Nous, toi, moi, toi ou moi ? 2 - Elle.

Récit érotique écrit par Pael [→ Accès à sa fiche auteur]
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Nous, toi, moi, toi ou moi ? 2 - Elle.
J'étais partie travailler tôt le matin, lui partait aux heures de bureau. Lorsque je rentrais, je prenais un bain, je me relaxais un bon moment dedans. Lorsque je sortis et que je m'étais essuyée, j'enroulais un drap de bain autour de moi et allais dans la chambre.
Comme j'allais rester à la maison et faire du rangement et nettoyer, je voulais enfiler une tenue confortable, j'ouvris ma garde-robe et vis un mot.
"Un legging ? Je l'avais deviné lorsque tu m'as dit que tu nettoyerais la maison ! Mais tu vas rester nue toute la journée, fais ce que tu as à faire, mais quand je te ferai un message, tu monteras au grenier, je laisse ta curiosité te guider jusqu'à là ! À tout à l'heure, je t'aime."
Il ne fallut pas plus pour m'exciter, nous avions ces jeux entre nous, comment ça avait commencé ? Ah oui, des menottes, un bandeau... Simplement, et nous étions montés de plus en plus... Ce que j'aimais, au-delà de cette excitation, de ces jeux, que parfois on "humiliait" l'autre ou lui faisait mal, c'était notre confiance et complicité.
Je laissais donc tomber le drap, heureusement que je m'étais "préparée" hier soir, et je montais au grenier. Nous avions un grenier aménagé, il était rare que nous y montions. Lorsque j'ouvris la porte, je vis le coffre au milieu de la pièce. Il avait placé un drap par-dessus, par-dessous il avait déjà placé les liens avec les menottes. Je savais où je me retrouverais... Il avait également monté nos boites avec nos différents jeux, je sentais que j'allais prendre cher !
Je partis faire mon ménage, nue, mes fesses et mes seins se balançaient au rythme de mes mouvements, pieds nus. Je reçus un message de sa part : "J'espère que tu es comme je l'ai dit?", Je renvoyais une photo de mes jambes et pieds avec la raclette à côté de moi, il ne tardât pas à renvoyer ; "n'oublie pas de te mettre à 4 pattes pour bien frotter", je ressentis encore comme une chaleur en moi, je pris un torchon sec et à 4 pattes essuyait partout, je n'étais plus si propre.
Lorsque j'eus fini, je vaguais un peu sur les réseaux, je fis une petite sieste, je regardais un peu la télévision, mon téléphone sonnait :
- J'ai eu fini un peu plus tard, je serai là dans 23 minutes selon le GPS.
- D'accord, je serai en haut.
- Prépare-moi un café, en espérant qu'il ne soit pas froid !
- À tes ordres ! Dis-je avec un petit rire.
- Je coupe, je t'aime.
- Je t'aime aussi.
Je laissais un peu le temps passer, je préparais son café, je montais, déposais son café sur un meuble et me plaçais, j'attachais mes chevilles, mes poignets et me penchais pour mettre le baillon et le bandeau qui étaient sur le coffre, j'attendais à présent.
J'entendis la porte d'entrée, les escaliers, je l'entendis passer la porte du grenier.
- Comme tu es belle ainsi, ma chérie, tu ne dis pas bonjour ? Ah ben non, tu ne peux pas.
Il passait son doigt le long de ma colonne vertébrale, ce qui me fit frémir, je l'entendis regarder dans l'une de nos boîtes, je le sentais passer derrière moi et activer l'un de ses vibro qu'il plaçait en moi sans difficulté, il me fit abaisser mon bassin afin de bien le garder, il tirait une chaise devant moi, marchait, s'assit devant la chaise et relevait mon bandeau.
- Je vais boire mon café avec toi, petite règle, ne détourne pas les yeux, concentre toi sur moi.
C'était facile pour lui, moi je sentais la chaleur monter dans mon corps, ma bave coulait due au bâillon, et lui, m'expliquait tranquillement sa journée... Il finit après sa longue explication par boire son café.
- Un peu froid quand même.
C'était normal, vu le temps qu'il avait pris pour le boire !
Il abaissait le bandeau, les choses sérieuses allaient commencer, je le sentis passer à nouveau derrière moi et retirer le vibro, trifouiller dans une des boîtes et revenir derrière moi.
Un premier coup de fouet à la lannière s'abbatut sur mes fesses, suivi d'un grand nombre d'autres. Dans ma complexité, je n'aimais pas avoir mal, mais lorsque j'étais "punie" de cette façon, j'étais d'autant plus excitée. Pour la petite histoire, la dernière fois, je m'étais fait quelques gouttes d'urine, j'avais affreusement honte, mais mon excitation n'avait jamais été aussi haute !
Lorsqu'il finit par s'arrêter, mes fesses me piquait, me brulait, je tentais de reprendre mon souffle, je commençais à transpirer.
- Hum, je me réjouis de jouer avec ton petit cul tout rouge ! Je vais me laver.
Et je l'entendis sortir, son retour me parut une éternité ! Lorsqu'il revint, il me plaçait un autre vibromasseur et me retira le baillon, le bandeau également. Il était nu, son sexe était sous mes yeux et il le mit très vite dans ma bouche, me la baisant. Il se retirait et finit par se branler. Je sortis la langue et attendais, il n'avait pas besoin de me le dire, il m'en mit partout, me laissait ainsi alors qu'il repartait derrière moi.
Le bruit du gant qu'il enfilait me donnait déjà une idée de ce qui allait se passer, je sentis un froid sur mon anus, et il se mit à insérer, à lubrifier abondamment, j'avais 4 doigts en moi et un vibromasseur, ça pourrait faire le titre d'un film d'ailleurs ! J'avais dû sentir que mon cul allait l'accueillir, je m'étais la veille fais un lavement.
Alors qu'il me godait le cul avec des godes du plus petit au plus grand, caressait par moment mon clito, que je poussais des petits gémissements, il finit par tout arrêter, il était derrière moi, tenait le vibro et puis je le sentis venir à hauteur de mon anus et le lécher, il n'avait jamais fait cela, je n'avais jamais ressenti cette sensation, je ne pouvais me retenir, mes gémissements s'intensifiait, moi qui restait en général plutôt discrète, ses mains caressaient mes seins, jouaient avec mes tétons, sa longue fouillait mon anus pendant que le vibro maintenant, augmentait mon excitation.
J'étais en total transpiration.
Il me plaçait un plug, me retirait le vibro, il vint devant moi et me fit boire de l'eau à la gourde, il me regardait, j'avais plus d'énergie, je me sentais complètement vidée.
Il se mit derrière moi, je sentis son sexe contre le mien, je le sentis me pénétrer, je fis un "oh" de plaisir, puis il me prit, me tenant par les hanches, puis s'aggripant fermement à mes fesses, lorsqu'il se rapprochait de venir, il ne finit même pas les claquer. Et il se vida.
Il revint devant moi, sa bite à hauteur de ma bouche, je lui nettoyais.
- Tes parents vont bientôt arriver, je te conseille de vite mettre quelque chose sur toi !
- Quoi ? Mais pourquoi ils ne m'ont-ils rien dit ?
- Parce que je les ai eus au téléphone.
- Vite, détache-moi.
Il me détachait, nous partions dans la salle de bain, j'urinais pour dégager son sperme et également parce que j'en avais besoin et nous allions cette fois dans la douche, on s'essuyait, je finis par enfiler string, soutien-gorge, leggins et tee-shirt et descendait comme si rien ne s'était passé, lorsqu'il me rejoint, on se sourit, ces petits moments complices.
- Je vais restée longtemps avec le plug ?
- Dés qu'ils partent, abaisse ton pantalon et je te le retire.
Mes parents arrivèrent, restèrent un peu plus de deux bonnes heures, lui et moi nous lançions des regards, nous faisions des allusions, ils partirent, on leur fit au revoir à la porte et on allait dans le salon, j'abaissais mon pantalon et mon string, me penchais sur la table basse du salon et lui retirais délicatement le plus de mon cul qu'il plaçait devant mon visage.
Je restais là et ne bougeais pas.
- Je passe à la vidange alors, je vais juste lubrifier à nouveau.
Il partit chercher le lubrifiant et en remit sur et dans mes fesses, il me présentait son sexe qui était déjà dur et je le suçais, il se plaçait derrière moi et me prit, il se remit à claquer mes fesses et jouer avec mon petit bouton, lorsqu'il finit enfin par venir, il restait un instant contre moi, j'étais à nouveau transpirante, le tee-shirt commençait à me coller dessus, il essuyait son sexe contre mes fesses et me relevait le string et le legging.
Il m'aidait à me redresser tendrement, m'embrassait sur le front, au milieu de cette douceur, je sentais son sperme couler.
- Retournons à la douche.
- Je crois bien que j'en ai besoin. Dis-je.
On retournait dans la salle de bain, se lavais les dents, on se déshabillait et allait dans la douche, on s'embrassait, lui sortit avant moi, je me lavais les cheveux, j'enfilais une nuisette et descendis le retrouver sur le divan, on m'y un film et je finis par m'endormir, exténuée.
Comme j'allais rester à la maison et faire du rangement et nettoyer, je voulais enfiler une tenue confortable, j'ouvris ma garde-robe et vis un mot.
"Un legging ? Je l'avais deviné lorsque tu m'as dit que tu nettoyerais la maison ! Mais tu vas rester nue toute la journée, fais ce que tu as à faire, mais quand je te ferai un message, tu monteras au grenier, je laisse ta curiosité te guider jusqu'à là ! À tout à l'heure, je t'aime."
Il ne fallut pas plus pour m'exciter, nous avions ces jeux entre nous, comment ça avait commencé ? Ah oui, des menottes, un bandeau... Simplement, et nous étions montés de plus en plus... Ce que j'aimais, au-delà de cette excitation, de ces jeux, que parfois on "humiliait" l'autre ou lui faisait mal, c'était notre confiance et complicité.
Je laissais donc tomber le drap, heureusement que je m'étais "préparée" hier soir, et je montais au grenier. Nous avions un grenier aménagé, il était rare que nous y montions. Lorsque j'ouvris la porte, je vis le coffre au milieu de la pièce. Il avait placé un drap par-dessus, par-dessous il avait déjà placé les liens avec les menottes. Je savais où je me retrouverais... Il avait également monté nos boites avec nos différents jeux, je sentais que j'allais prendre cher !
Je partis faire mon ménage, nue, mes fesses et mes seins se balançaient au rythme de mes mouvements, pieds nus. Je reçus un message de sa part : "J'espère que tu es comme je l'ai dit?", Je renvoyais une photo de mes jambes et pieds avec la raclette à côté de moi, il ne tardât pas à renvoyer ; "n'oublie pas de te mettre à 4 pattes pour bien frotter", je ressentis encore comme une chaleur en moi, je pris un torchon sec et à 4 pattes essuyait partout, je n'étais plus si propre.
Lorsque j'eus fini, je vaguais un peu sur les réseaux, je fis une petite sieste, je regardais un peu la télévision, mon téléphone sonnait :
- J'ai eu fini un peu plus tard, je serai là dans 23 minutes selon le GPS.
- D'accord, je serai en haut.
- Prépare-moi un café, en espérant qu'il ne soit pas froid !
- À tes ordres ! Dis-je avec un petit rire.
- Je coupe, je t'aime.
- Je t'aime aussi.
Je laissais un peu le temps passer, je préparais son café, je montais, déposais son café sur un meuble et me plaçais, j'attachais mes chevilles, mes poignets et me penchais pour mettre le baillon et le bandeau qui étaient sur le coffre, j'attendais à présent.
J'entendis la porte d'entrée, les escaliers, je l'entendis passer la porte du grenier.
- Comme tu es belle ainsi, ma chérie, tu ne dis pas bonjour ? Ah ben non, tu ne peux pas.
Il passait son doigt le long de ma colonne vertébrale, ce qui me fit frémir, je l'entendis regarder dans l'une de nos boîtes, je le sentais passer derrière moi et activer l'un de ses vibro qu'il plaçait en moi sans difficulté, il me fit abaisser mon bassin afin de bien le garder, il tirait une chaise devant moi, marchait, s'assit devant la chaise et relevait mon bandeau.
- Je vais boire mon café avec toi, petite règle, ne détourne pas les yeux, concentre toi sur moi.
C'était facile pour lui, moi je sentais la chaleur monter dans mon corps, ma bave coulait due au bâillon, et lui, m'expliquait tranquillement sa journée... Il finit après sa longue explication par boire son café.
- Un peu froid quand même.
C'était normal, vu le temps qu'il avait pris pour le boire !
Il abaissait le bandeau, les choses sérieuses allaient commencer, je le sentis passer à nouveau derrière moi et retirer le vibro, trifouiller dans une des boîtes et revenir derrière moi.
Un premier coup de fouet à la lannière s'abbatut sur mes fesses, suivi d'un grand nombre d'autres. Dans ma complexité, je n'aimais pas avoir mal, mais lorsque j'étais "punie" de cette façon, j'étais d'autant plus excitée. Pour la petite histoire, la dernière fois, je m'étais fait quelques gouttes d'urine, j'avais affreusement honte, mais mon excitation n'avait jamais été aussi haute !
Lorsqu'il finit par s'arrêter, mes fesses me piquait, me brulait, je tentais de reprendre mon souffle, je commençais à transpirer.
- Hum, je me réjouis de jouer avec ton petit cul tout rouge ! Je vais me laver.
Et je l'entendis sortir, son retour me parut une éternité ! Lorsqu'il revint, il me plaçait un autre vibromasseur et me retira le baillon, le bandeau également. Il était nu, son sexe était sous mes yeux et il le mit très vite dans ma bouche, me la baisant. Il se retirait et finit par se branler. Je sortis la langue et attendais, il n'avait pas besoin de me le dire, il m'en mit partout, me laissait ainsi alors qu'il repartait derrière moi.
Le bruit du gant qu'il enfilait me donnait déjà une idée de ce qui allait se passer, je sentis un froid sur mon anus, et il se mit à insérer, à lubrifier abondamment, j'avais 4 doigts en moi et un vibromasseur, ça pourrait faire le titre d'un film d'ailleurs ! J'avais dû sentir que mon cul allait l'accueillir, je m'étais la veille fais un lavement.
Alors qu'il me godait le cul avec des godes du plus petit au plus grand, caressait par moment mon clito, que je poussais des petits gémissements, il finit par tout arrêter, il était derrière moi, tenait le vibro et puis je le sentis venir à hauteur de mon anus et le lécher, il n'avait jamais fait cela, je n'avais jamais ressenti cette sensation, je ne pouvais me retenir, mes gémissements s'intensifiait, moi qui restait en général plutôt discrète, ses mains caressaient mes seins, jouaient avec mes tétons, sa longue fouillait mon anus pendant que le vibro maintenant, augmentait mon excitation.
J'étais en total transpiration.
Il me plaçait un plug, me retirait le vibro, il vint devant moi et me fit boire de l'eau à la gourde, il me regardait, j'avais plus d'énergie, je me sentais complètement vidée.
Il se mit derrière moi, je sentis son sexe contre le mien, je le sentis me pénétrer, je fis un "oh" de plaisir, puis il me prit, me tenant par les hanches, puis s'aggripant fermement à mes fesses, lorsqu'il se rapprochait de venir, il ne finit même pas les claquer. Et il se vida.
Il revint devant moi, sa bite à hauteur de ma bouche, je lui nettoyais.
- Tes parents vont bientôt arriver, je te conseille de vite mettre quelque chose sur toi !
- Quoi ? Mais pourquoi ils ne m'ont-ils rien dit ?
- Parce que je les ai eus au téléphone.
- Vite, détache-moi.
Il me détachait, nous partions dans la salle de bain, j'urinais pour dégager son sperme et également parce que j'en avais besoin et nous allions cette fois dans la douche, on s'essuyait, je finis par enfiler string, soutien-gorge, leggins et tee-shirt et descendait comme si rien ne s'était passé, lorsqu'il me rejoint, on se sourit, ces petits moments complices.
- Je vais restée longtemps avec le plug ?
- Dés qu'ils partent, abaisse ton pantalon et je te le retire.
Mes parents arrivèrent, restèrent un peu plus de deux bonnes heures, lui et moi nous lançions des regards, nous faisions des allusions, ils partirent, on leur fit au revoir à la porte et on allait dans le salon, j'abaissais mon pantalon et mon string, me penchais sur la table basse du salon et lui retirais délicatement le plus de mon cul qu'il plaçait devant mon visage.
Je restais là et ne bougeais pas.
- Je passe à la vidange alors, je vais juste lubrifier à nouveau.
Il partit chercher le lubrifiant et en remit sur et dans mes fesses, il me présentait son sexe qui était déjà dur et je le suçais, il se plaçait derrière moi et me prit, il se remit à claquer mes fesses et jouer avec mon petit bouton, lorsqu'il finit enfin par venir, il restait un instant contre moi, j'étais à nouveau transpirante, le tee-shirt commençait à me coller dessus, il essuyait son sexe contre mes fesses et me relevait le string et le legging.
Il m'aidait à me redresser tendrement, m'embrassait sur le front, au milieu de cette douceur, je sentais son sperme couler.
- Retournons à la douche.
- Je crois bien que j'en ai besoin. Dis-je.
On retournait dans la salle de bain, se lavais les dents, on se déshabillait et allait dans la douche, on s'embrassait, lui sortit avant moi, je me lavais les cheveux, j'enfilais une nuisette et descendis le retrouver sur le divan, on m'y un film et je finis par m'endormir, exténuée.
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