me soulager.
Les jets de sperme aspergent son ventre velu et vont même jusqu'à sa poitrine fournie. Il ne bouge pas, il sait ma virilité et vient de sa main caresser mon sexe qui bave encore.
Repu, vidé, le goût fort de sa semence encore présent dans ma bouche, je m'affale sur mon Doudou qui me reçoit et m'enveloppe dans ses bras protecteurs. Nous ne sommes pas dégoûtés de ce foutre qui nous colle, qui lui barbouille la toison.
D'un geste aimant, il se positionne pour que je me blottisse contre son corps de poids lourd, de mec balèze, en silence, la tête calée dans son cou.
Nul besoin de courir se laver. Nous sommes deux hommes heureux d'être ensemble, avec la même tendresse, le même désir de soulager nos corps et de s'aimer.
" Doudou,…. mais il semble s'assoupir d'aise.
" Mon homme… la prochaine fois, tu me donnera ton jus, parce que c'est toi…
La sieste peut commencer… Je ferme les yeux…Je vis un rêve.
***
Il a attendu que j'émerge de ma sieste, en silence, respectueux, heureux, aimant.
Dans la salle de bains, je découvre une brosse à dents et du dentifrice qu'il a acheté ce matin au supermarché.
" David, il manque un rasoir. Non, je plaisante, tu es trop beau comme tu es.
" Bébé, je veux pas te forcer. C'est la première fois que j'ai envie de vivre avec un homme qui me plait. Tous les autres, je les ai niqués mais ils en avaient rien à foutre de moi. Et, en plus, je ne me voyais pas vivre avec eux.
" David, si je t'ai proposé de venir chez moi, c'est pour vivre autre chose que du sexe, pour voir si je compte pour toi. Je suis vraiment heureux.
" Bien sûr que tu comptes pour moi. Ca me fait tout drôle que tu m'acceptes, que tu m'aimes. Si on s'était quittés ce matin sans que t'ai envie de me revoir, j'aurais chialé tellement j'avais envie d'être avec toi.
Et David continue…
" Laurent, nous sommes deux hommes et on s'aime mais je veux que ton cul, il soit rien que pour moi.
" David, mon Doudou, t'as pas besoin de mettre de cadenas, c'est toi que j'ai choisi.
" T'as vu, Bébé, j'ai une grosse bite mais je ne t'ai pas fait mal.
" C'est vrai, hier soir, tu as pris soin de moi, tu voulais que j'apprécie. Merci Doudou.
C'est vrai, hier soir, à l'hôtel, vu son gros gourdin entre les jambes, il aurait pu m'exploser le cul. Avec son gabarit, sa force, il pouvait me baiser sans ménagement, se vider, me traiter comme une pute mais il m'a aimé, respecté…Dès le départ, il ne m'a pas baisé, il m'a fait l'amour.
Un simple bisou et une très longue étreinte, de petits frottements sensuels, des regards profonds dans les yeux …comme si toute cette confiance était l'évidence même.
J'ai lavé les poils de David collés par mon sperme et bien sûr les gestes tendres et affectueux ont continués et nous sommes retournés à poil nous allonger dans "notre lit"
En homme responsable, David n'a éludé aucune de ses difficultés à vivre complètement avec moi … la distance pour son travail, ses angoisses à expliquer à ses parents, notamment à son père son choix de vivre avec un homme….
On ne s'est même pas posé la question de l'impossibilité, de la rapidité de notre décision ou autres questions.
" Bébé…Je sais que j'ai un physique pas terrible mais je suis pas une brute. Moi, ce que j'ai envie, c'est de te faire un câlin tous les soirs dans le lit. Tes câlins, j'en ai trop besoin.
" David, tes câlins sont les meilleurs et je sais que tu es très doux. Moi, je t'ai trouvé très viril dès le départ, très attirant, et ta balafre n'est absolument pas un problème pour moi.
Comme tous les amoureux, nous avons prolongé ce temps de confidences, de mamours…et continué à découvrir nos corps par des gestes sensuels.
" Ca donne soif, tout ça.
" Oui. Tu as des bières, Laurent ?
" Pas de problème, David.
Ah, qu'est ce qu'on a pu en boire des bières depuis toutes ces années, avec mon Doudou. Comme ce jour fut beau, ce jour ou nous avons scellé notre amour.
La bière n'était finalement pas terrible mais David m'a conseillé pour mes prochains achats et s'est proposé d'en acheter pour le week-end suivant.
Peu pressé de repartir, c'est très dur quand on aime quelqu'un, il est resté avec moi le soir et la nuit fût très câline. On a préféré mettre le réveil très tôt le lundi matin pour ne rien perdre de ce bonheur exquis.
Comme deux hommes très raisonnables, le voisin en face nous a vus dehors mais n'a pas entendu nos derniers mots, pleins d'amour.
David avait plus d'une heure de route pour rejoindre son domicile et reprendre le travail.
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Dans ces rencontres entre hommes ( les autres, je suppose que c'est pareil ), on craint toujours, qu'on soit passif ou actif, de tomber sur le mec qui n'en a rien à foutre de toi, qui te prend pour une merde, qui butine d'un mec à l'autre chaque week-end, qui va te faire tourner en bourrique avec 200 sms par jour ou, encore pire, te répondre avec deux mots, trois au maximum, ou qui ne te répond pas du tout… L'euphorie d'un week-end et la réalité de la vie reprend le dessus… tout change si vite.
Je ne voulais pas être "collant" ni le mettre mal à l'aise vu que son patron, c'était aussi son père. Nous avions convenu d'un appel le soir.
J'ai attendu qu'il ait fini sa journée de travail pour envoyer un sms à David.
Mon Doudou m'a répondu aussitôt, comme s'il brûlait d'impatience et m'a demandé s'il pouvait m'appeler. Bien sûr que oui.
Je ne sais pas ou il se trouvait mais il s'est complètement lâché en mots doux, en mots gentils. Il savait que sa voix ronronnait en moi. Il m'a parlé de sexe, décrivant son plaisir à me faire l'amour, à se rouler contre mon corps lisse et tout le plaisir qu'il avait eu à s'offrir à moi, sa grande reconnaissance à l'accepter bien qu'il ne soit pas dans les standards, son bonheur d'avoir passé la fin du week-end chez moi…de l'amour qu'il avait senti chez moi dès la première étreinte…et de ses précautions pour me prendre avec sa grosse pine.
Je sais aussi tout le bonheur qu'il a du avoir à m'entendre dire que je l'aimais, qu'il faisait si bien l'amour, qu'il était beau, magnifiquement beau, que j'aimais son visage viril, son corps de poids lourd, ses mots doux, ses gestes tendres, ses baisers si onctueux, son comportement respectueux.
Dès le départ, au stade, c'est son attitude d'homme qui m'a séduit. Quand il a compris que son métier manuel n'était pas un obstacle pour moi, son bonheur a été amplifié, illimité. J'ai su que son cœur et que son corps allaient s'installer chez moi.
Après cet appel, je me suis allongé sur mon lit et j'ai senti son souffle m'envahir…
Le mardi, je me trouvais à Paris pour le travail et j'ai réalisé combien il me manquait… sa présence, sa voix, son amour, ses câlins. Adieu les saunas Parisiens et les bars du Marais.
Le mercredi, le midi, j'étais seul à la maison car j'avais des heures à récupérer. Un petit sms discret à David et celui-ci m'a répondu presque aussitôt, enchanté, ravi, toujours aussi agréable.
" Bébé, je te rappelle ce soir.
" Pas de problème, David. Prends soin de toi.
A peine 17h, Doudou me rappelle pour me dire:
" Bébé, je finis ma journée. Mon père est sur un autre chantier. J'ai envie de toi, Bébé.
" Moi aussi, mon Doudou mais hélas, je suis pas à côté de toi.
" Bébé, je vais aller te voir. Est-ce que tu veux bien?
" David, tu n'as pas à demander l'autorisation. Tu veux que je fasse la moitié du chemin?
" Je veux dormir avec toi, Laurent. Mais j'ai pas encore pris ma douche.
" Doudou, vient comme tu es, je m'en fout complètement.
" J'arrive, Laurent, mon chéri. Je pars. J'ai trop envie de toi.
Je connais déjà David et, au son de sa voix, je sais qu'il va être très raide en arrivant, bavant d'envie de me féconder. Je file à la salle de bains préparer mon petit trou. Le week-end dernier il ne m'a pas fait mal mais comme il est super bien gâté par la nature niveau sexe, je met donc un soin particulier à m'entretenir.
Juste une heure plus tard, une portière claque. David n'a pas besoin de sonner, j'ai ouvert la porte, ébloui par mon homme qui rayonne, archi heureux de me voir l'accueillir.
Avec son pantalon d'artisan, bicolore, je le trouve encore plus beau ainsi, encore plus viril. Les poils qui débordent de son teeshirt qui baille me mettent dans un état second. Je bande, j'ai chaud. Il me violerait que je serais consentant.
Il referme la porte et, comme chez lui, tourne la clé.
Nous nous prenons dans les bras, nos lèvres se retrouvent. Il sent l'homme, la sueur, il sent le chantier mais je le veux, je l'aime, je le désire en moi.
Derrière la porte, il me déshabille, bave son désir sur mes lèvres, ronronne, me fait sentir sa bite raide et simule déjà une pénétration. Le feu est en lui, sûr de son charme sur moi, sûr de mon acceptation, en totale confiance.
" Bébé, je vais te niquer, j'ai trop envie. Oh, putain, mon Bébé d'amour, tu me rends dingo.
Je le laisse faire, je ne voudrais pas lui retirer ce plaisir. La première fois, j'ai trop ressenti tout le plaisir qu'il y a pris.
Il admire mon corps sans le moindre poil, en palpe les formes, savoure son bonheur.
Il me voit bander et en tire une énorme fierté puis, envahi par sa soif de me baiser, il me soulève et pose mon cul sur le petit meuble qui se trouve là, juste à bonne hauteur pour nous et pousse ce qui gêne pour nos ébats. Il n'ira pas plus loin et j'ai compris ce qu'il va faire.
Il se libère de ses vêtements, découvrant ses pectoraux archis poilus et son ventre ferme qui l'est tout autant puis, d'une main assurée, défait son ceinturon et laisse tomber le reste.
Sa queue apparaît, monstrueuse, magnifique, le gland gorgé et dégoulinant de désir. Il est fier de son anatomie, de ses poils, de sa virilité. Il me voit regarder avec admiration et envie son membre bandé et sourit parce qu'il en connaît la suite.
D'un geste sûr, avec ses bras pleins de force, il lève mes jambes, positionne mon cul et vient vérifier mon petit trou. Il constate que je me suis préparé.
" Oh, putain, mon chéri, t'en as envie autant que moi.
Il crache dans sa main et s'astique, saisit son manche et vient m'enquiller dans la foulée.
Je gueule comme un enculé tant la pénétration est virile et tellement il m'a rempli le conduit.
" Oh putain, Bébé....Putain que c'est bon…Mon chéri, je t'aime comme un fou.
Il ne m'a pas fait mal, il a senti mon désir et, ne sentant pas de résistance, a glissé son gros mandrin jusqu'aux couilles.
Je m'accroche à son cou et il en profite pour me redonner un coup de reins. Il me regarde, vainqueur, satisfait de sa réussite. Il vient de m'envoyer dans un autre monde et sait que nous ne faisons plus qu'un, que nos corps se confondent dans le même puzzle.
Les jouets sont en place et il ne tarde pas à aller et venir en moi, se réjouissant de mon bonheur, de mes mains qui caressent ses tétons durcis perdus dans sa moquette.
Il est beau, il me baise, vient chercher un baiser de temps en temps, me fait caresser sa balafre puis accélère, me démonte le cul, sûr de son pouvoir. De temps en temps, il me soulève davantage une jambe pour mieux m'emboîter, mieux me ramoner.
Sa puissance s'exprime pendant qu'il se réjouit de mes gémissements, de mes Oui d'amour. Il accélère encore, amplifie le mouvement, rentrant et sortant de mon trou ouvert qui aspire son énorme dard et attend la fécondation.
Je vacille sous ses coups et perd le contrôle, c'est trop bon.
" Bébé, je veux ton jus. Retiens toi, mon cœur.
Il est trop tard, mes couilles envoient, ma queue gicle tel un feu d'artifice. Le foutre atterri sur mon ventre, jusque sur ma poitrine.
David gueule sa jouissance en me regardant au fond des yeux, me rempli, se vide dans mes boyaux, m'ensemence de sa fertilité.
Il se retire, le gland encore baveux et viens lécher mon ventre, aspirer ma semence, suce ma queue qui se ramolli, lèche ce nectar qu'il ne veut pas perdre.
" Mon homme, je t'en ai mis une bonne dose, j'avais trop envie. Oh putain, je t'ai bien ramoné le cul. C'est trop bon sans capote. T'as aimé, bébé ?
Puis, sans attendre ma réponse, encore sous le coup de l'excitation, viens me lécher le trou qui suinte son foutre. Je trouve ça dégueulasse mais c'est trop bon.
" J'avais encore jamais fait ça. C'est bon, Bébé ?
Il n'attend pas, me roule une pelle gluante, me lèche la gueule, me couvre de baisers puis se calme en me serrant, en me frottant le dos de ses mains larges comme des battoirs.
" Désolé Laurent, j'avais trop envie de toi. On est deux hommes alors on baise comme des hommes mais, tu sais, j'ai aussi beaucoup de tendresse pour toi.
" David, tout ce que tu fais avec moi, c'est trop bien, c'est trop bon.
Et je l'embrasse tendrement, lui caresse la nuque et les joues car je sais que c'est son pêché mignon, la preuve ultime que je l'aime, que sa cicatrice n'est pas un problème. Il ferme les yeux, savourant ce bonheur partagé, ému, se retenant de crier tellement il exulte, tellement il se sent aimé.
Il laisse passer le temps tellement ces gestes tendres sont importants pour lui, le ciment de notre amour.
" Merci mon homme.
" Doudou, tu es formidable. C'est trop bon. Tu as soif ?
" Bien sûr, c'est salé, tout ça. Je suis venu pour ça, pour une bonne bière bien fraîche….
Et il rit de cette liberté de paroles et de cette aisance qu'il a maintenant avec moi.
" Doudou, j'aime ta façon de parler, ta façon d'être. C'est toi que j'aime.
" Je sais bien, mon cœur, que tu m'aimes…. Je me sens à l'aise avec toi, je suis heureux. Putain, j'avais la trique en venant. j'avais trop envie de te voir, d'être avec toi, de te juter dans le cul. Sans capote, c'est encore meilleur.
Le changement est total. Sa façon de parler "entre hommes" me rend encore plus amoureux de lui. Il me nique mais je sais qu'il me respecte et tient énormément à moi.
Il remonte son pantalon et m'aide à récupérer mes affaires.
Dans la salle de bains, il remarque que j'ai préparé des serviettes pour lui et que sa place est acquise. Il redouble de tendresse.
" Bébé, c'est gentil. J'ai hâte d'être avec toi tous les soirs. Tu sais, je te baiserai pas tous les soirs comme ça mais pour les câlins, je veux bien.
Après ces douceurs, David, comme s'il était chez lui, se sert au frigo et m'offre à boire puis, toujours aussi câlin, ses bras s'ouvrent pour que je le rejoigne dans le canapé.
" Laurent, j'ai fait une prise de sang hier. Le toubib m'a regardé d'un drôle d'air. Il pensait pas que je mâtais les mecs. C'est après t'avoir juté dans le cul mais je veux pas que tu t'inquiètes. Les autres avant, j'ai toujours mis des capotes.
" David, j'ai confiance en toi et je vois que tu te conduis en homme responsable. Je suis fier de toi.
" Bébé, je ferai tout ce qu'il faut pour que tu me gardes. Si je fais une connerie ou un truc qui te gêne, tu me dis.
La soirée s'est déroulée comme dans un rêve et David s'est encore soulagé dans mon corps dans notre lit après le repas. Je n'ai pas voulu aller me laver mais rester dans ses bras. Je voulais garder en moi sa semence, comme le fruit de son amour.
Le lendemain matin, dès pétro minet, j'étais peut être encore plus malheureux que David qu'on se sépare. Mais, en tant qu'homme fort, j'ai pris sur moi. Comme m'a dit mon Doudou, "on ne va pas faire comme les gonzesses, on est des hommes"…ce qui n'empêche pas d'avoir des sentiments.
" A vendredi soir, Bébé. Je t'aime, Laurent.
" David, moi aussi, je t'aime. Enormément.
" Je sais, mon Laurent. Je l'ai ressenti dès le départ. Si tu savais comme je suis heureux…….Bébé, je file sinon, si je suis en retard, je vais encore me faire laver la gueule par le pater.
***************************A suivre
Raconter sa vie, raconter ses fantasmes…. quel plaisir.
Merci pour vos mailsN'oubliez pas les petits carrés de gel et de capotes…
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Belle histoire d'amour en réalité