Paul, le fantasme 3
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Paul, le fantasme 3
Paul ne m'avait pas laissé le choix, il préférait venir chez moi pour me baiser.
Il trouvait pratique, le fait que j'habite près de notre lieu de travail commun.
Je précise toutefois que l'on ne s'est jamais vu à l'arsenal maritime militaire.
On a entamé un petit jeu pervers, il aime me travestir avant de me baiser.
Il fantasme sur le fait de payer un travesti pour ses services sexuels.
Il m'a demandé d'emporter les vêtements chez moi, pour recommencer, quand son besoin deviendrait trop fort.
C'est devenu de plus en plus fréquent.
Désormais, je l'attend déjà travesti, avec le visage maquillé, pour apporter plus de réalisme.
On ne pratique pas à chaque rencontre, mais il me prévient avant, quand même.
Il m'affublé d'un prénom pour ces séances: Sabrina !
"Allo ! Pascal ? Tu dis à Sabrina de se préparer ? J'arrive dans une heure !".
Cela tombe bien ! Ne sachant quoi faire de l'argent qu'il m'impose d'accepter, j'ai pris l'initiative d'acheter un assortiment de sous vêtements en dentelles de la même taille que ceux que je mets avec lui.
Dont un corset, parce que je pense que cela me féminisera beaucoup plus, un string, un porte-jarretelles et des bas résilles.
Je fais passer tout ça pour un cadeau envers ma copine.
Je me pare de tout ça et recouvre le tout avec une nouvelle jupe et un chemisier assorti.
Le plus long, c'est le maquillage, mais je fais des progrès, et le résultat est assez bluffant.
J'ai pensé aussi à me raser de près, du visage, aux testicules !
J'ai toujours une gêne en l'attendant, je ne comprend pas comment font les filles, le contact avec les bas est désagréable.
Je suis assis, quand il sonne à l'interphone.
Je lui ouvre et me colle au mur en pliant une jambe, pour m'appuyer, comme une prostituée qui attend le client.
Il tape à la porte.
"Entres chéri !".
Il me voit, ses yeux brillent de bonheur.
"Putain, t'es bandante Sabrina !".
Il s'approche pour me tenir dans ses bras. Je le retiens.
"Hep, tu paies d'abord, tu connais le tarif ! Sinon, tu touches pas à la marchandise !".
"Bien sur ! Tiens !".
"Tu sais ou les mettre !".
"Oui, comme d'habitude !".
Il me soulève la jupe et les coince dans le string, puis il en profite pour me caresser le cul.
"Putain Sabrina ! Tu m'excites ce soir !".
"Ah bon, tu vas me montrer ça alors ! Je te plais ?".
"J'adore ! J'ai encore plus envie de te défoncer !".
"Humm, des promesses !".
"Tu vas voir si c'est des promesses, commences par me sucer la bite !".
Il m'appuie fermement sur la nuque pour me placer devant son énorme queue.
La situation s'inverse, c'est lui qui me domine, je préfère ça !
Je lui dévore la bite en gorge profonde, la recouvrant de salive.
Je me délecte, par moment, en lui lançant des regards vicieux, pendant que ma langue parcours sa bite.
Mon visage maquillé et affublé de la perruque rousse me donne un aspect pute exagéré, il a bien choisi la couleur !
Il appuie sur ma nuque et s'enfonce à l'extrême au fond de ma gorge.
Il me demande de placer ma bouche à hauteur idéale, pour s'y enfoncer comme s'il me baisait la chatte.
Il me défonce la gorge interminablement, ma salive déborde de mes lèvres.
Après une série de trente assauts environ, il me laisse respirer et tousser, puis recommence sa destruction buccale.
Puis il me demande de me diriger vers ma chambre.
"Montres-moi comme tu es belle en dessous !".
Je m'effeuille lentement.
D'abord le chemisier, puis la jupe.
Il vient vers moi et me dit:
"T'es une pute magnifique Sabrina ! Je vais te défoncer la chatte !".
"Oui, Paul, fais le vite, j'en ai envie !".
Il me retourne brusquement et me plie en deux.
Il écarte mon string et me dévore l'anus, qui s'ouvre lentement de plaisir.
Il me crache de nombreuses fois sur l'œillet.
"J'adore te bouffer la chatte Sabrina !".
Il parvient à me pénétrer avec sa langue, mais son désir est à son paroxysme.
Il se lève et pointe son énorme gland contre mon anus embué de salive.
Il pousse fortement, je l'aide en ouvrant et fermant mon sphincter.
Je pousse un énorme râle quand il m'investit d'un coup.
"Arrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
"Oh, Sabrina, qu'est qu'elle m'a manqué ta chatte de salope !".
"Arhhhhhhhhh, Profites ! Elle est à toi, tu l'as payée !".
"Oui, elle est à moi ! t'es ma pute !".
Il me claque les fesses et s'accroche de chaque coté de mon corset garni de dentelles, pour me buriner de plus en plus profondément.
Il parvient très vite à faire claquer ses couilles contre mes fesses, me faisant hurler de plaisir comme une chienne.
"Putain Sabrina, qu'est-ce que t'es bonne à baiser !".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Paul ! Tu m'éclates la chatte ! Salaud ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh !".
Il me fait couler de l'anus, sa bite coulisse très facilement sur toute sa longueur dans mon cul.
Il replace parfois la ficelle de mon string pour ne pas être gêné en me détruisant le cul.
Il m'excite en me couvrant de mots crus, tous destinés à Sabrina, la pute des bas quartiers qu'il veut que je sois.
Comme j'adore me sentir femelle avec un homme, cette situation me comble parfaitement, je joui sans fin sur sa grosse bite.
Il me place sur le dos, sur mon lit et me défonce en me tenant les cuisses en l'air.
Les phrases vulgaires à l'égard de Sabrina s'enchainent, j'aime le sentir aussi excité.
Il me plie de manière à me montrer ma "chatte" anale, mon visage s'écrase dans le matelas.
Son énorme queue me déchire l'anus, mes orgasmes s'accumulent.
Ma queue commence à déformer le triangle de tissu du string.
J'ai du mal à parler à cause de la position, je ressens des spasmes dans mon canal urinaire.
Je râle mon plaisir.
"Mummmmmmmmmmmmm !".
Mon sperme traverse la dentelle du string et coule sur mon visage.
Il me vide complètement de ma semence.
Puis il me laisse tomber, me place en chien de fusil et me détruit la chatte encore et encore.
"Arhhhhhhhhhh ! Putain ! Paul ! Tu me tues ! Arhhhhhhhhhh ! T'es déchainé ! Qu'est-ce qui t'arrives ?".
"Tu m'excites comme ça, Sabrina ! C'est ta faute !".
Je subi ses assauts encore plusieurs minutes ainsi.
"Mets-toi par terre avec le cul en bombe ! Salope ! Je vais te finir !".
Je lui obéis, je me cambre au sol, en plaquant mon visage sur le carrelage, et les fesses tendues.
Il replonge en moi avec violence, ses couilles viennent s'écraser contre ma "chatte".
Il reprend sa profonde et extrême destruction anale.
J'étouffe mes cris dans ma main, il y a longtemps que j'ai atteins la plénitude de plaisir.
Tout ce qu'il me fait à présent, depuis une bonne vingtaine de minutes, c'est du bonus pour moi.
C'est l'avantage du plaisir anal, même sans envie, vous jouissez encore ! C'est sans fin !
Mais cette répétition n'est pas sans effet, il commence à me provoquer des écoulements de liquide doré.
Je me répand sur le sol, aussi abondamment qu'il m'encule profondément.
"Ah ! Putain ! Sabrina ! J'adore ça ! Elle est trop bonne ta chatte ! Vas y ! Coules, salope !".
"Mmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmm! Arhhhhhhhhhh ! Pauuuuuuuuuuuul !".
"Tu prend ton pied ! Pas vrai ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh !".
"Moi aussi ! Mmmmmmmmmmm ! Oh putain ! T'es prête à recevoir mon jus ?".
"Oui, où ?".
"Dans ta bouche ! Sale pute ! Tu vas tout avaler, je te paie pour ça ! Vite ! Retourne toi !".
Sa longue bite me fait râler encore, en coulissant hors de mon cul.
Puis, je me redresse pour ouvrir la bouche.
Il m'écartèle les lèvres, en m'enfonçant son énorme mandrin au fond du gosier.
Je m'étouffe en recevant sa semence brulante et épaisse.
"Grllllll, Pffffffffffff ! Pffffffffffff ! Grllllllllllp ! Grllllllllllp !".
Malgré mes efforts pour tout avaler, la présence de son gland au fond de ma glotte, rend l'opération impossible.
Le sperme déborde de mes lèvres.
Il recule pour me laisser reprendre mon souffle et agite sa main, énergiquement, sur sa bite.
Il me macule le visage en posant l'autre main sur ma perruque.
Ca lui permet de mieux gicler sur la face de Sabrina, sa pute occasionnelle.
Il râle de bonheur en me couvrant de sperme et de mots salaces pervers.
Il me lâche enfin après sa longue éjaculation faciale, puis s'étend sur mon lit.
"Oh putain ! C'était génial !".
"S'il te plait ! Paul, tu peux m'apporter de l'essuie tout ! je suis couverte de foutre !".
"Oups ! Désolé ma belle !".
Je me nettoie avec plusieurs feuilles, il me dit:
"Tu étais trop belle, avec mon foutre ! Et, au fait Merci pour la tenue ! J'adore !".
"Ca t'as plu ? C'est vrai ?".
"Ca s'est pas vu ?".
"Euh, si !".
Il m'aide à me relever et m'attire contre lui sur mon lit.
"Merci de jouer le jeu, Pascal ! Tu peux pas savoir comme ça me fait du bien ! Je suis super heureux en ce moment !".
"Merci de me dire ça, ça me fait du bien aussi de l'entendre ! Même si c'est pas mon fantasme, je l'accepte mieux ! Et ça comble mon besoin de me sentir femelle quand tu me baises !".
"Mmmmmmmmm ! J'ai bien joui !".
On se fait face et on s'embrasse à de nombreuses reprises.
Il insiste pour commander des pizzas et reste dormir avec moi pour aller bosser directement le matin suivant.
Il a baisé Sabrina encore une fois, jusqu'à l'épuisement.
Ce ne fut pas simple de m'endormir en tenue de travesti.
Je me suis donc levé pour me déshabiller entièrement dans la nuit.
J'ai adoré ses remerciements pendant le petit déjeuner, son bonheur me rendait fier de moi et Sabrina.
Il trouvait pratique, le fait que j'habite près de notre lieu de travail commun.
Je précise toutefois que l'on ne s'est jamais vu à l'arsenal maritime militaire.
On a entamé un petit jeu pervers, il aime me travestir avant de me baiser.
Il fantasme sur le fait de payer un travesti pour ses services sexuels.
Il m'a demandé d'emporter les vêtements chez moi, pour recommencer, quand son besoin deviendrait trop fort.
C'est devenu de plus en plus fréquent.
Désormais, je l'attend déjà travesti, avec le visage maquillé, pour apporter plus de réalisme.
On ne pratique pas à chaque rencontre, mais il me prévient avant, quand même.
Il m'affublé d'un prénom pour ces séances: Sabrina !
"Allo ! Pascal ? Tu dis à Sabrina de se préparer ? J'arrive dans une heure !".
Cela tombe bien ! Ne sachant quoi faire de l'argent qu'il m'impose d'accepter, j'ai pris l'initiative d'acheter un assortiment de sous vêtements en dentelles de la même taille que ceux que je mets avec lui.
Dont un corset, parce que je pense que cela me féminisera beaucoup plus, un string, un porte-jarretelles et des bas résilles.
Je fais passer tout ça pour un cadeau envers ma copine.
Je me pare de tout ça et recouvre le tout avec une nouvelle jupe et un chemisier assorti.
Le plus long, c'est le maquillage, mais je fais des progrès, et le résultat est assez bluffant.
J'ai pensé aussi à me raser de près, du visage, aux testicules !
J'ai toujours une gêne en l'attendant, je ne comprend pas comment font les filles, le contact avec les bas est désagréable.
Je suis assis, quand il sonne à l'interphone.
Je lui ouvre et me colle au mur en pliant une jambe, pour m'appuyer, comme une prostituée qui attend le client.
Il tape à la porte.
"Entres chéri !".
Il me voit, ses yeux brillent de bonheur.
"Putain, t'es bandante Sabrina !".
Il s'approche pour me tenir dans ses bras. Je le retiens.
"Hep, tu paies d'abord, tu connais le tarif ! Sinon, tu touches pas à la marchandise !".
"Bien sur ! Tiens !".
"Tu sais ou les mettre !".
"Oui, comme d'habitude !".
Il me soulève la jupe et les coince dans le string, puis il en profite pour me caresser le cul.
"Putain Sabrina ! Tu m'excites ce soir !".
"Ah bon, tu vas me montrer ça alors ! Je te plais ?".
"J'adore ! J'ai encore plus envie de te défoncer !".
"Humm, des promesses !".
"Tu vas voir si c'est des promesses, commences par me sucer la bite !".
Il m'appuie fermement sur la nuque pour me placer devant son énorme queue.
La situation s'inverse, c'est lui qui me domine, je préfère ça !
Je lui dévore la bite en gorge profonde, la recouvrant de salive.
Je me délecte, par moment, en lui lançant des regards vicieux, pendant que ma langue parcours sa bite.
Mon visage maquillé et affublé de la perruque rousse me donne un aspect pute exagéré, il a bien choisi la couleur !
Il appuie sur ma nuque et s'enfonce à l'extrême au fond de ma gorge.
Il me demande de placer ma bouche à hauteur idéale, pour s'y enfoncer comme s'il me baisait la chatte.
Il me défonce la gorge interminablement, ma salive déborde de mes lèvres.
Après une série de trente assauts environ, il me laisse respirer et tousser, puis recommence sa destruction buccale.
Puis il me demande de me diriger vers ma chambre.
"Montres-moi comme tu es belle en dessous !".
Je m'effeuille lentement.
D'abord le chemisier, puis la jupe.
Il vient vers moi et me dit:
"T'es une pute magnifique Sabrina ! Je vais te défoncer la chatte !".
"Oui, Paul, fais le vite, j'en ai envie !".
Il me retourne brusquement et me plie en deux.
Il écarte mon string et me dévore l'anus, qui s'ouvre lentement de plaisir.
Il me crache de nombreuses fois sur l'œillet.
"J'adore te bouffer la chatte Sabrina !".
Il parvient à me pénétrer avec sa langue, mais son désir est à son paroxysme.
Il se lève et pointe son énorme gland contre mon anus embué de salive.
Il pousse fortement, je l'aide en ouvrant et fermant mon sphincter.
Je pousse un énorme râle quand il m'investit d'un coup.
"Arrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
"Oh, Sabrina, qu'est qu'elle m'a manqué ta chatte de salope !".
"Arhhhhhhhhh, Profites ! Elle est à toi, tu l'as payée !".
"Oui, elle est à moi ! t'es ma pute !".
Il me claque les fesses et s'accroche de chaque coté de mon corset garni de dentelles, pour me buriner de plus en plus profondément.
Il parvient très vite à faire claquer ses couilles contre mes fesses, me faisant hurler de plaisir comme une chienne.
"Putain Sabrina, qu'est-ce que t'es bonne à baiser !".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Paul ! Tu m'éclates la chatte ! Salaud ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh !".
Il me fait couler de l'anus, sa bite coulisse très facilement sur toute sa longueur dans mon cul.
Il replace parfois la ficelle de mon string pour ne pas être gêné en me détruisant le cul.
Il m'excite en me couvrant de mots crus, tous destinés à Sabrina, la pute des bas quartiers qu'il veut que je sois.
Comme j'adore me sentir femelle avec un homme, cette situation me comble parfaitement, je joui sans fin sur sa grosse bite.
Il me place sur le dos, sur mon lit et me défonce en me tenant les cuisses en l'air.
Les phrases vulgaires à l'égard de Sabrina s'enchainent, j'aime le sentir aussi excité.
Il me plie de manière à me montrer ma "chatte" anale, mon visage s'écrase dans le matelas.
Son énorme queue me déchire l'anus, mes orgasmes s'accumulent.
Ma queue commence à déformer le triangle de tissu du string.
J'ai du mal à parler à cause de la position, je ressens des spasmes dans mon canal urinaire.
Je râle mon plaisir.
"Mummmmmmmmmmmmm !".
Mon sperme traverse la dentelle du string et coule sur mon visage.
Il me vide complètement de ma semence.
Puis il me laisse tomber, me place en chien de fusil et me détruit la chatte encore et encore.
"Arhhhhhhhhhh ! Putain ! Paul ! Tu me tues ! Arhhhhhhhhhh ! T'es déchainé ! Qu'est-ce qui t'arrives ?".
"Tu m'excites comme ça, Sabrina ! C'est ta faute !".
Je subi ses assauts encore plusieurs minutes ainsi.
"Mets-toi par terre avec le cul en bombe ! Salope ! Je vais te finir !".
Je lui obéis, je me cambre au sol, en plaquant mon visage sur le carrelage, et les fesses tendues.
Il replonge en moi avec violence, ses couilles viennent s'écraser contre ma "chatte".
Il reprend sa profonde et extrême destruction anale.
J'étouffe mes cris dans ma main, il y a longtemps que j'ai atteins la plénitude de plaisir.
Tout ce qu'il me fait à présent, depuis une bonne vingtaine de minutes, c'est du bonus pour moi.
C'est l'avantage du plaisir anal, même sans envie, vous jouissez encore ! C'est sans fin !
Mais cette répétition n'est pas sans effet, il commence à me provoquer des écoulements de liquide doré.
Je me répand sur le sol, aussi abondamment qu'il m'encule profondément.
"Ah ! Putain ! Sabrina ! J'adore ça ! Elle est trop bonne ta chatte ! Vas y ! Coules, salope !".
"Mmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmm! Arhhhhhhhhhh ! Pauuuuuuuuuuuul !".
"Tu prend ton pied ! Pas vrai ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh !".
"Moi aussi ! Mmmmmmmmmmm ! Oh putain ! T'es prête à recevoir mon jus ?".
"Oui, où ?".
"Dans ta bouche ! Sale pute ! Tu vas tout avaler, je te paie pour ça ! Vite ! Retourne toi !".
Sa longue bite me fait râler encore, en coulissant hors de mon cul.
Puis, je me redresse pour ouvrir la bouche.
Il m'écartèle les lèvres, en m'enfonçant son énorme mandrin au fond du gosier.
Je m'étouffe en recevant sa semence brulante et épaisse.
"Grllllll, Pffffffffffff ! Pffffffffffff ! Grllllllllllp ! Grllllllllllp !".
Malgré mes efforts pour tout avaler, la présence de son gland au fond de ma glotte, rend l'opération impossible.
Le sperme déborde de mes lèvres.
Il recule pour me laisser reprendre mon souffle et agite sa main, énergiquement, sur sa bite.
Il me macule le visage en posant l'autre main sur ma perruque.
Ca lui permet de mieux gicler sur la face de Sabrina, sa pute occasionnelle.
Il râle de bonheur en me couvrant de sperme et de mots salaces pervers.
Il me lâche enfin après sa longue éjaculation faciale, puis s'étend sur mon lit.
"Oh putain ! C'était génial !".
"S'il te plait ! Paul, tu peux m'apporter de l'essuie tout ! je suis couverte de foutre !".
"Oups ! Désolé ma belle !".
Je me nettoie avec plusieurs feuilles, il me dit:
"Tu étais trop belle, avec mon foutre ! Et, au fait Merci pour la tenue ! J'adore !".
"Ca t'as plu ? C'est vrai ?".
"Ca s'est pas vu ?".
"Euh, si !".
Il m'aide à me relever et m'attire contre lui sur mon lit.
"Merci de jouer le jeu, Pascal ! Tu peux pas savoir comme ça me fait du bien ! Je suis super heureux en ce moment !".
"Merci de me dire ça, ça me fait du bien aussi de l'entendre ! Même si c'est pas mon fantasme, je l'accepte mieux ! Et ça comble mon besoin de me sentir femelle quand tu me baises !".
"Mmmmmmmmm ! J'ai bien joui !".
On se fait face et on s'embrasse à de nombreuses reprises.
Il insiste pour commander des pizzas et reste dormir avec moi pour aller bosser directement le matin suivant.
Il a baisé Sabrina encore une fois, jusqu'à l'épuisement.
Ce ne fut pas simple de m'endormir en tenue de travesti.
Je me suis donc levé pour me déshabiller entièrement dans la nuit.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi aussi, j'enfile une culotte en dentelle noire de ma femme pour recevoir mon amant . Je suis plus qu'une soumise qu'il faut dresser..
Moi aussi j'adore me sentir nana avec mon homme et trouve plutôt agréable d'enfiler une paire de bas, une culotte en dentelle ou m'endormir dans ses bras musclés vêtue d'une petite nuisette sexy