Scenario passif

- Par l'auteur HDS EricDeFrance -
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Récit libertin : Scenario passif Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Scenario passif
Toute la journée, il avait senti son cul le titiller. Une sensation étrange, inhabituelle en tout cas, qui l’avait envahi, et qu’il avait laissé l’envahir.
L’envie d’être passif, l’envie de se doigter, l’envie de se faire enculer.
L’envie d’un actif, d’un viril, d’un baraqué, d’un mec TBM.
L’envie d’une grosse bite. A sucer, et à se prendre dans le cul.

Vraiment étrange comme sensation. Inhabituelle. De nature à remettre en cause pas mal de choses en lui.
Non pas qu’il était totalement hermétique à l’idée d’être passif, mais Samir était un être fier, et, par fierté, il se fermait à pas mal de choses.
Mais en ce moment, il était bien. Bien avec Eric. Bien avec lui-même. Bien avec son corps.
Du coup, il s’ouvrait, notamment à l’idée d’être passif. Il s’en rendait compte, puisque son corps, en se manifestant de cette façon, parlait pour lui.

Entre midi et deux, il n’en pouvait plus, et avait vraiment envie de se taper un actif. Démarche inhabituelle pour lui, il changea son annonce sur Planet, et écrivit : “ Beau rebeu, cherche à se faire défoncer “. Clair, net, direct. Narcissique aussi.
Il en était conscient, mais assumait totalement. Il s’aimait, se trouvait beau, bien foutu, il faut dire qu’il faisait sacrément attention à lui, tant dans l’alimentation que dans l’exercice physique. Tout cela lui donnait une grande confiance en lui, il aimait son corps, se trouvait du charme, du charisme même, et il en jouait. Ça lui réussissait pas mal d’ailleurs, et lui permettait de parvenir à ses fins. Souvent. Régulièrement.

Mais, durant la pause de midi, personne ne se manifesta, et ne répondit à son annonce. Ça le fit sourire. Il savait bien que ce genre de site attirait les gars bourrés de clichés et, parmi ceux-ci, le cliché du rebeu actif. Forcément actif. Ce genre de préjugés, dont il s’estimait souvent victime, l’agaçait au plus haut point.
De rage, il éteignit son ordi, et sortit promener la chienne pour se calmer.

C’est durant cette promenade que l’idée de scenar lui vint. C’était quelques jours après les deux scenari bad boy, deux jours de suite, qui avaient super bien fonctionné.
L’échec de la tentative de plan via internet l’avait refroidi, et fait réaliser que plutôt que de se taper un inconnu, il préférait un plan avec celui qu’il avait sous la main ... sous la bite, sous le cul... son compagnon Eric !
Il n’avait pas le réflexe en fait, tellement leur relation était binaire : Samir actif / Eric passif, point.

C’était évidemment plus complexe que ça. D’abord parce qu’Eric était un vrai autoreverse. Avant tout une suceuse, une bouffeuse, et une passive. Mais il pouvait être actif, Samir le savait, et, en plus, en avait été témoin... et victime, si l’on peut employer ce mot...
Il n’avait pas oublié cette fameuse nuit, qui avait suivi le plan à trois avec Arnaud, et où Eric l’avait baisé. Enfin... pour la première mais aussi la seule fois.
Pour l’instant.
Samir savait cela. Il savait qu’un jour il y aurait une deuxième fois, et puis d’autres. C’était inéluctable. Mais il voulait que ça se passe quand il l’aurait décidé.
Et ce jour-là il sentait que ça allait se passer. Il l’avait décidé. Ou plutôt son corps l’avait décidé pour lui. Ou lui avait fait comprendre qu’il en avait envie, et qu’il était prêt.
Enfin se dit-il...

Assez vite, l’idée d’un scenar germa en lui. Comme il aimait son corps, il avait envie de l’exhiber, de le mettre en scène, de le rendre désirable. Il allait donc se mettre à poil, et s’offrir à Eric. Lui offrir son cul plus exactement.
Il savait que son compagnon en était fou, et adorait le lui bouffer.
Habituellement il n’était pas trop fan de ça, et se laissait faire essentiellement pour faire plaisir à son mec.
Mais ce jour-là il en avait envie.
Il avait envie d’exhiber, d’exposer, de livrer son cul à son ami. De voir aussi ce qu’il en ferait, jusqu’où il irait. S’il le boufferait. Combien de temps.
S’il y foutrait sa bite, surtout.
Il avait envie en tout cas de totalement se laisser faire.

Alors il pensa au scenar suivant : attendre Eric dans la cuisine, à poil, avec juste un tablier, qui lui recouvre le devant, mais laisse l’arrière à la vue, puisqu’il n’y aurait que les cordons. Se mettre contre l’évier, qui était juste en face de la porte d’entrée. De dos. Le cul offert à la vue et à la disposition.
Ne rien dire. Ne pas bouger. Ne rien faire. Se laisser faire. Totalement. Quoi qu’il arrive, quoi qu’Eric fasse, se laisser faire. Sans participer. Voir ce qu’il allait faire, et ce qui allait se passer.

Il pensa à ce scenar, qui l’excitait bien, tout l’après-midi.
Enfin, quand il rentra, il prit une bonne douche. Bien chaude. Il prit son temps, de toute façon ça irait vite, il n’avait pas d’habits à mettre...
Vers 19h, il se mit en cuisine, avec juste le tablier, comme il l’avait prévu. Il prépara le repas, et attendit...

Eric rentra vers 19h30, son heure habituelle, Samir avait le coeur battant quand il entendit le bruit de clés et l’ouverture de la porte. Mais ne rien dire et attendre. Sans bouger.
Eric ne le vit pas tout de suite car, dans un premier mouvement, il alla dans le salon, et fut surpris d’y trouver la chienne et son panier. Elle vint lui faire la fête, il la caressa et elle retourna à son panier dans un gros soupir.
Il entreprit d’oter sa veste et d’enlever sa cravate, qu’il avait déjà largement desserrée.
C’est ainsi qu’il se dirigea vers la cuisine, dont la porte était inhabituellement fermée.
Comme il n’entendait pas de bruit, il pensa même que Samir n’était pas encore rentré.

C’est en ouvrant la porte vitrée qu’il le vit.
Il s’arrêta net devant le spectacle. Beau, subjuguant, offert.
Il ne put résister, ouvrit la bouche et sortit la langue. Il était tellement fou amoureux de ce cul, que Samir lui présentait comme une offrande, qu’il ne put se retenir. Il se sentait de sucroît mû comme par une force irrésistible qui l’attirait vers lui.
Il s’approcha, s’agenouilla, la langue toujours sortie de la bouche. Il l’avança, écarta les fesses, colla sa langue contre l’orifice, et se mit à bouffer.

Il ferma les yeux pour savourer l’instant. Trop bon.
Il aimait trop ça, bouffer un cul en général, mais surtout bouffer celui de Samir. C’était trop peu souvent, et ça lui faisait du bien.
Il s’appliqua à bien le bouffer, en malaxant les deux fesses avec chacune de ses mains, et en léchant la rondelle, d’abord en surface, puis en profondeur, en introduisant la langue dans le trou.

Samir de son côté ne disait rien et ne bougeait pas, comme prévu, mais il prenait son pied. Il avait attendu ce moment depuis le matin, et savourait les sensations qu’il ressentait à se faire bouffer l’orifice. Ce dont il n’était pas fan habituellement.
Mais ce dont ce jour là il avait envie. Presque besoin.
Il faut dire qu’Eric faisait ça bien. Il aimait tellement ça que le contraire aurait été surprenant, mais il n’empêche, il faisait ça bien. Et ça faisait du bien à Samir. Pour l’instant son plan scénarisé fonctionnait à merveille.

Cet anulingus inattendu excita grandement Eric qui très vite s’était mis à bander particulièrement fort. Il s’arrêta quelques instants car il avait envie de se mettre à l’aise, de se déshabiller, et, surtout, de libérer sa queue.
Il ne voulut pas perdre le contact avec le cul de Samir, toutefois, et, après avoir léché ses doigts de la main gauche, lui caressa la rondelle pendant qu’il se déshabillait.
Une fois à poil (chaussettes comprises...) il reprit possession des fesses de Samir qu’il malaxa de ses doigts, il défit le noeud du tablier qu’il portait et le lui ota, pour le dénuder également totalement.

Il le voulait à sa disposition. La vue de son dos, sa descente vers les fesses, la couleur hâlée de sa peau, tout l’excitait chez Samir. Il le déplaça légèrement, et le fit mettre à l’horizontale contre le plan de travail, avant de reprendre possession de ses fesses et de reprendre son anulingus.
Trop bon.
Trop excitant.
Il eut envie de le posséder totalement, et de fourrer sa bite dans son cul, ne serait-ce que pour la soulager, et vider ses burnes tendues à l’extrême.
Et puis c’était son fantasme, il ne l’avait fait qu’une fois, mais en gardait un souvenir ému, une envie de le refaire, le souvenir aussi que ça avait été très rapide, trop rapide.

Il ne savait pas si Samir tolèrerait de se prendre sa bite, mais il se disait que oui. Il y avait un grand et profond feeling entre les deux hommes, qui, souvent, se comprenaient sans se parler.
Eric n’avait pas eu besoin d’un dessin, il avait compris que Samir s’offrait à lui, et surtout, lui offrait son cul. Il se sentait donc autorisé à en disposer à sa guise. Y compris jusqu’à la sodomie. Il le savait, il le sentait.

Il saliva sa bite, saliva aussi la rondelle et l’entrée de l’anus de Samir. Il ne pouvait plus attendre, et approcha sa bite. Il s’excita d’abord en la frottant entre ses fesses, pour, très vite, se positionner à l’entrée du trou. Il s’enfonça lentement, tout en caressant le dos et aussi le devant de Samir. Il adorait cette peau douce qui lui faisait toujours autant d’effet. Il eut la curiosité de s’aventurer jusqu’en bas, et se rendit compte qu’il bandait bien.
De bon augure, tout ça.
Il continua à s’enfoncer mais, comme il y a un an, buta assez vite, sans doute au même endroit crucial, et ne put avancer davantage. Il se demanda un court instant si la bite de quelqu’un d’autre s’était aventuré depuis à cet endroit, et il se dit que non.

Samir de son côté constatait avec satisfaction que son plan avait fonctionné à la perfection. Il était très excité de ce que lui faisait Eric, bandait bien à fond, mais n’avait pas envie de se servir de sa bite, il ne voulait que du plaisir anal, ce soir, et Eric lui en donnait. Comme il l’avait espéré. Plus même.
Et il sentait qu’il ne se contentait pas de lui bouffer la rondelle, mais qu’il allait le baiser, le contraire l’aurait déçu.
Il le sentit buter comme l’an dernier, au même endroit, et savait que son orifice était particulièrement étroit. Avant l’épisode de l’an passé, il ne l’avait ouvert à une bite qu’une quinzaine d’années auparavant, quand il avait 25 ans, avec Mario, son copain de l’époque.

Eric était donc son deuxième, et il était doublement content. De se dire qu’il allait le baiser une deuxième fois, alors que Mario s’était arrêté à une, tellement il avait eu mal.
Il avait d’ailleurs eu bien moins mal l’an passé avec Eric, et il savait qu’un jour il y reviendrait. Il était content aussi de se dire qu’il ne s’était pas fait baiser à la mi-journée par un inconnu, comme il en avait l’intention initialement. Il était certain qu’il l’aurait regretté.

Il ferma les yeux, et, comme il le faisait de temps en temps, essaya d’entrer, par la pensée, en communion avec Eric. Il le sentait le désirer, et voulut faciliter l’intromission qui avait commencé. Il se concentra, et envoya des ordres à son cerveau pour relâcher l’accès à ses entrailles.
Hasard ou pas, Eric sentit le point de blocage céder, et put rentrer sa bite jusqu’au bout.
Il commença des mouvements de va-et-vient, mais l’excitation était telle que, comme l’an passé, avant même, il éjacula assez vite, et eut quand même la force de branler Samir et de le faire jouir - il se dit qu’il était manifestement au moins tout aussi excité que lui.

Toujours à l’intérieur de son compagnon, il eut du mal à reprendre une respiration normale, tellement la jouissance avait été intense, et les spasmes accompagnant les jets, nombreux.
Il finit par s’affaler sur le dos de Samir qui, enfin, bougea pour se retourner, et lui adressa un beau sourire. Lui aussi lui sourit, et les deux hommes finirent par éclater d’un rire complice. Comme pour relâcher la tension accumulée.
- Trop bon, finit par dire Eric.
- Trop bon, répondit Samir, comme en écho.
Les deux hommes se firent un smack, avant de se relever.

Décidément, trop bon, ce scenario passif.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Jojo
Presque même histoire m est arrivé. Mon trou de cul me titillé. Envie d une bite qui remplisse mon cul. Ki défoncés mon trou encore vierge. En ce promener dans la montagne j ai remarqué un vieux berger. Je suis approcher de lui. Parlant de tout et de rien. Je lui demande s il est marié. Il dit qu il est veuf. Il m'a répondu pourquoi cette question tu veut me rafraîchir en rigolant. À mon je lui répondu est-ce que vraiment tu pourrait me défoncés le cul en rigolant. Il m'a dit si tu veut essayer je te montre c est quoi une grosse bite. Je ne croyais pas si c'est vrai ou pas je lui dit OK je vais te donner mon cul pour le défoncés. Vite en a ôter les dessous. Il m'a dit de mettre en levrette. J ai exécuté ces ordres il a lecher mon trou c'était formidable jamais ressenti cette sensation sa langue pénétré mon cul. Sa bite était grosse que j ai croyais
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