Presque frère 26 : Un berger - histoire érotique

Presque frères 26



Puis les jours se suivaient. Le travail à fournir pour cette seconde année était bien plus important qu'il ne l'était la première année. Rapidement la chasteté devenait la règle, je veux dire la chasteté totale. Les petits gadgets ne devenaient plus que des soupapes pour éviter de craquer.

Le sport aussi avait cette fonction.

J'étais surpris quand sonnait l'heure des première vacances trimestrielles. Je n'avais pas vu passer les trois premier mois.

On s'est même demandé si on ne nous droguait pas pour faire disparaître notre libido. Et bien non, je le sais maintenant, c'est contraire aux principes de la PK compagnie. Sans doute trop simple.

Les jouets restaient dans leur cachettes et on bossait.

Par contre au moment ou arrivaient les vacances, tout changeaient. En apparence rien ne changeait, mais en apparence seulement. De plus près, tout changeait. Certains retiraient leur cage rapidement avant de partir en vacances. Ceux qui décidaient de garder leur cage pouvaient profiter des vacances proposées par l'école.

Les premières vacances étaient proposées dans un environnement chaud. Même si les étudiants gardaient leurs cage ils restaient libre de suivre ou pas mais pour participer il devaient garder leur cage.

C'était désormais notre choix. On s'était engagé, on a choisi la campagne. On avait envie de changer un peu, on passait toutes nos vacances d'été au bord de la mer.

Là on nous promettait de l'escalade à poil, du parachutisme à poil, du canoë dans les rapides presque à poil. Le temps restait en général très doux à cette période de l'année et on pourrait rester à poil en permanence. Nous ne porterions que notre petit dispositif de chasteté.

Tommy et moi nous imaginions gambadant dans la campagne, entièrement à poil, avec sur le dos juste notre cage à bite et un bob.

Un bob oui, je ne parle pas de notre copain Bob qui sera du voyage, non je parle juste de ces petits chapeau en tissus …Non, Bob, c'est autre chose. Ceci dit il est super mignon Bob, mais je n'ai jamais vu sa queue. Je suppose qu'il est de taille moyenne. C'est vrai que c'est sans importance maintenant. Et peut être même sans importance pour toujours !

Nous partions de l'école, on avait chacun un tout petit bagage, une trousse de toilette, une tenue de sport enfin une seconde tenue sport l'autre on l'aurait sur nous. Notre tenue se limiterait au minimum, un pantalon et une sorte de chemise, on terminera avec des chaussures de détente. Le but étant de jeter dans notre placard tout ce qu'on porterait et d'oublier tout de suite nos vêtements.

On pouvait aussi amener un appareil photo pour se faire des souvenirs.

Le départ se faisait en bus. Il y avait plusieurs destinations et quelques dizaines de bus. Dix pour notre destination, ce qui faisait trois cent étudiants. Comme on pouvait s'y attendre de la part de la PK, le bus était de grand luxe et, bien sûr, climatisé. Il faisait encore chaud.

Quelques heures de bus, quelques heures d'avion puis de nouveau quelques heures de bus. On arrivait à destination, une vallée verdoyante. Il y avait même des moutons. Comme on arrivait peu avant l'heure du repas, on passait à table puis on nous laissait découvrir le propriétaire librement .

Le ciel était extraordinairement clair, à la tombée de la nuit on pouvait encore se déplacer, on n'était pas en prison. Il y avait des étoiles, mais il faisait un peu frais, on était en altitude.

C'est a ce moment qu'on apercevait une petite bâtisse, elle était très basse comme ramassée sur elle-même. Elle faisait penser à un tas de pierre mais non, c'était bien une maison, enfin un abri.

Nous nous sommes approché, les fenêtres étaient vermées, la porte aussi mais on a poussé. Il y avait un habitant.

– J'allais partir, ne vous inquiétez pas je sais que je ne dois pas rester.
– C'est nous qui nous excusons ! Répondais-je.

Il portait des vêtements, nous pas. Et bien il l'a remarqué tout de suite !

– Vous êtes les étudiants en vacances ? Demandait-il
– Et toi le gardien du cite.
– Non, je suis le berger, vous n'avez pas vu les moutons ?

La discussion commençait tout naturellement, il devait éviter d'entrer en contact avec nous, c'était la règle. Mais la société savait que des rencontres se produisaient régulièrement. Mais comme les bergers portaient rarement une cage à bite, la PK Company n'encourageait pas les échanges.

– Alors tu ne portes pas de cage à bite ? Faisais-je remarquer
– On peut voir à quoi ça ressemble une vraie bite. Ça fait tellement longtemps que je n'en ai pas vue que je ne sais même plus à quoi ça ressemble.

Martin, c'était son nom, s'amusait de cette réflexion et sans faire de manière il ouvrait son pantalon. Il avait un très beau corps. Il était bien monté. Il caressait un peu sa queue et rapidement elle prenait un peu plus de volume.

Mon, pote Tommy n'a pas tardé à craqué, il s'est penché sur la bite de Martin et la prenait dans sa bouche.

– Vous aimez bien la bite à l'école PK. Faisait remarquer Martin.
– On en est privé ! Répondais-je.
– C'est pas pour moi ça. Et à cause de ça je n'aurai pas de promotion.

Tommy lui suçait la queue goulûment et je savais par expérience qu'il suçait bien. Je regardait le spectacle, ma queue manifestait dans sa cage, elle poussait contre les barreaux de la cage. Brusquement c'était devenu très désagréable, très frustrant.

Je me tripotais sans y trouver la moindre satisfaction. À l'intérieur de cet abris il faisait sombre, très sombre. On n'entendait plus rien que les gémissements de Martin et les bruits de succion de Tommy.

Je sentais une main sur mon épaule, elle douce, elle me caressais. Je penchais la tête et ce sont les lèvres de Martin que je rencontrait. On s'embrassait, je lui caressait tout le corps et c'est sur la tête de Tommy que je m'arrêtais.

Je retournais le visage vers Martin, il avait une peau douce sur ses joues, il portait une barbe légère qui lui dégageait les joues. Il avait les cheveux cours, son sourire que j'apercevais à peine était magnifique. Il ne cachait pas la joie ou le plaisir que mon pote Tommy lui donnait.

Puis je me suis décidé à intervenir à mon tour, un coup de coude conte l'épaule de mon pote et je prenais sa place, je suçais moi aussi le berger Martin, il avait une très belle queue. C'est vrai qu'il était bien foutu. Il baissait complètement son pantalon et retirait sa veste. Nous étions nus tous les trois à ce moment.

Martin s'allongeait sur ses vêtements et nous Mon pote Tommy et moi nous allongions tout contre lui. Il nous caressait, nous lui rendions ses caresses et nous échangions notre position sur sa queue.

– Encule le ! M'exclamais-je.
– Vous êtes sûr ? Me répondait Martin en bafouillant légèrement !
– Oui vas y ! lui répondait Tommy.

Martin prenait position, nous étions presque dans le noir maintenant mais on se guidait au toucher. Et ce que nous touchions était très doux, j'avais ma main sur les fesse de mon pote Tommy. Je sentait la queue de Martin qui prenait position, je le guidais.

Arrivé en position, il poussait, Tommy hurlait, je lui écartait les fesses et je sentais la grosse queue de Martin qui glissait rapidement et son ventre s'écrasait sur les fesses de Tommy ma main était entre eux, je sentait tout ce qui se passait.

Ensuite Martin s'est retiré avec force, puis il est revenu puis encore et encore il se retirait et revenait. Je sentais Tommy trembler, il frémissait de plaisir, il gémissait aussi. Je le sentais jouir dans mes bras, je n'en étais pas la cause mais je le sentais tout de même.

Cette séquence à duré dans le temps, je manquais de souffle mais mes deux camarades en avaient pour deux. Ils respiraient fort alors que moi j'avais l'impression de ne plus pouvoir respirer.

C'est bien plus tard que Martin à joui, il avait de l'endurance le bougre. Il était bien monté avait un corps parfait et en plus il tenait dans la durée. L'homme idéal. Tommy jutait depuis un moment déjà mais c'est là, à ce moment que j'ai joui aussi, pourtant j'étais celui qui était le moins stimulé. Mais je vous jure que j'ai pris un pieds incroyable, j'ai éjaculé, j'avais le corps de Tommy contre moi, sa peau, son visage, ses lèvres.

Il m'avait fallu tout ce temps pour comprendre, j'étais fou amoureux de Tommy. J'espérais seulement à cet instant qu'il en était de même pour lui. Je ne voulais plus le lâcher. A cet instant j'ai compris que je voulais passer le reste ma vie avec lui.

Pour le moment je n'avais aucune raison de m'éloigner de lui et ce n'était pas dans les projets, nous resterions toujours ensemble, au moins jusqu'à la fin de nos études.

La nuit tombait au moment ou nous arrivions à l'auberge, si j'ose l'appeler ainsi, mais le réfectoire était toujours ouvert et toujours en libre service. On a mangé. On était un peu en retard, mais c'était pas bien grave.

On a traîné un moment autour des installations, jusque tard dans la soirée on a parlé, on s'est remémoré ce que nous vivions depuis quelques années. L'idée de s'inscrire à l'école PK, n'était pas de moi mais j'avais suivi elle était bien de Tommy et il ne pensait pas que j'allais le suivre. Finalement tout se passait bien.

– On s'amuse bien ! Me faisait-il remarquer !

Je pouffais de rire et le regardais l'air amusé.

– Tu as raison, on s'amuse bien … Malgré tout ! Reprenais-je.

On bossait bien aussi, on avait des résultats dans nos études. Au niveau physique aussi, on était magnifique. On n'était pas dans l'équipe des champions, car il y avait aussi des champions dans cette école, mais on était magnifique tout de même. On faisait beaucoup de sport et ces vacances organisées par la PK Scool étaient aussi une excuses pour en faire dans la plus pure idée de se faire plaisir, les compétitions qui s'organisaient ressemblaient avant tout à un jeu, il n'y avait ni médailles ni récompense. Il n'y avait aucune obligations non plus.

Les vacances doivent rester des vacances et l'emploi du temps nous laissait toutes les libertés. On ne s'en privait pas. On faisait de longue promenades dans la nature, la région était presque déserte et on pouvait se promener à poil, ça aussi on ne s'en privait pas.

Les vacances se terminaient rapidement et c'est bien reposés et en pleine forme que nous reprenions la route de l'école, la route vers notre interna.

Le temps passait vite, les mois se suivaient, les saison et je vais sauter quelques jours pour nous emmener au jour de notre diplôme. Tommy, tout comme moi étions décorés de ce diplôme magique qui ouvrait toutes les portes.

Les recruteurs étaient là. Ils étaient invités en nombre, ceux qui ne pouvaient pas être reçus par l'école étaient reçus par la ville, des locaux étaient mis à leur disposition et la ville, toute la ville se transformait pratiquement en une foire à l'emploi.


A suivre


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