Presque frères 20
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Presque frères 20
Presque frères 20
Tommy bandait toujours !
Quand je dis toujours, je ne veux pas dire en permanence, non, mais il bandait le matin, il bandait quelquefois dans la journée, pendant un moment ou un autre dans la journée, il bandait aussi le soir. Et moi, j'avais la haine, par moment j'avais vraiment la haine.
Les deux filles que nous avions rencontrée étaient reparties, Tommy paraissait soulagé de leur départ. Elles savaient nous allumer, autant lui que moi. Elles savaient nous torturer …
On pouvait toucher, on devait toucher même, elles aimaient bien qu'on leur fasse plaisir. Mais Tommy qui pouvait servir, je veux dire par là qu'il avait sa queue libre et pouvait bander, avait envie de servir justement. Il avait envie de se faire une fille. Mais ces deux là disaient ' NON !'.
Moi aussi, elle savait me rendre à moitié fou. Je devais leur donner du plaisir avec ma langue, les caresser quand elle se glissaient contre moi et ma queue à moi était et restait bien confinées au fond d'une cage à bite ultra mini !
Les semaines qui suivaient passaient très vite, nous profitions du soleil de la plage et des filles, enfin un peu moins des filles, elles étaient attirées vers moi, surtout vers moi. Elles avaient bien compri qu'elles ne risquaient rien avec moi et si au départ Tommy trouvait la situation amusante, ça ne durait pas.
En effet au départ il pouvait bander, il aurait pu s'amuser avec les filles, mais voilà. Les filles que nous rencontrions avaient surtout envie de s'amuser gentiment, c'est à dire pas avec sa quéquette. La mienne était bien rangée, et les amusait beaucoup. Moi je m'y habituais.
La cage était tellement bien étudiée qu'elle ne provoquait aucune douleur, c'était déjà bien. Avec le temps et là ça commençait à en faire beaucoup, c'était même confortable.
Je pense que c'est à ce moment que je décidais de la garder jusqu'à la fin de mes études, jusqu'à mon diplôme. Mais ça je ne l'ai pas dit à Tommy. Je savais que ce farceur tenterait de me piéger en me donnant à signer des documents déjà remplis par ses soins. Il savait que je ne les lirais pas, je trouverais là une bonne raison de râler.
Presque tous les jours nous nous rendions à la plage. Si au début on était un peu timide et qu'on n'osait pas se balader à poil sur la plage, à cause de la cage. On a fini par ne plus faire attention à ce petit détail.
En théorie les porteurs de cage sont considérés comme parfaitement présentable, ils sont dispensés de porter un maillot de bain mais cette coutume n'est pas encore arrivé jusqu'ici. Sur les plages textiles les hommes portaient tous un maillot de bain.
On avait fini par trouver une plage naturiste, là c'était un peu différent. Personne ne portait de maillot de bain et en effet certains portaient une cage à bite, tout comme moi.
C'était désormais cette plage que nous fréquentions. J'aimais bien pouvoir me montrer dans toute ma splendeur et je faisais mon fier devant mon camarade qui lui exhibait juste sa nudité la plus totale.
Il était beau, très beau et je connaissais ses difficultés pour rester présentable, une érection aurait été totalement déplacée …
Les vacances avançaient lentement. Nous arrivions à la fin de la deuxième semaine. C'est ce matin là que je recevais un message, mon cousin Willy passerait le reste des vacances avec nous.
Je ne vous cacherais pas qu'on était un peu embêté. Mais comme j'expliquais à Tommy, tout le monde savait pour ma cage et tout le monde savais que lui n'en portait pas. Mais il me rétorquait.
– Tout le monde ne sait pas qu'on dort ensemble !
Sur ce dernier point il avait raison. Ça présence deviendrait rapidement embarrassant pour nous. On devait aller le chercher à la gare. Je vous jure que c'est sans aucun enthousiasme qu'on s'y rendait.
C'était mon cousin mais il avait vécu pendant quelques années sur un autre continent, ça faisait donc longtemps que je ne l'avais pas vu. Il était un peu plus jeune que nous, mais assez âgé pour que sexuellement il puisse porter une cage PK. Donc actif sexuellement.
Il y avait un monde fou qui descendait du train, c'est Tommy qui l'a vu en premier, oui je sais il ne le connaissait pas mais il me ressemblait tellement qu'il ne pouvait pas y avoir d'erreur.
Il me sautait au cou !
– Salut cousin, tu me reconnais au moins ? Ne me dis pas que tu ne m'as pas reconnu. Moi je t'ai reconnu tout de suite. C'est ton pote Tommy, c'est avec lui que tu vas à la PK School ? ça a l'air sympa ce coin, il paraît qu'il y a des plages, et des plages naturistes en plus. Il y a des gonzesses dis. Sinon la maison est pas trop loin j'espère …
Ça faisait quelques années que je n'avais pas vu mon cousin Willy et je me souvenais que … Il parlait, il parlait, il parlait toujours … Et quelquefois pour dire des conneries ! Pardon je voulais dire … Quelquefois pour dire autre chose que des conneries !
On prenait la route vers la maison, à pied ça ne représentait que trois quart d'heure, pas plus … Mais …
– C'est pas trop loin au moins, et il n'y a pas de bus pour aller plus vite …
…
– Mais on est à la campagne, moi je croyais qu'on serait au bord de la mer, mais en fait on est à la campagne.
…
– Il y a internet au moins, papa m'a dit qu'il n'y avait pas le téléphone. La maison n'est occupée que deux mois par an.
…
– Dis moi cousin, on peut avoir l'internet sans avoir le téléphone …
Et ça a duré comme ça jusqu'à la maison. Puis …
– HIIIIIIII ! J'adore ! C'est terriblement pittoresque. ( S'écriait-il en voyant la maison )
Tommy et moi avons sursauté, c'est qu'il a de la voix le petit cousin. Il entrait comme une furie, faisait le tour de la propriété en quelques secondes, s'attardait longuement sur le jardin privatif derrière la maison ( pas loin de cinq secondes ) et revenait à son point de départ.
– Je sens qu'il va être fatiguant ! Me faisait remarquer Tommy.
– En tout cas il ne manque pas d'énergie.
Le temps de lui montrer notre piaule, on avait prévu de le loger avec nous, et on avait pris soin de rajouter un troisième lit.
– Bon je vais prendre une douche, la salle de bain, c'est par là … Oui c'est vrai que j'aime bien quand il y a une baignoire, ha, c'est une douche mais bon on va faire avec. C'est pas comme si on avait le choix, et puis la douche c'est plus rapide et …
On tentait de l'oublier dans la salle de bain mais là encore, il parlait, il parlait …
Tommy passait dans la salle de bain pour voir si tout se passait bien et aussitôt j'entendais la voix de Willy.
Tommy ressortait rapidement, comme saouler par mon cousin.
– Tu ne l'as pas vu sous la douche. Mais ton cousin Paco et aussi bien foutu que toi. Vous vous ressemblez vraiment.
– Il en a une grosse aussi.
– Tout comme toi. Je dirais, même taille.
Willy sortait enfin de la salle de bain.
– Vous savez les cousins, ça ne te dérange pas si je t'appelle cousin toi aussi Tommy, non tant mieux c'est plus simple pour tout le monde ...
Tommy répondait par un grand soupir.
Willy avait sa serviette autour de lui, et il se déplaçait ( il ne faisait pas que parler, il bougeait tout le temps aussi )
– Alors comme ça vous portez une cage à bite ? Dites c'est pas trop dur à supporter, ça fait pas mal, et comment vous faites alors ? …
– … Et c'est vous qui l'avez payée, c'est cher ce genre de truc ? …
– Mais vous la portez toujours, pendant les cours je veux bien mais là on est en vacances … Pendant les vacances aussi, ça c'est pas cool …
Tommy et moi nous regardions, il poussait là encore un long soupir. Il faisait le geste d'ouvrir sa ceinture en me regardant avec un œil interrogatif, je faisais oui et c'est ensemble qu'on a ouvert et baissé notre pantalon.
Je ne portais pas de sous vêtements, Tommy si mais vous savez qu'on peut le retirer rapidement. Nous laissions nos pantalons glisser sur nos chevilles et on le regardait d'un air qui se voulait détendu.
– Ah …
On avait réussi à le faire taire, il ne disait plus rien. Je me souviens m'être dit … ' Pourvu que ça dure '. Sa serviette se relevait, il bandait et en effet il en avait une belle, ça devait être de famille.
De plus à son âge, je ne vous dis pas mais ça marche bien. J'étais comme lui quelques années plus tôt, oh, pas beaucoup nous n'avions pas pas beaucoup d'écart d'âge, trois ans tout au plus.
Sa serviette tombait sur le sol.
Sa queue se relevait avec force et se collait à son ventre. Il bandait ferme, c'était Tommy qui restait totalement présentable avec une grosse queue qui pendouillait lourdement qui le faisait bander ou c'était moi avec ma cage qui dissimulait parfaitement ma bite, tout en laissait apparaître deux belles couilles.
Celle de mon cousin aussi étaient très belles, il était super bien foutu, pas uniquement bien monté. Rien ne se voyais mais moi je bandais au moins autant que lui mais là rien ne se voyait.
–Bon, maintenant qu'on a fait les présentations. Reprenait Tommy. Si on mangeait, après on pourrait allez directement à la plage.
– Et tu veux venir à la plage dans cet état ? Demandais-je à Willy.
– Heu … C'est pas ça mais c'est que … Oui mais enfin non … Mais voilà . Les mecs … Je ne contrôle plus rien en fait.
– Ça va se compliquer cette affaire … Faisait remarquer Tommy.
– Et il y aura des gonzesses à poil ? Demandait Willy. Oui parce que non, enfin si jamais il y a des gonzesses à poil ça va pas simplifier les choses … Et puis … Enfin bref …
J'avais arrêté de suivre et je fouillait déjà dans le réfrigérateur pour voir ce qu'on allait manger. Je préparais tout sur la table quand mon cousin me tombait sur les épaules .
– Cousin on ne peut pas aller à la plage, enfin moi je ne peux pas aller à la plage dans cet état, et c'est de ta faute en plus …
– Oui je savais bien que j'étais trop sexy ! Répondais-je après avoir sursauté.
Tommy rigolait dans son coin. Il commençait à bander lui aussi.
– Non mais tu te rends pas compte cousin, dans mon état. Comment tu veux que je fasse. Là je ne contrôle plus rien … Et si en plus il y a des gonzesses a poil …
Je me retournais alors vers lui.
– Oui enfin c'est vrai, vous êtes maintenant deux à ne plus être présentable. Il va falloir faire quelque chose …
– Oui mais quoi ? Me demandait mon cousin sur un ton très triste et des yeux qui faisaient pitié.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Tommy bandait toujours !
Quand je dis toujours, je ne veux pas dire en permanence, non, mais il bandait le matin, il bandait quelquefois dans la journée, pendant un moment ou un autre dans la journée, il bandait aussi le soir. Et moi, j'avais la haine, par moment j'avais vraiment la haine.
Les deux filles que nous avions rencontrée étaient reparties, Tommy paraissait soulagé de leur départ. Elles savaient nous allumer, autant lui que moi. Elles savaient nous torturer …
On pouvait toucher, on devait toucher même, elles aimaient bien qu'on leur fasse plaisir. Mais Tommy qui pouvait servir, je veux dire par là qu'il avait sa queue libre et pouvait bander, avait envie de servir justement. Il avait envie de se faire une fille. Mais ces deux là disaient ' NON !'.
Moi aussi, elle savait me rendre à moitié fou. Je devais leur donner du plaisir avec ma langue, les caresser quand elle se glissaient contre moi et ma queue à moi était et restait bien confinées au fond d'une cage à bite ultra mini !
Les semaines qui suivaient passaient très vite, nous profitions du soleil de la plage et des filles, enfin un peu moins des filles, elles étaient attirées vers moi, surtout vers moi. Elles avaient bien compri qu'elles ne risquaient rien avec moi et si au départ Tommy trouvait la situation amusante, ça ne durait pas.
En effet au départ il pouvait bander, il aurait pu s'amuser avec les filles, mais voilà. Les filles que nous rencontrions avaient surtout envie de s'amuser gentiment, c'est à dire pas avec sa quéquette. La mienne était bien rangée, et les amusait beaucoup. Moi je m'y habituais.
La cage était tellement bien étudiée qu'elle ne provoquait aucune douleur, c'était déjà bien. Avec le temps et là ça commençait à en faire beaucoup, c'était même confortable.
Je pense que c'est à ce moment que je décidais de la garder jusqu'à la fin de mes études, jusqu'à mon diplôme. Mais ça je ne l'ai pas dit à Tommy. Je savais que ce farceur tenterait de me piéger en me donnant à signer des documents déjà remplis par ses soins. Il savait que je ne les lirais pas, je trouverais là une bonne raison de râler.
Presque tous les jours nous nous rendions à la plage. Si au début on était un peu timide et qu'on n'osait pas se balader à poil sur la plage, à cause de la cage. On a fini par ne plus faire attention à ce petit détail.
En théorie les porteurs de cage sont considérés comme parfaitement présentable, ils sont dispensés de porter un maillot de bain mais cette coutume n'est pas encore arrivé jusqu'ici. Sur les plages textiles les hommes portaient tous un maillot de bain.
On avait fini par trouver une plage naturiste, là c'était un peu différent. Personne ne portait de maillot de bain et en effet certains portaient une cage à bite, tout comme moi.
C'était désormais cette plage que nous fréquentions. J'aimais bien pouvoir me montrer dans toute ma splendeur et je faisais mon fier devant mon camarade qui lui exhibait juste sa nudité la plus totale.
Il était beau, très beau et je connaissais ses difficultés pour rester présentable, une érection aurait été totalement déplacée …
Les vacances avançaient lentement. Nous arrivions à la fin de la deuxième semaine. C'est ce matin là que je recevais un message, mon cousin Willy passerait le reste des vacances avec nous.
Je ne vous cacherais pas qu'on était un peu embêté. Mais comme j'expliquais à Tommy, tout le monde savait pour ma cage et tout le monde savais que lui n'en portait pas. Mais il me rétorquait.
– Tout le monde ne sait pas qu'on dort ensemble !
Sur ce dernier point il avait raison. Ça présence deviendrait rapidement embarrassant pour nous. On devait aller le chercher à la gare. Je vous jure que c'est sans aucun enthousiasme qu'on s'y rendait.
C'était mon cousin mais il avait vécu pendant quelques années sur un autre continent, ça faisait donc longtemps que je ne l'avais pas vu. Il était un peu plus jeune que nous, mais assez âgé pour que sexuellement il puisse porter une cage PK. Donc actif sexuellement.
Il y avait un monde fou qui descendait du train, c'est Tommy qui l'a vu en premier, oui je sais il ne le connaissait pas mais il me ressemblait tellement qu'il ne pouvait pas y avoir d'erreur.
Il me sautait au cou !
– Salut cousin, tu me reconnais au moins ? Ne me dis pas que tu ne m'as pas reconnu. Moi je t'ai reconnu tout de suite. C'est ton pote Tommy, c'est avec lui que tu vas à la PK School ? ça a l'air sympa ce coin, il paraît qu'il y a des plages, et des plages naturistes en plus. Il y a des gonzesses dis. Sinon la maison est pas trop loin j'espère …
Ça faisait quelques années que je n'avais pas vu mon cousin Willy et je me souvenais que … Il parlait, il parlait, il parlait toujours … Et quelquefois pour dire des conneries ! Pardon je voulais dire … Quelquefois pour dire autre chose que des conneries !
On prenait la route vers la maison, à pied ça ne représentait que trois quart d'heure, pas plus … Mais …
– C'est pas trop loin au moins, et il n'y a pas de bus pour aller plus vite …
…
– Mais on est à la campagne, moi je croyais qu'on serait au bord de la mer, mais en fait on est à la campagne.
…
– Il y a internet au moins, papa m'a dit qu'il n'y avait pas le téléphone. La maison n'est occupée que deux mois par an.
…
– Dis moi cousin, on peut avoir l'internet sans avoir le téléphone …
Et ça a duré comme ça jusqu'à la maison. Puis …
– HIIIIIIII ! J'adore ! C'est terriblement pittoresque. ( S'écriait-il en voyant la maison )
Tommy et moi avons sursauté, c'est qu'il a de la voix le petit cousin. Il entrait comme une furie, faisait le tour de la propriété en quelques secondes, s'attardait longuement sur le jardin privatif derrière la maison ( pas loin de cinq secondes ) et revenait à son point de départ.
– Je sens qu'il va être fatiguant ! Me faisait remarquer Tommy.
– En tout cas il ne manque pas d'énergie.
Le temps de lui montrer notre piaule, on avait prévu de le loger avec nous, et on avait pris soin de rajouter un troisième lit.
– Bon je vais prendre une douche, la salle de bain, c'est par là … Oui c'est vrai que j'aime bien quand il y a une baignoire, ha, c'est une douche mais bon on va faire avec. C'est pas comme si on avait le choix, et puis la douche c'est plus rapide et …
On tentait de l'oublier dans la salle de bain mais là encore, il parlait, il parlait …
Tommy passait dans la salle de bain pour voir si tout se passait bien et aussitôt j'entendais la voix de Willy.
Tommy ressortait rapidement, comme saouler par mon cousin.
– Tu ne l'as pas vu sous la douche. Mais ton cousin Paco et aussi bien foutu que toi. Vous vous ressemblez vraiment.
– Il en a une grosse aussi.
– Tout comme toi. Je dirais, même taille.
Willy sortait enfin de la salle de bain.
– Vous savez les cousins, ça ne te dérange pas si je t'appelle cousin toi aussi Tommy, non tant mieux c'est plus simple pour tout le monde ...
Tommy répondait par un grand soupir.
Willy avait sa serviette autour de lui, et il se déplaçait ( il ne faisait pas que parler, il bougeait tout le temps aussi )
– Alors comme ça vous portez une cage à bite ? Dites c'est pas trop dur à supporter, ça fait pas mal, et comment vous faites alors ? …
– … Et c'est vous qui l'avez payée, c'est cher ce genre de truc ? …
– Mais vous la portez toujours, pendant les cours je veux bien mais là on est en vacances … Pendant les vacances aussi, ça c'est pas cool …
Tommy et moi nous regardions, il poussait là encore un long soupir. Il faisait le geste d'ouvrir sa ceinture en me regardant avec un œil interrogatif, je faisais oui et c'est ensemble qu'on a ouvert et baissé notre pantalon.
Je ne portais pas de sous vêtements, Tommy si mais vous savez qu'on peut le retirer rapidement. Nous laissions nos pantalons glisser sur nos chevilles et on le regardait d'un air qui se voulait détendu.
– Ah …
On avait réussi à le faire taire, il ne disait plus rien. Je me souviens m'être dit … ' Pourvu que ça dure '. Sa serviette se relevait, il bandait et en effet il en avait une belle, ça devait être de famille.
De plus à son âge, je ne vous dis pas mais ça marche bien. J'étais comme lui quelques années plus tôt, oh, pas beaucoup nous n'avions pas pas beaucoup d'écart d'âge, trois ans tout au plus.
Sa serviette tombait sur le sol.
Sa queue se relevait avec force et se collait à son ventre. Il bandait ferme, c'était Tommy qui restait totalement présentable avec une grosse queue qui pendouillait lourdement qui le faisait bander ou c'était moi avec ma cage qui dissimulait parfaitement ma bite, tout en laissait apparaître deux belles couilles.
Celle de mon cousin aussi étaient très belles, il était super bien foutu, pas uniquement bien monté. Rien ne se voyais mais moi je bandais au moins autant que lui mais là rien ne se voyait.
–Bon, maintenant qu'on a fait les présentations. Reprenait Tommy. Si on mangeait, après on pourrait allez directement à la plage.
– Et tu veux venir à la plage dans cet état ? Demandais-je à Willy.
– Heu … C'est pas ça mais c'est que … Oui mais enfin non … Mais voilà . Les mecs … Je ne contrôle plus rien en fait.
– Ça va se compliquer cette affaire … Faisait remarquer Tommy.
– Et il y aura des gonzesses à poil ? Demandait Willy. Oui parce que non, enfin si jamais il y a des gonzesses à poil ça va pas simplifier les choses … Et puis … Enfin bref …
J'avais arrêté de suivre et je fouillait déjà dans le réfrigérateur pour voir ce qu'on allait manger. Je préparais tout sur la table quand mon cousin me tombait sur les épaules .
– Cousin on ne peut pas aller à la plage, enfin moi je ne peux pas aller à la plage dans cet état, et c'est de ta faute en plus …
– Oui je savais bien que j'étais trop sexy ! Répondais-je après avoir sursauté.
Tommy rigolait dans son coin. Il commençait à bander lui aussi.
– Non mais tu te rends pas compte cousin, dans mon état. Comment tu veux que je fasse. Là je ne contrôle plus rien … Et si en plus il y a des gonzesses a poil …
Je me retournais alors vers lui.
– Oui enfin c'est vrai, vous êtes maintenant deux à ne plus être présentable. Il va falloir faire quelque chose …
– Oui mais quoi ? Me demandait mon cousin sur un ton très triste et des yeux qui faisaient pitié.
A suivre
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