PHILIPPE EP 48 La famille s’agrandit ou Philippe accouche

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : PHILIPPE EP 48 La famille s’agrandit ou Philippe accouche Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PHILIPPE EP 48 La famille s’agrandit ou Philippe accouche
PHILIPPE EP 48
La famille s’agrandit
ou
Philippe accouche

( Enfin vous aurez corrigé, c'est pas Philippe qui accouche c'est sa femme, même si ça lui fait toujours tout drôle quand on lui rappelle qu'il est marié … Donc c'est pas lui qui accouche mais ça devrait quand même lui faire de l'effet )


Les mois passaient. Donc plusieurs fois par semaine je faisais la fête. Mais tout les week-end je me retrouvait à la maison, en famille … Famille je vous hais … Oui je sais c'est banal. Mais je voudrais vous y voir moi.

Mon père me regardait comme un juge inquisiteur qui sait tout mais qui à décidé de ne rien dire, pas un reproche ! Remarquez mes notes étaient surveillées. J'étais au dessus du minimum acceptable, pas beaucoup au dessus mais au dessus. Il n'était pas habitué à plus remarquez. Si brusquement mes notes avaient augmenté il m'aurait envoyé chez un médecin …

Ma mère était toujours charmante, elle a toujours été gentille avec moi mais toujours d'accord avec mon père. Elle venait me saluer et me faire la bise et était toujours accompagnée de Juliette … Ça vous rappelle quelque chose ça … Juliette ? J'espère bien, c'est ma femme !

Bon il fallait que je la vois tous les week-end, remarquez j'avais réussi à grappiller quelques heures, je faisais commencer le week-end le samedi midi et j'arrivais à le terminer le dimanche soir, j'avais eu mon père à l'usure, il avait accepté de me laisser partir en fin d'après midi le dimanche, avant le souper …

Finalement je m'en sortais bien.

Surtout que Juliette, je ne vous raconte pas mais elle était devenue difforme, c'était une horreur, à la voir je me demandais si elle n'attendait qu'un seul enfant. A voir comment elle avait gonflé, je penchais pour quatre ou cinq. C'était affreux !

Après ça il y en a qui vont se demander pourquoi je ne suis pas attiré par les filles moi. Je vous jure qu'elle n'avait rien d'attirant, en plus elle me faisait la gueule. Remarquez ça ne me dérangeait pas vraiment, elle me faisait la gueule depuis le jour de notre mariage alors … J'étais habitué !

On ne parlait pas de moi, aucun mot, pas le moindre sous entendu sur mon emploi du temps et mes activités. Pourtant il était impossible que mon père ne soit pas au courant. C'était bien la peine tout ça, j'avais payé de ma personne avec Juliette pour que mon père ne se doute pas que j'étais gay, maintenant c'était loupé, et il s'en foutait.

Ça valait bien la peine, je suis pas près de recommencer moi ! Je suis dégoûté !

Heureusement il y avait le reste de la semaine. Et le reste de la semaine c'était bien moins sinistre. En général en début de semaine je passais dans la maison close locale.

Non mais il n'y a pas que des filles, il y en a mais ça c'était pas pour moi. Il y avait aussi des garçons, ils étaient tous très beau, on me faisait un prix. En fait le prix je m'en moquais, c'était la fortune familiale qui payait. Et elle avait les moyens …

On connaissait mes goûts, le lit était toujours comme je les aime, et les hôtes … Alors là les hôtes, ils étaient tous très beau, il y en avait un qui ne venait jamais à mes soirées, pourtant il était invité à toutes. Il avait une peau foncée, j'ai toujours eu une attirance pour ces peaux mates et foncées. Il avait une peau plus douce encore que la soie des draps, son corps était d'une élégance distinguée, musclé mais pas difforme.

Il avait aussi une bite sympathique, pas un truc gigantesque pas un truc inutilisable, elle était juste énorme mais juste comme il fallait. Il me faisait un strip-tease, il me faisait rire, il avait un sourire rayonnant et des yeux violets. Je vous jure qu'il n'aurait pas fallu grand chose pour que je le demande en mariage celui là. Mais bon j'étais déjà un peu marié !

On se retrouvait tous les deux nus au milieu du lit, je le tenais dans mes bras, je l'embrassais, il me caressait. Je sentais la chaleur de sa peau brûlante et douce. Il commençait à me caresser le corps avec une incroyable douceur, je lui donnais un baiser en lui caressant la queue, il en avait une belle, comme je les aime.

Grosse !

Mes baisers descendaient sur ses épaules, puis sur ses tétons. Je continuais à lui caresser la queue qui prenait un peu plus de volume, elle était comme je les aime je vous dis.

Longue !

Puis mes baisers descendaient sur son ventre, son nombril et j'approchais de sa queue qui était comme je les aime.

Bien ferme !

Je ne prévenais pas quand je la prenais dans la bouche. Ma langue lui caressait le gland, elle passait tout autour encore et encore. Il réagissait et frémissait. Certains clients ne font rien et laissent l'hôte leur procurer du plaisir moi j'ai toujours considéré que le plaisir devait se partager, même si un des deux paye ! Bein oui, s'il y en a un qui n'avait pas compris, c'était un bordel !

Il me caressait les cheveux, je lui suçais la queue. Il pouvait éjaculer plusieurs fois de suite, en tout cas c'est ce qu'on m'avait dit. J'avais bien envie de vérifier. J'avais envie de me prendre une giclée dans la bouche et une autre dans le cul. Sa queue était superbe et si je ne me la prenais pas dans le cul, là je savais que j'allais criser.

Mais je voulais aussi qu'il me gicle dans la bouche. Je faisait glisser sa queue dans ma bouche et j'appuyais mon visage de plus en plus. Sa queue entrait dans ma gorge, là ça devenait sérieux. Je gardais le visage le plus longtemps possible bien appuyé contre lui.

Il m'encourageait en appuyant sur ma nuque doucement, il ne me retenait pas et retirais sa main si je manifestais le désir de relever la tête. Mon nez s'enfonçait maintenant dans son ventre. Les caresses de sa main devenaient plus fermes.

Sans prévenir il se relevait et me proposait de m'asseoir sur le sol au pied du lit, ma tête arrivait juste à la hauteur de son sexe. Toujours sans rien dire il me glissait alors sa queue dans la bouche et commençait à me la limer doucement. Il me baisait la bouche. C'était affolant. Il entrait de plus en plus profond, il y mettait plus de force mais toujours, il restait très attentif à mes réactions, si je tentais de me dégager c'est lui qui se retirait.

Puis il reprenait. Il finissait par bien me tenir la tête avec les deux mains, là il ne me retenait plus, il me tenait et me laissait l'impression de ne plus pouvoir me dégager. Là il aurait fallu que j'insiste pour me dégager mais il m'aurait laissé.

Sa queue s'enfonçait jusqu'à ma gorge, là je le sentais passer, mes yeux se remplissait de larmes, je pleurais sous l'effort. C'est pas tous les jours facile. Quelques coups de bassin lui échappaient et étaient particulièrement durs à encaisser. Et bien j'ai encaissé !

Il éjaculait quelques instants plus tard dans ma bouche, en même temps il enfonçait sa queue dans ma gorge et terminait d'éjaculer dans ma gorge. J'étais sonné.

Ma queue qu'on avait un peut tendance à oublier, on n'avait pas trop le choix, protestait fort quelquefois dans sa cage. La pression devenait intense, c'est aussi pour ça que je voulais me prendre sa queue dans le cul, c'était le seul moyen que j'avais trouvé pour me calmer.

Je restais là un moment sans bouger avec sa bite dans la bouche et comme je ne le repoussais pas il prenait bien le temps pour se retirer. Et quand sa queue ressortait totalement de ma bouche, elle était toute propre, je n'avais rien perdu, j'avalais.

Il me regardait, me donnait un baiser et me conseillait de passer à la salle de bain. J'étais tout rouge en larme et couvert de salive mais je n'avais rien perdu, j'avais tout avaler. Je me passait le visage sous l'eau froide et reprenais des couleurs un peu moins vives avant de revenir.

Il s'allongeait à côté de moi, me faisait un câlin et me proposait un flûte de champagne, je me sentais bien, il avait réussi à me détendre de la journée que j'avais passé avec mes parents et surtout de ma femme …

Un peu plus tard j'en redemandais. De nouveau je lui suçais la queue mais là, j'en voulais plus. Il l'avais compris, il me glissait rapidement un doigt entre les fesses. Et tout aussi rapidement il commençait à explorer mon cul avec un doigt. Ma réaction lui indiquait que c'était bien ça que je voulais.

Je me retournais sur le ventre. Il s'allongeait sur moi, prenait le temps de me caresser et de me lubrifier. Tout d'abord il commençait à me stimuler avec un doigt. Il prenait son temps …

Vous savez dans cette maison de luxe on n'est pas chronométré. On a toute la nuit si on veut, et le champagne est offert par la maison et on peut dormir sur place, seul ou pas … C'est comme on veut. Enfin pour moi, peut être pas pour les autres clients mais moi, j'étais un VIP.

Il y mettait deux doigts maintenant, et le plaisir montait vite. Vous savez j'étais très sensible, très entraîné à cette époque. Je devenais particulièrement passif et jouisseur. Je me demande pourquoi je dis à cette époque, ça n'a pas changé en fait.

J'adorais quand je sentais sa queue prendre position, je frémissais. Je tremblais quand il a commencé à pousser, j'ai d'abord serré les fesses, histoire de rigoler. Il a compris, il m'a donner un baiser dans le cou et à poussé, j'ai résisté, il a poussé plus fort et j'ai craqué, j'ai lâché. Sa queue s'est enfoncé d'un coup dans mon cul, son ventre s'est écrasé sur mes fesses et j'ai hurlé.

Soudainement il ne bougeai plus. Il me demandais : '' Ça va ? ''. Je faisais oui de la tête, il prenait le temps de me laisser encaisser puis il reprenait il se retirait et revenait. Dans un premier temps ses mouvements étaient lents, fermes et décidés mais lents. Ils devenaient plus rapides, et encore plus rapide.

J'avais envie de me faire défoncer le cul, et c'est ce qu'il m'a offert. Il m'a défoncé le cul, je râlais de plaisir, je gueulais et par moment je hurlais même. Et lui entrait et ressortait de mon cul, plus je criais, plus il y allait.

Je jouissais, je jouissais comme un fou, pas avec ma queue mais avec mon cul. Le plaisir peut devenir aussi intense mais il dure plus longtemps, bien plus longtemps. En fait je trouvais ce plaisir de plus en plus agréable et peu à peu j'oubliais le plaisir que me donnait ma queue seule.

Il a fini par se retirer, je tremblais de plaisir, il avait éjaculé et c'est à ce moment que moi j'éjaculais. Et j'ai joui à ce moment. J'ai joui comme un fou.

C'est à cette époque que j'ai commencé à oublié mon propre sexe dans les relations sexuelles. Je vous rassure, le reste du temps j'y pensais souvent. Le matin au réveil, sous la douche et par moment aussi dans la journée.

Quand je prenais la douche à la fac après le sport, je bandais fermer mais avec la cage personne ne s'en rendait compte. Je me demandais souvent si mes camarades étaient dans le même état que moi. Pour quelques uns oui ! On discutait de temps en temps entre camarades.



On devait être en cours de biologie, je ne sais plus de quoi il s'agissait quand le directeur de la fac entrait sans prévenir dans la salle de cours, il y avait le chauffeur de mon père juste derrière lui.

– Monsieur Brosso, votre famille vous demande tout de suite !

Mon sang s'est glacé dans mes veines. Il se passait quelque chose de grave. Avec des gestes incertains j'allais ramasser mes notes et mon livre.

– Laissez tout, Monsieur Brosso, laissez tout on s'occupera de ramasser vos affaires, c'est urgent.

Je comprenait tout mon père avait eu une attaque ou quelque chose comme ça. Sans poser de question je fonçais et sans qu'il comprenne ce qui se passait le chauffeur courait derrière moi pour rejoindre la voiture.

– Oh mon dieu, oh mon dieu … Marmonnais-je. Là je vous jure que je m'angoissais. Je pensais à mon père ou à ma mère.
– Mais attendez moi Monsieur Brosso, il n'y a aucune raison de paniquer ! Me lançait le chauffeur.
– Que se passe-t-il c'est mon père, c'est ma mère ?
– Mais aucun des deux, Monsieur Brosso, vos parents vont très bien c'est votre femme !

Je m'arrêtais net et je me retournais vers le chauffeur qui finissait par me rattraper.

– Et qu'est ce qu'elle a encore fait celle-là ?
– Rien de grave Monsieur Brosso, elle accouche !
– Et c'est pour ça qu'on me dérange, comme si je pouvais y faire quelque chose. Et puis il parait que ça dure neuf mois cette histoire, il doit y avoir une erreur, on n'est mariés que depuis huit mois …

Je m'apprêtais à repartir dans l'autre sens.

– Vos parents vous attendent à la clinique ! Monsieur Philippe, huit mois de mariage mais il me semble qu'un mois plus tôt … Me faisait remarquer le chauffeur.
– Ah oui c'est vrai ! Répondais-je.

Là je me disais que si je n'y allais pas mon père allait encore m'engueuler. Comme ça faisait un moment que je ne l'avais plus sur le dos je préférait suivre le mouvement, il m'attendait, il valait mieux y aller.

Nous arrivions à la clinique un bon quart d'heure plus tard. On me faisait entrer, je me retrouvais avec une tenue de chirurgien avec la capuche et tout, enfin je ne sais pas comment ça s'appelle tout ça. On me faisait entrer dans la salle de travail et là c'était le cauchemar.

Il y avait Juliette, sur le siège de travail, elle avait les cuisse bien écarter et là, c'était affreux, vous savez les filles, on déjà des formes disgracieuses mais là …

J'avais comme l'impression que la fente s'ouvrait, vous savez la fente qu'elle a entre les cuisses, et bien c'était bien plus large que la dernière fois, et en plus il y avait comme un truc dedans. Elle hurlait, ça me rappelait moi avec le mec quelques jours plus tôt dans la maison close. Enfin l'autre jour c'était du sérieux, pas comme là …

Je commençais à m'inquiéter, je me demandais si tout était normal … Ça s'ouvrait encore et là on pouvait y glisser le poing. Ceci dit je n'avais pas envie d'y mettre même un doigt.

Elle hurlait encore, les infirmiers l'encourageaient, ça s'ouvrait encore plus et c'était pas beau à voir, c'était une tête. Et le gamin était moche, c'était un cauchemar. J'étais sûr de n'y être pour rien là moi …

Et là c'était le trou noir !

Plus tard on m'a raconté. Un peu après mon père est entré avec ma mère. Comme il ne me voyait pas il a râlé après moi.

– On ne peut décidément pas compter sur cet abruti de Philippe ! Râlait-il.

Un infirmier prenait ma défense en expliquant que j'étais là quelques instants plus tôt, c'est peu après à ce moment qu'on m'a retrouvé, j'étais allongé sur le sol, j'étais tout pâle, je ne comprenais plus rien j'étais perdu. J'entendais mon père dire : '' Il n'a pas servi à grand chose mais au moins il est là !''. Je ne comprenais pas tout et les murs dansaient partout autour de moi et en plus le sol bougeait lui aussi.

Il se sont mis à deux pour me sortir de là, je bafouillais.

– Mais il est pas beau, il est affreux, en plus il est difforme, moi je veux bien un enfant mais je veux qu'il soit normal …

On tentait de me rassurer mais finalement ils ont préféré m'allonger sur un lit et me laisser récupérer. J'ai pu voir le gamin un peu plus tard. Finalement vous savez il n'était pas si laid que ça, il était même mignon, tout le monde me disait qu'il me ressemblait, moi je ne trouvais pas mais ça faisait plaisir à ma mère alors …

A suivre ( mais plus tard bien plus tard … )

N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Les avis des lecteurs

En réponse au commentaire précédent
Allons , il ne faut pas transformé une comédie érotique en une dramatique familiale ...
Jeune Philippe n'était pas tout à fait fini. Mais quand on le retrouve plus tard dans les histoires de David, il est beaucoup mieux !

Histoire Libertine
En meme temps quand on a 1 mec qui n'arrete pas de critiquer de rabaisser ça ne facilite pas la vie.



Texte coquin : PHILIPPE EP 48 La famille s’agrandit ou Philippe accouche
Histoire sexe : Une rose rouge
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