Un week-end au bord de la mer (1) - Une balade avec Jean, le mari de ma collègue de travail
Récit érotique écrit par Nicolas50 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un week-end au bord de la mer (1) - Une balade avec Jean, le mari de ma collègue de travail
Un week-end au bord de la mer – 1 – Une balade avec Jean, le mari de ma collègue de travail, lors de laquelle je découvre la puissance de son engin
Il y a cinq ans maintenant que m’est arrivée une aventure singulière lors d’un week-end au cours duquel j’avais été convié à rejoindre un couple d’amis dans leur résidence secondaire à Port Navalo. Christine, alias Chris, était une collègue de travail avec qui j’avais sympathisé. C’est d’ailleurs elle dont j’étais le plus proche. C’était une très belle femme sportive, blonde aux yeux marron avec le teint mat. Elle devait mesurer 1m70 et était bien foutue, particulièrement en ce qui concerne son décolleté qui me faisait loucher chaque fois qu’une tenue adéquate mettait en valeur ses seins. Quelle poitrine elle avait ! Une poitrine à faire bander des eunuques. J’avais aussi eu l’occasion de croiser Jean, son mari, lors de différents dîners avec des collègues.
Lorsque Chris m’invita, je m’empressai d’accepter son invitation à l’idée de profiter pleinement de ce week-end au bord de la mer. C’était l’été. Il faisait beau et chaud et la température était étouffante à Rennes. J’arrivai donc au milieu de l’après-midi dans la presqu’île de Rhuys.
A mon arrivée, Chris se préparait pour aller à la plage avec des amies. Elle me proposa de me mettre à mon aise et de m’installer. Je lui répondis que je pensais aller marcher pour profiter du paysage. Elle appela Jean pour lui dire que j’étais là et lui demanda s’il voulait se joindre à moi. Jean était un mec sportif au physique imposant. Il devait mesurer un peu plus d’ 1,90m et peser dans les 90 kg. Il me proposa d’aller me changer, en m’indiquant où était ma chambre, et de le retrouver dans un quart d’heure dans le jardin. Et c’est ainsi que nous partîmes faire une balade. Nous fîmes ainsi connaissance en parlant de nos vies respectives.
« Au fait, me dit-il, sans vouloir être indiscret, comment cela se fait-il que tu sois venu seul ? ».
Je lui expliquai alors que je m’étais séparé et que j’étais très bien ainsi. Il semblait curieux de savoir si j’avais des aventures. Je ne lui cachais pas que j’en avais eu quelques-unes, mais que je ne tenais pas particulièrement à revivre avec une autre personne. Jean poursuivit en me demandant si j’avais aussi eu des aventures avec des hommes. Il sembla remarquer une pointe de gêne que je ne réussis pas à dissimuler. La gêne en l’occurrence était liée au manque de proximité qu’il y avait entre nous et je fus décontenancé qu’il ose aborder ce sujet. Je ne le connaissais pas vraiment et ne souhaitais pas me confier à lui. Je continuai donc la conversation en évoquant la beauté des lieux.
Il me demanda un moment de l’attendre car il avait besoin de se soulager. Il quitta le chemin des douaniers pour effectuer sa pause technique. Je fus aussi surpris qu’il n’aille pas très loin. Je le vis donc sortir son paquet et pisser contre un arbre. Une fois terminé, il se retourna pour secouer sa queue, qui était très imposante. Il fit quelques mouvements avec sa main pour faire tomber les dernières gouttes. Je ne pus m’empêcher de regarder fixement sa queue qui me donnait l’impression de grossir encore. Il remballa son paquet et je m’aperçus alors qu’il avait bien vu que je n’avais cessé de le regarder.
Il revint vers moi avec un grand sourire et me dit : « Pas simple d’avoir une grosse queue ! ».
Et effectivement, il en avait une belle et il bandait : son short était déformé par le mastodonte.
« Tu es sûr que tu n’as jamais eu d’aventures avec des mecs ? J’ai vu comment tu m’as regardé et j’ai l’impression que ma bite ne te laisse pas indifférent ».
Je lui répondis alors que sa queue m’avait effectivement impressionné. Il me demanda si je voulais la toucher. Je ne répondis pas. Il me fit signe de le suivre.
« Viens ».
Il me conduisit à quelques dizaines de mètres de là dans un endroit plus calme et discret. Il n’y avait pas âme qui vive. Il marchait devant moi et soudain se retourna. Il baissa son short. Sa queue était raide.
« J’ai vu ton cul tout à l’heure quand tu te changeais. Depuis, j’ai une grosse trique à cause de toi. Touche-moi la queue grosse pute ».
Je fus surpris par son langage, mais j’étais si attiré par cette grosse bite que je ne résistai pas à la tentation de lui prendre sa lourde queue dans ma main. Je le branlai doucement. Il avait aussi des couilles volumineuses.
« Lèche-les moi ».
Je m’accroupis et fis ce qu’il me demandait. Je relevai sa queue pour pouvoir lécher au mieux ses grosses boules.
« Tu m’excites. Prends ma queue dans ta bouche et vite ! ».
Le ton était devenu encore plus autoritaire. Je suçai son beau membre.
« Ca fait une heure que j’ai envie de jouir. Active-toi salope ! ».
Sa queue était bonne. Je la sentais palpiter dans ma bouche.
« Je vais te jouir dans la gueule. J’ai plein de lait pour toi ».
Il se branla alors rapidement et m’enfonça sa bite dans la bouche en crachant son sperme épais.
Ma bouche en était pleine. Il me fit me relever pour m’embrasser. Nos langues jouaient avec son sperme. Il interrompit le baiser et me demanda alors de tout avaler. Ce que je fis.
Il me raconta ensuite qu’il était bisexuel actif et qu’il ne baisait quasiment plus Chris depuis quelques temps, car celle-ci n’était pas très demandeuse et qu’elle n’aimait pas se faire sodomiser. Il avait trouvé son équilibre avec les mecs. Il me demanda de ne rien dire, m’assura aussi qu’il ne lui dirait rien me concernant... s’il pouvait disposer de moi pendant le week-end. Je lui assurai que cela n’était pas pour me déplaire, mais qu’il ne fallait pas que Chris le sache. Il acquiesça et me dit que ça allait être ma fête ce week-end.
Il y a cinq ans maintenant que m’est arrivée une aventure singulière lors d’un week-end au cours duquel j’avais été convié à rejoindre un couple d’amis dans leur résidence secondaire à Port Navalo. Christine, alias Chris, était une collègue de travail avec qui j’avais sympathisé. C’est d’ailleurs elle dont j’étais le plus proche. C’était une très belle femme sportive, blonde aux yeux marron avec le teint mat. Elle devait mesurer 1m70 et était bien foutue, particulièrement en ce qui concerne son décolleté qui me faisait loucher chaque fois qu’une tenue adéquate mettait en valeur ses seins. Quelle poitrine elle avait ! Une poitrine à faire bander des eunuques. J’avais aussi eu l’occasion de croiser Jean, son mari, lors de différents dîners avec des collègues.
Lorsque Chris m’invita, je m’empressai d’accepter son invitation à l’idée de profiter pleinement de ce week-end au bord de la mer. C’était l’été. Il faisait beau et chaud et la température était étouffante à Rennes. J’arrivai donc au milieu de l’après-midi dans la presqu’île de Rhuys.
A mon arrivée, Chris se préparait pour aller à la plage avec des amies. Elle me proposa de me mettre à mon aise et de m’installer. Je lui répondis que je pensais aller marcher pour profiter du paysage. Elle appela Jean pour lui dire que j’étais là et lui demanda s’il voulait se joindre à moi. Jean était un mec sportif au physique imposant. Il devait mesurer un peu plus d’ 1,90m et peser dans les 90 kg. Il me proposa d’aller me changer, en m’indiquant où était ma chambre, et de le retrouver dans un quart d’heure dans le jardin. Et c’est ainsi que nous partîmes faire une balade. Nous fîmes ainsi connaissance en parlant de nos vies respectives.
« Au fait, me dit-il, sans vouloir être indiscret, comment cela se fait-il que tu sois venu seul ? ».
Je lui expliquai alors que je m’étais séparé et que j’étais très bien ainsi. Il semblait curieux de savoir si j’avais des aventures. Je ne lui cachais pas que j’en avais eu quelques-unes, mais que je ne tenais pas particulièrement à revivre avec une autre personne. Jean poursuivit en me demandant si j’avais aussi eu des aventures avec des hommes. Il sembla remarquer une pointe de gêne que je ne réussis pas à dissimuler. La gêne en l’occurrence était liée au manque de proximité qu’il y avait entre nous et je fus décontenancé qu’il ose aborder ce sujet. Je ne le connaissais pas vraiment et ne souhaitais pas me confier à lui. Je continuai donc la conversation en évoquant la beauté des lieux.
Il me demanda un moment de l’attendre car il avait besoin de se soulager. Il quitta le chemin des douaniers pour effectuer sa pause technique. Je fus aussi surpris qu’il n’aille pas très loin. Je le vis donc sortir son paquet et pisser contre un arbre. Une fois terminé, il se retourna pour secouer sa queue, qui était très imposante. Il fit quelques mouvements avec sa main pour faire tomber les dernières gouttes. Je ne pus m’empêcher de regarder fixement sa queue qui me donnait l’impression de grossir encore. Il remballa son paquet et je m’aperçus alors qu’il avait bien vu que je n’avais cessé de le regarder.
Il revint vers moi avec un grand sourire et me dit : « Pas simple d’avoir une grosse queue ! ».
Et effectivement, il en avait une belle et il bandait : son short était déformé par le mastodonte.
« Tu es sûr que tu n’as jamais eu d’aventures avec des mecs ? J’ai vu comment tu m’as regardé et j’ai l’impression que ma bite ne te laisse pas indifférent ».
Je lui répondis alors que sa queue m’avait effectivement impressionné. Il me demanda si je voulais la toucher. Je ne répondis pas. Il me fit signe de le suivre.
« Viens ».
Il me conduisit à quelques dizaines de mètres de là dans un endroit plus calme et discret. Il n’y avait pas âme qui vive. Il marchait devant moi et soudain se retourna. Il baissa son short. Sa queue était raide.
« J’ai vu ton cul tout à l’heure quand tu te changeais. Depuis, j’ai une grosse trique à cause de toi. Touche-moi la queue grosse pute ».
Je fus surpris par son langage, mais j’étais si attiré par cette grosse bite que je ne résistai pas à la tentation de lui prendre sa lourde queue dans ma main. Je le branlai doucement. Il avait aussi des couilles volumineuses.
« Lèche-les moi ».
Je m’accroupis et fis ce qu’il me demandait. Je relevai sa queue pour pouvoir lécher au mieux ses grosses boules.
« Tu m’excites. Prends ma queue dans ta bouche et vite ! ».
Le ton était devenu encore plus autoritaire. Je suçai son beau membre.
« Ca fait une heure que j’ai envie de jouir. Active-toi salope ! ».
Sa queue était bonne. Je la sentais palpiter dans ma bouche.
« Je vais te jouir dans la gueule. J’ai plein de lait pour toi ».
Il se branla alors rapidement et m’enfonça sa bite dans la bouche en crachant son sperme épais.
Ma bouche en était pleine. Il me fit me relever pour m’embrasser. Nos langues jouaient avec son sperme. Il interrompit le baiser et me demanda alors de tout avaler. Ce que je fis.
Il me raconta ensuite qu’il était bisexuel actif et qu’il ne baisait quasiment plus Chris depuis quelques temps, car celle-ci n’était pas très demandeuse et qu’elle n’aimait pas se faire sodomiser. Il avait trouvé son équilibre avec les mecs. Il me demanda de ne rien dire, m’assura aussi qu’il ne lui dirait rien me concernant... s’il pouvait disposer de moi pendant le week-end. Je lui assurai que cela n’était pas pour me déplaire, mais qu’il ne fallait pas que Chris le sache. Il acquiesça et me dit que ça allait être ma fête ce week-end.
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Esperont qu'ils se protegent des MST !!!!