Rencontre avec un priape bien membré

- Par l'auteur HDS Nicolas50 -
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Récit libertin : Rencontre avec un priape bien membré Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Rencontre avec un priape bien membré
Cette rencontre s'est réalisée il y a quelques années.


Je discutais depuis quelques semaines avec Stéphane, un homme de 40 ans qui vivait en couple avec Marc un homme plus âgé que lui. Ils vivaient tous les deux dans un appartement d'une petite ville au sud-ouest de Rennes.


Stéphane et moi avions échangé plusieurs fois au sujet de différents fantasmes. Nous nous étions aussi assuré que nos tests étaient bons et que nous pourrions ainsi pouvoir concrétiser.
Il a très rapidement évoqué le fait qu'il avait un gros appétit sexuel. Quand il était excité, il débandait à peine et pouvait jouir plusieurs fois. Il aimait tellement baiser que son conjoint avait accepté l'idée que Stéphane puisse trouver d'autres partenaires. Je dois avouer que la simple pensée de devoir subir les assauts de Stéphane le priape m'excitait au plus haut point. Mon attirance pour lui était encore renforcée par la taille de son engin. Stéphane m'avait en effet adressé des photos de son mandrin qui, je dois l'avouer, ne me laissaient absolument pas indifférent. Il avait un membre épais, long, aux veines bien apparentes. Lorsque que je le questionnais sur ses mensurations, Stéphane confirma ce que j'avais vu sur les photos : ce n'était pas une queue qu'il avait, mais une véritable matraque de 21*6.


Inutile de dire que je n'avais jamais pompé une aussi grosse queue. Inutile de dire aussi que je ressentais à la fois de l'excitation et de la crainte d'imaginer Stéphane me fourrer son pieu dans mon fondement. Inutile de dire enfin qu'il était impossible pour moi de ne pas le rencontrer.


Je me dois aussi de préciser un dernier point qui fut évoqué dans nos échanges. Stéphane savait que j'étais un passif chaud, que j'adorais sucer et recevoir du sperme dans la bouche et sur le visage. Il me précisa que, dès son arrivée chez lui, je devrais me déshabiller et arriver nu dans son salon où il m'attendrait sur son canapé : "à partir du moment où tu rentreras chez moi, tu seras ma pute, ma chienne, et je te baiserai comme le mérite une belle salope comme toi".
Un jeudi matin d'octobre, j'arrive donc chez Stéphane excité comme jamais, mais avec toujours une légère pointe d'appréhension. La porte était ouverte. Stéphane se montre au bout du couloir et s'adresse à moi : "Salut ma salope ! Tu ne m'avais pas dit que tu étais une chienne en costume cravate. Ce sont les chiennes comme toi que je préfère baiser. Enlève tes fringues... sauf ta cravate!" me dit-il avec autorité et une forme de lubricité dans ses yeux.


Je me déshabille et entre dans le salon. Stéphane était allongé sur son canapé, le peignoir ouvert, et sa main astiquant son magnifique engin. Je m'approche de Stéphane qui en profite pour s'asseoir sur le canapé. Je m'agenouille alors devant lui pour soupeser l'objet de mes rêves. Sa queue est lourde et énorme, elle est si chaude, elle palpite.


"Fais-toi plaisir", me dit-il. "Touche-la, tète la, caresse la, branle la!". Je ne sais plus où donner de la bouche tellement je suis excité. Je la lèche sur toute la longueur, je la caresse, ma langue descend sur ses grosses couilles bien lourdes. "Tu ne t'attendais pas à cela ma salope, hein ? Palpe bien mes burnes en me pompant le gland. Tu sens comme elles sont pleines ? Tu vas te régaler ma pute".


Je suis à la fête. J'essaie tant bien que mal d'accueillir son gland dans ma bouche. Mais il est si gros que cela m'est difficile. "Tu es une bonne pompeuse. Tu m'excites espèce de chienne. Caresse-moi la queue maintenant et viens me lécher mon trou". Voyant ma réticence, Stéphane continue : "Dépêche-toi. Il est tout propre. Je veux que tu m'enfonces ta langue dedans. Montre-moi comment une grosse chienne comme toi sait lécher son maître". Je m'applique, je lèche, je salive, je durcis ma langue pour entrer dans son petit trou qui s'ouvre sous les caresses. Je sens sa queue qui palpite, tellement Stéphane est excité.


"Mets-toi à 4 pattes et tu vas venir avec moi". Stéphane avance et me prend en laisse avec ma cravate. "Tu m'as tellement excité que je vais te baiser et te faire gémir comme une pute". Il tire sur la cravate et me conduis dans sa chambre. Il me fait monter sur le lit. "Allonge-toi sur le dos et mets ta tête au bord du lit". Dans cette position, la tête à l'envers, je vois son énorme sexe et ses boules au-dessus de mon visage. Dans un premier temps, il me pose ses couilles sur mon nez et ma bouche. Il les frotte en me demandant de sortir ma langue pour apprécier l'offrande. Il recule ensuite afin de placer son gland à l'entrée de ma bouche que j'ouvre au maximum afin de sucer son gland. Il se retire soudain en me donnant quelques coups de sa queue sur mon visage. La situation m'excite. Ma queue est dure, alors même qu'il n'a pas daigné s'y intéresser. Il me réintroduit ensuite son gros gland qui me déforme la bouche.


Quelques minutes plus tard, j'entends la porte d'entrée qui s'ouvre et qui est refermée bruyamment. Une voix inconnue s'élève : "Stéphane, tu es là ?". Stéphane, qui, entre temps, m'a fait changer de position afin d'avoir ma tête en haut du lit avec des oreillers pour me maintenir la nuque, lui répond : "Viens Marc ! Je suis dans la chambre avec cette chienne de Nicolas dont je t'ai parlée. Je lui fais goûter la Bête". Marc entre et voit Stéphane agenouillé devant moi avec sa queue qui force l'entrée de ma bouche. "Tu te joins à nous ?", lui dit Stéphane. Marc semble hésitant et argue d'un travail à terminer pour nous laisser tranquille. Stéphane insiste : "Allez ! Reste un peu ! Laisse-le te pomper ! Il suce vraiment bien et, la tienne, il pourra l'avaler !"


Marc se déshabille rapidement et nous rejoint. Stéphane me demande de me mettre à quatre pattes, en levrette, de telle sorte qu'il se place derrière moi et que je puisse me pencher vers la queue de son ami. Je me mets tout de suite à l'ouvrage pour faire grossir la queue aux mensurations plus modestes que celle de Stéphane. La queue de Marc durcit. Je lui tiens ses boules dans une de mes mains. Marc a l'air d'apprécier. Dans cette position instable, mais ô combien excitante, Stéphane s'occupe de moi en glissant un doigt, puis deux doigts qui ont été préalablement enduits de gel. "Regarde Marc ! Mes doigts entrent facilement. Je vais lui en foutre un troisième à cette pétasse". Je sens les doigts de Stéphane qui me fouillent et qui ne sont que le prélude au regard de ce qui m'attend quand il m’enfilera son braquemart. Stéphane retire ses doigts et me pose sa lourde queue sur les fesses. Il place sa matraque à l'entrée de mon cul et commence à pousser très doucement. De mon côté, je fais en sorte de l'aider, mais sa queue est vraiment très grosse. Il rajoute du gel sur mon trou et je sens le gland qui entre, qui avance très lentement, mais inexorablement. Le gland vient enfin de trouver son chemin. Sous le choc, je stoppe ma fellation et pousse un grognement pour manifester la douleur ressentie. Stéphane me rassure :"Je vais te laisser t'habituer à son diamètre. Ton trou va s'y faire. Et, si tu es venu ici ma salope, c'est bien pour que je t'encule à fond". Au bout de quelques minutes, la douleur s'estompe. Je me remets à pomper la queue de Marc qui est beaucoup moins expressif que Stéphane. Je sens finalement que Stéphane a rentré son engin, je sens le haut de ses cuisses contre mes fesses et ses grosses couilles collées aux miennes. Je suis aux anges : l'anus rempli par un braquemart et la bouche qui se régale d'une queue commençant à perler. Stéphane décide de passer aux choses sérieuses. Il s'engage dans de longs va-et-vient qui me font sentir à chaque instant l'importance de la longueur et de la circonférence de la grosse bite qui est en train de me saillir.


Marc a l'air de bien apprécier le mouvement. Je le sens d'un seul coup qui se contracte et qui me lâche en pleine bouche trois giclées d'un sperme épais et abondant. Me tenant la tête afin d'éviter que je cherche à esquiver sa jouissance, Marc se laisse aller et me dit :"Avale mon jus. Prends tout salope". Je ne peux m'empêcher cependant de laisser couler une partie de son jus qui coule sur le lit. "Nettoie le lit. Lèche tout". Il se retire finalement de la chambre en me remerciant de l'avoir bien pompé.


Pendant ce temps-là, Stéphane continue de me ramoner. Au début, doucement. Puis, de plus en plus fort. J'en prends plein le cul. J'entends ses couilles claquer à chaque fois que son chibre me remplit si divinement. Stéphane accélère le mouvement, il souffle. "Je suis en train de t'élargir ton trou de salope. Tu n'es qu'une traînée. Dis-moi que tu aimes cela. Vas-y, dis-le!". "Je suis ta pute. J'aime comment tu me bourres. Je n'ai jamais été défoncé par une queue pareille. Encule-moi encore Stéphane!". Je n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi endurant. Cela faisait au-moins 15 minutes qu'il me baisait à fond. Je sentis à son souffle que Stéphane n'en pouvait plus. Je sentis sa queue se tendre en moi et m'arroser de plusieurs jets puissants. Il continua à bouger plusieurs minutes en me parlant : "J'aime ton cul ma chienne. Je me suis éclaté en te le défonçant. Tu es vraiment une bonne pute. Viens m'embrasser !".


Comme il s'était allongé sur le lit, je m'approche de lui et approche mon visage du sien. Il me le prend à deux mains, approche ma bouche de la sienne et m'introduit une langue puissante et râpeuse dans la bouche. Cette odeur de tabac ne m'est pas désagréable. Il parle plus doucement : "Tu sais, c'était vraiment bon. Tu as aimé te faire engrosser par un taureau ?". En même temps que je sens sa main de nouveau s'aventurer vers mes fesses, je lui réponds "J'ai adoré. Je ne m'étais jamais fait prendre de la sorte". Stéphane me dit alors : "C'est à ton tour maintenant!".


Voyant mon regard interrogatif, Stéphane rigole et me dit : "T'inquiète pas. Je ne te demande pas de me prendre. C'est réservé à Marc ! Tout à l'heure, j'ai fait tout le travail. Maintenant, c'est à toi de me faire jouir en me montrant tes talents de salope". En disant cela, Stéphane commence à me doigter et prend ma main pour la poser sur sa queue qui était déjà bien dure. Puis, il me fait monter sur lui, de telle sorte que je m'accroupisse sur son massif phallus. La route ayant été tracée, son intromission fut plus rapide que la fois précédente. Je me retrouve rapidement avec l'intégralité de sa queue qui me remplit les entrailles. Je vois des sourires de contentement sur son visage. "Bosse salope!" m'encourage-t-il en jouant avec mes tétines. "Bouge ! Montre-moi que tu aimes". Je suis excité comme jamais. Je roule mon cul sur son engin que je sens tout raide en moi. Je me lance dans une longue chevauchée où je vois Stéphane qui apprécie ce qu'il subit.


Etant par nature actif, il ne peut s'empêcher de me mordiller les tétons. "Tu les as tout durs ma pute. Tu aimes t'empaler sur ma grosse queue ?". Et c'est vrai que sentir cette source de chaleur est bon, sentir ces centimètres de queue entrer et sortir est si bon, sentir ce diamètre élargir mon anus est divin. A tel point que ma queue est aussi très dure. Il me regarde et dit :"Eclate-toi sur mon engin. Continue de rouler ton cul de salope sur ma queue". En même temps, il commence à me branler. Mon excitation est décuplée par la sensation de son gros barreau que je sens d'autant plus que je me suis relevé afin de m'empaler encore plus sur lui et de lui permettre de me caresser encore plus fort. D'un seul coup, je n'y tiens plus. Je sens le désir monter et ma queue exploser dans sa main. je jouis comme un fou et crache mon jus qui atterrit sur la poitrine de mon enculeur. Stéphane me fait alors lécher ses doigts et récupère ensuite le lait qui avait coulé sur lui. "Savoure ton sperme. Je suis sûr qu'une salope comme toi l'a déjà goûté. Dis-le moi". "Humm oui j'aime bien lécher mon sperme. C'est délicieux". "Je confirme que tu es une vraie salope" me dit Stéphane.


Très excité, il ne peut s'empêcher de devenir plus actif. Il me fait plier les jambes et entreprend une sarabande pour me pilonner en règle mon cul. Il décide alors de me faire allonger sur le dos et de me ramener les genoux vers les épaules. Je vois son membre turgescent à l'entrée de mon cul. Et, sans crier gare, il me l'enfourne jusqu'à la garde. Je n'en reviens toujours pas de voir cet engin entrer et sortir dans mon cul. Stéphane accélère le mouvement et fait claquer de plus en plus vite ses grosses couilles contre mes fesses. Il est excité, il me traite de salope, de chienne, de sac à foutre, de garage à bite. Il n'en peut plus. Il ressort alors rapidement son gros piston et placer sa lance à incendie en direction de mon visage qu'il arrose de deux grosses giclées de foutre épais avant que je réussisse à la diriger vers ma bouche et de déguster le jus d'homme qui continue à en sortir. Il frotte ensuite son gros gland baveux sur mes joues afin de récupérer le sperme qu'il me réintroduit dans la bouche avec sa tige. Il a l'air satisfait. J'ai droit à "Tu as aimé grosse chienne ? Je suis certain que oui. Va prendre ta douche maintenant et tu pars après".


Le cul endolori, je me fais un plaisir de profiter d'une douche apaisante me remémorant la séance de baise incroyable que je venais de vivre.


Stéphane ayant eu la délicate attention de me déposer mes vêtements sur le lit, j'entreprends de m'habiller en commençant par enfiler mon short. Je sens alors la présence de Stéphane derrière moi, ses deux mains sur mes épaules et un objet dur contre mes fesses. Il commence à m'embrasser dans le cou et me dit :"Tu n'es pas si pressé, j'espère ? J'ai encore envie de ton cul. Je ne vais pas te laisser partir en ayant la trique. Ce sera vite fait". Il m'enlève mon caleçon et me fait allonger sur le dos. Il me place deux oreillers sous les fesses, me fait relever les jambes, ce qui lui permet d'avoir le bon angle pour enfiler sa queue. Il me regarde avec un sourire vicieux et, sans mot dire, il perfore une nouvelle fois mon anus endolori. Il avait bien dit vite fait, ce fut vite fait. Stéphane voulait simplement se dégorger le poireau une nouvelle fois. Il accélère le mouvement et ressort sa queue avec un bruit de succion retentissant. Sa lance de nouveau m'arrose de sperme, moins abondant et moins épais que les fois précédentes. "C'était vraiment bon. Tu es quitte maintenant pour prendre une nouvelle douche et tu pars ensuite", me dit-il en glissant un papier dans la poche de mon pantalon.


Lorsque je sortis de chez lui, je vis le message inscrit sur le mot qu’il m’avait laissé « Marc est très jaloux. Mais j’adore ton cul et je te rebaiserai. Voici mon numéro de téléphone. Laisse-moi un message quand tu voudras que je te défonce ton trou de salope. A bientôt sale chienne ! ».

Les avis des lecteurs

Idem pour les insultes. Sinon en lisant ton texte dans le bus, je sens que j’ai bien mouillé mon caleçon !

Je calerai tjs un peu sur les insultes, et légèrement sur le (presque) intergénérationnel, mais pour l'expérience scientifique, on dira, le mec capable de tenir trois rounds, quitte à repartir sur les rotules... Caliente !



Texte coquin : Rencontre avec un priape bien membré
Histoire sexe : Une rose rouge
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