Presque frères 25

Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Presque frères 25
Presque frères 25
Les jours se suivaient et se ressemblaient. Nous arrivions au deuxième mois des grandes vacances et justement elles duraient deux moi on en était à la moitié.
Tout se passait calmement, Willy avait changé de petit copain et souvent on se retrouvait donc à quatre. Le groupe que nous formions gardait une bonne ambiance et comme en plus seulement deux d'entre nous avait la queue dans une cage, les filles se montraient méfiantes.
Mais c'était pas bien grave, on était bien quatre mais on était aussi deux couples.
On voyait beaucoup de monde, des filles passaient souvent pour jouer avec nous. Willy changeait souvent de petit copain. Il nous disait qu'il expérimentait quelque chose de nouveau dans sa vie. Quelque chose de nouveau mais certainement pas de définitif …
C'est trop rapidement et très lentement en même temps que ces grandes vacances prenaient fin. Nos parents ne sont finalement pas venus en Août, ça ne nous dérangeait pas vraiment, on était tranquille et on pouvait recevoir tous les gens qu'on avait envie de voir.
Le dernier jour arrivait, on rangeait la maison. Willy venait me voir, il avait l'air inquiet.
– Dis moi cousin Paco ! Ça va se passer comment pour ma cage ? J'ai toujours pas reçu la clé moi …
– C'est ennuyeux ça ! Lui répondais-je, tu va peut être obligé de la garder tous l'hiver.
– MAIS TU ES FOU !
Les yeux lui ressortaient de la tête, ma petite plaisanterie ne le faisait pas rire. Je pouffais de rire. Je fouillais alors dans ma poche et en sortait une enveloppe rigide qui portait le petit logo de la PK.
– Je l'ai reçue il y a deux jours, je voulait te faire une surprise ou te taquiner. J'avais pas encore décidé.
Il retrouvait le sourire, m'arrachait la lettre des mains et disparaissait dans la salle de bain. Il en ressortait un moment plus tard.
– Tiens cousin Tommy, je te rends ta cage, je ne remettrai jamais un truc pareil mais l'expérience restera intéressante. Mais je vous jure de ne plus jamais …
– Tu es prêt à … tentais-je de dire .
– Parce que je ne vous dis pas c'est pas humain ça, c'est pas pour moi ça. Mais c'est quoi ces idées. Je viens de me branler et là ça va mieux bien mieux …
– On peut y aller ? Tentait de dire Tommy.
– Ah moi je pensais pas que ça se passerait pas comme ça …
Et c'était parti, il parlait, il parlait, il parlait. Il n'avait pas changé, il parlait toujours autant que le jour de son arrivé. Je lui installait son sac à dos sur ses épaules, serrait les sangle, il me laissait faire !
Et tu fais quoi la cousin Paco ?
Je te mets ton sac à dos, si on attend que tu ais fini de parler on va louper le train de demain.
C'est gentil ça cousin Paco. Mais j'ai rien contre vous mais ce truc là, c'est l'horreur et je …
Et il continuait. Remarquez, ni Tommy ni moi n'y faisions attention, après plus d'un mois et demi passé avec ce guignol, on était habitué. Je passais dans son dos et le poussait pour le faire avancer …
– Mais tu fais quoi là, cousin Paco ?
– Je te fais avancer sinon, on y sera encore la semaine prochaine.
– Ah OK !
Ensuite il avançait tout seul, Tommy nous suivait, il passait en dernier et s'assurait que tout était fermé. On arrivait largement dans les temps, un petit train de campagne attendait, il semblait nous attendre.C'était bien notre train, on s'installait. On était seul.
– Dis moi, cousin Paco, j'ai un problème !
– NON, TU NE VAS PAS TE BRANLER ICI ! Lui gueulait Tommy.
– Mais pour qui tu me prends cousin Tommy ? Je sais me tenir. C'est vrai que maintenant que tu en parles. Deux fois tout à l'heure c'était un peu court.
On le regardait avec de grands yeux, puis il continuait.
– Bon on n'en est pas là, simplement je bande !
Il soulevait alors sa chemise et on pouvait voir sa grosse saucisse qui ne s'était pas manifestée depuis un mois et demi.
–Ça ne se voit pas trop là , les cousins ?
– Si tu baisses ta chemise, ça devrait aller ! Lui répondait Tommy, moi je rigolais.
Ensuite quand le train est parti, comme on était seul dans la voiture, on à eu droit à … Vous ne trouvez pas qu'elle est plus grosse ? J'étais déjà bien doté ! Il ne faudrait pas qu'elle grossisse encore plus. Ça prendrait trop de place … Il parlait, il parlait, il parlait … Tommy et moi avons fini par nous endormir.
Deux heures plus tard on avait notre correspondance, Willy prenait son train, nous le notre. La dernière chose que j'ai entendu c'était la voix de Willy qui résonnait et nous racontait le voyage qu'il allait faire.
– J'adore ton cousin ! Me disait Tommy.
– Il est mignon …
– Oui mais il est fatiguant !
– C'est vrai.
On devait reprendre la fac le surlendemain. Tommy avait prévu de passer ces deux jours chez moi, c'était plus simple pour lui. Le jour prévu on se présentait à l'école, on passait à l'admission. C'est là qu'on constatait que nous avions bien remis notre cage.
Je me chargeais des documents d'admission et c'est là que l'idée de lui faire une farce me prenait. Je remplissais sa fiche et je validais le port de la cage pendant toute l'année, vacances comprises. Il ne pensais pas que j'oserais lui faire la plaisanterie qu'il me faisait depuis le début de l'année.
Et bien si, j'ai osé !
Tommy était un peu distrait après le contrôle, je lui tendais le document il a fait comme moi, il l'a signé sans le lire.
Je vous ferai remarquer que moi, au moins, j'étais plus sérieux que lui, je lui faisais une plaisanterie mais moi je m'engageais aussi pour l'année à venir.
C'est ainsi que je commençais ma seconde année. Un an plus tôt il n'était pas question pour moi de porter ce genre de truc et là, je décidais de le porter pour l'année à venir, non stop. On avait récupéré nos objets personnels, les gode par exemple, ils nous avaient attendu dans un vestiaire pendant les vacances …
Aussi on décidait d'inaugurer cette nouvelle année qui commençait.
On s'enfilait un gros plug dans le cul et tranquillement on discutait avant d'aller se coucher.
Ça vous dilate bien l'anus ce genre de truc. Le moindre de nos mouvements nous masse alors l'anus. Au début c'est doucement agréable, puis ça peut devenir bien plus intense. Puis ça devient un truc de dingue. On n'arrive plus à rester en place, on a l'impression que bouger va nous soulager mais c'est le contraire qui se passe, plus on bouge plus c'est intense et plus c'est intense plus on a envie de bouger.
On était allongé sur le dos, on se tortillait un peu. Chacun avait son plug dans le cul. Tommy me regardait, je voyais son sourire, il me regardait, puis, sans prévenir il se levait et se glissait sous mes draps. On était nu, on dort toujours nu.
Son corps glissait sur le mien, il me caressait, je le recevais dans mes bras, je luis caressais le dos, je lui caressais les fesses, je faisait un pause au niveau de son cul. Et sans prévenir agitais frénétiquement son plug.
J'appuyais avec force, relâchais, puis je l'agitais. Je le sentais se contracter, je sentais sa respiration dans mon oreille, il poussait également quelques gémissements, il parvenait à glisser sa main sur mon cul et agitait à son tour mon plug qui dépassait.
Je me suis saisi, tous mes muscles se sont raidi, moi aussi alors je respirais fort, moi aussi je gémissais. On roulait l'un sur l'autre, il appuyait plus fort, j'en faisais autant. On roulait encore, on ne retrouvait plus ni les draps ni la couverture.
On finissait par se retrouver en tête à queue, avec la paume de la main on appuyait sur le plug de l'autre, on appuyait avec un mouvement circulaire, et on léchait les couilles de l'autre. Nos bites étaient inaccessible mais pas nos couilles. On les léchait avec conviction, on les gobait, je sais c'est flippant mais on laissait faire l'autre dans la plus grande confiance.
Je ne sais même pas si à ce moment c'était lui ou moi qui tremblait le plus. Je manquais d'air, je respirais fort, il convulsait.
Il semblait ne plus rien contrôler et me donnais des coups de bassin comme s'il me baisait le cul. Ses couilles venaient s'écraser sur ma joue. On ne pouvait pas faire plus intime puis je m'allongeais sur lui, j'allais lui gober les couilles quand il a juté, plusieurs jets de spermes on passa au travers des barreaux de la cage, le reste coulait.
J'ai alors pris sa cage dans la bouche et j'ai sucé et j'ai avalé.
Le plaisir montait en moi également, il a du le sentir, il a commencé à me sucer la cage, en même temps il me massait les couilles, oh il sait ce qui me fait réagir. Sa langue parvenait à passer entre les barreaux de ma cage et à me faire frémir et la compression sur mes couilles me donnaient envie de crier de plaisir, puis le plaisir est venu.
Comme une explosion de plaisir, j'ai juté, il y avait sa bouche pour ne rien perdre, et j'ai juté, j'ai joui. J'avais l'impression de n'avoir pas éprouvé un tel plaisir depuis des mois.
C'était sans doute le cas en fait.
Puis on s'est comme effondré, je retombait légèrement sur le coté, il continuait à sucer ma cage, j'en faisais autant et on est resté là sans rien bouger sinon nos lèvres.
On est resté là pendant un long moment. Il faisait nuit quand on s'est relevé, nous nous sommes rendu à la douche. Les douches sont ouvertes toute la nuit.
Le plus dur était de retirer le plug.
Vous savez quand on se le rentre on est excité, sexuellement excité et on peut prendre un vrai plaisir à forcer sur le plug pour qu'il entre, on prend du plaisir à sentir son anus s'ouvrir, se dilater jusqu'à la limite de la douleur mais quand toute la tension est retombée.
Et bien le plug il faut le retirer … Et ça c'est une autre histoire …
Il faut plus de temps, plus d'efforts, ou alors ce ne sont plus les même efforts. C'est donc un peu sonné qu'on revenait de la douche, le plug bien nettoyé dans la serviette, le cul tout propre également. Là on savait qu'on allait bien dormir.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire.
Les jours se suivaient et se ressemblaient. Nous arrivions au deuxième mois des grandes vacances et justement elles duraient deux moi on en était à la moitié.
Tout se passait calmement, Willy avait changé de petit copain et souvent on se retrouvait donc à quatre. Le groupe que nous formions gardait une bonne ambiance et comme en plus seulement deux d'entre nous avait la queue dans une cage, les filles se montraient méfiantes.
Mais c'était pas bien grave, on était bien quatre mais on était aussi deux couples.
On voyait beaucoup de monde, des filles passaient souvent pour jouer avec nous. Willy changeait souvent de petit copain. Il nous disait qu'il expérimentait quelque chose de nouveau dans sa vie. Quelque chose de nouveau mais certainement pas de définitif …
C'est trop rapidement et très lentement en même temps que ces grandes vacances prenaient fin. Nos parents ne sont finalement pas venus en Août, ça ne nous dérangeait pas vraiment, on était tranquille et on pouvait recevoir tous les gens qu'on avait envie de voir.
Le dernier jour arrivait, on rangeait la maison. Willy venait me voir, il avait l'air inquiet.
– Dis moi cousin Paco ! Ça va se passer comment pour ma cage ? J'ai toujours pas reçu la clé moi …
– C'est ennuyeux ça ! Lui répondais-je, tu va peut être obligé de la garder tous l'hiver.
– MAIS TU ES FOU !
Les yeux lui ressortaient de la tête, ma petite plaisanterie ne le faisait pas rire. Je pouffais de rire. Je fouillais alors dans ma poche et en sortait une enveloppe rigide qui portait le petit logo de la PK.
– Je l'ai reçue il y a deux jours, je voulait te faire une surprise ou te taquiner. J'avais pas encore décidé.
Il retrouvait le sourire, m'arrachait la lettre des mains et disparaissait dans la salle de bain. Il en ressortait un moment plus tard.
– Tiens cousin Tommy, je te rends ta cage, je ne remettrai jamais un truc pareil mais l'expérience restera intéressante. Mais je vous jure de ne plus jamais …
– Tu es prêt à … tentais-je de dire .
– Parce que je ne vous dis pas c'est pas humain ça, c'est pas pour moi ça. Mais c'est quoi ces idées. Je viens de me branler et là ça va mieux bien mieux …
– On peut y aller ? Tentait de dire Tommy.
– Ah moi je pensais pas que ça se passerait pas comme ça …
Et c'était parti, il parlait, il parlait, il parlait. Il n'avait pas changé, il parlait toujours autant que le jour de son arrivé. Je lui installait son sac à dos sur ses épaules, serrait les sangle, il me laissait faire !
Et tu fais quoi la cousin Paco ?
Je te mets ton sac à dos, si on attend que tu ais fini de parler on va louper le train de demain.
C'est gentil ça cousin Paco. Mais j'ai rien contre vous mais ce truc là, c'est l'horreur et je …
Et il continuait. Remarquez, ni Tommy ni moi n'y faisions attention, après plus d'un mois et demi passé avec ce guignol, on était habitué. Je passais dans son dos et le poussait pour le faire avancer …
– Mais tu fais quoi là, cousin Paco ?
– Je te fais avancer sinon, on y sera encore la semaine prochaine.
– Ah OK !
Ensuite il avançait tout seul, Tommy nous suivait, il passait en dernier et s'assurait que tout était fermé. On arrivait largement dans les temps, un petit train de campagne attendait, il semblait nous attendre.C'était bien notre train, on s'installait. On était seul.
– Dis moi, cousin Paco, j'ai un problème !
– NON, TU NE VAS PAS TE BRANLER ICI ! Lui gueulait Tommy.
– Mais pour qui tu me prends cousin Tommy ? Je sais me tenir. C'est vrai que maintenant que tu en parles. Deux fois tout à l'heure c'était un peu court.
On le regardait avec de grands yeux, puis il continuait.
– Bon on n'en est pas là, simplement je bande !
Il soulevait alors sa chemise et on pouvait voir sa grosse saucisse qui ne s'était pas manifestée depuis un mois et demi.
–Ça ne se voit pas trop là , les cousins ?
– Si tu baisses ta chemise, ça devrait aller ! Lui répondait Tommy, moi je rigolais.
Ensuite quand le train est parti, comme on était seul dans la voiture, on à eu droit à … Vous ne trouvez pas qu'elle est plus grosse ? J'étais déjà bien doté ! Il ne faudrait pas qu'elle grossisse encore plus. Ça prendrait trop de place … Il parlait, il parlait, il parlait … Tommy et moi avons fini par nous endormir.
Deux heures plus tard on avait notre correspondance, Willy prenait son train, nous le notre. La dernière chose que j'ai entendu c'était la voix de Willy qui résonnait et nous racontait le voyage qu'il allait faire.
– J'adore ton cousin ! Me disait Tommy.
– Il est mignon …
– Oui mais il est fatiguant !
– C'est vrai.
On devait reprendre la fac le surlendemain. Tommy avait prévu de passer ces deux jours chez moi, c'était plus simple pour lui. Le jour prévu on se présentait à l'école, on passait à l'admission. C'est là qu'on constatait que nous avions bien remis notre cage.
Je me chargeais des documents d'admission et c'est là que l'idée de lui faire une farce me prenait. Je remplissais sa fiche et je validais le port de la cage pendant toute l'année, vacances comprises. Il ne pensais pas que j'oserais lui faire la plaisanterie qu'il me faisait depuis le début de l'année.
Et bien si, j'ai osé !
Tommy était un peu distrait après le contrôle, je lui tendais le document il a fait comme moi, il l'a signé sans le lire.
Je vous ferai remarquer que moi, au moins, j'étais plus sérieux que lui, je lui faisais une plaisanterie mais moi je m'engageais aussi pour l'année à venir.
C'est ainsi que je commençais ma seconde année. Un an plus tôt il n'était pas question pour moi de porter ce genre de truc et là, je décidais de le porter pour l'année à venir, non stop. On avait récupéré nos objets personnels, les gode par exemple, ils nous avaient attendu dans un vestiaire pendant les vacances …
Aussi on décidait d'inaugurer cette nouvelle année qui commençait.
On s'enfilait un gros plug dans le cul et tranquillement on discutait avant d'aller se coucher.
Ça vous dilate bien l'anus ce genre de truc. Le moindre de nos mouvements nous masse alors l'anus. Au début c'est doucement agréable, puis ça peut devenir bien plus intense. Puis ça devient un truc de dingue. On n'arrive plus à rester en place, on a l'impression que bouger va nous soulager mais c'est le contraire qui se passe, plus on bouge plus c'est intense et plus c'est intense plus on a envie de bouger.
On était allongé sur le dos, on se tortillait un peu. Chacun avait son plug dans le cul. Tommy me regardait, je voyais son sourire, il me regardait, puis, sans prévenir il se levait et se glissait sous mes draps. On était nu, on dort toujours nu.
Son corps glissait sur le mien, il me caressait, je le recevais dans mes bras, je luis caressais le dos, je lui caressais les fesses, je faisait un pause au niveau de son cul. Et sans prévenir agitais frénétiquement son plug.
J'appuyais avec force, relâchais, puis je l'agitais. Je le sentais se contracter, je sentais sa respiration dans mon oreille, il poussait également quelques gémissements, il parvenait à glisser sa main sur mon cul et agitait à son tour mon plug qui dépassait.
Je me suis saisi, tous mes muscles se sont raidi, moi aussi alors je respirais fort, moi aussi je gémissais. On roulait l'un sur l'autre, il appuyait plus fort, j'en faisais autant. On roulait encore, on ne retrouvait plus ni les draps ni la couverture.
On finissait par se retrouver en tête à queue, avec la paume de la main on appuyait sur le plug de l'autre, on appuyait avec un mouvement circulaire, et on léchait les couilles de l'autre. Nos bites étaient inaccessible mais pas nos couilles. On les léchait avec conviction, on les gobait, je sais c'est flippant mais on laissait faire l'autre dans la plus grande confiance.
Je ne sais même pas si à ce moment c'était lui ou moi qui tremblait le plus. Je manquais d'air, je respirais fort, il convulsait.
Il semblait ne plus rien contrôler et me donnais des coups de bassin comme s'il me baisait le cul. Ses couilles venaient s'écraser sur ma joue. On ne pouvait pas faire plus intime puis je m'allongeais sur lui, j'allais lui gober les couilles quand il a juté, plusieurs jets de spermes on passa au travers des barreaux de la cage, le reste coulait.
J'ai alors pris sa cage dans la bouche et j'ai sucé et j'ai avalé.
Le plaisir montait en moi également, il a du le sentir, il a commencé à me sucer la cage, en même temps il me massait les couilles, oh il sait ce qui me fait réagir. Sa langue parvenait à passer entre les barreaux de ma cage et à me faire frémir et la compression sur mes couilles me donnaient envie de crier de plaisir, puis le plaisir est venu.
Comme une explosion de plaisir, j'ai juté, il y avait sa bouche pour ne rien perdre, et j'ai juté, j'ai joui. J'avais l'impression de n'avoir pas éprouvé un tel plaisir depuis des mois.
C'était sans doute le cas en fait.
Puis on s'est comme effondré, je retombait légèrement sur le coté, il continuait à sucer ma cage, j'en faisais autant et on est resté là sans rien bouger sinon nos lèvres.
On est resté là pendant un long moment. Il faisait nuit quand on s'est relevé, nous nous sommes rendu à la douche. Les douches sont ouvertes toute la nuit.
Le plus dur était de retirer le plug.
Vous savez quand on se le rentre on est excité, sexuellement excité et on peut prendre un vrai plaisir à forcer sur le plug pour qu'il entre, on prend du plaisir à sentir son anus s'ouvrir, se dilater jusqu'à la limite de la douleur mais quand toute la tension est retombée.
Et bien le plug il faut le retirer … Et ça c'est une autre histoire …
Il faut plus de temps, plus d'efforts, ou alors ce ne sont plus les même efforts. C'est donc un peu sonné qu'on revenait de la douche, le plug bien nettoyé dans la serviette, le cul tout propre également. Là on savait qu'on allait bien dormir.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire.
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