Rencontre avec un priape bien membré (2)

- Par l'auteur HDS Nicolas50 -
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Récit libertin : Rencontre avec un priape bien membré (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Rencontre avec un priape bien membré (2)
Le soir même de mon inoubliable expérience chez Stéphane, je lui adressais un sms afin qu’il puisse avoir mon numéro de téléphone. Dès le lendemain matin, il m’écrivit pour me demander si j’avais un moment de libre. Je lui expliquai alors que j’avais pas mal de contraintes familiales et professionnelles qui ne m’accordaient pas beaucoup de disponibilités. En raison de l’insistance de Stéphane, on se mit d’accord pour aller dîner trois jours plus tard dans un restaurant italien au nord-ouest de Rennes.

J’arrivais avec une dizaine de minutes de retard et je le vis installer sur une table sur la droite de la salle. Il était en pleine discussion avec un serveur qu’il avait l’air de bien connaître. Une fois assis, ce dernier se tourna vers moi pour me demander si je souhaitais prendre un apéritif. Stéphane ne me laissa pas le temps de répondre et répondit rapidement :

« Luigi, tu nous mettras un kir cassis. Mais nous devons avant aller nous laver les mains ».

Je crus voir un léger sourire sur le visage du serveur. Mais je me dis aussitôt que je devais me tromper. J’allais répondre à Stéphane que mes mains étaient propres, mais celui-ci me fit signe de venir en m’indiquant l’endroit où se trouvaient les toilettes. A peine rentrés dans ceux-ci, Stéphane se colla à mes fesses en me faisant sentir que son bâton était déjà très dur. Il me poussa dans les toilettes handicapé et, sans me laisser le temps de réagir, il défit ma ceinture et me baissa pantalon et boxer. Il me fit me pencher sur les toilettes. La seule délicatesse qu’il ait eue à mon égard fut de cracher sur deux doigts afin de m’humidifier l’anus. Je sentais sa grosse bite me toucher. Ses doigts furent remplacés rapidement par son gros tuyau qu’il me rentrât jusqu’aux couilles.

C’est uniquement à ce moment-là que je l’entendis dire, doucement – et c’est certainement la présence d’autres clients très près de nous - :

« C’est bon de te remplir ton cul de salope. Je vais te baiser toute la soirée. Mais, pour commencer, je vais te limer ton trou de traînée ».

Ce qu’il me fit sans ménagement, tellement la seule chose qui l’intéressait était de bourriner la truie qu’il était en train d’engrosser. L’enculade fut brève, mais intense. Il accéléra le mouvement et, juste avant de sentir son jus couler dans mes entrailles, il sortit son manche qu’il me donna à téter pour que son foutre puisse couler en moi. J’avalais comme je pouvais le sperme qui s’échappait du gland qui avait pris possession de ma bouche.

"Bois tout mon jus salope", grogna Stéphane qui était poète à ses heures perdues.

Avant de sortir des toilettes, il me dit de remettre mon pantalon, mais sans le boxer qu’il prit avec lui. Il me donna alors un cockring et me dit de le mettre. J’étais excité. Je réussis à le mettre tant bien que mal. Mais la situation était pour le moins gênante car mes couilles et ma queue étaient bien mises en avant dans mon pantalon de costume. Je dus traverser ainsi la salle avec une protubérance impossible de masquer. Heureusement, il me sembla que personne n’y prêta attention.

Personne… à l’exception de Luigi, qui, alors que je venais de m’asseoir, arriva pour nous servir l’apéritif. Je le vis regarder la forme de mon sexe à travers mon pantalon. Il me tendit alors une serviette de papier :

« On dirait que vous vous êtes mal essuyé la bouche. Il serait plus convenable que vous nettoyiez le sperme qui s’en écoule ». Je rougis sur le coup et ne pus dire le moindre mot. Ce qui ne gêna pas le moins du monde Luigi qui, se tournant vers Stéphane, ajouta :

« Mon cher Stéphane, à ce que je vois, tu craches toujours autant de sperme. La prochaine fois, pense un peu aux salopes qui ont du mal à tout avaler « .

Stéphane se mit à rire avec Luigi. Il passa ensuite la commande en choisissant un tartare de bœuf à l’italienne, ce qu’il avait visiblement l’habitude de prendre dans ce restaurant, et pour moi la pizza du chef, accompagnés d’une bouteille de Nero d’Avola.

Je lui fis part alors, sinon de mon désappointement, en tout cas de ma grande surprise de me retrouver dans une telle situation. Stéphane me répondit qu’il avait une furieuse envie de baiser et qu’il m’avait convié dans un lieu où il avait ses habitudes lorsqu’il invitait des putes à dîner. Il me proposa de trinquer. Au moment où j’allais prendre mon verre, il stoppa ma main et me montra un comprimé bleu dans la sienne :

« Tu sais ce dont il s’agit, j’imagine. Je n’ai évidemment pas besoin d’une pilule bleue pour bander. En revanche, je veux que tu en prennes une et que tu bandes pendant toute la soirée ».

Une fois de plus, il ne me laissa pas le temps de répondre. Il la mit dans ma main et m’intima de l’ingurgiter. Je l’avalais rapidement après avoir trinqué avec lui.

Peu de temps après, Luigi annonça le tartare di manzo all’italiana pour Stéphane et la pizza alla panna e succo dello chef pour moi. Je vis alors un grand sourire sur le visage de Stéphane. Luigi resta en revanche imperturbable en me précisant qu’il s’agissait d’une pizza à base de crème fraîche accompagnée d’endives, de fromage de chèvre et de miel avec un coulis spécial. Il rajouta que le chef et son équipe s’étaient particulièrement décarcassés pour que j’apprécie le plat. Stéphane éclata de rire. Luigi repartit en souriant. Mon assiette était très appétissante. Stéphane me souhaita un bon appétit et nous commençâmes la dégustation. Je sentis très rapidement la texture particulière du coulis. Je n’en revenais pas. La crème du chef n'était rien d'autre que du sperme.

« Tu as intérêt à tout manger », me dit Stéphane. « J’espère que tu apprécies. Le chef et son équipe ont oeuvré pour t'offrir tout ce jus ! ».

Je dus reconnaître à ma grande surprise que les ingrédients se mariaient bien et que le sperme, qui semblait avoir des textures différentes, était très bon. La situation m’excitait. Le Viagra produisait de l’effet. Ma queue était tendue comme une arbalète. Ce que me fit remarquer Luigi quand il vint débarrasser la table.

« Peut-être souhaiteriez-vous un supplément de sauce ? », me dit-il.

Stéphane répondit que j'avais effectivement apprécié le repas et souhaiterai un supplément. Luigi nous proposa de le suivre en cuisine. J’étais excité, mais aussi gêné de traverser le restaurant avec le pantalon déformé par la gaule que je ne pouvais cacher. Nous arrivâmes en cuisine. Le Chef s’approcha de nous :

« Alors, c’est elle la salope qui aime le jus ? Vous avez vu comment elle bande cette avaleuse de sperme ?», puis s’adressant à moi : « tu peux remercier les six membres de mon équipe qui se sont fait un plaisir d’arroser de leur liqueur la pizza que tu as mangée ».

Comme je me taisais, le Chef me dit : « je suis certain que tu as encore envie d’une bonne rasade ». S’adressant à son équipe, dont les membres étaient hilares : « le devoir m’appelle. Je vais lui refaire goûter ma crème. Luigi, tu retournes en salle. Stéphane, tu m’accompagnes avec le sac à foutre dans mon bureau car quelque chose me dit – en regardant fixement la protubérance de Stéphane – que tu as aussi besoin de dégorger ton poireau ».

Nous entrâmes tous les trois dans son bureau qui se trouvait derrière la cuisine. Stéphane reprit l’initiative :

« Fous-toi à poil chiennasse. Je vais t’enfiler mon gros dard pendant que tu suces le Chef. Et fais-lui plaisir pour le remercier de son excellent repas ».

Sur le tapis du bureau du chef, je me trouvai dans la position inconfortable de lécher la bite et les couilles poilues du chef pendant que Stéphane allait me démonter le fondement avec son braquemart de compétition. La queue du Chef devint rapidement très dure. Le traitement alternatif de léchage, de pompage et d’aspirateur que je lui administrais renforçait la dureté de son membre. Pendant ce temps-là, Stéphane m’enculait comme un sauvage. Il exprimait ainsi toute la frustration qu’il avait accumulée pendant le repas de ne pouvoir me sauter à sa convenance. Le Chef se sentant venir se retira de ma bouche afin d’éviter une éjaculation trop hâtive.

« Hummm…. J’adore ta suceuse Stéphane. Je serais même prêt à la payer tellement elle suce comme une vraie pute… Tu lui as dit que j’étais un gros juteur ? Tu crois qu’elle réussira à tout boire ? ».

« Elle a intérêt », répondit Stéphane. « Elle ne partira pas d’ici avant d’avoir tout bu. D’ailleurs, cette grognasse va aussi avaler son jus. Je vais traire cette vache pendant que je l’encule ».

L’enculage, la masturbation et la fellation se terminèrent en apothéose. Je ne pus résister longtemps à la traite de Stéphane qui me fit exploser brutalement et en silence car j’avais toujours le dard du Chef dans la bouche. De longs jets de sperme épais atterrirent sur le tapis. Un orgasme anal se déclencha rapidement et poussa Stéphane à se cabrer au fond de mon cul en jouissant comme un fou. Il déversa son foutre chaud dont je sentais les saccades me tapisser le fondement. Le Chef me tint alors la bouche et finit par me donner sa crème bien épaisse qui coulait dans ma gorge. Il me tint ainsi la bouche fermée pendant deux minutes durant lesquelles ses couilles se vidaient en moi et sa queue coulissait doucement dans la chaleur de ma bouche. Cette triple jouissance fut intense. Le Chef fut le premier à se rhabiller pour retourner en cuisine. Stéphane me fit lécher le jus que j’avais fait couler par terre. Nous nous rhabillâmes ensuite et retournèrent à notre place.

Arrivés à notre place, Stéphane me dit :

« tu vois ce que c’est d’être priape maintenant. Je suis déjà en train de bander, tout comme toi avec la pilule bleue ».

Sur ces entrefaits, Luigi arriva :

« j’espère que le service t’a plus », dit-il à Stéphane.

« C’était excellent comme d’habitude. Tu finis dans combien de temps ? ».

« Le Chef m’a permis de finir plus tôt ce soir ».

Stéphane lui proposa de venir avec nous afin que je puisse le remercier tel qu’il se doit. Luigi acquiesça en précisant qu’il n’avait pas beaucoup de temps, mais qu’il me mettrait bien une cartouche.

Nous empruntâmes la sortie réservée au personnel et arrivâmes à un parking mal éclairé. Je vis Luigi et Stéphane s’entretenir. Luigi me fit signe de le suivre entre la voiture et la haie. Il me fit tourner vers la voiture, me descendit mon pantalon. Il commença à se frotter à moi. Je sentais son engin qui grossissait à mon contact.

Stéphane nous regardait :

« Encule-le. Tu en as trop envie. Ramone-le et insémine-le ».

Je sentis alors la queue large de Luigi me perforer le cul, sans ménagement aucun. Il était très excité. Il avait voulu me baiser pendant toute la soirée, mais avait dû attendre la fin de son service avant de pouvoir m’enfiler dans le cul son engin court, mais puissant. La tension maximale de sa grosse tige fut atteinte rapidement et il grogna en expulsant son sperme dans mes fesses déjà bien nourries.

Voyant que ma queue restait invariablement tendue, Stéphane me força à m’astiquer le manche.

« Allez salope, astique-toi le jonc et recueille ton jus dans la main. Je te conseille de boire ensuite ton jus de pédale ».

Ce que je fis avec une forme de plaisir et de honte mêlée : le plaisir d’être dirigé par un mâle et la honte de boire mon propre jus comme la pire des putes.

Stéphane s’approcha de Luigi et lui murmura quelque chose. Je vis un sourire sur son visage. Luigi ouvrit son 4x4 et plaça une couverture sur la banquette arrière. Stéphane s’allongea dessus et me fis signe de venir honorer son membre. J’allais commencer à le lécher doucement afin d’en apprécier la longueur et la grosseur. Mais Stéphane me dit brusquement de m’empaler sur son totem et d’honorer son phallus.

« Vénère ma queue. Vénère ma matraque. Fais-moi plaisir en honorant ma divine queue ».

La queue de Stéphane était source d’électrochocs et de vibrations dans mon conduit anal qui était devenu un véritable boulevard capable de satisfaire la Queue de mon maître. Stéphane était le sexe incarné. Son engin de perforation était une arme divine qui comblait les attentes de mon étui élargi pour répondre aux attentes de sa queue. Je coulissais sur l’intégralité de son gros membre. Stéphane gémissait de plaisir et m’insultait. Luigi était en train de caresser sa tige en nous regardant.

Stéphane lui dit d’ouvrir l’autre portière et de me nourrir :

« Donne encore à boire à cette chienne. Elle aime le sperme, elle aime le lait, elle aime la crème. Elle a toujours soif. Crache-lui ton jus dans la gueule ».

Luigi s’approcha tant bien que mal et réussit à me mettre sa bite dans la bouche. Je l’aspirai comme jamais et avalai encore son offrande. J’accélérai le mouvement sur le pilon de mon maître qui me fouillait jusqu’à mes entrailles. Je sentis alors son membre palpiter et cracher une semence chaude pour me féconder.

Luigi remercia Stéphane pour la soirée. Il nous déposa à côté de nos voitures sur le parking client et repartit aussi vite.

Avant de partir, Stéphane me rappela qu’une traînée n’avait pas besoin de culotte. Avant même de pouvoir protester, il rajouta :

« Je ne sais pas comment tu vas faire en rentrant chez toi avec la queue qui est toujours dure, le jus d’homme qui va couler sur ton pantalon de costume… J’espère que ta femme dort car sinon tu vas avoir du mal à jouir et à empêcher le sperme de couler de trou de jument », me dit-il avec un grand sourire. « A très bientôt ma salope ! ».

Heureusement pour moi, il n’y eut pas d’activité à mon arrivée au domicile.

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Texte coquin : Rencontre avec un priape bien membré (2)
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