Pute a migrants

- Par l'auteur HDS Noirs-Desirs -
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Récit libertin : Pute a migrants Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Pute a migrants
Encore une fois, mon homme a organisé à mon insu un petit scénario dont il a le secret.
Comme à son habitude, il me met au pied du mur. J'ignore tout de ses idées, mais j'ai une confiance absolue dans cet homme avec qui j'ai passé aujourd'hui plus de deux tiers de ma vie et qui me connaît par cœur.
Donc quand il me dit on sort, je comprends que je dois me préparer et je file à la salle de bain. Une fois douchée et parfumée, je sors nue pour aller voir la tenue qu'il m'a préparée pour cette soirée.

Et là sur le lit, une paire de cuissardes laquées blanches et un soutien-gorge en vinyle à balconnet blanc et rien d'autre.

— Chéri, où est le reste de ma tenue ?

J'entends sa réponse qui arrive de la cuisine.

— Tout est sur le lit, ce soir, tu ne porteras rien d'autre. Mais par contre, force sur le maquillage pour compenser.


J'ai pour habitude de ne pas discuter ses choix, même si aujourd'hui, c'est vraiment minimaliste, mais bon...
Dans ma tenue, je me trouve un look de pute, un maquillage volontairement très marqué, et pas grand-chose sur moi, je n'aurais pas dépareillé au bois de Boulogne.

Et je lui fais remarquer et je vois un sourire sur ses lèvres.

Il me sort mon long manteau de fourrure, ce qui accentue encore mon côté prostituée.


Je monte en voiture, direction Paris, sortie Montreuil, nous prenons les rues moins passantes et nous voici arrivés devant un immeuble où quelques groupes d'hommes discutent et fument sur le trottoir.
Mon conjoint passe un coup de fil rapide pour prévenir de notre arrivée.


Cinq minutes plus tard, un colosse noir de plus de deux mètres et d'environ cent trente kilos frappe à la fenêtre.

— Noirs-Désirs ?

Il s'adresse à mon mari, mais me détaille des pieds à la tête.

— Venez avec moi qu'on discute des modalités de la soirée.


Je regarde mon conjoint sans comprendre, mais il sort de la voiture et je lui emboîte le pas. Nous arrivons dans un hall et entrons dans un bureau, là l'homme se présente :

— Moi, c'est Omar, je suis le responsable adjoint de ce foyer, je serais pour la soirée " TON PROTECTEUR ". Montre-toi un peu que je puisse voir à quoi tu ressembles.

Mon mari écarte les pans de mon manteau, laissant apparaître toute ma nudité, Omar me regarde et sourit.

— Sympa ta bourgeoise, elle fera une bonne pute pour mes pensionnaires, On va pouvoir leurs demander dix euros pour une pipe, et pour la baiser, vingt euros, évidemment je fournis les capotes, tu es d'accord que sur ses gains je garde le montant des préservatifs? Mais avant de la mettre au travail, j'essaye toujours la marchandise.


Je comprends alors que mon conjoint est décidé à me faire faire la pute dans ce foyer de migrants. Omar sort de son pantalon un sexe lourd et me le présente, moi assise sur ma chaise, je n'ai qu'à ouvrir la bouche pour engloutir sa queue, je m'applique sur cette fellation, après tout c'est mon souteneur.
Au bout de deux minutes, il ouvre une boîte sur le bureau remplie de préservatifs, déchire l'emballage, le déroule sur sa bite et me fait me lever, et me penche sur le bureau, écarte mon manteau et me plante son pieu dans mon ventre.


Le voilà qui me ramone comme un fou, des va-et-vient puissants, ses grandes mains quittent mes hanches, il sort sa queue de ma chatte pour venir poser son gland à l'entrée de mes fesses, j'écarte un peu plus les jambes et me cambre pour faciliter la sodomie que je devine puissante elle aussi. Il me force le cul, son gros membre entre en moi, mon anus se dilate et l'engloutit et me remplit. Quelques aller-retour et je ressens son bite qui se gonfle et les jets de son sperme remplir le préservatif en moi. Ça m'a pris moins de dix minutes pour vider ce colosse.


Nous montons au premier étage, Omar nous ouvre une chambre, elle est meublée d'une petite table, une armoire vide et un lavabo et deux lits sur l'un des deux, le matelas recouvert d'un drap.
Omar me lance :

— Allez, je reviens avec tes clients.

En moins de deux minutes, Omar revient, suivi d'une nuée d'hommes. À l'entrée de la chambre, il dispose la boîte à capotes et une autre boîte pour les billets. Omar fait mettre les hommes sur deux files, ceux pour la pipe et ceux pour la baise, et le premier entre dans la chambre sous le contrôle d'Omar qui gère la caisse et la durée de passage chaque homme aura droit à trois minutes maximum, pas une de plus, qu'il éjacule ou pas, et chaque client passera avant par le lavabo pour un nettoyage de son engin.

Voici le premier passe, une capote et s'allonge sur moi, je dépose une noisette de gel sur mes petites lèvres pour faciliter le passage, et le voilà qui s'introduit en moi, un second sans protection me met son engin dans la bouche. Les premières éjaculations ne se font pas attendre, et je reçois dans ma bouche un foutre chaud, épais et très odorant, le second crache son jus dans le préservatif, il se retire et est immédiatement remplacé pour une autre bite.
Les hommes se succèdent en moi, de petites queues des longues, des grosses. Mon visage se couvre de foutre, je suce des noirs, des Arabes. Certains me déclenchent des vagues de plaisirs, je jouis, mon corps est pris de tremblements, c'est les montagnes russes, je sens cet homme en moi qui me baise, fait monter mon plaisir au moment le plus intense, il se retire, il a fini de jouir, moi non, mon orgasme retombe, mais un autre le remplace entre mes cuisses et directement mon plaisir explose.


Le sperme continue à remplir ma bouche et à engluer mon visage, mes yeux me piquent et cette odeur âcre de foutre qui remplit la chambre.
J'ai perdu le compte d'homme depuis longtemps quand Omar me fait mettre à genoux par terre pour sucer plus de mecs, car il reste une dizaine de mecs dans la file des pipes.

Je m'exécute sans un mot, le sperme qui recouvrait mon visage coule sur mes seins, mon ventre, j'ouvre ma bouche pour sucer, mes yeux me piquent toujours, je ne vois pas grand-chose, mais je sens ce flot de semence qui gicle sur moi et dans ma bouche, je me sens vraiment très salope et je sais que mon mari adore.

J'entends le clic-clac de l'appareil photo de mon époux qui n'en a pas perdu une miette de toute cette séance.


Je suis toujours à genoux, je suis fatiguée, j'ai mal partout, ma chatte me brûle, mais je suis heureuse, j'ai joui comme jamais avec autant d'hommes différents en si peu de temps, trois heures sans aucune interruption.


Omar arrive avec une poubelle pleine de toutes les capotes utilisées et remplies de la semence de chacun des migrants, m'ayant baisée environ une quinzaine de préservatifs. Il prend le premier et d'un coup de cutter ouvre le latex et me déverse la dose contenue sur le front puis il en saisit un autre et ainsi de suite pour toutes les capotes. Le liquide est froid, gluant avec cette forte odeur et me voilà encore une fois la face recouverte de sperme.

Mon mari qui a filmé et photographié la soirée est aux anges, et je dois l'avouer moi aussi, souillée certes mais heureuse.

Défi pute à migrants réussi !!!

Omar nous conduit à une salle de bain pour une bonne douche.
Voilà que mon protecteur arrive avec le compte et la recette de la soirée, j'ai selon lui sucé vingt-huit bites et me suis fait baiser par dix-neuf mecs soit cinq cent quatre-vingt-dix euros.


J'ai presque battu le record qui visiblement est à cinquante mecs.
Omar tend six cents euros en petites coupures à mon mari.

— Prends l'argent, elle les a bien gagné moi je garde soixante balles pour les frais.

Mon époux prend les billets et lui demande :

— Le foyer accepte les dons ? Alors, fais-moi un reçu pour ce don de six cents euros, je pense que tu es d'accord ma chérie ?


Nous voici devenus bienfaiteurs de ce foyer d'immigrés, juste retour des choses après le plaisir qu'ils m'ont donné et que j'espère leur avoir rendu.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
mon homme m a demande de m habiller demain en femme chez moi et de lui envoyer la photo de moi travestie

Histoire Erotique
pas d'odeurs, les types semblent propres sur eux, pas de vieux clodos, pas de tirage des tétons, de l'assez gentil, finalement

Histoire Libertine
Et donc elle serait rentrée pleine de sperm de MST et 1 risque de grossesse.
Si vous aimez allez faire la pute vous même !!!
Sinon allez voir les gamines qui finissent dans les baraquements à cause de la mafia et vous verrez ce que ça fait !!!

Vous êtes tous bon à enfermer dans ces baraquements vous comprendriez la douleur de ces gamines !!!

Histoire Erotique
Moi j'aurrai aimer voir ma femme faire la pute pour des émigrés
Une journée entière.
Quelle rentre le soir pleine de sperme par tous ces trous.
Quelle devienne une bonne salope pour mon plus grand plaisir.
Devenir un cocu heureux.

Histoire Libertine
C’est de l’hypocrisie ça montre la prostitution comme 1 truc simple qui encourage à faire la pute.
Ce n’est pas la réalité !!!!

Histoire Erotique
Le mari doit être.égorgé et le jeté dans un immense feu.

Histoire Erotique
Habillé et offerte 71.68

Histoire Erotique
tout le monde est bien clean, pas d'odeurs et que des gestes doux !!!

Histoire Libertine
Justement c'est aberrant de se prostituer pour le plaisir quand on a le choix de ne pas faire la pute.
Et encore la c'est soft, les putes des reseaux mafieux elles douillent et risquent leurs vies.
Comme quoi il n'y a pas d'égalité la non plus : 1 bourgesoise se prostitue pour le frisson mais pleurerait sa mère si elle finissait dans 1 reseau alors que les gamines elles pleurent une fois seule sur leurs couchettes pourri dans 1 baraquement ou 1 hotel moisi.

Donc non je ne comprends meme pas le plaisir jouissif à faire la pute.

Histoire Erotique
sur ce coup la c est pas par obligation !!! humiliation et plaisir plutot !!! mais j aurais beaucoup aimé être a sa place !!!

Histoire Libertine
C’est hallucinant comme les bourgeoises aiment faire la pute alors que les filles se frappent le trottoir non par choix mais pas obligation.

Mmm on adore ..



Texte coquin : Pute a migrants
Histoire sexe : Une rose rouge
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