S.W.A.T.X : Opération ALPHA (8)
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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S.W.A.T.X : Opération ALPHA (8)
S.W.A.T.X : Opération ALPHA (8)
À mon réveil, je sus que l'on m'avait drogué encore plus fort.
- Exact, cher amis, j'ai rajouté un peu de Viagra et de Baclofène à votre MDMA.
- Ne m'appelez pas cher ami, hurlai-je dans ce sinistre hangar. Ma voix résonna dans tout l'édifice.
- Dommage, car notre collaboration commence à porter ses fruits. Vous nous avez révélé les deux premiers chiffres du code secret, ne l'oubliez pas.
Je fis un effort surhumain pour me souvenir de la scène qui m'avait conduit à céder bien malgré moi. Mais tout se mélangeait dans mes pensées, je n'arrivais pas à me concentrer sur un événement précis. Une décharge électrique dans les électrodes placées de chaque côté de mon front me ramena tout en douceur dans un passé récent. Un passé qui avait pour cadre cet immense endroit, cet homme noir penché sur moi, mes collègues prisonniers... Un passé qui éveillait en moi un désir pervers, chargé de luxure.
Je commençai à geindre. Mes râles devinrent plus suppliants à mesure que je revivais la scène.
« Deacon,... oui Deacon, continue... »
- C'est cela, Sergent Harrelson, vous y êtes. La mémoire vous revient progressivement. Tenez, respirez un peu de poppers, ça vous détendra.
Il me colla le flacon sous les narines. Sans même me contraindre, j'en inspirai une grande quantité. Aussitôt, une vague de chaleur me submergea.
Je me revis écartelé sur cette table froide avec mon partenaire David Kay penché entre mes cuisses. Il s'appliquait à me prodiguer une merveilleuse feuille de rose pendant que sa main s'activait sur ma queue bandée. Cette vision me fit ouvrir la bouche. Un filet de bave s'en échappa pendant que je gémissais bien malgré moi.
Je me surpris à projeter mon bassin vers l'avant à la recherche de cette grosse pogne imaginaire. Mon tortionnaire croisa mon regard empli de luxure et d'imploration. Il se contenta de sourire, tout en frôlant mon sexe tendu.
Je fermai les yeux, et m'agitai dans tous les sens. Je voulais encore jouir.
« Ohh!!! Oui, Deacon,... Oui, je t'en prie, branle-moi.... »
- Le Sergent Kay n'est plus parmi nous. Il apprend son nouveau rôle de chienne, et je peux vous affirmer que ses progrès sont.. monstrueux. Par contre, si vous tournez la tête sur votre droite, vous apercevrez l'officier James Street qui progresse lui aussi à sa façon. Son évolution est... colossale.
Je tournai les yeux de côté. Le spectacle qui s'offrait à moi me fit bander encore plus dur.
- Excitant, n'est-ce pas?!
Mon jeune Cadet avait déboutonné sa chemise noire. Il se tenait à genoux sur un matelas crade, son pantalon de flic sur les chevilles. Autour de lui, quatre membres du gang avaient ôté leurs fringues. Ils étaient tous nus. Je ne pus m'empêcher d'admirer leurs torses finement musclés. Le noir de leur peau, ajouté à la faible lumière des néons apportait une touche sexuelle à la scène qui me fit saliver davantage.
- Patience, Sergent, vous allez pouvoir participer. Mes hommes finissent de le mettre en condition.
L'un des voyous se positionna derrière Street. Il compta jusqu'à cinq, puis enfonça son gourdin dans le cul vierge du jeune Cadet.
Ce dernier se mit à hurler. Aussitôt, on lui pressa un flacon sous le nez et on le força à inspirer. Il finit par se détendre et encaissa l'énorme bite noire sans protester.
Profitant de la bouche ouverte du jeune enculé, le plus costaud des quatre lui présenta son manche à sucer. Une longue queue veinée de bleu que Street enfourna avec gourmandise.
- Je vous avais dit que votre Rookie (jeune recrue dans la Police US) ne manquait pas de talent. Et encore, ce n'est qu'un début.
Toujours maintenu à quatre pattes, je vis un long tube rigide être retiré de la ceinture sécuritaire de James.
« Bordel, sa matraque, pensai-je en n'osant imaginer la suite.»
- Effectivement. Vous n'allez pas tarder à vous rendre compte combien cette arme défensive peut être utilisée de diverses façons.
Je restai sans voix, ne pouvant détourner mon regard de la scène qui se jouait devant moi. Je regardais ce long tuyau d'acier pénétrer inexorablement l'anus de mon jeune collègue sans qu'il ne résiste plus que ça.
Je me demandais de combien ce bâton de nuit s'était enfoncé.
- Au moins des 2/3, précisa la voix près de moi.
Je fis un rapide calcul. 60 centimètres au total, moins 16 centimètres pour la poignée cela faisait 44 cm de tube. Il avait donc, pour l'heure entre 27 et 29 cm dans le rectum.
Cette perspective me fit baver de plus belle. Une nouvelle dose de poppers que j'inhalais sans m'en rendre compte, décupla mes envies. Je tirai sur mes chaînes, désireux de me mêler à mon jeune subordonné et à ces quatre queues monstrueusement dressées.
- Patience, cher ami, patience.
Le plus vieux du quatuor se retourna et leva le pouce dans notre direction.
- Mission accomplie, chef. Il a pris la totalité.
Je restai anéanti. Jim se faisait défoncer en longueur par 43cm d'acier trempé sur 30mm de diamètre.
« Putain, 43cm, 43cm,... 43CM, C'EST PAS POSSIBLE !!!... 43, 43, 43.... »
- Holà, Sergent, je vous ai perdu. Ne m'abreuvez pas de nombres inutiles.
Me saisissant par les épaules et les plaquant contre la table de fer.
- Gardez vos précieux chiffres pour moi. Il m'en faut encore six.
Il prépara ensuite une nouvelle seringue qu'il porta au niveau des yeux pour s'assurer qu'elle fonctionnait bien. Une légère pression vers le bas en fit jaillir un liquide translucide.
- Un petit somme, puis je vous amène notre jeune recrue. Quelques derniers réglages avant sa nouvelle mission...
**************************************************************
Le Sergent Daniel Harrelson ignorait combien de temps il avait dormi. Il finit par ouvrir les yeux et tenta de faire le point sur la situation.
Elle n'était guère brillante. Ses pieds et ses poings se trouvaient toujours attachés contre cette grande table métallique. Sa tête, par contre, était légère à cause de toutes les drogues qu'on lui avait administré. Il se sentait euphorique et nullement inquiet ou paniqué en regard de sa position précaire.
Il inclina sa tête sur le côté. Son coéquipier, l'Officier James Street se trouvait encore à genoux. On lui avait retiré la matraque du cul mais sa bouche était à présent sollicitée. Deux mastodontes lui agrippaient les cheveux pour maintenir sa tête en place pendant qu'une grosse queue lui défonçait la gorge.
Street semblait vraiment concerné par ce qu'il faisait. Il avalait goulûment la colonne de chair en prenant soin de baver tout autour. Bien que ses yeux soient vitreux et ses paupières lourdes, son sexe était complètement raide et balançait à contre-courant des poussées du pieu dans sa bouche.
- Un vrai pro, murmura en écho une voix toute proche. Et encore, vous n'avez rien vu!
(à suivre...)
À mon réveil, je sus que l'on m'avait drogué encore plus fort.
- Exact, cher amis, j'ai rajouté un peu de Viagra et de Baclofène à votre MDMA.
- Ne m'appelez pas cher ami, hurlai-je dans ce sinistre hangar. Ma voix résonna dans tout l'édifice.
- Dommage, car notre collaboration commence à porter ses fruits. Vous nous avez révélé les deux premiers chiffres du code secret, ne l'oubliez pas.
Je fis un effort surhumain pour me souvenir de la scène qui m'avait conduit à céder bien malgré moi. Mais tout se mélangeait dans mes pensées, je n'arrivais pas à me concentrer sur un événement précis. Une décharge électrique dans les électrodes placées de chaque côté de mon front me ramena tout en douceur dans un passé récent. Un passé qui avait pour cadre cet immense endroit, cet homme noir penché sur moi, mes collègues prisonniers... Un passé qui éveillait en moi un désir pervers, chargé de luxure.
Je commençai à geindre. Mes râles devinrent plus suppliants à mesure que je revivais la scène.
« Deacon,... oui Deacon, continue... »
- C'est cela, Sergent Harrelson, vous y êtes. La mémoire vous revient progressivement. Tenez, respirez un peu de poppers, ça vous détendra.
Il me colla le flacon sous les narines. Sans même me contraindre, j'en inspirai une grande quantité. Aussitôt, une vague de chaleur me submergea.
Je me revis écartelé sur cette table froide avec mon partenaire David Kay penché entre mes cuisses. Il s'appliquait à me prodiguer une merveilleuse feuille de rose pendant que sa main s'activait sur ma queue bandée. Cette vision me fit ouvrir la bouche. Un filet de bave s'en échappa pendant que je gémissais bien malgré moi.
Je me surpris à projeter mon bassin vers l'avant à la recherche de cette grosse pogne imaginaire. Mon tortionnaire croisa mon regard empli de luxure et d'imploration. Il se contenta de sourire, tout en frôlant mon sexe tendu.
Je fermai les yeux, et m'agitai dans tous les sens. Je voulais encore jouir.
« Ohh!!! Oui, Deacon,... Oui, je t'en prie, branle-moi.... »
- Le Sergent Kay n'est plus parmi nous. Il apprend son nouveau rôle de chienne, et je peux vous affirmer que ses progrès sont.. monstrueux. Par contre, si vous tournez la tête sur votre droite, vous apercevrez l'officier James Street qui progresse lui aussi à sa façon. Son évolution est... colossale.
Je tournai les yeux de côté. Le spectacle qui s'offrait à moi me fit bander encore plus dur.
- Excitant, n'est-ce pas?!
Mon jeune Cadet avait déboutonné sa chemise noire. Il se tenait à genoux sur un matelas crade, son pantalon de flic sur les chevilles. Autour de lui, quatre membres du gang avaient ôté leurs fringues. Ils étaient tous nus. Je ne pus m'empêcher d'admirer leurs torses finement musclés. Le noir de leur peau, ajouté à la faible lumière des néons apportait une touche sexuelle à la scène qui me fit saliver davantage.
- Patience, Sergent, vous allez pouvoir participer. Mes hommes finissent de le mettre en condition.
L'un des voyous se positionna derrière Street. Il compta jusqu'à cinq, puis enfonça son gourdin dans le cul vierge du jeune Cadet.
Ce dernier se mit à hurler. Aussitôt, on lui pressa un flacon sous le nez et on le força à inspirer. Il finit par se détendre et encaissa l'énorme bite noire sans protester.
Profitant de la bouche ouverte du jeune enculé, le plus costaud des quatre lui présenta son manche à sucer. Une longue queue veinée de bleu que Street enfourna avec gourmandise.
- Je vous avais dit que votre Rookie (jeune recrue dans la Police US) ne manquait pas de talent. Et encore, ce n'est qu'un début.
Toujours maintenu à quatre pattes, je vis un long tube rigide être retiré de la ceinture sécuritaire de James.
« Bordel, sa matraque, pensai-je en n'osant imaginer la suite.»
- Effectivement. Vous n'allez pas tarder à vous rendre compte combien cette arme défensive peut être utilisée de diverses façons.
Je restai sans voix, ne pouvant détourner mon regard de la scène qui se jouait devant moi. Je regardais ce long tuyau d'acier pénétrer inexorablement l'anus de mon jeune collègue sans qu'il ne résiste plus que ça.
Je me demandais de combien ce bâton de nuit s'était enfoncé.
- Au moins des 2/3, précisa la voix près de moi.
Je fis un rapide calcul. 60 centimètres au total, moins 16 centimètres pour la poignée cela faisait 44 cm de tube. Il avait donc, pour l'heure entre 27 et 29 cm dans le rectum.
Cette perspective me fit baver de plus belle. Une nouvelle dose de poppers que j'inhalais sans m'en rendre compte, décupla mes envies. Je tirai sur mes chaînes, désireux de me mêler à mon jeune subordonné et à ces quatre queues monstrueusement dressées.
- Patience, cher ami, patience.
Le plus vieux du quatuor se retourna et leva le pouce dans notre direction.
- Mission accomplie, chef. Il a pris la totalité.
Je restai anéanti. Jim se faisait défoncer en longueur par 43cm d'acier trempé sur 30mm de diamètre.
« Putain, 43cm, 43cm,... 43CM, C'EST PAS POSSIBLE !!!... 43, 43, 43.... »
- Holà, Sergent, je vous ai perdu. Ne m'abreuvez pas de nombres inutiles.
Me saisissant par les épaules et les plaquant contre la table de fer.
- Gardez vos précieux chiffres pour moi. Il m'en faut encore six.
Il prépara ensuite une nouvelle seringue qu'il porta au niveau des yeux pour s'assurer qu'elle fonctionnait bien. Une légère pression vers le bas en fit jaillir un liquide translucide.
- Un petit somme, puis je vous amène notre jeune recrue. Quelques derniers réglages avant sa nouvelle mission...
**************************************************************
Le Sergent Daniel Harrelson ignorait combien de temps il avait dormi. Il finit par ouvrir les yeux et tenta de faire le point sur la situation.
Elle n'était guère brillante. Ses pieds et ses poings se trouvaient toujours attachés contre cette grande table métallique. Sa tête, par contre, était légère à cause de toutes les drogues qu'on lui avait administré. Il se sentait euphorique et nullement inquiet ou paniqué en regard de sa position précaire.
Il inclina sa tête sur le côté. Son coéquipier, l'Officier James Street se trouvait encore à genoux. On lui avait retiré la matraque du cul mais sa bouche était à présent sollicitée. Deux mastodontes lui agrippaient les cheveux pour maintenir sa tête en place pendant qu'une grosse queue lui défonçait la gorge.
Street semblait vraiment concerné par ce qu'il faisait. Il avalait goulûment la colonne de chair en prenant soin de baver tout autour. Bien que ses yeux soient vitreux et ses paupières lourdes, son sexe était complètement raide et balançait à contre-courant des poussées du pieu dans sa bouche.
- Un vrai pro, murmura en écho une voix toute proche. Et encore, vous n'avez rien vu!
(à suivre...)
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai adoré ma lecture et frissoné de plaisir , lorsque l'on échappe au contrôle c'est là que nous sommes le plus désireux face à ce spectacle surtout si on rajoute la drogue
La suite arrive doucement, même si les chapitres sont écrits depuis longtemps.
J'en publie en moyenne un par mois. :-)
DeeWar
J'en publie en moyenne un par mois. :-)
DeeWar
Bonjour ! Une des meilleures histoires depuis longtemps ! A quand la suite :)
