Retour aux sources, Ernest le paysan ! 4

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Retour aux sources, Ernest le paysan ! 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Retour aux sources, Ernest le paysan ! 4
Le Week-end est passé, j'ai du mal à m'endormir.
Tout ne s'est pas passé comme je l'imaginais !

Pourtant, sur le papier, ça se présentait bien !

Deux jours sans voir Ernest (un peu de répit pour mon cul !), surtout qu'un bal populaire est prévu dans le village, j'ai hâte d'y m'amuser.

Mireille, la sœur du voisin ami, de mes cousins me court encore derrière.
Je ne sais plus quoi dire pour l'éviter, et le pire, c'est qu'elle me plait énormément !

J'ai l'impression de me mentir, à moi aussi, en trouvant des prétextes nuls, à mes refus !
La journée se passe sans gros soucis, malgré cela.

Vers 22 h, alors que la fête bat son plein, je me rends compte de la présence, au loin, de Bertrand, l'ami bisexuel d'Ernest.
L'homme me lance de nombreux regards, à l'insu de sa femme !

"On peut s'éloigner des autres, Pascal ? Il faut que je te parle, seule à seul !".

C'est Mireille, la jeune voisine qui me parle ainsi, elle me sort de mon trouble, après avoir repéré Bertrand.

"Comme tu veux ! T'as raison, il faut qu'on parle !".

Sur le chemin de l'éloignement, elle se rapproche et pose sa tête sur mon épaule en me prenant la main.
Dès qu'elle nous sait à l'abri des regards, elle se tourne, et m'embrasse avant que j'ai le temps de réagir.

Ses lèvres sont si douces et chaudes ! Je réagi instinctivement en prenant la direction du baiser, lui offrant toute la tendresse que je ressens pour elle.
J'éloigne enfin mes lèvres, elle a les yeux humides.

"J'étais sûre que tu embrassais bien ! Ca fait des jours que j'attend ça !".
"T'as réussi à m'avoir ! Tu sais qu'on peut pas être ensemble ! J'ai quelqu'un déjà !".
"Je sais ! Mais tu m'plais trop ! C'est comme ça !".

Elle me tend de nouveau ses lèvres, pour un interminable baiser.
Puis, elle m'entraine dans une maison vide, que je ne savais pas abandonnée !

Un troisième baiser nous lie, pendant lequel, elle attire ma main droite sur sa poitrine.
Je ne peux pas lui résister ! Je lui malaxe les seins, les découvre, puis les dévore en les serrant dans les paumes de mes mains.

Ses gémissements me comblent d'un bonheur coupable, celui de tromper ma copine !

"Orhhhh ! Pascal ! C'est trop bon, encore !".

Je la couche au sol, pour la couvrir de baisers gourmands et passionnés, de la bouche, au bas ventre.
Elle me dévoile elle-même, sa vulve à peine poilue.

"Donnes moi du plaisir ! Tu es le premier ! Mais j'ai pas envie d'un autre que toi!".
"Mireille ! On est en train de faire n'importe quoi, là !".
"Tais-toi ! Oublies tout le reste ! Tu le veux autant que moi ! Embrasse-moi encore partout !".

Elle attire mon visage vers son ventre, elle a raison, j'en meure d'envie !
Je lui lape le clitoris, fouille sa vulve de ma langue, j'en deviens goulu et affamé, puis je redeviens tendre.
Elle me crie son plaisir intense.

"Arhhhhhhhhhhh ! Tu me rends folle ! Arggggggghhhhhhhhhh !".

Elle revient à elle, peu à peu.

"La vache, c'était fort ! C'est toujours comme ça ?".
"C'est la première fois qu'on te fait ça ?".
"Oui !".
"Ah ! Du coup, je me sens encore plus mal !".
"Il faut pas, je veux aller plus loin avec toi !".
"Comment ça ?".
"Fais-moi l'amour !".
"Mireille ! Je vais partir dans deux semaines ! Il y a mieux comme première histoire ! Tu mérites pas ça !".
"Tu préfères que je le fasse avec le premier venu ?".
"Non, ne dis pas ça !".
"Avec toi, je suis sure que ce sera parfait ! Je t'aime ! Les autres, je les aimerai pas autant que toi ! Et je sais que tu m'aimes, sans l'avouer !".

Mon absence de réaction à son baiser tendre, lui prouve qu'elle n'a pas tort ! Elle me plait énormément !
Une de ses mains vient caresser mon sexe un peu maladroitement.

Elle ouvre ma braguette, sans quitter ma bouche, puis ses doigts glissent sur mes fesses pour dégager mes vêtements.

Je soulève son bassin en écartant ses cuisses, autant que possible, sans cesser de l'embrasser.
Ma verge force doucement contre son hymen, je ne veux pas lui faire de mal.

Ayant lu cela dans une revue de sexe, je lui mordille le cou, pour détourner son attention de la pénétration.
Elle gémit de plaisir, elle aime ça ! Je réitère en forçant encore.
Son hymen cède alors, elle a le souffle coupé.

Je l'embrasse sans bouger, ses jambes se referment sur mes hanches.
Je lui procure du plaisir mammaire, lui mordille le cou, puis lentement, entame de lents mouvements de pénétration.

Je suis un peu perdu, je n'arrive pas à savoir, si son visage est celui du plaisir, ou de la douleur.

"Tu as mal ? Je peux arrêtera si tu veux !".
"Oh, non ! Ca brule un peu ! Mais, de moins en moins, je prends du plaisir aussi ! Continues !".

Je garde le même rythme, lancinant et tendre, je reconnais enfin, le vrai plaisir dans son visage et ses râles !
Tant et si bien, que je dois lui couvrir la bouche pour étouffer ses cris.

Sa jouissance la rend incontrôlable ! Elle se tord de plaisir sur ma verge, elle mord la paume de ma main.
Ca m'excite trop, je dois tenir jusqu'à son orgasme !

Heureusement que ma passion me rend plus endurant ! Je veux cet orgasme, plus que tout !
Elle se cambre enfin sous moi, à plusieurs reprises, puis se met à souffler fort dans ma main.

Je la laisse respirer.

"Ohhhhhhhh ! Pascal ! Je t'aime ! C'était encore mieux que dans mes rêves !".
"C'est normal ! Quand on a pas connu ça, on ne peux pas l'imaginer !".

Nos lèvres se retrouvent sans discontinuer.

"Je pensais pas que tu mettrais autant de temps à jouir ! J'ai failli craquer !".
"Euh, je crois que j'ai joui plusieurs fois, en fait, mais la dernière, c'était "Ouahhhhhhh !".
"Ah, d'accord ! J'suis nul ! Je me suis rendu compte de rien !".

Elle sourit et ajoute:

"Et toi ? T'as pas pris de plaisir ! Je veux que tu jouisses aussi ! On recommence ?".

On reprend notre passion amoureuse, pendant laquelle, elle me fait partager ses envolées de plaisir, jusqu'à l'explosion de la mienne, que je contrôle en éjaculant sur son ventre.

Le souci, c'est qu'après ça, je prends conscience de mon écart de conduite !
Je fond en larmes dans mes deux mains.
Je m'en veux, vis à vis de Mireille et ma copine que j'aime tellement !

"Je te demande pardon, Mireille ! J'avais pas le droit ! On va se quitter dans deux semaines ! C'est pas normal, tout ça, pour moi !".
"Je sais, mais je regrette rien ! Personne n'aurait pu m'aimer aussi bien que toi ! Mais maintenant, je t'aime trop ! Je veux pas que tu me quittes !".

Elle se blottit contre moi en pleurant, elle aussi.

"Ne me laisses pas, Pascal ! Je t'aime trop ! J'ai besoin de toi !".

Je me déteste, même si elle a beaucoup forcé les choses, j'aurai du être plus ferme !
On se lève ensuite, pour retourner au bal.
A présent, elle profite de chaque moment, loin des autres, pour m'embrasser.

J'ai un moment de rêverie, ou mon esprit s'échappe, pour s'évader de toute cette pression.

"Mireille, j'ai besoin d'aller réfléchir à tout ça ! Seul !".
"Ok, mon amour, je comprends !".

Je m'éloigne vers la maison abandonnée, j'ai envie d'être seul !
Je me perds dans mes pensées torturées.

"Ou tu vas comme ça ?".

Je relève la tête, c'est Bertrand qui marche avec un inconnu, de type Italien, au visage bronzé.

"Euh ! Salut Bertrand ! J'ai un peu de soucis ! J'ai besoin de réfléchir un peu !".
"Tu crois pas, qu'une bonne baise te ferai plus de bien ?".

Je suis abasourdi, qu'il me parle ainsi devant l'inconnu !

"Mais, pourquoi tu me dis ça ? Et en plus devant...".
"Qui, Gino ? Il aime ça, lui aussi ! Te fais pas de mouron ! Pas vrai, Gino ?".

Gino acquiesces avec un fort accent Italien, j'avais bien deviné ses origines !
Apparemment, le bois rapproche les hommes pervers de la région !

Ils m'entrainent derrière la maison.

Bertrand m'embrasse, pendant que Gino me caresse les fesses, en déballant sa queue.
Il me tourne ensuite, pour mêler sa langue à la mienne.
Bertrand guide mes doigts sur sa longue bite en érection, mon autre main branle celle de Gino.

Les deux complices m'accroupissent devant leurs ventres.
Je décide d'oublier mes problèmes en m'appliquant à les sucer goulument.
Je ressens comme une sorte de satisfaction autopunitive !
Bertrand a peut être raison, c'est peut être ça qu'il me faut !

La bite de Gino est amusante à lécher, avec son énorme gland, malgré sa plus courte longueur, face à celle de Bertrand.
Il est très directif et profite de chaque retour vers sa verge pour me défoncer la gorge.
Leurs mots salaces me font craindre d'être surpris.

Je les entraine dans la maison, en nous enfonçant, le plus loin possible.
Je reprend mes abutions buccales sur leurs bites gonflées, en usant de la lueur de la lune et du réverbère.
Lors d'un retour sur la bite de Gino, Bertrand baisse mon pantalon.

"Ohhh ! Il se fait baiser le cul aussi ! C'est super ça !". Dit Gino (Je vous passe une écriture décrivant un fort accent Italien ! Mais les "u" deviennent des "Ou", et les "r" sont roulés dans sa bouche !).

Bertrand est en territoire connu, il sait qu'il peut me faire ce qu'il veut !
Je reçois un gros crachat sur l'anus, puis il s'enduit la verge pour se coller aussitôt entre mes fesses.
Il utilise son gland pour me masturber l'anus, qui s'ouvre lentement avec cette sollicitation.
C'est à mon râle que Gino comprend que j'ai la longue bite de Bertrand dans le cul !

"Hummm ! C'est bon, ça ! Après, tu me le laisses un peu ! j'veux baiser sa chatte, moi aussi !".

Je remplis rapidement la pièce avec mes râles de jouissances anales.

"Ouhhh ! Il aime ça ! Il se régale plus que nous ! On dirait !". Dit Gino.
"Ouais, c'est une vraie p'tite pute ! Il adore les grosses bites ! Hein, salope ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! J'aime ça !".

Gino quitte ma bouche, Bertrand comprend qu'il n'a pas le choix !
Je me cambre, en sentant l'énorme gland de Gino, qui m'écartèle les parois anales.

"De dieu ! C'est bon ! Elle est bonne ma queue ! Pas vrai ? Jeune ?".
"Argggggghhhhhhhh ! Oui ! Elle est trop bonne ! Orghhhhhhhhhhh ! Tu me défonces bien !".

C'est alors un ballet incessant de changements de sexe dans ma chatte anale et ma gorge.
Ca les aide à tenir plus longtemps, aussi ! Ils veulent profiter longtemps du moment !

Enfin, je me retrouve au sol avec les cuisses écartées, pendant que Bertrand me pilonne l'anus sans vergogne.
Alors que Gino, ne trouve pas mieux que de me baiser la gorge, comme une chatte, en m'étouffant à chaque enfoncement.
J'aime subir tout ça, en regrettant toutefois, le risque de me tacher sur le sol, surement très sale !

Bertrand annonce sa jouissance, et demande à Gino de lui laisser l'accès à ma bouche.
Gino me soulève par la nuque, Bertrand s'approche, pendant que j'ouvre les lèvres.

Mais, il me gicle sur le visage à plusieurs reprises, ensuite glisse sa verge au fond de ma gorge, et enfin se dresse au dessus de moi, pour m'arroser le ventre.

Il m'arrose le Tee-Shirt, sans se soucier des conséquences.

"Non ! Putain ! Bertrand ! Pas sur moi ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
Gino vient de me transpercer l'anus à nouveau.
Il me fait crier de plaisir anal, alors que le sperme de Bertrand s'étale sur ma face, sous ses assauts.

Bertrand me relève la nuque à son tour.

"Regardes ce qu'il te met dans la chatte, mon copain Gino ! Tu l'aimes sa bite ! Pas vrai, salope ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Oui, je l'aime ! Arggggggggggghhhhhhhhh !".

La vue de son sexe qui disparait en moi, me rend dingue, il m'arrache un nouvel orgasme anal.
je vis mon plaisir en devinant le foutre qui dégouline sur ma face d'ange, et son gout encore présent dans ma gorge.

Je sens qu'il se déchaine encore davantage.
Puis, il se retire et attire mon visage vers son gland, aidé par Bertrand.

Ses flots m'arrosent la face comme la première fois, j'avale un jet qui m'arrive dans la gorge.
Enfin, il se dresse aussi et finit de maculer mon tee-shirt foncé.

Je ne peux même pas ouvrir les yeux, sans risquer d'en faire entrer dans mes paupières.

Je râle encore, quand Gino me remet sa large verge, afin de profiter encore de ma "chatte" béante et lubrifiée.
Il s'amuse à me faire crier un bon moment, puis il se redresse.
Je me plains envers Bertrand:

"Putain, pourquoi vous avez joui sur moi, comment, je vais faire maintenant ?".
"C'est votre problème ! A vous les salopes ! Vous voulez qu'on vous baise, mais vous voulez pas assumer les risques ! Ah ! Ah ! Ah !...".

Les deux hommes me laissent tel quel, allongé sur le sol avec l'anus béant et la face couverte de sperme, comme mon Tee-shirt !

Il me faut vite réfléchir ! D'abord me relever et me rhabiller ! Si quelqu'un arrive, comment expliquer mes fesses dénudées !
Pendant que je remonte mon pantalon, je me penche en avant, de peur de faire couler du foutre sur mes vêtements.

Après tout, au point ou j'en suis ! Je décide de passer mon index sur mon visage maculé, et le lèche plusieurs fois, jusqu'à me penser présentable.

Il me reste le souci du Tee-Shirt ! Je l'enlève pour scruter l'étendue des dégâts !
Ils avaient une grosse envie, les bougres ! Malgré les inconvénients, je me sens fier d'avoir provoqué ce déferlement !

J'ai pas le choix, je le mets en boule et le place dans ma poche !
Je suis vraiment troublé ! Je réalise maintenant, que j'aurai pu m'essuyer avec !
Bon ! Tant pis ! Je remets ma chemise, que je gardais ouverte, en la fermant cette fois !

Je n'ose pas retourner au bal !
Mais, je recroise Mireille, qui s'inquiétait de ma trop longue absence !

"T'es parti longtemps ! ca va mieux ?".
"Euh, oui ! Ca m'a fait du bien !".

Elle se jette sur moi et m'embrasse sans que je m'y attende !
Je pense aussitôt, affolé ! (Putain, ! Elle va trouver que ma bouche à un drôle de gout !).

Je scrute ses réactions, elle s'intrigue un peu, en agglutinant, puis reviens vers mes lèvres.
J'avale au maximum, ma salive.

Ensuite, je presse le pas, afin d'avaler la première gorgée de bière que je peux !
Il est deux heures du matin, Mireille me fait part de son obligation de rentrer chez elle.

On se quitte en s'avouant nos sentiments, plus forts pour elle, que pour moi !
Ma honte doit y être pour quelque chose !

On se retrouve dans la journée du Dimanche, pour refaire l'amour.
C'est toujours aussi magique, et ça me fait peur !

Je pense alors que je vais trop loin, et lui impose une séparation définitive.
Je la regarde partir en pleurs, dans une complète incompréhension.
Elle doit m'oublier, je ne peux pas l'aimer, et je ne la mérite pas !

Dès lors, mes rendez vous avec Ernest seront une échappatoire pour moi, je m'évade sous ses assauts !
Je n'en veux même plus, à Bertrand ! Et serais heureux de le revoir, chez mon paysan adoré, pour ce dernier trio !

Le plus difficile fut de côtoyer Mireille, et lutter contre mon désir, pour son délicieux corps, pendant les deux semaines qui restaient !

Elle voyait la perfection en moi ! Mais personne n'est parfait ! Surtout pas moi, vraiment pas !

Il reste que mes nuits sont, dès lors, remplies de culpabilité envers Mireille, et de honte, quand je pense à Bertrand et Gino.

Mais, c'était bien bon quand même !

Les avis des lecteurs

La suite arrive, elle est logique ! Trop de distance nous séparait ! Quand à ma vie, j'en conviens ! Elle a été exceptionnelle !
Je n'avais pas le physique de Delon, mais j'étais très mignon, avec un sourire ravageur, d'après mes conquêtes féminines et masculines !
Avec ce petit "truc" en plus qui faisait qu'on me remarquait au milieu de beaucoup d'autres ! Je ne peux pas en dire plus ! Désolé !
Une ex m'a révélé un jour, que dans un groupe, on ne voyait que moi ! J'ai du mal à le croire, mais c'est comme ça !
J'ai eu moins d'une centaine de conquêtes féminines, ce qui est peu, comparé aux plus de 1500 amants hommes qui m'ont baisé ! Au minimum !
C'est une réalité incroyable, mais c'est ainsi ! Était-ce grâce à l'époque ? La ville ou je vivais ? Je sais pas !
J'ai aussi remarqué que dès mes premiers rapports sexuels, le regard des hommes et des filles à changé envers moi !
Comme si je dégageais un truc en plus ! J'étais plus sûr de moi, c'est vrai ! Mais pour les hommes ? Pourquoi ont ils deviné que j'étais une possible proie ! J'avais l'impression que c'était marqué sur mon front ! J'aime me faire enculer et j'adore sucer des bites !

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Et ça s'est finit comment avec Mireille ? Décidement c'est Dallas votre vie sentimentale.



Texte coquin : Retour aux sources, Ernest le paysan ! 4
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