Un week-end au bord de la mer (3) – Le plein de liquide au supermarché
Récit érotique écrit par Nicolas50 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un week-end au bord de la mer (3) – Le plein de liquide au supermarché
Un week-end au bord de la mer (3) – Le plein de liquide au supermarché
Le lendemain matin, j’entendis du bruit au rez-de-chaussée et en profitai pour me lever. Je vis Chris qui n’avait pas l’air très bien. Elle s’excusa pour hier et m’indiqua qu’elle n’avait pas l’habitude de boire autant et qu’elle avait la gueule de bois. Elle me proposa alors d’aller faire quelques courses au supermarché avec Jean, pendant qu’elle se reposerait. Elle retourna dans sa chambre et je vis Jean apparaître qui, lui, avait l’air en super forme.
« Super soirée hier. Et aujourd’hui j’ai la gaule du matin », dit-il en riant. « Comme Chris est patraque, on va en profiter pour aller nous ravitailler à Vannes. Prépare-toi. On part dans 15 minutes ».
Et nous voici partis pour Vannes.
« On devrait en avoir pour une heure, me dit-il. Ce qui te laisse le temps de pouvoir t’occuper de ma queue ».
Installé dans son grand 4x4, Jean sortit sa queue de son short. Celle-ci était bien évidemment… encore raide.
« Rien de tel qu’une bonne rasade de sperme dès le matin pour avoir son quota de protéines. Fais-toi plaisir. Caresse-moi et avale tout. Je ne veux pas salir ma voiture ».
Je lui tétai le gland tout en lui malaxant ses lourdes couilles.
« Concentre-toi sur ma queue maintenant ».
Ma bouche aspirait son gros bout pendant que ma main le branlait. Je l’entendis souffler et dire : "Bois mon jus connasse".
Il appuya sur ma tête et balança plusieurs grosses giclées dans ma bouche. Même si ce n’était pas simple en raison de l’abondance de son foutre, je m’évertuai à l’avaler. Jean avait apprécié et me le fit savoir.
« Trop bon de gicler dans une bouche de suceuse dès le matin ».
Vingt minutes plus tard, nous arrivâmes à la grande surface. Jean s’installa à une terrasse d’un café dans la galerie commerciale. Un homme vint nous rejoindre.
« Patrick, je te présente Nicolas dont je t’ai parlé hier soir. C’est une pépite. Tu vas adorer. Nicolas, je te présente un pote. Je pense que tu vas l’apprécier. Je te préviens simplement que c’est un très gros gicleur. Suis-le, obéis-lui. Je bois un café en vous attendant ».
Je suivis Patrick qui se dirigeait vers les toilettes de la galerie commerciale. Il me fit signe d’y rentrer et referma la porte à clé.
« Penche-toi au-dessus des chiottes et baisse ton short. Je vais t’enculer comme une truie. Mais ne fais pas de bruit. Jean t’a prévenu tout à l’heure. Prépare-toi à un arrosage en règle ».
A peine eût-il fini sa phrase, qu’il m’introduisit sa queue dans le cul. Le lieu n’incitant pas à la tendresse, il m’enfila son sexe et me baisa à un rythme rapide.
« Jean avait raison. Tu es une bonne receveuse niveau cul ».
Il accéléra le rythme, sortit sa queue et commença à me gicler dans la bouche. Une, deux, trois, quatre, cinq grosses giclées me remplirent la bouche et manquèrent de m’étouffer. Sa bite n’en finissait pas de gicler. Voyant que je ne pouvais absorber plus, il me gicla alors sur le visage au-moins autant de fois. Je n’avais jamais vu cela. Son sperme me coulait sur le visage. J’en avais réellement partout. Sans avoir eu le temps de réagir, il me réintroduisit la queue dans la bouche et me dis de ne pas gâcher son jus. Il me fallut plusieurs minutes pour tout avaler.
« Nettoie ta gueule de pute avant de sortir des toilettes », dit-il en partant.
Je m’assurai que personne n’était présent et me ruai sur le lavabo pour effacer les traces que la pompe à sperme avait laissées. Le sourire aux lèvres, Jean me vit arriver :
« Surprenant, non ? Magne-toi. On fait les courses et on retourne voir Chris ».
Le lendemain matin, j’entendis du bruit au rez-de-chaussée et en profitai pour me lever. Je vis Chris qui n’avait pas l’air très bien. Elle s’excusa pour hier et m’indiqua qu’elle n’avait pas l’habitude de boire autant et qu’elle avait la gueule de bois. Elle me proposa alors d’aller faire quelques courses au supermarché avec Jean, pendant qu’elle se reposerait. Elle retourna dans sa chambre et je vis Jean apparaître qui, lui, avait l’air en super forme.
« Super soirée hier. Et aujourd’hui j’ai la gaule du matin », dit-il en riant. « Comme Chris est patraque, on va en profiter pour aller nous ravitailler à Vannes. Prépare-toi. On part dans 15 minutes ».
Et nous voici partis pour Vannes.
« On devrait en avoir pour une heure, me dit-il. Ce qui te laisse le temps de pouvoir t’occuper de ma queue ».
Installé dans son grand 4x4, Jean sortit sa queue de son short. Celle-ci était bien évidemment… encore raide.
« Rien de tel qu’une bonne rasade de sperme dès le matin pour avoir son quota de protéines. Fais-toi plaisir. Caresse-moi et avale tout. Je ne veux pas salir ma voiture ».
Je lui tétai le gland tout en lui malaxant ses lourdes couilles.
« Concentre-toi sur ma queue maintenant ».
Ma bouche aspirait son gros bout pendant que ma main le branlait. Je l’entendis souffler et dire : "Bois mon jus connasse".
Il appuya sur ma tête et balança plusieurs grosses giclées dans ma bouche. Même si ce n’était pas simple en raison de l’abondance de son foutre, je m’évertuai à l’avaler. Jean avait apprécié et me le fit savoir.
« Trop bon de gicler dans une bouche de suceuse dès le matin ».
Vingt minutes plus tard, nous arrivâmes à la grande surface. Jean s’installa à une terrasse d’un café dans la galerie commerciale. Un homme vint nous rejoindre.
« Patrick, je te présente Nicolas dont je t’ai parlé hier soir. C’est une pépite. Tu vas adorer. Nicolas, je te présente un pote. Je pense que tu vas l’apprécier. Je te préviens simplement que c’est un très gros gicleur. Suis-le, obéis-lui. Je bois un café en vous attendant ».
Je suivis Patrick qui se dirigeait vers les toilettes de la galerie commerciale. Il me fit signe d’y rentrer et referma la porte à clé.
« Penche-toi au-dessus des chiottes et baisse ton short. Je vais t’enculer comme une truie. Mais ne fais pas de bruit. Jean t’a prévenu tout à l’heure. Prépare-toi à un arrosage en règle ».
A peine eût-il fini sa phrase, qu’il m’introduisit sa queue dans le cul. Le lieu n’incitant pas à la tendresse, il m’enfila son sexe et me baisa à un rythme rapide.
« Jean avait raison. Tu es une bonne receveuse niveau cul ».
Il accéléra le rythme, sortit sa queue et commença à me gicler dans la bouche. Une, deux, trois, quatre, cinq grosses giclées me remplirent la bouche et manquèrent de m’étouffer. Sa bite n’en finissait pas de gicler. Voyant que je ne pouvais absorber plus, il me gicla alors sur le visage au-moins autant de fois. Je n’avais jamais vu cela. Son sperme me coulait sur le visage. J’en avais réellement partout. Sans avoir eu le temps de réagir, il me réintroduisit la queue dans la bouche et me dis de ne pas gâcher son jus. Il me fallut plusieurs minutes pour tout avaler.
« Nettoie ta gueule de pute avant de sortir des toilettes », dit-il en partant.
Je m’assurai que personne n’était présent et me ruai sur le lavabo pour effacer les traces que la pompe à sperme avait laissées. Le sourire aux lèvres, Jean me vit arriver :
« Surprenant, non ? Magne-toi. On fait les courses et on retourne voir Chris ».
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