Paul 4 - histoire érotique

Le lundi, suivant la folle baise de mon corps en Sabrina, Paul me rejoint chez moi, sans me prévenir.

Lorsque je le reçois, je lui fais part de mon étonnement:
"Paul ? Je ne t'attendais pas !".
"Ben, disons que j'ai eu envie de te montrer, à quel point, je t'apprécie !".
"Mais, tu m'as pas prévenu, ça va prendre du temps pour que je me prépares et devenir Sabrina !".
"Non, c'est toi que j'ai envie de baiser ! J'ai envie de toi !".

"Paul, tu me perturbes ! Tu t'en doutes je pense !".
"Je sais ! Je suis compliqué ! Tu veux que je m'en ailles ?".
"Non ! Mais tu devras être indulgent avec moi !".
"Pourquoi ?".

"Euh, je sais pas comment te dire ça !".
"Allez dis-moi !".

"J'ai trois autres amants à l'arsenal, et aujourd'hui, je sais pas, si ils se sont donné le mot ! Ils m'ont tous baisé ! Dont un, deux fois dans la journée ! et les deux autres, ensemble sous la douche avant de rentrer !".
"Fais voir !".

Il me retourne en me découvrant le cul et m'enfonce un doigt dans l'anus qui se retrouve embué de sperme.

"T'es une vraie salope ! T'es un garage à bites en fait !".
"Je sais pas dire non, quand je rencontre un homme qui me baise bien, je lui refuse jamais mon cul, par la suite !".
"On vous a déjà surpris ?".
"Non, pas pour le moment !".
"Bon ! C'est bien excitant tout ça !".

Il me plaque sur ma table et me colle sa grosse bite contre l'anus.
"Paul ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".

Il commence à m'écarteler les parois anales, en plusieurs mouvements.
Son énorme gland se couvre du sperme, encore présent dans mon cul.

Il parvient à glisser en moi sans rencontrer de résistance, mais en me faisant râler sous cette possession extrême.
Sa grosse queue se couvre de foutre sur toute sa longueur et coulisse en moi sans fin, je prend un orgasme anal énorme.

Le haut de mes cuisses me fait mal, sous la pression de ses assauts, qui me collent au bord de ma table.
Il est déchainé et me fait éjaculer sur le sol en m'enculant profondément, pendant plus de vingt minutes.

Je sens alors qu'il va faire gicler mon liquide doré, qui se stocke en raison de la présence de son énorme bite dans mon cul.
"Paul, tu vas me faire couler encore !".
"Maintenant ! Là !".
"Oui, c'est fort ! Arhhhhhh !".
"Attends encore un peu !".

Il retire sa bite et libère ma prostate, qui laisse éjecter le liquide abondamment sur le sol de ma cuisine.
Il reprend sa place et m'encule encore à fond.

"Arhhhhhhhhhhhh ! Paul ça remonte !".
"Pas encore ! J'aime quand tu gicles fort ! Ca m'excites et ça m'amuses aussi !".

Il fait durer sa défonce anale, seuls de petits écoulements s'échappent, puis il sort de mon anus.
Un jet interminable et puissant s'expulse en me faisant hurler de plaisir.
En même temps, mon anus est pris de spasmes intenses.

Paul me remplit encore le cul, et recommence à accumuler le liquide en moi, en me cassant l'anus à fond.
"Paul, arrêtes ! Tu me rends dingue ! c'est trop fort ! Arrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhh !".

Après une interminable série d'assauts, il retire son énorme bite et me regarde me vider sur mon carrelage.
"Paul ! Arrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhh ! je joui ! Arrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhh !".

Il recommence encore et encore, en m'épuisant de ce plaisir, si étrange et intense.

C'est la diminution des jets et son éjaculation en moi qui me libère de ce délicieux supplice.

Je suis affolé en voyant l'immense tache au sol, j'ai l'impression d'avoir uriné par terre après une trop longue retenue.

Mon anus me provoque des spasmes dans le bas ventre.
"Putain ! Paul, tu m'as détruit le cul ! Ouhhh !".

Je ne peux retenir une énorme flatulence, qui fait couler tout son sperme, le long de mes cuisses, et sur la tache au sol.

"Non ! Pas ça !".
"Moi, j'aime bien !". Me dit Paul !

Je prend un rouleau d'essuie-tout, que je passe pratiquement entièrement pour éponger mes effluves de plaisir pervers.

Je lui demande de m'attendre pendant que je me douche et je mets mes vêtements à laver à cause de mes giclées de foutre, liquide doré et rejet du sperme de Paul.

En sortant, tout propre et nu, je le retrouve sur mon lit, qui m'attend.

"C'était super ! Pascal !".
"Oui, mais ça devient plus poussé qu'avant ! Je te dégoute pas ?".

Il me colle à lui, la grosse masse de son sexe, même au repos, est très agréable à ressentir contre mes fesses.

J'ajoute:
"T'es le seul qui me fait ça aussi souvent ! J'ai déjà giclé avec d'autres hommes, mais c'était ponctuel, pas aussi fréquent ! Par contre, ils avaient tous de gros sexes !".
"T'as du te régaler, ma salope !".
"J'avoue ! Mais ça me gêne toujours un peu ! Même si ça ne sent pas, je pense que ça vient de ma vessie ! Donc, c'est peut-être de l'urine ! Claire, mais de l'urine quand même !".
"On s'en fout, moi ça m'excite !".

"Bon, tu m'as pris toute mon énergie, il faut que je mange ! Je nous prépare quelque chose !".

Il me sert de commis, pendant que je cuisine nu à ses cotés.
Pendant le repas, il me confie:

"Je suis bien avec toi ! J'ai jamais été aussi bien avec un mec ! Tu m'en veux, si je te dis que je m'attache à toi ?".
"Euh, ben, ça peut être dangereux pour moi ! Mais si tu ne m'imposes pas de quitter ma copine, il n'y a pas de problème !".
"Ok, mais tu ne me dis pas, ce que tu ressens de ton coté !".

"Ben, si je ressentais rien, il n'y aurai pas Sabrina !".
"Tu peux pas savoir comme j'ai besoin d'elle ! C'est notre lien secret !".

"Mais avec ton physique, tu dois plaire aux filles, t'as jamais été attiré par elles ?".
"Si, je les trouve belles et attirantes, mais je m'ennuie sexuellement, je leur fais mal avec ma grosse bite ! Et je te parle pas de sodomie, c'est jamais possible, elles prennent peur ! C'est plus facile d'enculer un mec, crois moi !".

"Je comprend ! Tant mieux pour moi alors ! Mais à propos ! Je sais que tu vas encore me prendre, tout à l'heure ! Si tu pouvais y aller plus doucement, j'aimerais bien !".
"Pas de souci, mon petit Pascal !".

Inévitablement, au cours de gros câlins, il s'est introduit en moi.
Mais il a tenu sa promesse, sa possession est restée retenue, puissante et profonde, à cause de la taille de sa bite.
J'ai vécu de nombreux orgasmes anaux, tant il était endurant.

Tout mon corps lui appartenait, ses caresses et ses baisers me rendait aussi fou que son sexe en moi.

J'ai alors ressenti une pression dans ma prostate, je le préviens, alors qu'il est dans mon dos:

"Paul, tu vas me faire couler encore ! Emmène-moi, hors du lit !".
"Pourtant, j'y vais doucement !".
"Oui, mais tu me prends depuis trop longtemps ! Vite !".

Il me porte jusqu'à ma douche et dès que mes pieds touchent le sol, il sort de mon anus.
Un jet énorme éclabousse le bac et mes pieds.

"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhgggggggggggggg ! C'est trop fort ! Argggggggggggggghhhhhhhhhhhhh !".

Paul me remplit encore le cul et me possède toujours aussi profondément, de plusieurs dizaines d'assauts.
Je joui sans fin, je porte une main à ma bouche, mon visage est déformé par le plaisir.

"Maintenant ?".

J'acquièce en bougeant mon visage de bas en haut.
"Mmmmmmmm !".

Son énorme queue coulisse et libère ma prostate de la grosse pression qu'elle exerce.
Le passage de son gros gland est un plaisir supplémentaire.
J'ai encore des spasmes intenses dans mon muscle anal en me déversant d'un jet puissant et interminable.

"Argggggggggggggggggghhhhhhhhhhhhhh! Paul ! Tu me vides ! Arrgggggggggghhh !".
"Putain, j'adore te faire ça ! J'aime ton cul, Pascal !".

Il revient en moi, toujours avec puissance, mais tendrement.
Puis, il me tourne face à lui et me fait l'amour encore et encore, je lui inonde le ventre à chaque nouvelle sortie de mon cul.

Il me gratifie enfin, d'énormes râles de jouissance, lors de son éjaculation dans mes entrailles.
Je l'enlace en l'embrassant passionnément pendant qu'il m'insémine profondément.

"Pascal ! Je suis trop bien ! J'aime trop baiser avec toi !".
"Hmmm ! Moi aussi, mais tu peux te retirer, s'il te plait ?".

Il me libère une dernière fois, je gicle encore sur son ventre, en râlant ce dernier plaisir pendant qu'il m'embrasse à son tour.

On profite de l'endroit pour se doucher ensemble et jouer des mains avec la mousse sur le corps de l'autre.

On se love dans le lit, ensuite.

"Je crois que j'aimerai te prendre de cette manière, mais déguisé en fille !".
"En Sabrina ? Mais, tu l'as fais coulé, elle aussi !".
"Pas en Sabrina, elle, c'est une pute, que je paie ! Non, j'ai envie d'une autre ! Pour lui faire l'amour, pas la baiser ! Je t'achèterai une autre coiffure ! J'ai toujours aimé le prénom Alice ! Ca te plairait ?".
"Euh, tu me perturbes ! J'arrive pas à te suivre ! Mais pourquoi pas !".

Il m'embrasse passionnément et ajoute:
"Merci, t'es génial !".