Rencontre avec Paul 3 - histoire érotique

Après avoir batifoler un peu dans la piscine, nous en somme sorti pour nous sécher et nous rhabiller un peu.
Puis nous avons profité un peu du soleil, discuté un peu avec Paul qui venait nous voir de temps en temps sur la terrasse en nous apportant des rafraichissements.
En fin d’après-midi, après une bonne douche nous nous sommes installé tous les trois pour commencer l’apéro.
Au fur et à mesure l’ambiance devenait de plus en plus décontractée et nous passions tous les trois une bonne soirée.
Le repas (bien arrosé aussi) s’est déroulé dans la même ambiance de blagues de rires et d’anecdotes.
Ensuite cafés, digestifs, bref de quoi tenir assez tard dans la nuit.
Vers 2h du matin, j’ai proposé que nous allions nous coucher si l’on voulait profiter de la journée du lendemain pour sortir un peu.
Tout le monde semblait d’accord et nous sommes donc montés dans nos chambres.
Après s’être déshabillés, Nathalie et moi sommes rentrés dans le lit et avons commencés quelques bisous et caresses qui devinrent très vite de plus en plus sensuels et prononcés.
Après une demi-heure environ, je lui dis qu’elle devrait peut-être aller le rejoindre comme prévu.
Elle me dit oui tu as raison et se lève donc en prenant soin de ne pas refermer notre porte afin que je puisse les entendre.
Elle ouvre doucement la porte de la chambre de Paul sans la refermer complètement non plus.
Elle est nue et lui aussi étendu sur le lit, le sexe bien raide.
Elle se dirige vers lui, s’assoie sur le lit et vient poser sa main sur le sexe de Paul.
Elle le caresse un peu puis vient rapidement se pencher au-dessus pour l’engloutir dans sa bouche.
Je discerne un soupir de Paul qui me fait imaginer ce que ma femme lui fait.
Elle le suce quelques minutes, puis il lui repousse doucement la tête pour la faire s’allonger, il commence par l’embrasser a pleine bouche, pour ensuite descendre dans son cou, puis ses seins sur lesquels il s’attarde un peu plus, puis le ventre et enfin le sexe.
Il lui écarte doucement les jambes et vient mettre sa tête à l’intérieur de ses cuisses pour commencer à la lécher.
Petit gémissement de plaisir de ma femme qui encourage d’autant plus notre sexagénaire, il lui rentre bien sa langue puis revient titiller son clito et ainsi de suite.
Après de longues minutes de ces caresses buccales, son plaisir monte de plus en plus, jusqu’au moment où elle n’en peut plus et laisse exploser sa jouissance pendant que Paul continu son jeu de langue.
Elle ne s’est pas retenue et Paul relève la tête un peu inquiet que ses cris puissent me réveiller.
« Ne t’inquiète pas, quand il dort, il dort. Rien ne le réveille » lui dit-elle, « surtout avec l’alcool qu’il a bu »Soulagé, il replonge la tête entre ses cuisses pour, fort de l’effet de sa langue, retourné lui donner du plaisir.
Chose qui ne tarde pas à se renouveler, connaissant bien ma femme je sais que quand elle commence à jouir elle peu accumuler les jouissances à quelques minutes seulement d’intervalle si son assaillant sait y faire.
Il l’a faite jouir comme cela 3 fois de suite en peu de temps.
Il remonte alors vers sa bouche pour l’embrasser goulument.
Ensuite il saisit un préservatif sur la table de nuit, se met à genou entre les cuisses de Nathalie, qui est allongée sur le dos, et enfile le préservatif sur son sexe toujours aussi gonflé.
Il se penche alors sur elle et la pénètre sans la moindre difficulté, tellement elle est trempée de ses jouissances précédente et de son excitation.
Il commence alors ses va et vient doucement puis plus rapidement et de plus en plus profond.
Je suis sorti discrètement de la chambre et me déplace jusqu'à l’entrée de la chambre de Paul pour mieux les voir.
La seule lumière allumée est celle de la table de nuit de Paul et elle n’est pas très violente, ils ne peuvent donc pas me voir et moi je peux les mater à ma guise.
Paul continu son travail de pilonnage qui ne tarde pas à faire une nouvelle fois jouir ma femme.
Ses cris sont de plus en plus fort, elle prend vraiment bien son pied.
Moi j’ai une gaule d’enfer, mais j’évite de trop me masturber car je ne pourrais pas me retenir de jouir.
Il la retourne alors, tout en gardant son sexe à l’intérieur, pour qu’elle vienne le chevaucher.
Cela je pense lui permet de reprendre son souffle aussi.
Elle est accroupie sur lui, monte et descend sur son sexe, elle s’empale bien à fond puis remonte, fait de petit va et vient sur son gland et s’empale à nouveau.
J’aperçois le visage de ma femme crispée, car elle tente de retenir son plaisir, mais très vite je l’entends à nouveau jouir en effectuant de profonds et rapides va et viens sur le sexe de Paul, qui lui sert les hanches en accompagnant ses mouvements et en la soulageant un peu de ses mains.
Elle se laisse alors tomber sur son torse pour déplier ses jambes, ils s’embrassent puis elle relève la tête :« Tu prends du Viagra toi ce n’est pas possible » lui dit-elle sur un ton assez plaisantin.
Il lui rendit juste un grand sourire sans affirmer ni démentir.
« Il est tard mais j’ai envie de prendre du plaisir en t’en donnant une dernière fois pour ce soir, ça te dit ? »Sans attendre la réponse de ma femme il lui dit à nouveau :« Tourne toi et mets-toi à 4 pattes »Elle s’exécute (elle adore la levrette), il change de préservatif et vient la prendre sans ménagement et assez fermement.
Il la pilonne violement et voyant qu’elle apprécie ses coups de boutoirs, commence à lui donner des petites claques sur les fesses.
Elle gémit de plaisir de plus en plus fort.
« Oh putain c’est bon, elle est bonne ta queue salaud »« T’aime ça hein, salope » « elle te plait ma grosse bite »« Ouiiiiiiiii »« T’es une bonne pute, t’aime ça la queue, t’es une chienne »Ils sont tous les 2 au maximum de leur excitation (moi aussi)Il commence à lui titiller l’anus, mouille son doigt et entreprend de commencer à lui rentrer.
Elle gémit toujours et est proche de la jouissance.
« Je vais t’enculer, une bonne salope comme toi ça aime les bites dans le cul, hein sale pute … »Et là il ne peut plus se retenir et jouis dans un grognement presque inhumain.
En l’entendant prendre son pied elle se lâche aussi et jouie avec une intensité extrême, ses cris doivent s’entendre de l’extérieur de la maison.
Ils s’affalent alors l’un sur l’autre sur le lit pour reprendre leurs souffles et leurs esprits.
« J’espère que ça n’a pas réveillé ton mari, je serais mal à l’aise »« Non je ne pense pas, tu sais une fois je me suis faite sauter par un mec dans notre lit et lui dormais aussi dans ce lit, ça ne l’a même pas réveillé »(Ce n’est bien sûr pas vrai, enfin pas vraiment dans ces conditions, mais a eu pour effet de rassurer Paul).
Je suis retourné discrètement dans notre lit, Nathalie est venue me rejoindre peu de temps après.
Je n’en pouvais plus, mon sexe a moi aussi dégouliné d’excitation.
A peine rentrée dans le lit elle m’a tout de suite sucé en poussant un petit « hummm » de satisfaction devant mon excitation.
Quelques divins coups de langue ont eu raison de moi et j’ai déchargé très vite au fond de sa gorge.
Mon sexe ne voulait pas redescendre tellement cette scène m’avait excité, j’ai donc retourné ma femme et l’ai prises sans ménagement sur le côté.
Elle est repartie au quart de tour.
Paul a dû s’endormir très vite, mais nous avons quand même pris soin de ne pas faire trop de bruit pour qu’il ne puisse pas se douter de notre petit jeu.
Après avoir jouis, nous nous sommes endormis rapidement.
Au petit matin nous avons remis ça mais là sans se retenir de nos cris de jouissance.