Pierre, l'amoureux caché.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pierre, l'amoureux caché.
Cette histoire reflète un coté de ma personnalité, dont je ne suis pas fier.
Dans les années 80's, 1985, je crois, je côtoyais un ami depuis quelques années déjà.
Un jour, il m'a présenté Pierre, un de ses cousins, un homme plus âgé de quelques années qui aimait la compagnie de jeunes comme nous.
Nous nous sommes très bien entendus, il est devenu un ami, à part entière.
Puis, depuis quelques semaines, il est devenu distant, vis à vis de moi.
Alors, un soir que nous discutions en bord de mer, seuls, loin des autres, je lui demande:
"Qu'est-ce t'as, je te sens bizarre avec moi ! Tu m'en veux ?".
"Non ! Au contraire ! C'est pas ça ! T'es trop parfait !".
"Expliques moi, je comprends pas !".
"Euh, ne le dis pas aux autres ! Surtout pas à mon cousin ! Je suis attiré par les hommes ! Et ! Je crois que je suis amoureux de toi ! Putain, ça me soulage de te le dire !".
"Quoi ? Euh...je ...je sais pas comment réagir à ça ! Ca me fait un choc !".
"Tu vas me rejeter maintenant ! Je comprends ! C'est pas grave ! De toute manière, je vais partir, bientôt ! Je t'oublierai !".
"Pierre ! Je suis désolé, j'ai pas l'habitude de ce genre de situation ! Tu dois me comprendre !".
"Je sais, je t'en veux pas, qu'est-ce j'aurai pu espérer, en plus ! Tu aimes les filles et je comprends qu'elles soient toutes folles de toi ! T'es un mec génial !".
"Je m'en fous de ça, j'aime Corinne, tu le sais !".
"Oui, je sais ! Mais ça m'a fait du bien de te le dire !".
"Mais, depuis quand tu sais que tu aimes les hommes ?".
"Depuis plusieurs années, surtout les jeunes comme toi ! Je te trouve tellement beau ! Tout me plait chez toi !".
"Euh, c'est gênant ! Moi, j'arrive pas à trouver un mec attirant, j'ai pas ce regard là ! Donc, si je comprends bien, tu es...actif ?".
"Oui, pourquoi ?".
"Ben, ça veut dire que si j'avais accepté, tu m'aurais baisé !".
Je me mets à rire, tout en pensant à mon coté passif, il rit avec moi.
"Mais tu sais, il y a des garçons qui adorent ça, c'est pas si dégradant que vous le pensez tous ! C'est beau un garçon qui jouit comme ça ! J'aime leur donner du plaisir par là".
"Tu as surement raison !".
Il parle si bien du plaisir entre hommes, qu'il me trouble, je le vois sous un autre angle, à présent.
Un long silence règne, puis il me dit:
"Je te laisse ! J'ai besoin de marcher !".
"Je comprend !".
Je le regarde s'éloigner, sur le sable, dans le noir.
J'ai le cœur retourné, je sais plus quoi penser.
Puis, je laisse parler mon cœur, je peux pas le laisser souffrir ainsi !
Je cours vers lui pour le rattraper.
"Pierre ! Attends-moi !".
"Laisses-moi Pascal, Tu peux rien pour moi !".
"Non ! On peux en parler encore ! Ca va te faire du bien !".
Je l'accompagne, on marche en se faisant des confidences, il me raconte ses premières expériences avec des jeunes garçons de son âge, et l'effet indélébile que cela a produit sur lui.
Nous sommes très loin des autres, à présent, on s'assoit sur un rocher, en retrait, offrant une impossibilité de nous voir.
Il se met à pleurer dans mon épaule, puis il relève son visage et tente de m'embrasser.
Je recule aussitôt !
"Désolé Pascal ! Je t'aime trop !".
Il éclate en sanglots.
C'est trop pour moi, je commence à vouloir partir, puis je reviens sur mes pas et saisit son visage pour accepter son baiser.
Il m'attrape derrière la nuque et me donne un long baiser passionné.
Ses mains parcourent mon corps encore juvénile, je suis pris de frissons.
"Oh Pascal ! J'ai envie de toi ! Si tu savais !".
"Prends-moi alors ! Montres moi, comme tu as envie de moi !".
Sa main glisse sous mon slip et me caresse les fesses.
"Tu sais que t'as un cul de rêve ! J'en dors plus, rien que d'y penser ! Touches mon sexe ! Regardes dans quel l'état, tu me mets !".
Je glisse ma main vers sa queue, je ne m'imaginais pas qu'il était aussi bien doté par la nature.
Pendant que je le masturbe, il se dégage le sexe plus amplement.
Je constate qu'il a dégrafé mon bouton de pantalon, qui tombe à mes pieds.
Il me plie contre le rocher et me lèche l'anus longuement, en me disant des mots d'amour.
Puis il se colle à moi, en me caressant sans cesse, il retourne mon visage pour mélanger sa langue à la mienne.
Son gros sexe se fraie un chemin entre mes fesses.
Je pousse sur mon muscle plusieurs fois, et le reçoit assez rapidement en moi.
"Arhhhhhhhhhh ! Pascal, j'y crois pas ! Je dois rêver ! C'est tellement bon ! Mais ? Ca s'est trop bien passé ! Tu m'expliques ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Je suis bi en fait ! J'aime me faire prendre par des hommes plus âgés ! Arghhhhhhhhhh !".
"Putain ! C'est génial ! Je t'aime, je vais te faire l'amour ! Comme tu l'as jamais fait !".
Il me comble de bonheur anal, je joui du cul, plusieurs fois successivement.
Ses déclarations amoureuses me font pleurer, c'est trop pour moi, j'essaie de ne retenir que le plaisir qu'on s'offre, l'un à l'autre.
Il saisit ma queue pour me branler en m'enculant.
Je prends la suite de la masturbation de ma bite, il me possède avec passion et puissance.
C'est plus que du sexe entre nous, je me laisse envahir par cet élan d'amour mutuel.
"Arghhhhhhhhhh ! Pascal, je vais jouir, j'ai jamais joui comme ça avant ! Je t'aime trop ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Moi aussi, je joui avec toi, Pierre ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
J'ai l'impression qu'il joui à travers mon corps, chaque enfoncement de sa grosse queue est suivi d'une éjection de sperme de mon sexe.
Nos râles se rejoignent, ses déclarations passionnées s'enchainent.
Nous nous collons au rocher, il reste en moi, un long moment.
Puis il se retire, en douceur, je me retourne, sa queue me fait fondre d'envie.
Je me baisse et le lèche sans m'arrêter, pendant de longues minutes, il se laisse emporter par ce plaisir, inespéré pour lui.
"Ohh Pascal, je comprends plus rien, c'est trop bon ! Pourquoi tu aimes les filles ?".
"Chht, profites du moment ! C'est tout ! Ne cherches pas à comprendre ! Même moi ! Je comprends pas !".
Je cesse ma caresse buccale, puis, je sors un mouchoir pour m'essuyer l'anus.
"On aurait peut être pas du le faire, Pierre ! Tu regrettes pas ?".
Il m'embrasse avec passion et me répond ensuite,:
"Non ! Pas du tout ! J'ai jamais pris autant de plaisir ! C'est surement parce que je t'aime comme un fou !".
"Mais, ça change rien ! Tu le sais ! J'aime toujours Corinne !".
"Ah ! C'est vrai ! Et moi ?".
"J'ai adoré que tu me fasses l'amour, mais j'arrive pas encore à aimer un homme, désolé !".
"On pourra encore se revoir, quand même ? S'il te plait ?".
"Oui, mais, si je vois que ça te fait trop de mal, je te quitterai ! Et surtout, j'ai peur que tu parles de notre histoire aux autres !".
"Mais non ! Il faudrait que je leur dise que je suis un homo, et ça je suis pas encore prêt !".
"Alors ! Tant mieux !".
"T'es toujours au chômage ? Non ? Je peux passer te prendre demain ! On va chez moi !".
"Après 18 h ! C'est OK ! Je vois Corinne avant !".
"Pas de problème, je prends ce que tu me donnes !".
Ma relation avec Corinne en était à ses débuts, un an à peine !
Ma liaison avec Pierre m'a perturbé pendant quelques mois, je lui ai caché que j'avais succombé à son amour.
Jusqu'à son départ, nous avons passé une dernière folle nuit de sexe et de passion entre hommes.
Il m'a ramené chez moi, puis avant qu'il prenne la route pour la Bretagne, je lui ai dis:
"Je t'ai menti, Pierre ! Mais il le fallait, comprends-moi, Je t'aime, moi aussi !".
"Je m'en doutais, mais ça me fait du bien de la savoir ! Bonne chance pour la suite de ta vie, mon amour !".
Voilà, je suis pas fier de moi, je connaitrais ce genre de dilemme avec des filles aussi ! Mais comme je ne suis pas un adepte du polyamour, j'ai toujours fait un choix ! C'est Corinne !
Dans les années 80's, 1985, je crois, je côtoyais un ami depuis quelques années déjà.
Un jour, il m'a présenté Pierre, un de ses cousins, un homme plus âgé de quelques années qui aimait la compagnie de jeunes comme nous.
Nous nous sommes très bien entendus, il est devenu un ami, à part entière.
Puis, depuis quelques semaines, il est devenu distant, vis à vis de moi.
Alors, un soir que nous discutions en bord de mer, seuls, loin des autres, je lui demande:
"Qu'est-ce t'as, je te sens bizarre avec moi ! Tu m'en veux ?".
"Non ! Au contraire ! C'est pas ça ! T'es trop parfait !".
"Expliques moi, je comprends pas !".
"Euh, ne le dis pas aux autres ! Surtout pas à mon cousin ! Je suis attiré par les hommes ! Et ! Je crois que je suis amoureux de toi ! Putain, ça me soulage de te le dire !".
"Quoi ? Euh...je ...je sais pas comment réagir à ça ! Ca me fait un choc !".
"Tu vas me rejeter maintenant ! Je comprends ! C'est pas grave ! De toute manière, je vais partir, bientôt ! Je t'oublierai !".
"Pierre ! Je suis désolé, j'ai pas l'habitude de ce genre de situation ! Tu dois me comprendre !".
"Je sais, je t'en veux pas, qu'est-ce j'aurai pu espérer, en plus ! Tu aimes les filles et je comprends qu'elles soient toutes folles de toi ! T'es un mec génial !".
"Je m'en fous de ça, j'aime Corinne, tu le sais !".
"Oui, je sais ! Mais ça m'a fait du bien de te le dire !".
"Mais, depuis quand tu sais que tu aimes les hommes ?".
"Depuis plusieurs années, surtout les jeunes comme toi ! Je te trouve tellement beau ! Tout me plait chez toi !".
"Euh, c'est gênant ! Moi, j'arrive pas à trouver un mec attirant, j'ai pas ce regard là ! Donc, si je comprends bien, tu es...actif ?".
"Oui, pourquoi ?".
"Ben, ça veut dire que si j'avais accepté, tu m'aurais baisé !".
Je me mets à rire, tout en pensant à mon coté passif, il rit avec moi.
"Mais tu sais, il y a des garçons qui adorent ça, c'est pas si dégradant que vous le pensez tous ! C'est beau un garçon qui jouit comme ça ! J'aime leur donner du plaisir par là".
"Tu as surement raison !".
Il parle si bien du plaisir entre hommes, qu'il me trouble, je le vois sous un autre angle, à présent.
Un long silence règne, puis il me dit:
"Je te laisse ! J'ai besoin de marcher !".
"Je comprend !".
Je le regarde s'éloigner, sur le sable, dans le noir.
J'ai le cœur retourné, je sais plus quoi penser.
Puis, je laisse parler mon cœur, je peux pas le laisser souffrir ainsi !
Je cours vers lui pour le rattraper.
"Pierre ! Attends-moi !".
"Laisses-moi Pascal, Tu peux rien pour moi !".
"Non ! On peux en parler encore ! Ca va te faire du bien !".
Je l'accompagne, on marche en se faisant des confidences, il me raconte ses premières expériences avec des jeunes garçons de son âge, et l'effet indélébile que cela a produit sur lui.
Nous sommes très loin des autres, à présent, on s'assoit sur un rocher, en retrait, offrant une impossibilité de nous voir.
Il se met à pleurer dans mon épaule, puis il relève son visage et tente de m'embrasser.
Je recule aussitôt !
"Désolé Pascal ! Je t'aime trop !".
Il éclate en sanglots.
C'est trop pour moi, je commence à vouloir partir, puis je reviens sur mes pas et saisit son visage pour accepter son baiser.
Il m'attrape derrière la nuque et me donne un long baiser passionné.
Ses mains parcourent mon corps encore juvénile, je suis pris de frissons.
"Oh Pascal ! J'ai envie de toi ! Si tu savais !".
"Prends-moi alors ! Montres moi, comme tu as envie de moi !".
Sa main glisse sous mon slip et me caresse les fesses.
"Tu sais que t'as un cul de rêve ! J'en dors plus, rien que d'y penser ! Touches mon sexe ! Regardes dans quel l'état, tu me mets !".
Je glisse ma main vers sa queue, je ne m'imaginais pas qu'il était aussi bien doté par la nature.
Pendant que je le masturbe, il se dégage le sexe plus amplement.
Je constate qu'il a dégrafé mon bouton de pantalon, qui tombe à mes pieds.
Il me plie contre le rocher et me lèche l'anus longuement, en me disant des mots d'amour.
Puis il se colle à moi, en me caressant sans cesse, il retourne mon visage pour mélanger sa langue à la mienne.
Son gros sexe se fraie un chemin entre mes fesses.
Je pousse sur mon muscle plusieurs fois, et le reçoit assez rapidement en moi.
"Arhhhhhhhhhh ! Pascal, j'y crois pas ! Je dois rêver ! C'est tellement bon ! Mais ? Ca s'est trop bien passé ! Tu m'expliques ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Je suis bi en fait ! J'aime me faire prendre par des hommes plus âgés ! Arghhhhhhhhhh !".
"Putain ! C'est génial ! Je t'aime, je vais te faire l'amour ! Comme tu l'as jamais fait !".
Il me comble de bonheur anal, je joui du cul, plusieurs fois successivement.
Ses déclarations amoureuses me font pleurer, c'est trop pour moi, j'essaie de ne retenir que le plaisir qu'on s'offre, l'un à l'autre.
Il saisit ma queue pour me branler en m'enculant.
Je prends la suite de la masturbation de ma bite, il me possède avec passion et puissance.
C'est plus que du sexe entre nous, je me laisse envahir par cet élan d'amour mutuel.
"Arghhhhhhhhhh ! Pascal, je vais jouir, j'ai jamais joui comme ça avant ! Je t'aime trop ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Moi aussi, je joui avec toi, Pierre ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
J'ai l'impression qu'il joui à travers mon corps, chaque enfoncement de sa grosse queue est suivi d'une éjection de sperme de mon sexe.
Nos râles se rejoignent, ses déclarations passionnées s'enchainent.
Nous nous collons au rocher, il reste en moi, un long moment.
Puis il se retire, en douceur, je me retourne, sa queue me fait fondre d'envie.
Je me baisse et le lèche sans m'arrêter, pendant de longues minutes, il se laisse emporter par ce plaisir, inespéré pour lui.
"Ohh Pascal, je comprends plus rien, c'est trop bon ! Pourquoi tu aimes les filles ?".
"Chht, profites du moment ! C'est tout ! Ne cherches pas à comprendre ! Même moi ! Je comprends pas !".
Je cesse ma caresse buccale, puis, je sors un mouchoir pour m'essuyer l'anus.
"On aurait peut être pas du le faire, Pierre ! Tu regrettes pas ?".
Il m'embrasse avec passion et me répond ensuite,:
"Non ! Pas du tout ! J'ai jamais pris autant de plaisir ! C'est surement parce que je t'aime comme un fou !".
"Mais, ça change rien ! Tu le sais ! J'aime toujours Corinne !".
"Ah ! C'est vrai ! Et moi ?".
"J'ai adoré que tu me fasses l'amour, mais j'arrive pas encore à aimer un homme, désolé !".
"On pourra encore se revoir, quand même ? S'il te plait ?".
"Oui, mais, si je vois que ça te fait trop de mal, je te quitterai ! Et surtout, j'ai peur que tu parles de notre histoire aux autres !".
"Mais non ! Il faudrait que je leur dise que je suis un homo, et ça je suis pas encore prêt !".
"Alors ! Tant mieux !".
"T'es toujours au chômage ? Non ? Je peux passer te prendre demain ! On va chez moi !".
"Après 18 h ! C'est OK ! Je vois Corinne avant !".
"Pas de problème, je prends ce que tu me donnes !".
Ma relation avec Corinne en était à ses débuts, un an à peine !
Ma liaison avec Pierre m'a perturbé pendant quelques mois, je lui ai caché que j'avais succombé à son amour.
Jusqu'à son départ, nous avons passé une dernière folle nuit de sexe et de passion entre hommes.
Il m'a ramené chez moi, puis avant qu'il prenne la route pour la Bretagne, je lui ai dis:
"Je t'ai menti, Pierre ! Mais il le fallait, comprends-moi, Je t'aime, moi aussi !".
"Je m'en doutais, mais ça me fait du bien de la savoir ! Bonne chance pour la suite de ta vie, mon amour !".
Voilà, je suis pas fier de moi, je connaitrais ce genre de dilemme avec des filles aussi ! Mais comme je ne suis pas un adepte du polyamour, j'ai toujours fait un choix ! C'est Corinne !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est beau, j'ai bcp aimé le début blindé d'hésitations de la part des deux mais avec le respect de l'ainé, c'est pas évident vu qu'ils abusent parfois de l'emprise de leur 'maturité' et du coup, ça peut être moins consensuel ¬‿¬
La fin est un peu triste pour Pierre, mais chacun fait bien ce qu'il veut de sa vie...
La fin est un peu triste pour Pierre, mais chacun fait bien ce qu'il veut de sa vie...
Elle a bien de la chance cette Corinne..j'adore vos histoires.votre façon douce d écrire. C'est beau et chaud sans être vulgaire .je suis toujours heureuse de lire une de vos histoires.