Un week-end au bord de la mer (4) – Chris n’aurait pas dû voir cela - histoire érotique

Un week-end au bord de la mer (4) – Chris n’aurait pas dû voir cela

Nous fûmes de retour vers midi. Chris nous accueillit en ayant préparé la table pour l’apéro. Comme il faisait chaud, je restai prudent et évitai de boire trop d’alcool. Ce qui ne fut pas le cas de Jean qui, rapidement après le déjeuner, s’en alla faire une petite sieste. Je restai alors avec Chris afin de l’aider à tout ranger.


« Content de ton début de week-end ? », me demanda-t-elle.


« Oui, tout est parfait et le temps est de la partie ».


« Jean m’a dit qu’il te trouve très sympa ».


« C’est réciproque ».


Jean descendit nous rejoindre. Chris nous dit alors qu’elle avait une commande à récupérer à la boulangerie et qu’elle serait de retour dans 15 minutes. Dès son départ, Jean, qui ne perdait pas le nord, baissa son short et m’ordonna de me mettre en levrette sur la pelouse.


« On n’a pas beaucoup de temps. Dépêche-toi ».


Aussitôt dit, aussitôt fait. Il m’enfila rapidement sa grosse tige dans le cul.


« J’adore te remplir le cul, sac à foutre ». C’était effectivement le cas : sa grosse saucisse élargissait mon conduit.


Quand, soudain, nous entendîmes une voix féminine :


« Mais qu’est-ce que vous faites ? Ca ne va pas, non ? ».


C’était Chris qui était revenue.


« Jean, tu es malade ou quoi ? Tu es en train d’enculer notre invité ? Ne me dis pas que t es en train de sauter mon collègue de boulot ?».


Je pensais que Chris allait s’énerver, mais ce n’était pas le cas. Jean semblait serein. Il ne s’était pas arrêté de baiser. Il lui répondit de venir voir :


« Nico est une vraie chienne. Regarde ma grosse queue qui lui rentre dans son trou ».


Elle s’approcha : « Hmmm. Je vous ai déjà vu à l’œuvre hier soir. J’ai adoré vous mater quand tu baisais Nico. J’ai aussi bien aimé faire croire à Nico que j’étais bourrée. Beau spectacle hier soir quand tu as défoncé cette salope. Je ne pensais que Nico aimait se faire ramoner. Encule-le à fond. Fais couiner cette chienne ».


Alors là, je ne comprenais plus du tout ce qu’il se passait.


« Fais-la gémir », continua Chris.


Jean m’emmanchait comme jamais et, tout en me baisant, m’expliqua qu’ils ne se cachaient rien avec Chris. Celle-ci se pencha vers moi et m’embrassa.


« Tu vas être notre soumis tout le week-end. J’ai envie que tu me lèches. Occupe-toi de ma chatte et de mon clito ».


Elle s’allongea sur une serviette devant moi et je plaçai ma tête entre ses cuisses pour la faire jouir.


« Jean, tu pourras lui balancer ta semoule quand notre petite pute m’aura bien fait jouir ».


Puis s’adressant à moi : « Titille le bouton de ta Maîtresse. Lape-le. Ne t’occupe que de lui ».


Le lapage en règle la faisait dégouliner. Je n’eus pas de mal à la faire monter car elle était déjà trempée avant même que je ne la goûte. Elle prit ma tête entre ses mains et referma ses cuisses sous l’emprise d’un premier orgasme. Jean bougeait maintenant plus lentement.


« Que c’est bon de jouir. Notre pute sait jouer du clito. Mange-moi la chatte maintenant ».
Sa chatte état trempée. Je la bouffais littéralement, en aspirant ses grandes lèvres, en lui introduisant ma langue et en la léchant sur toute la longueur.


« Jean, cette pute va encore me faire jouir. Explose-lui le cul après cela ».


Chris partit dans un long orgasme silencieux, avec son corps qui s’arc-boutait sous mes caresses. Elle relâcha alors son étreinte. Ce que Jean attendait avec impatience. Excité par la scène, il ne dit pas un mot et me prit à fond en faisant claquer ses grosses couilles à chaque mouvement. Chris s’était relevée pour voir la queue de son mec m’élargir le trou du cul.


« Envoie la sauce mon amour », lui dit-elle en lui introduisant un doigt dans son fondement.


Jean balança alors la purée. Je mis plusieurs minutes avant de m’en remettre.


« Tu ne t’y attendais pas, hein mon cochon ? Cela faisait plusieurs mois qu’on souhaitait avoir une expérience avec toi. Nous n’étions pas certains de ta réaction. Nous avons pris le risque et nous ne sommes pas déçus, me dit Chris. Allez, on se dépêche. Direction la plage que nous puissions aller nager un peu ».


Et nous voilà qui partîmes à pied vers une petite plage à proximité de leur maison.


« Nous sommes très heureux que tu sois venu nous voir. Nous te trouvons adorable. Notre intuition s’est avérée bonne. Tu es dorénavant un ami. Mais, comme tu l’as remarqué, Jean et moi aimons diriger. Donc, au niveau sexe, c’est nous qui décidons. En tout cas, tu m’as impressionné de pouvoir recevoir l’engin de Jean. Ce n’est pas donné à tout le monde. Ce qui confirme que tu aimes te faire mettre car, si Jean avait été le premier, jamais il n’aurait pu entrer sa queue. En ce qui me concerne, il m’a fallu un certain temps avant que j’apprécie la sodomie ».


« Parce que tu aimes la sodomie ? Jean m’a menti sur tout alors ? ».


« Evidemment que j’aime cela. Avec Jean, nous aimons tout et sommes très ouverts. Jean sait ouvrir tous les chemins avec sa grosse bite », dit-elle en riant.