Nouvelles decouvertes pour Karine 4
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2024 dans la catégorie A dormir debout
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Nouvelles decouvertes pour Karine 4
Marc prend place entre les cuisses de sa fille, regarde en souriant la vulve qui a joui de nombreuses fois, rejeter son jus sans discontinuer. Il frotte contre les grandes lèvres humides son gland, le positionne, puis en s'accrochant aux hanches de sa fille, pousse doucement. Mathilde a bien préparé sa fille, car la pénétration est moins pénible que prévu. Lentement, la verge puissance s'enfonce dans le ventre de Karine, qui souffle fortement. Enfin, le gland est en contacte avec l'hymen. Marc recule sa verge de peu de centimètres, et donne un violent coup de reins. Karine pousse un cri de douleur en se cabrant. Une brûlure intense lui traverse le ventre. Son hymen vient de céder.
Sans se soucier de la douleur de sa fille, Marc continue de progresser dans le ventre brûlant de Karine. Elle s'accroche à son papa en geignant comme une bête blessée. Elle grimace, elle ressent encore la brûlure qui lui déchire le ventre. Mais le papa veut arriver à ses fins. Une fois que ses couilles cognent contre la chatte de sa fille, il cesse tout mouvement. La jeune soumise consentante, plantes ses ongles dans la peau des reins de son papa en gémissant. Lentement, le papa consciencieux commence un très lent va-et-vient. Karine souffle comme un bœuf en s'agrippant à son papa. La cadence augmente, les râles de Karine aussi. La douleur s'estampe doucement, la pénétration devient plus violente.
À chaque enfoncement de la verge, le gland, large et épais, frappe fortement le col de l'utérus comme pour le pénétrer. Karine croit mourir de plaisir tellement c'est bon, elle crie :
-Plus fort papa, plus fort !
Comme un robot, Marc pilonne sa fille, sa grosse queue racle fortement les parois garnies de muqueuses sensibles. Les gémissements que pousse sa fille prouve bien qu'elle prend un plaisir certain à cet accouplement incestueux. Marc retire entièrement sa queue de la gaine vaginale pour la replonger brutalement au plus profond. Karine se cabre en grognant de plaisir. La maman qui est anormalement excitée crie :
-Défonce-la, Marc, fais la gueuler cette pute, éclate-la cette salope !
Marc regarde sa femme sans cesser de pilonner sa fille. Il dodeline de la tête, négativement, en désapprouvant les paroles ordurières de sa femme. Il est vrai que les gémissements de Karine ressemblent à des gémissements d'agonisantes. Plus il tape fort, plus elle couine. Il accélère, ses coups de bélier deviennent dévastateurs. Karine se tend comme un arc et jouit formidablement fort. Marc continue la défonce, il souffle comme un animal, tout d'un coup, il se bloque et remplit de sa semence la jeune dépucelée. La douce chaleur de la crème onctueuse que déverse son papa en elle, la fait re-jouir. Les deux amants restent soudés un bon moment avant de se séparer. Mathilde regarde la chatte fraîchement déflorée en grinçant des dents, elle passe sa main sur la fente entrouverte, et récupère du liquide blanchâtre, mêlée à du sang. Elle dit en souriant :
-Te voila femme maintenant ma chérie !
Elle porte ses doigts aux lèvres de sa fille qui, sans se poser de questions, les lèche un à un. Elle ajoute en souriant :
-Tu es une bonne fille ma chérie, à présent donne ton cul à ton papa, il n'attend que cela le cochon !
Mathilde place un gros coussin sous les reins de sa fille, et lui demande de replier les jambes sur son ventre. Les deux orifices sont mis en exposition. Mathilde donne quelques coups de langue sur le vagin débordant de sperme, mêlé à un filet de sang. Puis s'attaque à l'entrée de service. Sa langue gourmande s'enfonce profondément dans la grotte, la fouille terriblement. La vorace maman fait gémir sa fille en lui dévorant l'anus. Marc intervient en disant :
-À moi ma chérie, sinon je vais débander !
C'est à regret que Mathilde cède la place. Marc passe ses doigts sur le rose flétri encore enduit, de salive, par la langue de sa femme. Il appuie dessus pour en connaitre la souplesse, l'anneau répond bien aux petites pressions que le bougre de papa fait dessus. Enfin, le moment crucial est arrivé. Il place son gland bien décalotté contre l'anus qui se referme et refuse l'entrée au manche de chair. Marc pousse en se cramponnant aux hanches de sa fille. Karine grimace, serre les dents. Soudain, elle pousse un cri de douleur, l'anneau vient céder, le manche vivant s'enfonce lentement dans la gaine étroite. Pour Karine, c'est un calvaire, elle a l'impression que son cul va s'ouvrir en deux. Elle se mord la main jusqu'au sang tellement c'est horrible.
Sa maman pose sa main sur son clito et commence un petit branlage pour faire oublier la douleur anale à sa fille. Lentement la progression continue sans un instant de répit. Dilatée par la queue énorme de son papa, Karine souffle comme un taureau. Enfin les couilles velues viennent en contacte des fesses de la sodomisée. Marc cesse tous mouvements. Il entend sa fille geindre doucement, d'une main, il lui saisit un mamelon et le roule entre ses doigts noueux, l'étire, le presse tout cela pour faire diversion. Son clito enfle sous les doigts de sa maman, qui ne cesse de le masturber. Progressivement, le papa se met en action. Le va-et-vient commence à prendre de la vitesse, Karine s'accroche à son pourfendeur en geignant comme un animal blessé. Petit à petit, Les coups de reins deviennent plus violents.
La bite vigoureuse de son papa qui lui rabote les parois de la gaine sensible, la fait gémir en prenant le rythme de la sodomie. La vitesse de croisière est enfin obtenue. La queue voyage de plus en plus aisément dans le rectum de Karine, qui ne retient plus ses râles. Le coquin lui travaille le cul comme un beau diable, les couinements que pousse Karine prouvent qu'elle prend son pied. Elle est au bord de la jouissance, elle agite sa croupe comme une forcenée, en couinant de plaisir. Elle se cambre fortement en poussant un long gémissement, sa jouissance est spectaculaire. Sa maman, pour que la jouissance soit plus intense, lui écrase le clito, l'effet est immédiat, une seconde jouissance du cul, fait hurler Karine. Le papa enculeur, serre les dents, souffle comme un bœuf, il est en sueur. Il se bloque en grimaçant et envoie une puissante giclée aux tréfonds des entrailles de sa fille. Il continue de la sodomiser avant de se retirer du rectum qu'il vient de dévaster.
Mathilde ne cesse de masturber le clito de sa fille, le bougre devient douloureux, c'est en poussant un ultime cri que Karine jouit. Après un long moment de repos, les ébats reprennent. Comme promis, Mathilde subit les pires outrages de ses deux amants, ses jouissances sont affreuses et bruyantes. C'est épuisé que les trois cessent le combat sexuel.
Sans se soucier de la douleur de sa fille, Marc continue de progresser dans le ventre brûlant de Karine. Elle s'accroche à son papa en geignant comme une bête blessée. Elle grimace, elle ressent encore la brûlure qui lui déchire le ventre. Mais le papa veut arriver à ses fins. Une fois que ses couilles cognent contre la chatte de sa fille, il cesse tout mouvement. La jeune soumise consentante, plantes ses ongles dans la peau des reins de son papa en gémissant. Lentement, le papa consciencieux commence un très lent va-et-vient. Karine souffle comme un bœuf en s'agrippant à son papa. La cadence augmente, les râles de Karine aussi. La douleur s'estampe doucement, la pénétration devient plus violente.
À chaque enfoncement de la verge, le gland, large et épais, frappe fortement le col de l'utérus comme pour le pénétrer. Karine croit mourir de plaisir tellement c'est bon, elle crie :
-Plus fort papa, plus fort !
Comme un robot, Marc pilonne sa fille, sa grosse queue racle fortement les parois garnies de muqueuses sensibles. Les gémissements que pousse sa fille prouve bien qu'elle prend un plaisir certain à cet accouplement incestueux. Marc retire entièrement sa queue de la gaine vaginale pour la replonger brutalement au plus profond. Karine se cabre en grognant de plaisir. La maman qui est anormalement excitée crie :
-Défonce-la, Marc, fais la gueuler cette pute, éclate-la cette salope !
Marc regarde sa femme sans cesser de pilonner sa fille. Il dodeline de la tête, négativement, en désapprouvant les paroles ordurières de sa femme. Il est vrai que les gémissements de Karine ressemblent à des gémissements d'agonisantes. Plus il tape fort, plus elle couine. Il accélère, ses coups de bélier deviennent dévastateurs. Karine se tend comme un arc et jouit formidablement fort. Marc continue la défonce, il souffle comme un animal, tout d'un coup, il se bloque et remplit de sa semence la jeune dépucelée. La douce chaleur de la crème onctueuse que déverse son papa en elle, la fait re-jouir. Les deux amants restent soudés un bon moment avant de se séparer. Mathilde regarde la chatte fraîchement déflorée en grinçant des dents, elle passe sa main sur la fente entrouverte, et récupère du liquide blanchâtre, mêlée à du sang. Elle dit en souriant :
-Te voila femme maintenant ma chérie !
Elle porte ses doigts aux lèvres de sa fille qui, sans se poser de questions, les lèche un à un. Elle ajoute en souriant :
-Tu es une bonne fille ma chérie, à présent donne ton cul à ton papa, il n'attend que cela le cochon !
Mathilde place un gros coussin sous les reins de sa fille, et lui demande de replier les jambes sur son ventre. Les deux orifices sont mis en exposition. Mathilde donne quelques coups de langue sur le vagin débordant de sperme, mêlé à un filet de sang. Puis s'attaque à l'entrée de service. Sa langue gourmande s'enfonce profondément dans la grotte, la fouille terriblement. La vorace maman fait gémir sa fille en lui dévorant l'anus. Marc intervient en disant :
-À moi ma chérie, sinon je vais débander !
C'est à regret que Mathilde cède la place. Marc passe ses doigts sur le rose flétri encore enduit, de salive, par la langue de sa femme. Il appuie dessus pour en connaitre la souplesse, l'anneau répond bien aux petites pressions que le bougre de papa fait dessus. Enfin, le moment crucial est arrivé. Il place son gland bien décalotté contre l'anus qui se referme et refuse l'entrée au manche de chair. Marc pousse en se cramponnant aux hanches de sa fille. Karine grimace, serre les dents. Soudain, elle pousse un cri de douleur, l'anneau vient céder, le manche vivant s'enfonce lentement dans la gaine étroite. Pour Karine, c'est un calvaire, elle a l'impression que son cul va s'ouvrir en deux. Elle se mord la main jusqu'au sang tellement c'est horrible.
Sa maman pose sa main sur son clito et commence un petit branlage pour faire oublier la douleur anale à sa fille. Lentement la progression continue sans un instant de répit. Dilatée par la queue énorme de son papa, Karine souffle comme un taureau. Enfin les couilles velues viennent en contacte des fesses de la sodomisée. Marc cesse tous mouvements. Il entend sa fille geindre doucement, d'une main, il lui saisit un mamelon et le roule entre ses doigts noueux, l'étire, le presse tout cela pour faire diversion. Son clito enfle sous les doigts de sa maman, qui ne cesse de le masturber. Progressivement, le papa se met en action. Le va-et-vient commence à prendre de la vitesse, Karine s'accroche à son pourfendeur en geignant comme un animal blessé. Petit à petit, Les coups de reins deviennent plus violents.
La bite vigoureuse de son papa qui lui rabote les parois de la gaine sensible, la fait gémir en prenant le rythme de la sodomie. La vitesse de croisière est enfin obtenue. La queue voyage de plus en plus aisément dans le rectum de Karine, qui ne retient plus ses râles. Le coquin lui travaille le cul comme un beau diable, les couinements que pousse Karine prouvent qu'elle prend son pied. Elle est au bord de la jouissance, elle agite sa croupe comme une forcenée, en couinant de plaisir. Elle se cambre fortement en poussant un long gémissement, sa jouissance est spectaculaire. Sa maman, pour que la jouissance soit plus intense, lui écrase le clito, l'effet est immédiat, une seconde jouissance du cul, fait hurler Karine. Le papa enculeur, serre les dents, souffle comme un bœuf, il est en sueur. Il se bloque en grimaçant et envoie une puissante giclée aux tréfonds des entrailles de sa fille. Il continue de la sodomiser avant de se retirer du rectum qu'il vient de dévaster.
Mathilde ne cesse de masturber le clito de sa fille, le bougre devient douloureux, c'est en poussant un ultime cri que Karine jouit. Après un long moment de repos, les ébats reprennent. Comme promis, Mathilde subit les pires outrages de ses deux amants, ses jouissances sont affreuses et bruyantes. C'est épuisé que les trois cessent le combat sexuel.
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Merci Linsee pour ce moment intense
Cyrille
Cyrille