PLAN A TROIS, avec un jeune inconnu dans la rivière près du lac (la suite) - histoire érotique

Les trois hommes s’étaient allongés quasiment là où ils avaient joui, ils s’étaient adossés à un rocher, le bas du corps dans l’eau, relativement stagnante à cet endroit, en raison des pierres s’y trouvant.
Le soleil donnait à travers les feuillages touffus de la forêt, et leur caressait le visage.
Ils s’assoupirent légèrement, comme si le relâchement ressenti après un moment d’une belle intensité les avait bercés.

Ce fut Milan qui se réveilla en premier, il regarda les deux hommes encore endormis, collés l’un à l’autre, et il eut à nouveau envie, sa bite, qui s’était rapidement dressée, en témoignait.
Il remarqua que leur bite à eux n’était pas totalement au repos, puisqu’elle n’était pas vers le bas, mais plutôt à l’horizontale. De bon augure, se dit-t-il.

Ce fut Samir qui sortit le premier de ce demi-sommeil, son regard croisa celui de Milan qui lui sourit.
Comme un réflexe, Samir se toucha la queue, la redressa légèrement et, en quelque sorte, la tendit à Milan qui n’eut qu’à rapprocher son visage et à ouvrir sa bouche.
Samir, dont la queue s’était instantanément durcie au contact de la bouche chaude et humide du jeune garçon, lui caressa la tête de la main droite, et caressa de la gauche le torse, puis la queue d’Eric qui se trouvait juste à côté de lui.
Celui-ci ne tarda pas à se réveiller et lui sourit en regardant la scène. C’était donc reparti... tous, finalement, en avaient envie.

Eric se leva, empoigna son sexe, dans le même temps, Samir releva la tête de Milan et dit à son compagnon : “ je vais lui prendre le cul, comme ça il pourra te sucer “.
Mais le jeune garçon ne comprenait pas ce que voulait faire Samir, qui lui dit :
“ turn... “, puis ... “ your asses... “.
Milan finit par comprendre, se releva, se retourna et vint s’accroupir et s’empaler sur la bite de Samir qui lui pénétra donc l’anus. Ça rentra comme dans du beurre, et, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Samir était bien à fond, à l’intérieur de Milan.

Eric ne perdait pas une minute de ce spectacle qui l’excitait et le faisait bien bander. Il s’approcha et positionna sa bite à hauteur du visage du jeune, qui ouvrit la bouche et happa le membre.
Dans le même temps, Samir, qui s’était allongé sur le rocher pour bien recevoir Milan, commença à se relever, appuya ses mains sur la pierre, et amorça des mouvements de va-et-vient pour bien baiser le fondement du jeune homme qui, de ce fait, ne pouvait plus guère garder la bite d’Eric en bouche.

Celui-ci s’écarta et, toujours debout, vint se positionner derrière Samir, qui avait remis son dos à l’horizontale. Il lui mit la main sur l’épaule. Sa queue se trouvait pile à la hauteur du visage de Samir, il aurait aimé que son compagnon ouvre la bouche et le suce, mais ce dernier ne tourna pas la tête, il la laissa penchée du côté opposé, concentré qu’il était à enculer le jeune Milan.
Eric le savait, Samir préférait enculer que sucer, en fait il ne l’avait sucé qu’une fois, le soir de leur plan à trois avec Arnaud, quand il l’avait réveillé en pleine nuit pour baiser. Cette nuit-là avait d’ailleurs été l’occasion de grandes premières entre eux : d’abord Eric avait baisé Samir, pour la première (et seule) fois, ensuite Samir avait sucé Eric, lui avait bouffé le cul, et les deux hommes s’étaient embrassés... depuis ils avaient continué à s’embrasser régulièrement, mais jamais plus Samir ne s’était occupé d’Eric comme il l’avait fait cette nuit-là... Un jour, peut-être, se disait ce dernier...

Eric changea donc d’endroit, et revint se mettre face à Milan, il lui tendit son sexe en érection, le jeune homme l’empoigna de sa main droite et le mit en bouche.
Samir avait toujours les mains sur le rocher mais avait reposé son fessier, il resta quelques instants la bite à l’intérieur de Milan, sans bouger.
Il reprit progressivement ses mouvements de va-et-vient et se souleva à nouveau, de sorte que ses fesses ne touchent plus la roche.
Les trois hommes étaient bien calés désormais : Eric, debout, en train de se faire piper par Milan qui, penché en avant, restait empalé sur Samir, lequel le pilonnait doucement, mais régulièrement. Chacun prenait son pied, surtout Milan qui avait une bite dans le cul et une dans la bouche.

Samir se releva au maximum que lui permettait sa position, puisqu’il conservait les mains appuyées contre le rocher, et il continua ainsi à baiser Milan… qui continuait à sucer Eric...
La position devenant trop inconfortable, Samir se releva complètement, repoussa Milan vers Eric, qui se recula, et, tout en restant la bite dans le cul du jeune, il revint à une position plus classique, debout derrière lui.

Les trois hommes avaient toujours les pieds dans la rivière, jusqu’à mi-mollet, ce qui accentuait leur sensation de plaisir, de bien-être et de détente. C’était vraiment agréable.
Cette nouvelle position (sa favorite !) permit à Samir de bien pilonner les entrailles de Milan qui, de ce fait, avait plus de mal à garder la bouche autour de la bite d’Eric. Du coup il l’avait empoignée, essayait de la branler, mais donnait davantage l’impression de s’y agripper tellement les coups de boutoir de Samir étaient intenses et le balottaient de droite à gauche, de haut en bas et d’avant en arrière. Il faut dire que ce jeune slovène était un poids plume, il devait faire dans les 1m75 mais ne pesait guère plus qu’une soixantaine de kilos. Totalement imberbe sur le corps, avec juste des petits poils blonds qui ne dépassaient guère de la peau. Vraiment mignon, et les deux “vieux” se régalaient avec lui, et passaient un super moment.

Milan aussi se régalait, il arriva à reprendre en bouche la bite d’Eric et à avoir des mouvements syncrones avec les coups de rein de Samir qui le tenait fermement à la taille et ne lui laissait aucun répit, en baladant sa bite à l’intérieur de lui, et en l’introduisant le plus profondément possible.
Le jeune garçon continuait à prendre son pied, à la fois en encaissant le pilonnage intensif de Samir et en suçant goulûment le membre turgescent d’Eric, qu’il tenait et branlait toujours de sa main droite.

Les deux aînés finirent par changer de position. Ils se retirèrent chacun de l’orifice pénétré, ce qui permit à Milan de souffler un peu, de se relever, et même de faire quelques mouvements, avant de repasser à la casserole.
Cette fois, ce fut Eric qui introduisit sa bite dans son anus, encore tout chaud de celle de Samir. Elle rentra sans aucune difficulté, sans même susciter de réaction particulière chez le jeune, dont le trou était un vrai garage à bites.
Eric l’empoigna au niveau du bassin, et entama ses mouvements de va-et-vient, de façon moins régulière et plus saccadée que ne le faisait Samir, véritable expert ès sodomie, le meilleur enculeur de la terre, telllement il aimait ça et faisait ça bien.

Il aimait aussi se faire sucer, et présenta son membre à hauteur du visage de Milan, qui ne se fit pas prier, le prit en main avant de le prendre en bouche.
Le jeune garçon prenait d’autant plus de plaisir à sucer la bite de Samir qu’il venait de se la prendre un long moment dans le cul, et repensa à ses moments de véritable extase qu’il venait de vivre.
Ces moments continuaient en fait, puisque, même si les bites s’étaient inversées, la position restait la même et Milan continuait à en avoir une dans chaque orifice.

Samir voulut accentuer le mouvement, pour retrouver le plaisir intense qu’il ressentait quand il enculait, mais une bouche n’était pas un cul, et ni le rythme ni les sensations ne pouvaient être identiques.
Pour compenser, et trouver d’autres plaisirs, Samir retira sa bite de la bouche de Milan, la reprit en main et lui bifla le visage à plusieurs reprises en appuyant sur sa tête de la main gauche.
De son côté Eric continuait de baiser Milan, mais sans ressentir autant de plaisir et d’excitation que Samir.
Il faut dire qu’Eric avait des goûts un peu spéciaux puisqu’il n’était jamais autant excité qu’à la perpective d’enculer un actif. Il avait d’ailleurs pris un pied intégral à baiser Samir, comme, par le passé, Hicham à l’hôtel, et ressentait bien moins d’excitation à baiser un passif, comme l’était ce Milan. Il ne saurait l’expliquer, c’était comme ça.

Il continua néanmoins à pilonner les entrailles du jeune homme en s’appliquant du mieux qu’il pouvait et en regardant Samir qui était juste en face de lui, debout, son visage exprimant le plaisir sexuel, son torse finement musclé, totalement imberbe, superbement proportionné, avec ses petits tétons, son petit duvet qui descendait du nombril, sa peau cuivrée et qui brillait au chaud soleil de cette fin d’été, sa bite qu’il tenait en main et qu’il faisait glisser entre la joue et la bouche de Milan.
Cette vision de Samir, qui s’offrait à lui en pleine nature, l’excitait bien davantage que le cul de Milan dans lequel sa bite se trouvait et avait du mal à rester en érection maximale.
Il finit par se retirer, de peur de débander totalement, et remarqua d’ailleurs que la bite de Samir, au contact du visage de Milan, non seulement n’était pas aussi dure qu’au début, mais était en train de devenir carrément flasque.

Il était temps de se ressaisir.
Samir, après avoir mis ses doigts dans la bouche de Milan, qui les avait sucés avec frénésie, s’éloigna de lui, et vint se positionner à côté d’Eric.
Le contact de la peau de Samir sur la sienne eut un effet immédiat, et l’électrisa véritablement.
Eric reprit les mouvements de va-et-vient interrompus au sein du fondement de Milan. Il ferma les yeux et s’imagina quelques secondes en train de baiser Samir, qui était juste à côté de lui, qui avait collé son corps contre le sien, avait mis son bras droit autour de son épaule, et se branlait doucement.

Eric prit de ce fait beaucoup de plaisir, entre le pilonnage des entrailles de Milan, et le contact de la peau de Samir qui continuait à se branler à ses côtés.
Celui-ci finit par lui faire signe de lui laisser la place.
Eric se retira donc, Milan en profita pour s’allonger davantage sur le rocher, posa ses mains dans l’eau, et s’appuya sur le sol de la rivière.
Samir mit sa jambe gauche à la gauche de la jambe gauche de Milan, et sa jambe droite à sa droite, mit sa main gauche au niveau de sa bouche, se pencha et le pénétra dans cette position.
Eric de son côté s’était positionné en face des deux autres, et se tenait doucement la queue, qui avait nettement débandé.

Samir pilonna ainsi le jeune garçon et, pour donner plus de force à ses mouvements, avait écarté ses jambes de part et d’autre de celles de Milan et s’était appuyé avec les mains sur le rocher.
Milan se mit alors à gémir tellement le coït était intense et profond.
Samir n’arrêtait pas et le pénétrait de toutes ses forces.
Cette position, et le bloquage du corps de Milan par le rocher, le permettaient.
Milan ne cessait de gémir, toujours de façon aiguë, et de plus en plus fort. De toute façon, il ne pouvait pas bouger, coincé qu’il était entre le rocher et le corps de Samir, mais il aimait ça.
Il ressentait même un plaisir d’une intensité qu’il n’avait jamais ressentie jusque là.
Pourtant il s’en était pris des queues dans sa vie, et des plus grosses que celle de Samir, mais encore fallait-il savoir s’en servir, et jamais personne ne lui avait procuré ce qu’il ressentait en ce moment et en ce lieu.

Eric était resté bouche bée face à ce spectacle, qui le subjuguait.
Il était admiratif devant les qualités de baiseur de Samir, et se disait qu’il avait bien de la chance de l’avoir à ses côtés.
Il se décala pour profiter davantage dudit spectacle et notamment du corps de Samir, cette fois vu de derrière : son dos musclé et cuivré, à la fois par la nature et par le soleil en cette fin d’été, et surtout, ses fesses magnifiques, rondes, charnues, musclées, d’un brun légèrement moins intense que le dos, et qui était la partie de l’anatomie d’un homme en général, et de Samir en particulier, qu’il préférait.

Samir, comme il savait si bien le faire, alternait les cadences, ralentissait à certains moments, ce qui lui permettait d’explorer avec sa queue les entrailles de Milan, avant de repartir de plus belle et de pilonner le plus vite et le plus fort qu’il pouvait.
Milan n’avait même plus la force de gémir, il se contentait de garder la bouche ouverte et de soupirer en silence.
Eric, qui s’était remis à bander, se masturbait doucement.
C’était Samir le maître des horloges.

A un moment, pour accentuer sa domination, il prit la tête de Milan, la plongea dans l’eau, avant de la relever aussitôt. Il le refit à deux ou trois reprises, avant de reprendre son mouvement de va-et-vient qui n’en finissait plus.
Il se mit à le chevaucher comme s’il faisait un rodéo.
Milan n’en pouvait plus, et avait envie de demander grâce.
Eric vint le soulager en soutenant sa tête au niveau du menton, afin de lui permettre de souffler un peu et de retrouver son équilibre.
Samir se mit à l’unisson et ralentit ses mouvements.

Milan s’était vite repris car il approcha sa bouche de la bite d’Eric et recommença une fellation.
Plus exactement, il se contentait de garder la bouche ouverte autour de la queue d’Eric, c’est Samir qui, grâce à ses mouvements de va-et-vient dans son cul faisait ainsi bouger son corps, et imprimait les mouvements de succion.
Eric sentait le jeune homme suffoquer, il prit de l’eau de la rivière pour lui arroser le visage, et retira sa queue pour lui permettre de reprendre son souffle.

Samir sentit aussi que c’était le moment de se retirer, ce qu’il fit doucement et avec délicatesse.
Milan apprécia, se retourna dans sa direction, et lui adressa un sourire de reconnaissance.
Pour le moment de plaisir qu’il venait de lui donner. Mais aussi pour le respect.

Eric et Samir se regroupèrent alors debout, devant Milan qui avait pu enfin se relever du rocher un peu rugueux sur lequel il était resté allongé un long moment.
Il s’agenouilla dans la rivière et prit en bouche la bite de Samir, qui venait de lui procurer un vrai moment de bonheur.
Il ferma les yeux et s’appliqua à la sucer avec gourmandise. Samir aussi lui était reconnaissant, car il venait de prendre également un pied phénoménal, et il lui caressa les cheveux et la joue.
Lui aussi ferma les yeux, et s’abandonna aux mouvements de la main de Milan, sur la base, et de sa bouche, sur le gland.

Eric regardait ce spectacle supplémentaire qui s’offrait à lui, et branlait sa bite dressée au maximum.
La jouissance s’annonçait, Samir voulut la provoquer en reprenant sa bite en main et en la sortant de la bouche de Milan qui, du coup, se tourna vers la bite d’Eric, et se mit à la sucer.
Eric et Samir accentuaient leurs mouvements de masturbation, et Milan allait d’une bite à l’autre, en léchant la partie disponible, soit la base et les couilles, soit le gland.

Ce moment pour tous les trois était d’un plaisir et d’une intensité exceptionnels.
Eric et Samir s’étaient encore rapprochés, ils étaient littéralement collés l’un à l’autre, et se mirent à se rouler une pelle des plus sensuelle, sexuelle même, avec leur langue sortant et rentrant dans la bouche de l’autre.
Milan continuait à aller d’une bite à l’autre, puis, à un moment, s’arrêta.
Chacun des deux autres se mit alors à se branler avec le plus de force et de vigueur possible, et empoigna avec la main disponible la tête de Milan, qui était alors au milieu des deux bites.
L’attente ne fut pas longue, car, au même instant, Eric et Samir poussèrent un véritable hurlement qui accompagna leur éjaculation simultanée.

Le visage de Milan en fut inondé, les jets sortirent pendant de longues secondes, durant lesquelles Eric et Samir avaient le corps parcouru de spasmes, qu’ils accompagnaient de cris, dont l’intensité finit par s’amenuiser.
Milan se releva, se mit face aux deux autres, il avait la bite en feu, et se branla afin de libérer le foutre accumulé. Cela ne prit que quelques secondes et il se tourna pour éjaculer dans la rivière, dans laquelle il plongea aussi la tête, pour nettoyer son visage souillé.

Quel pied... quel plan... quel après-midi...
Eric et Samir se rapprochèrent et échangèrent un smack, et une caresse sur les fesses.
Milan leur sourit, se rapprocha aussi et vint les embrasser chacun, mais sur la joue.
Eric et Samir lui sourirent également, mais sans parler, simplement en levant le pouce dans la direction du jeune homme.
Ils avaient bien repris leur souffle, et appréciaient ce moment de quiétude, en pleine nature.
Le vent commençait à se lever, ce qui les rafraîchit aussitôt.
Il était temps d’y aller.

Milan s’éloigna, sortit de la rivière, et revint s’asseoir sur le rocher où il avait laissé son livre. Tous ses vêtements étaient mouillés, mais il les remit comme ça, pas le choix de toute façon.
Eric et Samir, eux, n’avaient que le caleçon mouillé.
Ils purent ainsi le prendre à la main, sortirent de la rivière, et remirent leurs autres vêtements, restés au sec.
Milan s’éloigna, ses vêtements dégoulinant, et emportant son livre. Il leur fit un petit signe de la main, auquel ils répondirent, de la même façon.

Eric et Samir prirent le chemin inverse afin de regagner leur maison près du lac.
Ils n’avaient pas encore échangé un mot, mais il se souriaient et se sentaient bien, un peu vidés, mais surtout heureux et détendus.
Ce fut Samir qui rompit le silence, en faisant allusion à ce que lui avait dit Eric tout à l’heure : “Alors, comme ça, tu m’aimes ? “
“Ben oui...”, fit Eric, avant d’ajouter : “ toi aussi, non ? “.
Samir ne répondit pas mais lui sourit avec son air énigmatique, et le prit par la main.