Nous, toi, moi, toi ou moi ? - histoire érotique

Cela faisait quelques années que nous étions ensemble, on venait de passer la 8ème !

Au fil des semaines, des mois, des années, nous avions pimenté nos jeux coquins ! Au début, nous étions plutôt basique, préliminaires, missionnaire, levettre...

Puis nous sommes passés aux menottes, aux liens, aux jouets.

Dans notre relation, nous voulons que l'un et l'autre soient consentants, nous discutons beaucoup.

Ma femme est une petite femme de 1m59, de 47kg avec un bonnet B, des cheveux noirs et des yeux bleus.

Elle est toujours très discrète, plutôt introvertie, mais lors de nos jeux, elle se lâche de plus en plus. Nous avons joué à la domination, inversé les rôles à de nombreuses reprises.

Elle se laisse rapidement soumettre, et est moins encline à soumettre, même si parfois, ça lui prend ! Comme pour cette histoire-ci.

La journée, on s'était fait quelques messages coquins, autant vous dire qu'elle m'avait bien fait bander et que j'imaginais déjà ce que j'allais lui faire. Ce jour-là, j'avais travaillé jusqu'à presque 21 heures. Lorsque je partis, comme à mon habitude, je lui passais un appel, je me gare dans mon allée et rentre chez moi.

Elle se tient dans l'entrée, face à moi, elle porte une robe en style latex, décolletée, avec des chaussures à talons noirs, dans sa main droite, elle tient le manche d'une cravache dans sa main droite et son bout dans la main gauche, elle me fixe de ses grands yeux bleus, son cou est dégagé, elle a attaché ses cheveux.

- Tu t'es fait attendre !
- Surplus de boulot, je te l'ai dit ! Dis-je en regardant vers sa poitrine.
- Pas d'excuse, à poil.

Je me déshabillais, je bandais déjà à mort, elle regardait, ne dis rien, mais eu un petit sourire.

- Va te laver, mets ce que je t'ai préparé et redescend, dépêche-toi, je t'attends ici.

Je me dépêchais de rentrer dans ma douche, je vis ce qu'elle avait préparé ; un boxer noir, un collier, une laisse, des sangles pour mes poignets et chevilles.

Je sortis très vite de la douche, j'enfilais ce qu'elle avait préparé et redescendais.

Arrivé en bas, elle accrochait la laisse au collier et tirait dessus, me faisant me mettre à genoux. Elle présentait son pied droit que je baisais, puis le gauche. Elle passait derrière moi et mit un petit coup de cravache. "Avance," me dit-elle.

Malgré que j'étais devant, c'est elle qui dirigeait vers où j'allais, elle me fit descendre à la cave, me bandait les yeux et restait ainsi, à quatre pattes par terre. Elle tirait sur la laisse et le fit avancer. "Debout", Je me levais et je sentis qu'elle me plaçait, un mur dans mon dos et reliait mes menottes à l'aide d'une chaîne qu'elle semblait avoir suspendue. Je touchais le sol, mais ne pouvais pas poser mes pieds complètement.

Elle me retournait face au mur, et abaissait l'arrière de mon boxer en dessous des fesses, laissant mon sexe caché par le devant.

Elle se mit à me donner des coups de cravache, puis s'arrêtait, caressait mes fesses et me mit des fessées, je me déhanchais mais ne savait pas faire grand-chose de plus. Elle me retournait et dit :

- Tu verrais l'état de tes fesses ! Voyons voir ta bite.

Elle abaissait le devant du boxer, dû regarder et dit :

- Tu as déjà des petites gouttes !

Puis remis le boxer.

Elle me retirait le bandeau, on était dans ma pièce, elle avait retiré des outils pour pouvoir m'y accrocher, elle avait une petite boîte, mais je ne voyais pas dedans, elle y allait, mis un gant et prit du lubrifiant, tout en lubrifiant deux doigts, elle me dit :

- Ils vont aller où ?
- Dans mes fesses... Dis-je pas trop sûr de moi.
- Et je vais faire quoi ?
- Jouer dedans...
- Je vais y mettre des objets !

Je la regardais comme pour dire non, elle le savait.

- Tu préfères que je te branle ? Ou te suce peut-être ?
- Oui !

Elle se mit à genoux devant moi, me léchait la bite à travers mon boxer, passait sa langue dessus et se mit à me branler de sa main qui n'avait pas le gant, l'autre caressait mon anus et commençait à l'explorer, elle accélérait ses va-et-vient, léchait mes boules par-dessus.

- STOP STOP, ça va venir !

Elle se relevait, je soufflais, mais elle reprit la masturbation, me regardant dans les yeux, et ce qui devait arriver arriva, je lachais tout dans mon boxer.

L'excitation redescendue, elle sortait des godes de sa boîte, elle approchait de ma bouche, je détournais la tête, elle me tirait un peu vers elle et mit des fessées, elle remit et au bout d'un moment je mis en bouche, elle lubrifiait et puis me mis de côté par rapport au mur, et commençait à insérer peu à peu, un, un autre un peu plus gros...

Épuisé, elle s'arrêtait, retournait dans sa boîte, mais je ne voyais pas, elle revint vers moi et tentait d'insérer autre chose, je poussais un petit râle, c'était un plug, puis elle s'en allait.

Je restais là, attaché, dans une pièce assez sombre, mon boxer plein de mon sperme, un plug dans le cul, et je l'entendis redescendre. Lorsqu'elle passait la porte, je la vis avec un seau, dedans un gant de toilette. Elle me retirait le boxer qu'elle déposait sur l'établi de manière à ce que je vois bien que j'avais craché dedans.

Elle prit le gant de toilette et le passa sur moi, elle avait savonné l'eau, l'eau n'était pas froide mais était à peine tiède, elle finit par nettoyer mon sexe et puis m'essuyait.

Elle s'approchait de moi, et se mit à m'embrasser tout en détachant les poignets de la chaîne, en tout cas un, elle les fit vite passer derrière mon dos et les reliait à nouveau, elle tirait sur la chaîne, de nouveau à genoux, elle prit le tabouret et s'assit dessus.

- Lèche.

Je me mis à lui lécher les pieds, au bout d'un moment, elle rétrécit la distance de la laisse et me faisant remonter jusqu'à son entrejambe, je léchais sa chatte à travers son string, elle se laissait aller, me tenant toujours par la laisse, elle posait son pied gauche sur mon épaule, elle finit par me repousser de ce pied, doucement.

Me tirer avec elle et m'amener à la toilette qu'on avait ici en bas.

- Je dois faire pipi, tu peux maintenant me lécher la chatte sans mon string, où je m'essuie avec le papier.

Elle ne le voyait pas mais j'étais à nouveau dur, elle abaissait son string à ses chevilles, raccourcis la laisse pour que ma tête soit à hauteur de sa chatte et que je la regarde bien uriner. L'un de ses pied jouait avec ma bite et elle se rendit compte.

- J'ai fini, j'essuie au papier ou tu essuie avec ta langue ?
- Avec ma langue.

Je me mis à la lécher, elle fermait ses jambes derrière ma nuque, relâchant de temps en temps pour que je reprenne de l'air.

Nous remontions, elle détachait mes poignets, se mit sur le lit et prit son vibromasseur préféré, elle se fit plaisir et m'autorisait à me branler. Je devais m'arrêter si je sentais que ça montait, ça prit du temps, mais je finis par devoir m'arrêter alors qu'elle semblait partir de plus en plus. Après quelques gémissements, elle se laissait aller et coupait le vibro, elle restait couchée un moment, je continuais entre deux arrêts de me branler, elle se redressait, rapprochant son visage de mon sexe mais prit mes poignets qu'elle remit derrière mon dos.

Nous partimes dans la salle de bain, elle prit sa douche, je la regardais, elle sortit, s'essuyait, puis me tournait contre l'évier, face au miroir, me retirait le plug, elle me regardait à travers le miroir, elle fit des vas-et-vient sur mes fesses.

- T'aimerais bien hein !?
- Oui... Dis-je à la fois honteux et tellement excité que j'aurais tout accepté avec elle.

Elle mit une claque sur ma fesse gauche et me détachait.

- Allais, on va dormir !

Elle parti dans la chambre, je restais là quelques instants, puis y allait à mon tour, elle avait mit une robe de nuit, pas sexy, une simple.

- Tu pensais qu'on allait baiser ? La dernière fois, tu m'as excitée à mort, puis tu m'as éjaculée dessus, me laissant sur ma faim !

J'eus l'image d'elle à genoux, chevilles et poignets attachés, avec un baillon en bouche, pleine de sperme, et ça me fit bander.

- Bonne nuit ! Me dit-elle en m'embrassant, avant de se coucher.