Un week-end au bord de la mer (2) – Une soirée barbecue où Jean ne tient pas en place

- Par l'auteur HDS Nicolas50 -
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Récit libertin : Un week-end au bord de la mer (2) – Une soirée barbecue où Jean ne tient pas en place Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un week-end au bord de la mer (2) – Une soirée barbecue où Jean ne tient pas en place
Un week-end au bord de la mer – 2 – Une soirée barbecue où Jean ne tient pas en place


De retour à la maison, Chris avait préparé un apéro dans le jardin. Elle nous proposa alors de prendre une douche avant de boire une coupe de champagne.

Jean se proposa de me montrer la salle de bains qui m’était affecté. Je le suivis. La douche était dans la pièce contiguë à ma chambre. J’allais entrer prendre une douche quand Jean me retint fermement par l’épaule et me poussa dans la chambre. Il prit ma main et la posa sur sa grosse bite.


« Suce-moi chienne ! J’ai besoin d’être allégé avant de prendre l’apéro ».


La porte de la chambre ouverte, je m’agenouillai et il m’engouffra sa bite qui coulait déjà.
« Je n’ai pas joui depuis plusieurs jours. Tu vas avoir une overdose de sperme ce week-end ».
Je pompais sa bite en lui caressant ses grosses couilles. Je sentais qu’il était excité par mes caresses.


« Fous-toi à quatre pattes sur le lit ! Je vais te prendre comme une femelle ! Je vais te perforer le cul avec mon engin ».


Il entra son gros gland.


« Recule salope, empale-toi sur mon chibre et bouge comme une femelle ».


Ce que je fis. Son gros engin chaud me remplit le cul. J’allais et venais sur son chibre. Il
arrêta le mouvement et dirigea la manœuvre.


« Je vais te ramoner sale truie ».


Il traduisit ses paroles en actes en me défonçant littéralement le trou.


« Espèce de soumis, est-ce que tu veux la semence de ton Maître ? est-ce que tu veux que je te féconde ? ».


« Oui, remplis-moi Jean ».


Jean me claqua les fesses et me dit : « Vouvoie-moi pédale, je suis ton Maître ».


« Fécondez-moi Maître ».


Il me bourra alors le cul pendant de longues minutes et je sentis son jus qui sortait de son tuyau d’arrosoir.


« Hmmm. J’adore ton cul de salope. Prends ta douche vite fait. Il ne faut pas que Chris se doute de quelque chose ».


Quelques minutes plus tard, je descendis.


« Ca va ? La douche était bonne ? Installe-toi. Tu as l’air un peu fatigué, non ? », dit Chris.


« C’est la semaine qui a été longue. Et la balade avec Jean a été sportive ! », lui dis-je.


On attendit la venue de Jean pour trinquer à ce week-end qui s’annonçait sous les meilleurs auspices. La soirée était sympa. L’ambiance était au rendez-vous. L’alcool aussi. Après le champagne, Jean me proposa d’aller voir sa cave à vin et demanda à Chris de surveiller le barbecue.


« Ta cave a l’air incroyable », lui dis-je.


« Baisse ton short et penche toi », m’ordonna-t-il.


Je le sentis enfoncer sa matraque dans mon anus. Il bougea doucement. Son énorme bâton chaud me
distordait le cul. Jean me possédait littéralement le cul.


« Jean, Nicolas ? qu’est-ce que vous faites ? Le champagne va se réchauffer ! », nous appela Chris.


Et d’un coup, Jean se retira.


« Tu ne perds rien pour attendre », dit-il.


Nous revînmes avec plusieurs bouteilles de vin rouge.


« Je me demandais où vous restiez », sourit Chris.


« Votre cave est vraiment impressionnante », répondis-je.


A la fin du dîner, Chris nous annonça qu’elle avait un peu abusé et qu’elle n’allait pas tarder à se coucher. Elle n’avait pas qu’un peu abusé, elle était saoule comme une Polonaise. Jean
l’accompagna dans sa chambre et redescendit rapidement en me disant :


« Elle ronfle déjà ! », me dit-il avec un grand sourire.


Le jardin et la maison n’ayant pas de vis-à-vis, il se déshabilla et m’intima d’en faire autant. Il bandait encore comme un âne. Il s’assit dans un fauteuil et m’ordonna de gober son dard et de l’enduire de salive. Sa grosse queue était bonne.


« Salope ! Viens t’empaler et fais-moi jouir dans ton garage à bite ».


La sensation de faire entrer un tel morceau, centimètre par centimètre, était extraordinaire. Lorsque je sentis ses couilles contre mes fesses et que les miennes reposaient sur son pubis, je commençai mon travail. Jean me regardait bouger sur son glaive.


« Tu le sens, sac à foutre ? ».


« Oui Maître ».


J’alternais des mouvements rapides et plus lents. Son excitation montait. Il me suça les tétines, les mordilla et les pinça.


« Accélère le mouvement grosse chienne. Tu te rends compte que tu n’es qu’une grosse pute qui se fait enculer comme la dernière des salopes ? ».


Ces propos m’excitaient. J’aime cette « poésie » primaire pendant l’acte sexuel. Lui aussi n’en pouvait plus. Soudain, avec ses grandes paluches, il me bloqua pour m’enculer au plus profond. Sa queue se raidit et éjacula un lait toujours aussi abondant. Je sentis plusieurs longues giclées dans mon trou. J’ondulais du bassin sur son manche brûlant.


« C’était pas mal pétasse. Remets ton caleçon car sinon tu vas mettre du sperme partout ».


On débarrassa la table et on s’installa ensuite dans les fauteuils en sirotant un verre de whisky.


« Tu te souviens que nous nous étions vus lors d’une soirée organisée avec des collègues de Chris ? ». J’acquiesçai.


« Je me souviens de Chris qui était avec un grand colosse. Je ne pensais pas que tu étais attiré par les hommes », dis-je.


Jean poursuivit : « Je m’étais dit à l’époque que je trouverais une occasion de te baiser. J’adore tellement sentir mon engin aller et venir dans des culs ».


Comme il se faisait tard, nous sommes allés nous coucher. Je m’endormis comme une masse, ayant trop picolé. Plus tard dans la nuit, dans un demi-sommeil, j’eus l’impression d’un mouvement près de moi. Ce n’était pas un rêve. Il s’agissait d’un corps massif et imposant qui s’était calé derrière moi. Dormant en chien de fusil, je sentis une bite épaisse qui se frayait un chemin pour me pénétrer.


« Ne fais pas de bruit, il ne faut pas réveiller Chris ! J’ai envie de t’enculer. Laisse-toi faire ».


Jean me fourra jusqu’aux boules. J’étais son jouet. Il prenait son plaisir. Il me fit m’allonger sur le ventre en relevant mes fesses. Et sans bruit, mais avec une grande efficacité, il me donnait de longs coups de queue. Il me parlait doucement à l’oreille :


« Tu es une pute. Tu aimes que mon gros sexe te fourre. Contracte-toi sur ma grosse queue. Oui, comme ça. Tu vas manger encore ma purée ».


Il sortit alors son engin pour le faire gicler dans ma bouche.


« Avale tout sac à foutre ».


Il repartit dans sa chambre.

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