Utilisation exclusive - histoire érotique

Après une semaine de boulot à finaliser les bilans comptables de la société dans laquelle je travaille, voilà que débute enfin un week-end bien mérité.
Nous avons prévu de sortir samedi soir et c'est mon mari qui a organisé la soirée.

Nous sommes mariés depuis vingt ans, nos jeux de couple ont évidemment évolués et je suis aujourd'hui sa soumise consentante et dont il use selon son bon vouloir.
Nous avons établi quelques règles comme l'usage d'un mot clé qui une fois prononcé par monsieur me met instantanément en mode soumise, ce mot, c'est PAPAYE, mais à l'inverse le mot MANGUE lui met lui fin à cette situation.
Si sont acceptés, une certaine violence verbale ainsi que les mots crus de soumission qui eux sont souvent d’usage. Il n'en est pas de même pour la violence physique qui n'a pas de placedans nos jeux. Pour le reste, il a toute ma confiance.

C'est dans cet état d'esprit que j'aborde ce week-end. Comme à chaque fois, c'est lui qui organise nos débauches, moi, je découvre au fur et à mesure ce qu'il a prévu.

Une robe de cuir noire est posée sur le lit ainsi qu'une paire de bas noir à la couture rouge, une paire d'escarpins noirs à semelles rouges d'une grande marque et sans oublier un magnifique collier de cuir rouge.
Je sors de la douche, me maquille, j'enfile mes bas et je passe la robe, elle est de devant, plutôt sexy, mais l'arrière est complètement ouvert laissant juste trois sangles, une au tour du cou, une au niveau de la taille et une sous les fesses laissant mon cul complètement nu.

Mon homme qui prend un verre au salon me regarde entrer.

- Tourne sur toi-même que je te découvre dans cette nouvelle tenue.

Elle me moule vraiment cette robe.
- Tu me trouves comment ?

Et lui en posant son verre
- Bandante, PAPAYE

Me voilà à sa merci et je m’agenouille devant lui les mains sur les cuisses en signe de soumission, il sort une laisse métallique d'environ deux mètres et le l'attache au collier.
Me voilà sa soumise prête à lui obéir, mais très excitée par la situation. Il me tend une coupe de champagne et m'autorise à la boire.

Puis je passe mon manteau et nous partons pour un lieu dont je ne sais rien.
Après trente minutes de route, nous voici devant une grande demeure en meulière.
Le portail est ouvert et nous nous garons dans l'allée.
Mon mari sonne et entre sans attendre que l’on vienne nous ouvrir, j'entends des voix dans la pièce à côté, mais je le suis et nous montons à l’étage, puis sur le palier une porte est ouverte sur un second escalier plus raide. Que nous nous empressons de le gravir, pour nous retrouver au grenier.
C'est une grande pièce aménagée en donjon, dans un coin une croix de Saint-André, une table d'examens, des liens et des poulies pendent du plafond et j'aperçois un paravent percé de quelques trous, un gloryhole sans doute. Je découvre aussi d’autres installations ainsi que du matériel vidéo, trépieds, des caméras.
Dans un fauteuil est installé le maître des lieux qui me toise sans dire un mot.
Mon mari me retire mon manteau et attrape la laisse puis me fait marcher devant lui.

Je baisse les yeux et je marche de long en large d'un bout à l'autre du grenier à la laisse comme la bonne soumise que je suis.

Mon mari brise le silence.
- Chérie, voici Maitre Éric, qui nous met à disposition son Donjon.

- Elle est parfaite, installons-la.
Déclare notre hôte.

Je suis placée au centre de la pièce, mon époux me tend un masque, je passe autour de la tête, il me recouvre les yeux. Je reste là un moment sans voir ce qui se prépare autour de moi. J'entends des déplacements, des chuchotements, mais je n'arrive pas à savoir le nombre de personnes présentes.

Mon cœur bat à toute vitesse, le plaisir mouille mon bas ventre, j'aime ressentir ce mélange de peur et d'excitation.

C'est mon mari qui prend la parole :
- C'est bon, tout est en règle, nous pouvons commencer.

Je suis dirigée vers la table de consultation, mon homme m'installe allongée, les pieds fortement sanglés dans chaque étrier.
J'entends le bruit d'un appareil photo et quelques secondes après une imprimante.


Du gel me coule doucement sur mon clitoris et sur mes lèvres déjà humide de plaisir.

- Maître Éric, à vous le plaisir.
C'est la voix de mon homme qui l'invité à me toucher.

Des doigts frôlent mon clito déjà très sensible puis caresse mes petites lèvres et entre lentement en moi. Après une minute de caresses, je sens de nouveau le gel froid couler sur mon sexe bien ouvert.
Un puis deux et trois doigts me fouille, ensuite, c'est la main qui s'introduit en moi, c'est une douce douleur mêlée de plaisir qui remonte dans mon ventre. Il entre et ressort de moi, je suis déjà au bord de l'extase et au moment où je vais jouir, il retire sa main et arrête ses pénétrations.

- La voila prête messieurs.
Aux mots de Maître Éric, j'entends une effervescence autour de moi et je sens qu'on pose des panneaux dont un qui ne me laisse visible qu'à partir des hanches.

Puis mon maître me retire mon bandeau. Je suis entourée de paravent, je ne vois rien des personnes présentes dans la pièce, juste Maître Éric d'un côté de moi et mon mari de l'autre.
Déjà des mains, mes caresses, les jambes, le ventre, j'ai de nouveau droit à une bonne dose de gel qui me recouvre littéralement les parties intimes offertes et me coule sur mon petit trou. Des doigts me caressent le sexe et glisse sur mon périnée puis descendent sur ma pastille pour l'enduire de lubrifiant.
Des mains maintenant m'écartent les fesses, un gland se pose sur mon anus et glisse doucement à l'intérieur.

Je me tourne vers mon mari.
- Oh, il m’encule direct !

Et il me répond :
- Oui ma chérie, ils n'ont droit qu'à ton cul ce soir et donc oui, ils vont se succéder dans tes fesses et même jouir dedans pour te remplir.

Le premier accélère ses coups de queue et libère son jus au fond de mes intestins puis il est directement remplacé par un autre qui s'active aussitôt et rapidement éjacule son foutre dans mon cul. Il se retire pour le suivant, je devine à la lourdeur du sexe posé sur mon étoile que celui-là est très gros.
En une poussée, il me dilate le sphincter, elle est énorme et excitée comme je suis, lui me déclenche une jouissance immédiate. Lui, contrairement aux premiers, prend son temps et me ramone la colonne, il entre, il sort, se plante au plus profond, arête, recule et replonge en moi, il sait y faire le salop.
Puis il se plante en moi et ne bouge plus, mais je sens son sperme qui s'écoule et me rempli.
Il se retire et un trop-plein de liqueur dégouline le long de mon cul.

Maitre Éric interpelle.
- Allez Céline petite salope, nettoyez-lui son cul.

Une langue passe sur le nectar qui s'écoule de mon anus puis la langue s'introduit en moi.

Et une voix de femme déclare.
- C'est fait maître.

Et une nouvelle queue m'embroche vigoureusement. Je jouis encore et c'est encore de nouvelles giclées de foutre chaud qui se déverse dans mon fondement, un autre et encore d'autres se succèdent et me remplissent de leurs semences visqueuses.
À la demande de Maitre Éric, j'ai de nouveau droit à un nettoyage complet extérieur intérieur par sa soumise.

Le calme revient petit à petit dans le grenier et mon homme et Maître Éric retire les paravents et je vois que ma photo prise en début de soirée cuisses écartées est affichée sur chacun des battants du paravent.

Plus aucun des hommes qui se sont déversés en moi n'est là, il ne reste dans la pièce que mon époux Maître Éric et une femme blonde à genoux entièrement nue dans un coin de la pièce.
Il me libère des entraves qui me bloquent les chevilles.
Je flageole un peu sur mes jambes en descendant de la table. Une coulée de liquide blanchâtre glisse le long de mes cuisses.

- Ne bouge pas !
M'intime Maitre Éric.
- Céline petite chienne, vous n’avez pas parfaitement nettoyé madame. Allez terminer votre travail.

Mon mari me demande d'écarter les jambes et de me pencher en avant, ce que le fait immédiatement.
Céline a quatre pattes s'approche de moi et se met à l'ouvrage non sans avoir reçu avant quelques claques bruyantes sur le cul.
Elle est consciencieuse, me léchant les cuisses pour remonter sur ma pastille encore ouverte du traitement qu'elle vient de subir. Elle y introduit sa langue puis pose ses lèvres sur mon anus et aspire les fluides et liqueurs qui auraient pu rester à l’intérieur.
Elle se retire et Maître Éric inspecte le travail de sa soumise, m’écartant l’anus encore bien dilaté
- Parfait, dit-il en lui caressant les cheveux, maintenant que tu es propre, on va pouvoir t’enculer.
Mais avant, Céline va nous mettre en forme.

Et je vois mon homme introduire sa queue déjà dure dans la bouche de Céline puis c'est Maitre Éric qui se fait sucer.
Une fois les deux mâles parfaitement raides, Maitre Éric s'allonge au sol, la bite tendue.

- Allez, empale ton cul là-dessus !

Évidemment, je m'exécute et me voilà à cheval sur lui, son membre planté profondément dans mes entrailles.
Je monte et descend sur son pieux qui est de belle taille. Mon homme m'appuie sur les épaules que je le prenne au plus profond et me pousse dans le dos, que je m'allonge complètement sur Maitre Éric, il dépose ensuite son gland sur le haut de mes fesses et s'introduit lui aussi à l'intérieur de mon cul.
Je crie de plaisir en sentant mon anus se dilater pour laisser le passage à sa bite qui rejoint celle de Maître Éric, les deux bites qui se déplacent en moi de manière alternée. L’orgasme qui monte en moi est énorme, des vagues de plaisirs secouent mon ventre, mes hanches, mes jambes, je n'en peux plus, je jouis, je hurle.
Mon mari se retire et plonge sa queue dans la bouche de Cécile et lui maintient la tête enfoncée tandis qu'il décharge son flot de jus au fond de sa gorge puis c'est à Maitre Éric de l’imiter.
Cécile va s'étouffer avec tout ce sperme. Mais contre toute attente et sans rien laissé paraître, elle a avalé et dégluti les doses de foutre reçues.
• Une fois la séance terminée, je me réajuste et je regarde en direction d’une petite table où sont posés des papiers.
• - Oui ma chérie, ce sont les tests des hommes qui t’ont remplie de leurs semences ce soir.

• Nous descendons pour prendre un verre, je m’étonne de ne pas voir Céline, mais Maitre Éric m’explique qu’elle est là en punition. Elle a été livrée ici en pénitence par son mari, car elle lui avait désobéi, et que pour expier sa faute, durant tout ce week-end, elle ne devra recevoir aucune nourriture autre que du sperme.
• Nous finissons notre coupe, je remercie Maitre Éric pour son organisation et nous reprenons la route pour la maison. Sur le perron Maitre Éric donne les deux cartes SD des caméras à mon chéri qu'il dépose dans ma main en me glissant à l'oreille.

• Une fois dans la voiture

- MANGUE ma chérie, tu as été merveilleuse encore une fois.


De retour chez nous, nous une fois installés dans notre canapé, la première carte SD insérée dans le PC et le vidéoprojecteur en route, l’écran descend, je vais découvrir ce que je ne pouvais pas voir.
Une fois mon bandeau sur les yeux, les hommes rentrent dans la pièce, leurs tests en main ainsi que leur carte d’identité, mon mari vérifie chaque homme un par un. Puis c'est la mise en place des paravents C'est maintenant que je peux découvrir les hommes.

Déjà la préparation de Maître Éric et sa main fisteuse.
Et c’est au tour des hommes, le premier est un petit maghrébin d’une soixantaine d’années qui après quelques va-et-vient me tapisse les intestins de sa liqueur. Le second est un jeune homme la vingtaine qui le remplace et aussi rapidement déverse son jus. Le troisième est une armoire à glace un black qui lui est équipé d’un engin énorme aussi bien en longueur quand largeur et d’ailleurs mon fondement s’en souvient très bien. Lui me pénètre en une seule poussée et je m’entends crier de jouissance puis il me perfore les entrailles de son colosse de chair. Il termine en se plantant au plus profond de moi, la tête en arrière, il éjacule, je ressens encore la délicieuse sensation des gros jets de foutre qui se déversent en moi.
Viens le nettoyage de Cécile, elle s’applique la petite chienne.
Et c'est l’enchaînement des sodomies qui reprennent il y a de tout des jeunes, des moins jeunes, un tatoué. Pour terminer c'est au tour d’un homme bedonnant visiblement très bien monté me fait jouir vraiment très fort et comme les autres se vidange au fond de moi.

Tandis que Céline s’applique de nouveau à un nettoyage de ma grotte souillée, les hommes quittent le grenier.
On me libère
De mes entraves et retour de la soumise en mode aspiration à coup sûr, je suis aussi propre qu’après un lavement.

Après inspection de mon cul par son maître, chacun des deux mâles durcissent leurs jouets entre les lèvres de cette charmante soumise. Et me voilà qui m’installe sur Maitre Éric pour chevaucher son chibre tendu.
Je monte et descend sur ce braquemart qui coulisse délicieusement entre mes fesses.
Mon mari qui se tenait derrière moi m’appuie sur les épaules pour que je m’empale encore plus loin sur lui.
Il me penche en avant et à son tour me force l’anus pour prendre place dans mon fourreau au côté de Maître Éric.
Je hurle mon bonheur finir par une double anale, quel pied.

Ils se retirent et se retournent vers Cécile, toujours assise sur ses genoux, chacun force la bouche, l’obligeant à engamer la totalité de leurs bites pour déverser leurs semences blanchâtre et gluante.

Je me retourne vers lui, confortablement installé dès le canapé, sa braguette est baissée, je prends sa queue en main, il bande dur. Je devine que durant la seconde carte SD montrant la soirée sous un autre angle, je vais me régaler.