Scrabble
Récit érotique écrit par CDuvert [→ Accès à sa fiche auteur]
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Scrabble
Clara dispose les lettres sur son chevalet avec un sourire malicieux qui retrousse le coin de ses lèvres pleines. Ses doigts aux ongles vernis de rouge sombre effleurent chaque tuile avec une lenteur calculée. La trentenaire brune aux formes généreuses porte un chemisier de soie noire qui épouse ses courbes voluptueuses et une jupe crayon qui moule ses hanches rondes. Ses cheveux ondulés cascadent sur ses épaules nues, dégageant un parfum capiteux de jasmin et de vanille qui flotte dans l'air tiède du salon.
Elle a proposé une variante du Scrabble à ses trois amis lors de leur soirée hebdomadaire, mais aucun d'eux ne soupçonne encore la nature de sa proposition. Les bougies parfumées projettent des ombres dansantes sur les murs, créant une ambiance feutrée propice aux confidences.
En face d'elle, Marc examine ses lettres d'un air concentré. Son ex-amant aux épaules larges porte une chemise blanche légèrement déboutonnée qui laisse entrevoir son torse musclé et bronzé. Ses avant-bras puissants émergent des manches retroussées, révélant des veines saillantes sous la peau mate. Ses cheveux châtains légèrement grisonnants aux tempes lui donnent un charme de séducteur accompli. Quand il lève les yeux vers Clara, son regard sombre s'attarde une fraction de seconde sur le décolleté généreux qui se devine sous la soie.
À sa droite, Sophie ajuste nerveusement sa robe courte d'un geste qui trahit son trouble grandissant. La petite blonde aux yeux verts porte une robe d'été qui met en valeur ses jambes fuselées et sa silhouette menue. Ses cheveux dorés encadrent un visage aux traits délicats, ses lèvres rosées brillent d'un gloss discret. Elle croise et décroise ses cuisses nues, inconsciente de l'effet hypnotique de ses mouvements sur ses compagnons. Un léger parfum de pêche émane de sa peau nacrée.
Thomas, le plus timide du groupe, rougit déjà en découvrant les nouvelles règles griffonnées sur un papier que Clara vient de déposer au centre de la table. Le jeune homme aux cheveux bruns bouclés porte un pull en coton qui dissimule sa carrure fine. Ses yeux noisette brillent d'une curiosité mêlée d'appréhension derrière ses lunettes à monture discrète. Ses doigts tremblent légèrement quand il saisit le papier pour le lire.
"Chaque mot à connotation érotique vaut le double des points normaux", explique Clara d'une voix suave en croisant lentement les jambes. Le tissu de sa jupe remonte légèrement sur ses cuisses, révélant un bas autofixant. "Et celui qui le pose doit... l'illustrer lui-même ou avec l’aide de la personne qu’il désignera."
Un silence lourd s'installe dans la pièce. Les flammes des bougies vacillent, projetant des reflets dorés sur la peau de Clara. L'atmosphère se charge d'électricité, comme avant un orage d'été. Une tension nouvelle s'immisce entre eux, faite d'excitation et d'appréhension mêlées.
Sophie déglutit avec difficulté. Ses joues se teintent d'une rougeur délicate qui descend jusqu'à son décolleté. Elle mordille sa lèvre inférieure d'un geste inconscient qui attire le regard de Marc. Ses yeux verts papillonnent entre ses trois amis, cherchant à déchiffrer leurs réactions.
Marc desserre sa cravate d'un geste brusque, comme si l'air se raréfiait soudain. Ses mâchoires se contractent imperceptiblement. Il jette un regard appuyé vers Clara, un mélange de désir et de défi dans ses prunelles sombres. Ses doigts tambourinent sur la table, trahissant une nervosité inhabituelle chez cet homme habituellement maître de lui.
Thomas déglutit péniblement, sa pomme d'Adam tressaute dans son cou gracile. Ses joues s'empourprent davantage tandis qu'il relit les règles, incrédule. Ses mains moites laissent des traces sur le papier froissé. Il ose à peine regarder ses compagnons, perturbé par les images qui se bousculent dans son esprit.
Clara savoure déjà la tension palpable qui envahit le salon tamisé. Elle observe tour à tour ses trois amis, notant chaque frémissement, chaque rougeur, chaque regard fuyant. Son sourire s'élargit, révélant des dents blanches parfaites. Elle humidifie ses lèvres d'un coup de langue discret, un geste qui n'échappe à personne.
La pendule égraine les secondes dans le silence ouaté. L'odeur des bougies se mêle aux parfums des quatre protagonistes, créant un mélange enivrant. Les respirations se font plus courtes, plus saccadées. Chacun semble peser les implications de ce nouveau jeu, entre fascination et pudeur.
"Alors", murmure Clara en faisant rouler une lettre entre ses doigts, "qui commence ?"
***
Sophie pose tremblante les lettres E-X-H-I-B-E-R sur le plateau, ses doigts fins effleurant chaque tuile avec une précision nerveuse. Le mot s'étale sur la grille, formant le premier terme interdit de la soirée. Les quarante points s'affichent au compteur mais tous les yeux se tournent vers elle, abandonnant les chiffres pour se fixer sur sa silhouette délicate.
"Ce sera toi ou la personne que tu choisis…", murmure Clara d'une voix veloutée, ses lèvres esquissant un sourire complice.
Sophie inspire profondément, l'air chargé d'encens et de désir brûlant ses poumons. Ses joues se parent d'une rougeur délicate qui descend jusqu'à son décolleté, mélange troublant d'excitation et de gêne.
“Ce sera moi.” Elle se lève avec une lenteur calculée, ses jambes tremblent imperceptiblement sous l'intensité des regards posés sur elle.
Ses doigts aux ongles nacrés saisissent l'ourlet de sa robe d'été, le tissu léger frémit contre sa peau satinée. Elle hésite un instant, ses yeux verts balayant le visage de ses trois amis. Marc la dévore du regard; sa mâchoire contractée trahit son désir naissant. Thomas a cessé de respirer, ses lunettes embués par la chaleur montante. Clara observe la scène avec une satisfaction gourmande, les pupilles dilatées par l'excitation.
Sophie remonte lentement sa robe, dévoilant d'abord ses chevilles fines, puis ses mollets fuselés. Le tissu continue sa progression, révélant ses genoux délicats, ses cuisses nacrées qui semblent sculptées dans l'ivoire. Un string de dentelle blanche apparaît, si fin qu'on le dirait peint sur sa peau. Les broderies transparentes laissent deviner la toison dorée qui couronne son intimité.
Le tissu léger glisse maintenant le long de son buste étroit. Ses seins menus sont dévoilés, parfaitement ronds, leurs aréoles roses pâles couronnées de tétons plus sombres déjà durcis par l'excitation. Sa peau laiteuse luit sous la lumière des bougies, chaque courbe magnifiée par les jeux d'ombre et de lumière.
Les respirations se font plus courtes autour de la table basse. L'air semble vibrer d'une électricité palpable. Marc ajuste discrètement son pantalon devenu trop serré, son membre viril déforme le tissu de son costume. Ses narines se dilatent, captant le parfum de pêche mêlé à l'odeur musquée de l'excitation féminine.
Thomas ne peut détacher son regard de la peau laiteuse qui se dévoile sous ses yeux ébahis. Sa pomme d'Adam tressaute nerveusement tandis qu'il déglutit avec difficulté. Ses mains moites se crispent sur ses genoux, luttant contre l'envie de tendre les bras vers cette apparition éthérée.
Clara sent une chaleur humide naître entre ses cuisses, son entrejambe pulse sous la soie de sa culotte déjà trempée. Ses tétons se dressent contre le tissu de son chemisier, traçant deux petites bosses visibles sous la soie noire. Elle humidifie ses lèvres d'un coup de langue, savourant le spectacle qu'elle a orchestré.
Sophie achève de retirer sa robe par-dessus sa tête et pivote avec une grâce naturelle, offrant son dos cambré à l'assistance médusée. Ses omoplates délicates se dessinent sous sa peau diaphane, sa colonne vertébrale trace une ligne parfaite jusqu'à la naissance de ses reins. Ses fesses rondes, fermes et hautes, sont moulées dans la dentelle transparente qui révèle plus qu'elle ne cache. Le string disparaît entre ses chairs nacrées, soulignant la courbe parfaite de ses hanches.
Elle ondule doucement, ses mouvements fluides évoquent une danse ancestrale. Ses hanches dessinent des cercles hypnotiques, chaque rotation révèle un nouvel angle de sa beauté. Ses cheveux dorés caressent ses épaules nues, créant un rideau soyeux qui cache et révèle tour à tour son visage rougi par l'émotion.
Ses mains remontent lentement le long de ses flancs, ses doigts effleurent sa peau comme des plumes. Elle trace des arabesques invisibles sur ses côtes, ses paumes glissent vers ses seins qu'elle effleure avec une délicatesse infinie. Ses tétons se dressent davantage sous ses caresses, durcissent jusqu'à devenir de petites perles rosées.
Une main continue son ascension, caresse son cou gracile d'un mouvement langoureux. Elle rejette sa tête en arrière, offrant la courbe parfaite de sa gorge où bat une veine délicate. Ses lèvres s'entrouvrent, laissant échapper un souffle tremblant qui résonne comme une mélodie dans le silence ouaté du salon.
Thomas sent le sang affluer vers son bas-ventre, sa respiration devient saccadée. Ses yeux ne quittent plus le spectacle fascinant de Sophie qui se caresse avec une sensualité provocante. Marc desserre davantage sa cravate, une fine pellicule de sueur perle sur son front bronzé.
Clara se penche légèrement en avant, ses seins généreux s'écrasent contre le bord de la table. Elle observe chaque détail de la performance de Sophie, notant la façon dont ses tétons se contractent, comment ses hanches ondulent avec une grâce féline, la manière dont sa peau frémit sous ses propres caresses.
Sophie pivote de nouveau, s’offrant maintenant de face. Ses yeux verts brillent d'un éclat nouveau, mélange de pudeur et d'excitation grandissante. Ses joues empourprées contrastent avec la pâleur de son cou. Elle poursuit ses caresses, une main glissant vers son ventre plat tandis que l'autre maintient ses cheveux relevés, exposant entièrement sa gorge et ses épaules.
L'atmosphère devient suffocante, chargée de désir et de promesses. Les quatre protagonistes sont maintenant liés par une complicité nouvelle, franchissant ensemble les limites de leur amitié pour pénétrer dans un territoire inconnu fait de plaisirs partagés et d'interdits brisés.
***
Thomas, enhardi par le spectacle sensuel de Sophie, aligne B-R-A-N-L-E-R avec des doigts fébriles qui tremblent sur les lettres. Chaque tuile claque contre le plateau dans un bruit sec qui résonne dans le salon silencieux. 7 lettres et mot compte double. Mais maintenant le véritable défi l'attend, et il sent son cœur marteler sa poitrine avec une violence inouïe.
Il se lève maladroitement, ses jambes flageolantes le portent à grand-peine. Encore vêtu de sa chemise de coton et de son pantalon chino, il paraît soudain trop habillé face à Sophie qui rayonne dans sa nudité assumée. Ses gestes hésitants contrastent avec l'audace du mot qu'il vient de poser, mais quelque chose dans son regard trahit une détermination nouvelle.
Ses doigts tremblants s'attaquent aux boutons de sa chemise. Le premier résiste, puis cède sous ses efforts nerveux. Un à un, ils libèrent son torse imberbe et pâle, révélant une peau laiteuse qui n'a jamais connu le soleil. Sa poitrine se soulève rapidement, sa respiration saccadée témoigne de son émoi grandissant. Des gouttes de sueur perlent déjà sur son front, glissent le long de ses tempes.
Il fait glisser la chemise sur ses épaules étroites, le tissu tombe au sol dans un froissement léger. Ses mains s'attaquent maintenant à sa ceinture, le cuir claque quand la boucle se libère. La fermeture éclair descend avec un bruit métallique qui résonne comme un glas dans le silence tendu. Son pantalon tombe sur ses chevilles, révélant des jambes fines et blanches.
À travers son boxer de coton blanc, sa virilité se dessine déjà avec une évidence troublante. Le tissu se tend, déformé par son érection naissante qui pulse contre la contrainte du sous-vêtement. Une tache sombre apparaît à l'extrémité, témoignage humide de son excitation croissante.
Clara l'encourage d'un regard brûlant, ses yeux sombres luisent d'une flamme intense. Ses lèvres s'entrouvrent légèrement, sa langue pointe pour humecter sa bouche soudain sèche. Elle se penche en avant, offrant une vue plongeante sur ses seins généreux qui tendent la soie de son chemisier.
Sophie, toujours nue et radieuse, s'approche avec la grâce d'une danseuse. Elle s'assoit en tailleur près de Thomas, ses jambes repliées offrent un aperçu troublant de son intimité dorée à peine voilée par la dentelle transparente. Ses seins menus tressautent légèrement à chaque mouvement, leurs pointes rosées dressées par l'excitation ambiante.
Thomas prend une inspiration profonde, puis fait glisser son dernier vêtement le long de ses hanches étroites. Le boxer tombe à ses pieds, libérant enfin sa virilité qui se dresse fièrement. Son membre, plus imposant que sa silhouette frêle ne le laissait supposer, pulse de désir contenu. La peau tendue révèle chaque veine, chaque aspérité de cette chair gonflée d'excitation.
Sa main droite l'entoure avec une précaution infinie, comme s'il touchait un objet sacré. Ses doigts fins se referment sur la hampe tendue, mesurent la chaleur qui irradie de sa propre chair. Il amorce un mouvement lent, presque hésitant, remontant vers le gland violacé avant de redescendre vers la base.
Ses doigts glissent sur la peau soyeuse, trouvent leur rythme naturel. Chaque montée révèle la couronne du gland luisant d'humidité naissante, chaque descente étire délicieusement la peau qui adhère à sa paume moite. Son souffle s'accélère, devient plus saccadé, plus rauque.
Sophie tend une main délicate vers lui, ses doigts effleurent d'abord l'intérieur de sa cuisse dans une caresse légère comme le battement d’aile d’un papillon. Elle remonte lentement, frôle ses testicules gonflés d'une caresse si douce qu'elle en devient presque douloureuse. Thomas tressaille à ce contact, un gémissement sourd s'échappe de sa gorge contractée.
Il contemple la gorge offerte de Sophie contre son épaule, ses mouvements se font progressivement plus assurés, plus rapides. Sa main glisse maintenant avec une fluidité parfaite, trouvant le rythme qui décuple son plaisir. Sa tête bascule en arrière, révélant la ligne tendue de son cou où palpite une veine gonflée. Ses yeux se ferment, ses paupières frémissent sous l'intensité des sensations qui le submergent.
Marc et Clara observent ce spectacle d'abandon avec une fascination mêlée de désir. Marc ajuste de nouveau son pantalon, sa propre virilité tendue réclame une attention qu'il s'efforce de contenir. Clara sent l'humidité s'intensifier entre ses cuisses, sa culotte de soie colle maintenant à sa chair brûlante.
Sophie continue ses caresses délicates, ses doigts explorent les testicules contractés de Thomas, les roulent doucement dans leur écrin de peau tendue. Elle varie la pression, tantôt légère comme une plume, tantôt plus appuyée, attisant le feu qui consume le jeune homme. Ses propres tétons se dressent davantage, trahissant son excitation croissante.
Les hanches de Thomas commencent à accompagner le mouvement de sa main, ondulent dans un rythme primaire et instinctif. Ses gémissements se font plus fréquents, plus intenses. Des perles de transpiration roulent sur son torse pâle, dessinent des sillons brillants sur sa peau moite.
Sophie, prise d'une impulsion soudaine, rapproche ses lèvres de l'oreille de Thomas. Son souffle chaud caresse sa peau sensible tandis qu'elle murmure des encouragements à peine audibles. Cette proximité décuple les sensations du jeune homme qui accélère encore ses mouvements.
Soudain, Sophie referme sa main libre sur celle de Thomas, guide ses gestes avec une complicité troublante. Leurs doigts entrelacés glissent ensemble sur la hampe tendue, créent une friction parfaite qui arrache un cri étouffé au jeune homme. Sa respiration devient haletante, ses muscles se contractent sous l'imminence de la jouissance.
Les spasmes commencent dans son bas-ventre, remontent le long de son échine dans une vague de plaisir dévastatrice. Thomas ouvre grand la bouche, mais seul un râle sourd franchit ses lèvres. Ses hanches se tendent, son dos se cambre violemment.
Sophie, d'un geste instinctif, pose sa paume libre autour du gland palpitant. Les jets de semence chaude jaillissent avec force, s'écrasent contre sa peau dans un bruit mat. Elle recueille précieusement cette offrande intime, ses doigts se referment sur le liquide nacré encore tiède.
Thomas s'effondre presque, ses jambes ne le portent plus. Son souffle reste saccadé longtemps après que les derniers frissons se soient estompés. Sophie contemple sa paume souillée avec une curiosité mêlée de fierté, comme si elle tenait là un trésor précieux.
L'atmosphère du salon a définitivement basculé. Les quatre amis ont franchi une nouvelle frontière, tissant entre eux des liens d'une intimité bouleversante. Le jeu continue, mais plus rien ne sera jamais comme avant.
***
Marc pose S-U-C-E-R avec une assurance qui contraste avec la nervosité de ses prédécesseurs. Chaque lettre claque sur le plateau dans un rythme saccadé, métronome de sa détermination. Pas terrible, mais avec la case “mot compte triple” et le bonus spécial de x2, ça vaut le coup. Il se dresse lentement, sa stature imposante dominant soudain le groupe dispersé autour de la table basse.
Ses épaules larges se redressent, révélant toute l'ampleur de sa carrure d'homme mûr. La lumière des bougies sculpte ses traits masculins, creuse l'ombre sous ses pommettes saillantes. Son regard sombre balaye les trois autres participants, s'attarde sur Thomas encore pantelant, glisse sur Sophie qui essuie discrètement sa paume souillée, puis s'arrête définitivement sur Clara.
"Toi", ordonne-t-il simplement, sa voix grave résonne dans le salon comme un roulement de tonnerre lointain.
Clara sent un frisson parcourir son échine à ce ton autoritaire qu'elle connaît bien. Ses pupilles se dilatent, sa respiration s'accélère imperceptiblement. Elle se lève avec une grâce féline, chaque mouvement calculé pour séduire. Ses hanches ondulent naturellement tandis qu'elle contourne la table, sa jupe crayon épousant parfaitement ses courbes généreuses.
Elle s'agenouille devant lui sur le tapis moelleux, ses genoux s'enfoncent dans la matière douce. Ses mains remontent le long de ses propres cuisses, lissent sa jupe sur ses hanches. Levant les yeux vers Marc, elle retrouve dans son regard cette flamme qu'elle a si souvent attisée par le passé.
Marc défait sa ceinture d'un geste sûr, le cuir claque quand la boucle se libère. Ses doigts experts font glisser la fermeture métallique qui descend dans un chuintement léger. Le pantalon de costume tombe le long de ses jambes musclées, révèle des cuisses puissantes et velues.
Son boxer noir peine à contenir son désir déjà imposant. Le tissu se tend de manière obscène, déformé par une érection qui déforme le sous-vêtement. Une tache sombre de pré-sperme témoigne de son excitation contenue.
Clara tend les mains vers l'élastique, ses doigts aux ongles vernis glissent sous le tissu tendu. Elle fait descendre lentement le boxer, libère d'abord le sommet turgescent, puis progressivement toute la longueur. Le membre de Marc jaillit enfin, se dresse, provoquant, devant le visage de Clara, dans toute son obscénité.
La hampe épaisse et veinée pulse de désir, sa peau tendue révèle chaque aspérité, chaque relief de sa chair gonflée d'excitation. Le gland violacé suinte déjà une perle transparente qui roule lentement le long de la couronne gonflée.
Clara observe un instant cette virilité offerte, ses lèvres s'entrouvrent dans un sourire gourmand. Sa langue pointe d'abord, rose et humide, effleure délicatement le gland gonflé. Marc frissonne à ce contact, ses muscles abdominaux se contractent involontairement.
Elle trace des cercles paresseux autour du sommet sensible, sa langue glisse sur la peau soyeuse avec une lenteur calculée. Chaque passage arrache un tressaillement à Marc qui serre les dents pour contenir ses gémissements. Elle descend ensuite le long de la hampe, suit une veine gonflée du bout de sa langue agile, remonte vers la base avant de repartir vers le sommet.
Ses lèvres pleines s'entrouvrent progressivement, accueillent d'abord juste l'extrémité du membre. Sa bouche chaude et humide enveloppe le gland avec une douceur infinie. Marc retient son souffle, ses poings se serrent tandis qu'il lutte contre l'envie de pousser plus profond.
Sophie et Thomas, enlacés sur le tapis dans leur nudité partagée, observent le spectacle avec une fascination mêlée de désir renaissant. Les bras de Thomas entourent la taille fine de Sophie, ses mains caressent distraitement sa peau satinée tandis que ses yeux ne quittent pas la bouche de Clara qui s'ouvre davantage.
Clara engloutit progressivement le membre tendu, centimètre par centimètre. Sa mâchoire se détend pour accueillir cette intrusion imposante, sa gorge se contracte autour de la chair palpitante. Sa tête amorce un va-et-vient régulier, lent d'abord, puis progressivement plus rythmé.
Ses joues se creusent à chaque aspiration, créent une succion délicieuse qui arrache des frissons à Marc. Sa langue continue son travail gourmand, caresse la face inférieure du gland à chaque passage, trace des arabesques savantes sur la peau tendue.
Marc pose ses mains dans les cheveux bruns de Clara, ses doigts s'enfouissent dans la masse soyeuse. Il guide doucement le rythme, accompagne les mouvements de sa tête sans jamais forcer, laissant à Clara le contrôle de cette danse sensuelle.
Les gémissements sourds de Marc commencent à résonner dans la pièce, graves et rauques. Sa respiration devient saccadée, ses hanches ondulent légèrement pour accompagner les mouvements de la bouche qui le dévore.
Clara intensifie ses mouvements, sa caresse devient plus pressante, plus profonde. Elle prend davantage de longueur à chaque descente, sa gorge s'habitue progressivement à accueillir une intrusion si imposante. Sa main gauche remonte le long de la cuisse musclée de Marc, trouve ses testicules gonflés qu'elle caresse avec une délicatesse infinie.
Sa main droite vient accompagner sa bouche, enserre la base de la hampe pour amplifier les sensations. Ses doigts glissent en rythme avec ses lèvres, créent une friction parfaite sur la peau sensible.
Sophie sent son propre désir renaître à la vue de ce spectacle torride. Sa main glisse instinctivement vers son intimité, ses doigts effleurent la dentelle trempée de son string. Thomas, contre elle, bande de nouveau malgré sa récente jouissance, sa virilité retrouvée pulse contre la hanche de Sophie.
Les mouvements de Clara s'accélèrent encore, sa tête monte et descend dans un rythme effréné. Ses cheveux volettent autour de son visage concentré, quelques mèches collent à ses joues empourprées par l'effort et l'excitation.
Marc sent la jouissance monter dans ses reins, ses muscles se contractent sous l'imminence de l'orgasme. Ses gémissements se font plus intenses, plus pressants. Ses doigts se crispent dans les cheveux de Clara, guide ses derniers mouvements avec une urgence croissante.
Clara perçoit les signes avant-coureurs, intensifie encore ses caresses. Sa bouche devient un écrin de velours brûlant autour de la chair palpitante. Sa langue redouble d'efforts, caresse avec une ardeur décuplée le gland gonflé à l'extrême.
Les spasmes commencent dans le bas-ventre de Marc, remontent le long de son échine dans une vague de plaisir qui le submerge entièrement. Il rejette sa tête en arrière, ouvre grand la bouche dans un cri silencieux tandis que sa semence jaillit par jets puissants.
Clara accueille cette offrande chaude dans sa bouche, ses joues se gonflent sous l'afflux du liquide nacré. Elle continue ses mouvements, accompagne Marc jusqu'au bout de sa jouissance, avale religieusement chaque goutte de cette essence masculine.
Marc vacille sur ses jambes, ses forces l'abandonnent progressivement tandis que les derniers spasmes s'estompent. Clara libère enfin sa virilité apaisée, ses lèvres brillent d'humidité dans la lumière dorée des bougies. Elle passe sa langue sur ses lèvres dans un geste de satisfaction gourmande.
Le silence retombe sur le salon, seulement troublé par les respirations encore saccadées des quatre protagonistes. L'atmosphère s'est encore densifiée, chargée de parfums mêlés et de désirs assouvis qui appellent déjà de nouveaux plaisirs.
***
Clara libérée la virilité apaisée de Marc retourne vers le plateau avec de jeu, ses hanches ondulant naturellement. Ses doigts encore tremblants d'émotion alignent B-A-I-S-E-E sur la grille, chaque lettre claquant avec une précision méthodique. Vraiment pas terrible pour le score, mais les chiffres importent peu maintenant. “Baisée” annonce-t-elle. “ J’assume.”
L'atmosphère du salon s'est métamorphosée en un cocon de sensualité où les inhibitions ont définitivement volé en éclats. Les parfums mêlés des corps en émoi flottent dans l'air tiède, créant une alchimie enivrante qui décuple les désirs.
Clara se dresse avec une grâce souveraine, ses mouvements fluides captent immédiatement tous les regards. Ses mains remontent vers les boutons de son chemisier de soie noire, les défont un à un avec une lenteur calculée. Le tissu glisse le long de ses épaules, révèle la naissance de ses seins généreux emprisonnés dans un soutien-gorge de dentelle noire.
D'un geste vif, elle fait sauter l'agrafe dans son dos. Le soutien-gorge tombe, libère enfin sa poitrine opulente. Ses seins lourds et parfaitement ronds tressautent légèrement sous leur propre poids, couronnés de tétons bruns déjà durcis par l'excitation ambiante. Sa peau mate luit sous la lumière dorée des bougies, chaque courbe sublimée par les jeux d'ombre et de lumière.
Ses mains descendent vers sa jupe crayon, trouvent la fermeture latérale qu'elles font glisser d'un mouvement fluide. Le tissu sombre glisse le long de ses hanches généreuses, révèle des cuisses pleines et fermes, sculptées par des années de danse. Un string de dentelle noire, assorti au soutien-gorge abandonné, moule son intimité avec une précision troublante.
Le triangle de tissu transparent révèle plus qu'il ne cache. La toison brune qui orne son pubis se devine sous la dentelle, et une tache sombre s'étale déjà au niveau de son entrejambe, témoignage éloquent de son excitation. L'odeur musquée de son désir se mêle aux parfums ambiants, créé un mélange capiteux qui trouble les sens.
"À vous de choisir", murmure-t-elle d'une voix rauque de désir en s'allongeant avec grâce sur le tapis moelleux.
Son corps s'étend dans toute sa splendeur, ses cheveux bruns s'étalent autour de sa tête comme une auréole sombre. Ses bras s'écartent légèrement, offrent sa poitrine généreuse aux regards affamés. Ses jambes s'entrouvrent avec une pudeur feinte, révèlent l'intimité dissimulée sous la dentelle trempée.
Marc, revigoré par ce spectacle troublant, sent sa virilité retrouver sa vigueur malgré sa récente jouissance. Il s'agenouille entre les cuisses offertes de Clara, ses genoux s'enfoncent dans le tapis soyeux. Ses mains larges remontent le long des jambes nacrées, caressent la peau douce des mollets, puis des cuisses qui frémissent sous ses paumes calleuses.
Ses doigts trouvent les bords du string détrempé, écartent délicatement le tissu pour dévoiler l'intimité gonflée et luisante qui se cache dessous. Les lèvres roses et charnues s'entrouvrent comme une fleur épanouie, révèlent un bouton nacré déjà gonflé d'excitation. L'humidité perle à l'entrée de son intimité, trace des sillons brillants sur la peau mate.
Marc se positionne au-dessus de Clara, son torse puissant projette une ombre sur le corps offert. Sa virilité retrouvée pulse de désir, son gland violacé effleure les lèvres entrouvertes dans une caresse électrisante. Clara ondule sous lui, ses hanches se soulèvent dans une invite muette mais éloquente.
Il la pénètre avec une lenteur prévenante, savourant chaque centimètre de sa progression. La chair chaude et humide de Clara l'accueille sans résistance, s'étire autour de son membre tendu. Elle gémit plaintivement, ses ongles griffent le tapis moelleux tandis que son corps s'habitue à cette intrusion désirée.
Thomas et Sophie se rapprochent instinctivement du couple enlacé, attirés par ce spectacle de leur complicité évidente. Leurs corps nus s'entremêlent naturellement, la peau de Sophie effleure celle de Thomas dans un contact qui réveille immédiatement leur désir. Ils s'installent côte à côte, leurs regards rivés sur l'union passionnée qui se joue devant eux.
Marc entame ses va-et-vient avec une puissance mesurée, profonds et réguliers. Chaque poussée arrache un gémissement à Clara qui cambre le dos, offre sa poitrine généreuse aux assauts rythmés. Ses seins lourds tressautent au rythme des mouvements, leurs pointes brunes tracent des arabesques dans l'air tiède.
Sophie sent une chaleur familière renaître entre ses cuisses à la vue de cet accouplement impudique. Sa main glisse instinctivement vers son intimité dorée, ses doigts fins écartent les lèvres délicates pour caresser le bouton sensible qui pulse sous ses caresses. Elle ferme les yeux, se perd dans ses propres sensations tout en gardant une oreille attentive aux gémissements qui s'élèvent du couple enlacé.
Thomas, galvanisé par l'exemple de Sophie, reprend ses caresses personnelles avec une ardeur renouvelée. Sa main enserre sa virilité retrouvée, entame un mouvement régulier qui accompagne le rythme imposé par Marc. Ses yeux naviguent entre le spectacle de Clara qui se cambre sous les assauts et celui de Sophie qui se caresse avec une grâce naturelle.
L'atmosphère du salon devient électrique, chargée de gémissements entremêlés et de respirations affolées. Les corps des quatre amis bougent dans une synchronisation parfaite, comme les instruments d'un orchestre charnel dirigé par le désir.
Après de longues minutes d'extase partagée, Thomas trouve le courage de s'approcher du couple enlacé. Ses yeux interrogent Clara qui, entre deux gémissements, acquiesce d'un hochement de tête fiévreux. Marc comprend immédiatement le message silencieux et se retire lentement, libère l'intimité rougie et dilatée de Clara.
Thomas prend sa place entre les cuisses écartées avec une précipitation mal contenue. Sa virilité plus menue que celle de Marc glisse facilement dans l'intimité préparée. Clara l'accueille avec un soupir de contentement, ses parois contractées l'enserrent délicieusement.
Marc se dirige vers Sophie qui poursuit ses caresses solitaires, les joues empourprées par l'excitation. Il s'agenouille près d'elle, sa main large vient remplacer celle de Sophie sur son intimité dorée. Ses doigts experts trouvent immédiatement le rythme qui fait frissonner la jeune femme.
Sophie, en retour, enserre la virilité de Marc dans sa petite main, entame des mouvements qui révèlent une habileté insoupçonnée. Leurs caresses mutuelles créent une symbiose parfaite, leurs gémissements se mêlent à ceux du couple qui ondule près d'eux.
Les quatre corps se meuvent ensemble dans un ballet sensuel où chaque mouvement trouve son écho chez les autres. Thomas accélère ses poussées dans l'intimité de Clara qui répond par des ondulations puissantes. Ses seins lourds continuent leur danse hypnotique, attirent les regards affamés de Marc qui partage ses caresses entre Sophie et le spectacle troublant qui se joue devant lui.
L'orgasme monte progressivement chez les quatre participants, créant une tension palpable dans l'air saturé de désir. Les gémissements se font plus aigus, plus pressants. Les respirations s'affolent, deviennent haletantes.
Clara sent les prémices de la jouissance qui naît dans son bas-ventre. Ses parois se contractent autour de Thomas qui accélère instinctivement ses mouvements. Sophie se cambre sous les caresses expertes de Marc, sa petite main resserre sa prise sur la virilité qui pulse entre ses doigts.
Le climax arrive simultanément pour les quatre amis, comme si leurs corps avaient trouvé une harmonie parfaite. Clara pousse un cri strident, ses ongles lacèrent le tapis tandis que l'orgasme la submerge entièrement. Thomas la rejoint immédiatement, se répand en elle dans des spasmes incontrôlés.
Sophie et Marc atteignent également leur paroxysme, leurs corps se contractent sous l'effet d'une jouissance dévastatrice. Tous les quatre s'abandonnent ensemble dans cette symphonie charnelle, unis par un plaisir qui transcende leurs individualités.
***
Les lettres éparpillées jonchent le sol comme les vestiges d'une bataille sensuelle, oubliées au profit de plaisirs plus charnels. Certaines tuiles se cachent sous les vêtements abandonnés, d'autres reposent contre les pieds de la table basse, témoins muets de cette soirée qui a basculé dans l'interdit. Le A de "BRANLER" gît près de la dentelle froissée du string de Sophie, tandis que le H d'"EXHIBER" se niche contre le boxer de Thomas, souvenirs tangibles de leur transgression commune.
Les quatre amis reposent enlacés sur le tapis moelleux, leurs corps moites encore frémissants de plaisir. La sueur perle sur leurs peaux satinées, trace des sillons brillants que la lumière vacillante des bougies transforme en arabesques dorées. Leurs respirations, enfin apaisées, créent une mélodie douce dans le silence ouaté du salon.
Clara repose sur le dos, sa poitrine généreuse se soulève régulièrement. Ses cheveux bruns collent à ses tempes humides, encadrent son visage rayonnant d'une satisfaction profonde. Son bras gauche enserre la taille de Marc allongé contre elle, tandis que sa main droite caresse distraitement les cheveux bouclés de Thomas blotti contre son flanc.
Le plateau de Scrabble reste abandonné sur la table basse, ses cases vides béantes comme autant de promesses non tenues. Seuls les mots interdits demeurent, gravés dans la mémoire collective du groupe : EXHIBER, BRANLER, SUCER, BAISEE. Quatre termes qui résument parfaitement leur périple sensuel, quatre étapes d'une initiation qu'aucun d'eux n'oubliera jamais.
Les bougies continuent leur danse hypnotique, projettent des ombres mouvantes sur les corps entremêlés. Leurs flammes ont diminué au cours de la soirée, créant maintenant une atmosphère plus intime encore, plus feutrée. L'odeur de la cire chaude se mêle aux parfums corporels, compose un bouquet enivrant qui imprègne chaque recoin du salon transformé en alcôve.
Clara sourit, ses lèvres dessinent une courbe satisfaite qui trahit sa fierté. Ses nouvelles règles ont dépassé ses espérances les plus folles, transformé leur innocent jeu de société hebdomadaire en une exploration sensuelle qui restera gravée dans leurs mémoires. Elle savoure cette réussite, observe tour à tour ses trois complices dans leur béatitude post-orgasmique.
Marc caresse distraitement l'épaule nacrée de Sophie d'un geste tendre qui contraste avec la passion brutale qu'il a déployée quelques minutes plus tôt. Ses doigts calleux glissent sur la peau satinée avec une délicatesse infinie, tracent des cercles apaisants qui arrachent de petits frissons à la jeune femme. Son regard, habituellement si sûr de lui, s'est adouci, révèle une vulnérabilité nouvelle née de cette intimité partagée.
Sophie se blottit contre le torse puissant de Marc, sa tête nichée au creux de son épaule. Ses cheveux dorés s'étalent comme un voile soyeux sur la peau bronzée, créant un contraste saisissant. Ses yeux verts mi-clos papillonnent entre le sommeil et la veille, encore éblouis par l'intensité des sensations qu'elle vient de découvrir. Sa main repose délicatement sur le ventre de Marc, ses doigts fins épousent les reliefs de sa musculature.
Thomas contemple le plafond d'un regard perdu, encore ébloui par les découvertes sensorielles de cette soirée mémorable. Ses yeux noisette brillent d'un éclat nouveau, comme si une partie de lui-même s'était réveillée. Sa transformation est la plus spectaculaire : l'homme timide et réservé qui est entré dans ce salon quelques heures plus tôt a laissé place à un être libéré, conscient de sa propre sensualité.
Le silence qui règne n'a rien de pesant. Il s'agit plutôt d'une communion silencieuse, d'une complicité nouvelle qui unit désormais les quatre amis. Chacun savoure ce moment suspendu, conscient que quelque chose d'irréversible vient de se produire entre eux.
Clara rompt finalement le silence en se redressant légèrement, ses seins lourds glissent contre le bras de Marc. Elle tend une main paresseuse vers les lettres éparpillées, en ramasse quelques-unes d'un geste nonchalant. Le contact froid des tuiles contre sa paume chaude la ramène progressivement à la réalité.
"Même soirée la semaine prochaine ?" propose-t-elle d'une voix encore voilée par l'émotion, ses doigts jouent distraitement avec les lettres récupérées.
La question flotte dans l'air tiède, chargée de promesses et d'anticipation. Les trois autres se redressent légèrement, échangent des regards complices où brillent déjà l'excitation de futures explorations.
"Avec plaisir", murmure Marc d'une voix grave, son sourire carnassier révèle des dents blanches dans la pénombre dorée.
"Oh oui", souffle Sophie d'une voix fluette, ses joues s'empourprent à nouveau à l'idée des plaisirs à venir.
"Absolument", confirme Thomas avec une assurance nouvelle qui surprend ses compagnons, lui-même y compris.
Les trois acquiescements enthousiastes résonnent dans le salon apaisé comme autant de promesses d'extase. Clara replace délicatement les lettres dans leur boîte, déjà songeuse quant aux nouvelles règles qu'elle pourrait inventer.
Elle a proposé une variante du Scrabble à ses trois amis lors de leur soirée hebdomadaire, mais aucun d'eux ne soupçonne encore la nature de sa proposition. Les bougies parfumées projettent des ombres dansantes sur les murs, créant une ambiance feutrée propice aux confidences.
En face d'elle, Marc examine ses lettres d'un air concentré. Son ex-amant aux épaules larges porte une chemise blanche légèrement déboutonnée qui laisse entrevoir son torse musclé et bronzé. Ses avant-bras puissants émergent des manches retroussées, révélant des veines saillantes sous la peau mate. Ses cheveux châtains légèrement grisonnants aux tempes lui donnent un charme de séducteur accompli. Quand il lève les yeux vers Clara, son regard sombre s'attarde une fraction de seconde sur le décolleté généreux qui se devine sous la soie.
À sa droite, Sophie ajuste nerveusement sa robe courte d'un geste qui trahit son trouble grandissant. La petite blonde aux yeux verts porte une robe d'été qui met en valeur ses jambes fuselées et sa silhouette menue. Ses cheveux dorés encadrent un visage aux traits délicats, ses lèvres rosées brillent d'un gloss discret. Elle croise et décroise ses cuisses nues, inconsciente de l'effet hypnotique de ses mouvements sur ses compagnons. Un léger parfum de pêche émane de sa peau nacrée.
Thomas, le plus timide du groupe, rougit déjà en découvrant les nouvelles règles griffonnées sur un papier que Clara vient de déposer au centre de la table. Le jeune homme aux cheveux bruns bouclés porte un pull en coton qui dissimule sa carrure fine. Ses yeux noisette brillent d'une curiosité mêlée d'appréhension derrière ses lunettes à monture discrète. Ses doigts tremblent légèrement quand il saisit le papier pour le lire.
"Chaque mot à connotation érotique vaut le double des points normaux", explique Clara d'une voix suave en croisant lentement les jambes. Le tissu de sa jupe remonte légèrement sur ses cuisses, révélant un bas autofixant. "Et celui qui le pose doit... l'illustrer lui-même ou avec l’aide de la personne qu’il désignera."
Un silence lourd s'installe dans la pièce. Les flammes des bougies vacillent, projetant des reflets dorés sur la peau de Clara. L'atmosphère se charge d'électricité, comme avant un orage d'été. Une tension nouvelle s'immisce entre eux, faite d'excitation et d'appréhension mêlées.
Sophie déglutit avec difficulté. Ses joues se teintent d'une rougeur délicate qui descend jusqu'à son décolleté. Elle mordille sa lèvre inférieure d'un geste inconscient qui attire le regard de Marc. Ses yeux verts papillonnent entre ses trois amis, cherchant à déchiffrer leurs réactions.
Marc desserre sa cravate d'un geste brusque, comme si l'air se raréfiait soudain. Ses mâchoires se contractent imperceptiblement. Il jette un regard appuyé vers Clara, un mélange de désir et de défi dans ses prunelles sombres. Ses doigts tambourinent sur la table, trahissant une nervosité inhabituelle chez cet homme habituellement maître de lui.
Thomas déglutit péniblement, sa pomme d'Adam tressaute dans son cou gracile. Ses joues s'empourprent davantage tandis qu'il relit les règles, incrédule. Ses mains moites laissent des traces sur le papier froissé. Il ose à peine regarder ses compagnons, perturbé par les images qui se bousculent dans son esprit.
Clara savoure déjà la tension palpable qui envahit le salon tamisé. Elle observe tour à tour ses trois amis, notant chaque frémissement, chaque rougeur, chaque regard fuyant. Son sourire s'élargit, révélant des dents blanches parfaites. Elle humidifie ses lèvres d'un coup de langue discret, un geste qui n'échappe à personne.
La pendule égraine les secondes dans le silence ouaté. L'odeur des bougies se mêle aux parfums des quatre protagonistes, créant un mélange enivrant. Les respirations se font plus courtes, plus saccadées. Chacun semble peser les implications de ce nouveau jeu, entre fascination et pudeur.
"Alors", murmure Clara en faisant rouler une lettre entre ses doigts, "qui commence ?"
***
Sophie pose tremblante les lettres E-X-H-I-B-E-R sur le plateau, ses doigts fins effleurant chaque tuile avec une précision nerveuse. Le mot s'étale sur la grille, formant le premier terme interdit de la soirée. Les quarante points s'affichent au compteur mais tous les yeux se tournent vers elle, abandonnant les chiffres pour se fixer sur sa silhouette délicate.
"Ce sera toi ou la personne que tu choisis…", murmure Clara d'une voix veloutée, ses lèvres esquissant un sourire complice.
Sophie inspire profondément, l'air chargé d'encens et de désir brûlant ses poumons. Ses joues se parent d'une rougeur délicate qui descend jusqu'à son décolleté, mélange troublant d'excitation et de gêne.
“Ce sera moi.” Elle se lève avec une lenteur calculée, ses jambes tremblent imperceptiblement sous l'intensité des regards posés sur elle.
Ses doigts aux ongles nacrés saisissent l'ourlet de sa robe d'été, le tissu léger frémit contre sa peau satinée. Elle hésite un instant, ses yeux verts balayant le visage de ses trois amis. Marc la dévore du regard; sa mâchoire contractée trahit son désir naissant. Thomas a cessé de respirer, ses lunettes embués par la chaleur montante. Clara observe la scène avec une satisfaction gourmande, les pupilles dilatées par l'excitation.
Sophie remonte lentement sa robe, dévoilant d'abord ses chevilles fines, puis ses mollets fuselés. Le tissu continue sa progression, révélant ses genoux délicats, ses cuisses nacrées qui semblent sculptées dans l'ivoire. Un string de dentelle blanche apparaît, si fin qu'on le dirait peint sur sa peau. Les broderies transparentes laissent deviner la toison dorée qui couronne son intimité.
Le tissu léger glisse maintenant le long de son buste étroit. Ses seins menus sont dévoilés, parfaitement ronds, leurs aréoles roses pâles couronnées de tétons plus sombres déjà durcis par l'excitation. Sa peau laiteuse luit sous la lumière des bougies, chaque courbe magnifiée par les jeux d'ombre et de lumière.
Les respirations se font plus courtes autour de la table basse. L'air semble vibrer d'une électricité palpable. Marc ajuste discrètement son pantalon devenu trop serré, son membre viril déforme le tissu de son costume. Ses narines se dilatent, captant le parfum de pêche mêlé à l'odeur musquée de l'excitation féminine.
Thomas ne peut détacher son regard de la peau laiteuse qui se dévoile sous ses yeux ébahis. Sa pomme d'Adam tressaute nerveusement tandis qu'il déglutit avec difficulté. Ses mains moites se crispent sur ses genoux, luttant contre l'envie de tendre les bras vers cette apparition éthérée.
Clara sent une chaleur humide naître entre ses cuisses, son entrejambe pulse sous la soie de sa culotte déjà trempée. Ses tétons se dressent contre le tissu de son chemisier, traçant deux petites bosses visibles sous la soie noire. Elle humidifie ses lèvres d'un coup de langue, savourant le spectacle qu'elle a orchestré.
Sophie achève de retirer sa robe par-dessus sa tête et pivote avec une grâce naturelle, offrant son dos cambré à l'assistance médusée. Ses omoplates délicates se dessinent sous sa peau diaphane, sa colonne vertébrale trace une ligne parfaite jusqu'à la naissance de ses reins. Ses fesses rondes, fermes et hautes, sont moulées dans la dentelle transparente qui révèle plus qu'elle ne cache. Le string disparaît entre ses chairs nacrées, soulignant la courbe parfaite de ses hanches.
Elle ondule doucement, ses mouvements fluides évoquent une danse ancestrale. Ses hanches dessinent des cercles hypnotiques, chaque rotation révèle un nouvel angle de sa beauté. Ses cheveux dorés caressent ses épaules nues, créant un rideau soyeux qui cache et révèle tour à tour son visage rougi par l'émotion.
Ses mains remontent lentement le long de ses flancs, ses doigts effleurent sa peau comme des plumes. Elle trace des arabesques invisibles sur ses côtes, ses paumes glissent vers ses seins qu'elle effleure avec une délicatesse infinie. Ses tétons se dressent davantage sous ses caresses, durcissent jusqu'à devenir de petites perles rosées.
Une main continue son ascension, caresse son cou gracile d'un mouvement langoureux. Elle rejette sa tête en arrière, offrant la courbe parfaite de sa gorge où bat une veine délicate. Ses lèvres s'entrouvrent, laissant échapper un souffle tremblant qui résonne comme une mélodie dans le silence ouaté du salon.
Thomas sent le sang affluer vers son bas-ventre, sa respiration devient saccadée. Ses yeux ne quittent plus le spectacle fascinant de Sophie qui se caresse avec une sensualité provocante. Marc desserre davantage sa cravate, une fine pellicule de sueur perle sur son front bronzé.
Clara se penche légèrement en avant, ses seins généreux s'écrasent contre le bord de la table. Elle observe chaque détail de la performance de Sophie, notant la façon dont ses tétons se contractent, comment ses hanches ondulent avec une grâce féline, la manière dont sa peau frémit sous ses propres caresses.
Sophie pivote de nouveau, s’offrant maintenant de face. Ses yeux verts brillent d'un éclat nouveau, mélange de pudeur et d'excitation grandissante. Ses joues empourprées contrastent avec la pâleur de son cou. Elle poursuit ses caresses, une main glissant vers son ventre plat tandis que l'autre maintient ses cheveux relevés, exposant entièrement sa gorge et ses épaules.
L'atmosphère devient suffocante, chargée de désir et de promesses. Les quatre protagonistes sont maintenant liés par une complicité nouvelle, franchissant ensemble les limites de leur amitié pour pénétrer dans un territoire inconnu fait de plaisirs partagés et d'interdits brisés.
***
Thomas, enhardi par le spectacle sensuel de Sophie, aligne B-R-A-N-L-E-R avec des doigts fébriles qui tremblent sur les lettres. Chaque tuile claque contre le plateau dans un bruit sec qui résonne dans le salon silencieux. 7 lettres et mot compte double. Mais maintenant le véritable défi l'attend, et il sent son cœur marteler sa poitrine avec une violence inouïe.
Il se lève maladroitement, ses jambes flageolantes le portent à grand-peine. Encore vêtu de sa chemise de coton et de son pantalon chino, il paraît soudain trop habillé face à Sophie qui rayonne dans sa nudité assumée. Ses gestes hésitants contrastent avec l'audace du mot qu'il vient de poser, mais quelque chose dans son regard trahit une détermination nouvelle.
Ses doigts tremblants s'attaquent aux boutons de sa chemise. Le premier résiste, puis cède sous ses efforts nerveux. Un à un, ils libèrent son torse imberbe et pâle, révélant une peau laiteuse qui n'a jamais connu le soleil. Sa poitrine se soulève rapidement, sa respiration saccadée témoigne de son émoi grandissant. Des gouttes de sueur perlent déjà sur son front, glissent le long de ses tempes.
Il fait glisser la chemise sur ses épaules étroites, le tissu tombe au sol dans un froissement léger. Ses mains s'attaquent maintenant à sa ceinture, le cuir claque quand la boucle se libère. La fermeture éclair descend avec un bruit métallique qui résonne comme un glas dans le silence tendu. Son pantalon tombe sur ses chevilles, révélant des jambes fines et blanches.
À travers son boxer de coton blanc, sa virilité se dessine déjà avec une évidence troublante. Le tissu se tend, déformé par son érection naissante qui pulse contre la contrainte du sous-vêtement. Une tache sombre apparaît à l'extrémité, témoignage humide de son excitation croissante.
Clara l'encourage d'un regard brûlant, ses yeux sombres luisent d'une flamme intense. Ses lèvres s'entrouvrent légèrement, sa langue pointe pour humecter sa bouche soudain sèche. Elle se penche en avant, offrant une vue plongeante sur ses seins généreux qui tendent la soie de son chemisier.
Sophie, toujours nue et radieuse, s'approche avec la grâce d'une danseuse. Elle s'assoit en tailleur près de Thomas, ses jambes repliées offrent un aperçu troublant de son intimité dorée à peine voilée par la dentelle transparente. Ses seins menus tressautent légèrement à chaque mouvement, leurs pointes rosées dressées par l'excitation ambiante.
Thomas prend une inspiration profonde, puis fait glisser son dernier vêtement le long de ses hanches étroites. Le boxer tombe à ses pieds, libérant enfin sa virilité qui se dresse fièrement. Son membre, plus imposant que sa silhouette frêle ne le laissait supposer, pulse de désir contenu. La peau tendue révèle chaque veine, chaque aspérité de cette chair gonflée d'excitation.
Sa main droite l'entoure avec une précaution infinie, comme s'il touchait un objet sacré. Ses doigts fins se referment sur la hampe tendue, mesurent la chaleur qui irradie de sa propre chair. Il amorce un mouvement lent, presque hésitant, remontant vers le gland violacé avant de redescendre vers la base.
Ses doigts glissent sur la peau soyeuse, trouvent leur rythme naturel. Chaque montée révèle la couronne du gland luisant d'humidité naissante, chaque descente étire délicieusement la peau qui adhère à sa paume moite. Son souffle s'accélère, devient plus saccadé, plus rauque.
Sophie tend une main délicate vers lui, ses doigts effleurent d'abord l'intérieur de sa cuisse dans une caresse légère comme le battement d’aile d’un papillon. Elle remonte lentement, frôle ses testicules gonflés d'une caresse si douce qu'elle en devient presque douloureuse. Thomas tressaille à ce contact, un gémissement sourd s'échappe de sa gorge contractée.
Il contemple la gorge offerte de Sophie contre son épaule, ses mouvements se font progressivement plus assurés, plus rapides. Sa main glisse maintenant avec une fluidité parfaite, trouvant le rythme qui décuple son plaisir. Sa tête bascule en arrière, révélant la ligne tendue de son cou où palpite une veine gonflée. Ses yeux se ferment, ses paupières frémissent sous l'intensité des sensations qui le submergent.
Marc et Clara observent ce spectacle d'abandon avec une fascination mêlée de désir. Marc ajuste de nouveau son pantalon, sa propre virilité tendue réclame une attention qu'il s'efforce de contenir. Clara sent l'humidité s'intensifier entre ses cuisses, sa culotte de soie colle maintenant à sa chair brûlante.
Sophie continue ses caresses délicates, ses doigts explorent les testicules contractés de Thomas, les roulent doucement dans leur écrin de peau tendue. Elle varie la pression, tantôt légère comme une plume, tantôt plus appuyée, attisant le feu qui consume le jeune homme. Ses propres tétons se dressent davantage, trahissant son excitation croissante.
Les hanches de Thomas commencent à accompagner le mouvement de sa main, ondulent dans un rythme primaire et instinctif. Ses gémissements se font plus fréquents, plus intenses. Des perles de transpiration roulent sur son torse pâle, dessinent des sillons brillants sur sa peau moite.
Sophie, prise d'une impulsion soudaine, rapproche ses lèvres de l'oreille de Thomas. Son souffle chaud caresse sa peau sensible tandis qu'elle murmure des encouragements à peine audibles. Cette proximité décuple les sensations du jeune homme qui accélère encore ses mouvements.
Soudain, Sophie referme sa main libre sur celle de Thomas, guide ses gestes avec une complicité troublante. Leurs doigts entrelacés glissent ensemble sur la hampe tendue, créent une friction parfaite qui arrache un cri étouffé au jeune homme. Sa respiration devient haletante, ses muscles se contractent sous l'imminence de la jouissance.
Les spasmes commencent dans son bas-ventre, remontent le long de son échine dans une vague de plaisir dévastatrice. Thomas ouvre grand la bouche, mais seul un râle sourd franchit ses lèvres. Ses hanches se tendent, son dos se cambre violemment.
Sophie, d'un geste instinctif, pose sa paume libre autour du gland palpitant. Les jets de semence chaude jaillissent avec force, s'écrasent contre sa peau dans un bruit mat. Elle recueille précieusement cette offrande intime, ses doigts se referment sur le liquide nacré encore tiède.
Thomas s'effondre presque, ses jambes ne le portent plus. Son souffle reste saccadé longtemps après que les derniers frissons se soient estompés. Sophie contemple sa paume souillée avec une curiosité mêlée de fierté, comme si elle tenait là un trésor précieux.
L'atmosphère du salon a définitivement basculé. Les quatre amis ont franchi une nouvelle frontière, tissant entre eux des liens d'une intimité bouleversante. Le jeu continue, mais plus rien ne sera jamais comme avant.
***
Marc pose S-U-C-E-R avec une assurance qui contraste avec la nervosité de ses prédécesseurs. Chaque lettre claque sur le plateau dans un rythme saccadé, métronome de sa détermination. Pas terrible, mais avec la case “mot compte triple” et le bonus spécial de x2, ça vaut le coup. Il se dresse lentement, sa stature imposante dominant soudain le groupe dispersé autour de la table basse.
Ses épaules larges se redressent, révélant toute l'ampleur de sa carrure d'homme mûr. La lumière des bougies sculpte ses traits masculins, creuse l'ombre sous ses pommettes saillantes. Son regard sombre balaye les trois autres participants, s'attarde sur Thomas encore pantelant, glisse sur Sophie qui essuie discrètement sa paume souillée, puis s'arrête définitivement sur Clara.
"Toi", ordonne-t-il simplement, sa voix grave résonne dans le salon comme un roulement de tonnerre lointain.
Clara sent un frisson parcourir son échine à ce ton autoritaire qu'elle connaît bien. Ses pupilles se dilatent, sa respiration s'accélère imperceptiblement. Elle se lève avec une grâce féline, chaque mouvement calculé pour séduire. Ses hanches ondulent naturellement tandis qu'elle contourne la table, sa jupe crayon épousant parfaitement ses courbes généreuses.
Elle s'agenouille devant lui sur le tapis moelleux, ses genoux s'enfoncent dans la matière douce. Ses mains remontent le long de ses propres cuisses, lissent sa jupe sur ses hanches. Levant les yeux vers Marc, elle retrouve dans son regard cette flamme qu'elle a si souvent attisée par le passé.
Marc défait sa ceinture d'un geste sûr, le cuir claque quand la boucle se libère. Ses doigts experts font glisser la fermeture métallique qui descend dans un chuintement léger. Le pantalon de costume tombe le long de ses jambes musclées, révèle des cuisses puissantes et velues.
Son boxer noir peine à contenir son désir déjà imposant. Le tissu se tend de manière obscène, déformé par une érection qui déforme le sous-vêtement. Une tache sombre de pré-sperme témoigne de son excitation contenue.
Clara tend les mains vers l'élastique, ses doigts aux ongles vernis glissent sous le tissu tendu. Elle fait descendre lentement le boxer, libère d'abord le sommet turgescent, puis progressivement toute la longueur. Le membre de Marc jaillit enfin, se dresse, provoquant, devant le visage de Clara, dans toute son obscénité.
La hampe épaisse et veinée pulse de désir, sa peau tendue révèle chaque aspérité, chaque relief de sa chair gonflée d'excitation. Le gland violacé suinte déjà une perle transparente qui roule lentement le long de la couronne gonflée.
Clara observe un instant cette virilité offerte, ses lèvres s'entrouvrent dans un sourire gourmand. Sa langue pointe d'abord, rose et humide, effleure délicatement le gland gonflé. Marc frissonne à ce contact, ses muscles abdominaux se contractent involontairement.
Elle trace des cercles paresseux autour du sommet sensible, sa langue glisse sur la peau soyeuse avec une lenteur calculée. Chaque passage arrache un tressaillement à Marc qui serre les dents pour contenir ses gémissements. Elle descend ensuite le long de la hampe, suit une veine gonflée du bout de sa langue agile, remonte vers la base avant de repartir vers le sommet.
Ses lèvres pleines s'entrouvrent progressivement, accueillent d'abord juste l'extrémité du membre. Sa bouche chaude et humide enveloppe le gland avec une douceur infinie. Marc retient son souffle, ses poings se serrent tandis qu'il lutte contre l'envie de pousser plus profond.
Sophie et Thomas, enlacés sur le tapis dans leur nudité partagée, observent le spectacle avec une fascination mêlée de désir renaissant. Les bras de Thomas entourent la taille fine de Sophie, ses mains caressent distraitement sa peau satinée tandis que ses yeux ne quittent pas la bouche de Clara qui s'ouvre davantage.
Clara engloutit progressivement le membre tendu, centimètre par centimètre. Sa mâchoire se détend pour accueillir cette intrusion imposante, sa gorge se contracte autour de la chair palpitante. Sa tête amorce un va-et-vient régulier, lent d'abord, puis progressivement plus rythmé.
Ses joues se creusent à chaque aspiration, créent une succion délicieuse qui arrache des frissons à Marc. Sa langue continue son travail gourmand, caresse la face inférieure du gland à chaque passage, trace des arabesques savantes sur la peau tendue.
Marc pose ses mains dans les cheveux bruns de Clara, ses doigts s'enfouissent dans la masse soyeuse. Il guide doucement le rythme, accompagne les mouvements de sa tête sans jamais forcer, laissant à Clara le contrôle de cette danse sensuelle.
Les gémissements sourds de Marc commencent à résonner dans la pièce, graves et rauques. Sa respiration devient saccadée, ses hanches ondulent légèrement pour accompagner les mouvements de la bouche qui le dévore.
Clara intensifie ses mouvements, sa caresse devient plus pressante, plus profonde. Elle prend davantage de longueur à chaque descente, sa gorge s'habitue progressivement à accueillir une intrusion si imposante. Sa main gauche remonte le long de la cuisse musclée de Marc, trouve ses testicules gonflés qu'elle caresse avec une délicatesse infinie.
Sa main droite vient accompagner sa bouche, enserre la base de la hampe pour amplifier les sensations. Ses doigts glissent en rythme avec ses lèvres, créent une friction parfaite sur la peau sensible.
Sophie sent son propre désir renaître à la vue de ce spectacle torride. Sa main glisse instinctivement vers son intimité, ses doigts effleurent la dentelle trempée de son string. Thomas, contre elle, bande de nouveau malgré sa récente jouissance, sa virilité retrouvée pulse contre la hanche de Sophie.
Les mouvements de Clara s'accélèrent encore, sa tête monte et descend dans un rythme effréné. Ses cheveux volettent autour de son visage concentré, quelques mèches collent à ses joues empourprées par l'effort et l'excitation.
Marc sent la jouissance monter dans ses reins, ses muscles se contractent sous l'imminence de l'orgasme. Ses gémissements se font plus intenses, plus pressants. Ses doigts se crispent dans les cheveux de Clara, guide ses derniers mouvements avec une urgence croissante.
Clara perçoit les signes avant-coureurs, intensifie encore ses caresses. Sa bouche devient un écrin de velours brûlant autour de la chair palpitante. Sa langue redouble d'efforts, caresse avec une ardeur décuplée le gland gonflé à l'extrême.
Les spasmes commencent dans le bas-ventre de Marc, remontent le long de son échine dans une vague de plaisir qui le submerge entièrement. Il rejette sa tête en arrière, ouvre grand la bouche dans un cri silencieux tandis que sa semence jaillit par jets puissants.
Clara accueille cette offrande chaude dans sa bouche, ses joues se gonflent sous l'afflux du liquide nacré. Elle continue ses mouvements, accompagne Marc jusqu'au bout de sa jouissance, avale religieusement chaque goutte de cette essence masculine.
Marc vacille sur ses jambes, ses forces l'abandonnent progressivement tandis que les derniers spasmes s'estompent. Clara libère enfin sa virilité apaisée, ses lèvres brillent d'humidité dans la lumière dorée des bougies. Elle passe sa langue sur ses lèvres dans un geste de satisfaction gourmande.
Le silence retombe sur le salon, seulement troublé par les respirations encore saccadées des quatre protagonistes. L'atmosphère s'est encore densifiée, chargée de parfums mêlés et de désirs assouvis qui appellent déjà de nouveaux plaisirs.
***
Clara libérée la virilité apaisée de Marc retourne vers le plateau avec de jeu, ses hanches ondulant naturellement. Ses doigts encore tremblants d'émotion alignent B-A-I-S-E-E sur la grille, chaque lettre claquant avec une précision méthodique. Vraiment pas terrible pour le score, mais les chiffres importent peu maintenant. “Baisée” annonce-t-elle. “ J’assume.”
L'atmosphère du salon s'est métamorphosée en un cocon de sensualité où les inhibitions ont définitivement volé en éclats. Les parfums mêlés des corps en émoi flottent dans l'air tiède, créant une alchimie enivrante qui décuple les désirs.
Clara se dresse avec une grâce souveraine, ses mouvements fluides captent immédiatement tous les regards. Ses mains remontent vers les boutons de son chemisier de soie noire, les défont un à un avec une lenteur calculée. Le tissu glisse le long de ses épaules, révèle la naissance de ses seins généreux emprisonnés dans un soutien-gorge de dentelle noire.
D'un geste vif, elle fait sauter l'agrafe dans son dos. Le soutien-gorge tombe, libère enfin sa poitrine opulente. Ses seins lourds et parfaitement ronds tressautent légèrement sous leur propre poids, couronnés de tétons bruns déjà durcis par l'excitation ambiante. Sa peau mate luit sous la lumière dorée des bougies, chaque courbe sublimée par les jeux d'ombre et de lumière.
Ses mains descendent vers sa jupe crayon, trouvent la fermeture latérale qu'elles font glisser d'un mouvement fluide. Le tissu sombre glisse le long de ses hanches généreuses, révèle des cuisses pleines et fermes, sculptées par des années de danse. Un string de dentelle noire, assorti au soutien-gorge abandonné, moule son intimité avec une précision troublante.
Le triangle de tissu transparent révèle plus qu'il ne cache. La toison brune qui orne son pubis se devine sous la dentelle, et une tache sombre s'étale déjà au niveau de son entrejambe, témoignage éloquent de son excitation. L'odeur musquée de son désir se mêle aux parfums ambiants, créé un mélange capiteux qui trouble les sens.
"À vous de choisir", murmure-t-elle d'une voix rauque de désir en s'allongeant avec grâce sur le tapis moelleux.
Son corps s'étend dans toute sa splendeur, ses cheveux bruns s'étalent autour de sa tête comme une auréole sombre. Ses bras s'écartent légèrement, offrent sa poitrine généreuse aux regards affamés. Ses jambes s'entrouvrent avec une pudeur feinte, révèlent l'intimité dissimulée sous la dentelle trempée.
Marc, revigoré par ce spectacle troublant, sent sa virilité retrouver sa vigueur malgré sa récente jouissance. Il s'agenouille entre les cuisses offertes de Clara, ses genoux s'enfoncent dans le tapis soyeux. Ses mains larges remontent le long des jambes nacrées, caressent la peau douce des mollets, puis des cuisses qui frémissent sous ses paumes calleuses.
Ses doigts trouvent les bords du string détrempé, écartent délicatement le tissu pour dévoiler l'intimité gonflée et luisante qui se cache dessous. Les lèvres roses et charnues s'entrouvrent comme une fleur épanouie, révèlent un bouton nacré déjà gonflé d'excitation. L'humidité perle à l'entrée de son intimité, trace des sillons brillants sur la peau mate.
Marc se positionne au-dessus de Clara, son torse puissant projette une ombre sur le corps offert. Sa virilité retrouvée pulse de désir, son gland violacé effleure les lèvres entrouvertes dans une caresse électrisante. Clara ondule sous lui, ses hanches se soulèvent dans une invite muette mais éloquente.
Il la pénètre avec une lenteur prévenante, savourant chaque centimètre de sa progression. La chair chaude et humide de Clara l'accueille sans résistance, s'étire autour de son membre tendu. Elle gémit plaintivement, ses ongles griffent le tapis moelleux tandis que son corps s'habitue à cette intrusion désirée.
Thomas et Sophie se rapprochent instinctivement du couple enlacé, attirés par ce spectacle de leur complicité évidente. Leurs corps nus s'entremêlent naturellement, la peau de Sophie effleure celle de Thomas dans un contact qui réveille immédiatement leur désir. Ils s'installent côte à côte, leurs regards rivés sur l'union passionnée qui se joue devant eux.
Marc entame ses va-et-vient avec une puissance mesurée, profonds et réguliers. Chaque poussée arrache un gémissement à Clara qui cambre le dos, offre sa poitrine généreuse aux assauts rythmés. Ses seins lourds tressautent au rythme des mouvements, leurs pointes brunes tracent des arabesques dans l'air tiède.
Sophie sent une chaleur familière renaître entre ses cuisses à la vue de cet accouplement impudique. Sa main glisse instinctivement vers son intimité dorée, ses doigts fins écartent les lèvres délicates pour caresser le bouton sensible qui pulse sous ses caresses. Elle ferme les yeux, se perd dans ses propres sensations tout en gardant une oreille attentive aux gémissements qui s'élèvent du couple enlacé.
Thomas, galvanisé par l'exemple de Sophie, reprend ses caresses personnelles avec une ardeur renouvelée. Sa main enserre sa virilité retrouvée, entame un mouvement régulier qui accompagne le rythme imposé par Marc. Ses yeux naviguent entre le spectacle de Clara qui se cambre sous les assauts et celui de Sophie qui se caresse avec une grâce naturelle.
L'atmosphère du salon devient électrique, chargée de gémissements entremêlés et de respirations affolées. Les corps des quatre amis bougent dans une synchronisation parfaite, comme les instruments d'un orchestre charnel dirigé par le désir.
Après de longues minutes d'extase partagée, Thomas trouve le courage de s'approcher du couple enlacé. Ses yeux interrogent Clara qui, entre deux gémissements, acquiesce d'un hochement de tête fiévreux. Marc comprend immédiatement le message silencieux et se retire lentement, libère l'intimité rougie et dilatée de Clara.
Thomas prend sa place entre les cuisses écartées avec une précipitation mal contenue. Sa virilité plus menue que celle de Marc glisse facilement dans l'intimité préparée. Clara l'accueille avec un soupir de contentement, ses parois contractées l'enserrent délicieusement.
Marc se dirige vers Sophie qui poursuit ses caresses solitaires, les joues empourprées par l'excitation. Il s'agenouille près d'elle, sa main large vient remplacer celle de Sophie sur son intimité dorée. Ses doigts experts trouvent immédiatement le rythme qui fait frissonner la jeune femme.
Sophie, en retour, enserre la virilité de Marc dans sa petite main, entame des mouvements qui révèlent une habileté insoupçonnée. Leurs caresses mutuelles créent une symbiose parfaite, leurs gémissements se mêlent à ceux du couple qui ondule près d'eux.
Les quatre corps se meuvent ensemble dans un ballet sensuel où chaque mouvement trouve son écho chez les autres. Thomas accélère ses poussées dans l'intimité de Clara qui répond par des ondulations puissantes. Ses seins lourds continuent leur danse hypnotique, attirent les regards affamés de Marc qui partage ses caresses entre Sophie et le spectacle troublant qui se joue devant lui.
L'orgasme monte progressivement chez les quatre participants, créant une tension palpable dans l'air saturé de désir. Les gémissements se font plus aigus, plus pressants. Les respirations s'affolent, deviennent haletantes.
Clara sent les prémices de la jouissance qui naît dans son bas-ventre. Ses parois se contractent autour de Thomas qui accélère instinctivement ses mouvements. Sophie se cambre sous les caresses expertes de Marc, sa petite main resserre sa prise sur la virilité qui pulse entre ses doigts.
Le climax arrive simultanément pour les quatre amis, comme si leurs corps avaient trouvé une harmonie parfaite. Clara pousse un cri strident, ses ongles lacèrent le tapis tandis que l'orgasme la submerge entièrement. Thomas la rejoint immédiatement, se répand en elle dans des spasmes incontrôlés.
Sophie et Marc atteignent également leur paroxysme, leurs corps se contractent sous l'effet d'une jouissance dévastatrice. Tous les quatre s'abandonnent ensemble dans cette symphonie charnelle, unis par un plaisir qui transcende leurs individualités.
***
Les lettres éparpillées jonchent le sol comme les vestiges d'une bataille sensuelle, oubliées au profit de plaisirs plus charnels. Certaines tuiles se cachent sous les vêtements abandonnés, d'autres reposent contre les pieds de la table basse, témoins muets de cette soirée qui a basculé dans l'interdit. Le A de "BRANLER" gît près de la dentelle froissée du string de Sophie, tandis que le H d'"EXHIBER" se niche contre le boxer de Thomas, souvenirs tangibles de leur transgression commune.
Les quatre amis reposent enlacés sur le tapis moelleux, leurs corps moites encore frémissants de plaisir. La sueur perle sur leurs peaux satinées, trace des sillons brillants que la lumière vacillante des bougies transforme en arabesques dorées. Leurs respirations, enfin apaisées, créent une mélodie douce dans le silence ouaté du salon.
Clara repose sur le dos, sa poitrine généreuse se soulève régulièrement. Ses cheveux bruns collent à ses tempes humides, encadrent son visage rayonnant d'une satisfaction profonde. Son bras gauche enserre la taille de Marc allongé contre elle, tandis que sa main droite caresse distraitement les cheveux bouclés de Thomas blotti contre son flanc.
Le plateau de Scrabble reste abandonné sur la table basse, ses cases vides béantes comme autant de promesses non tenues. Seuls les mots interdits demeurent, gravés dans la mémoire collective du groupe : EXHIBER, BRANLER, SUCER, BAISEE. Quatre termes qui résument parfaitement leur périple sensuel, quatre étapes d'une initiation qu'aucun d'eux n'oubliera jamais.
Les bougies continuent leur danse hypnotique, projettent des ombres mouvantes sur les corps entremêlés. Leurs flammes ont diminué au cours de la soirée, créant maintenant une atmosphère plus intime encore, plus feutrée. L'odeur de la cire chaude se mêle aux parfums corporels, compose un bouquet enivrant qui imprègne chaque recoin du salon transformé en alcôve.
Clara sourit, ses lèvres dessinent une courbe satisfaite qui trahit sa fierté. Ses nouvelles règles ont dépassé ses espérances les plus folles, transformé leur innocent jeu de société hebdomadaire en une exploration sensuelle qui restera gravée dans leurs mémoires. Elle savoure cette réussite, observe tour à tour ses trois complices dans leur béatitude post-orgasmique.
Marc caresse distraitement l'épaule nacrée de Sophie d'un geste tendre qui contraste avec la passion brutale qu'il a déployée quelques minutes plus tôt. Ses doigts calleux glissent sur la peau satinée avec une délicatesse infinie, tracent des cercles apaisants qui arrachent de petits frissons à la jeune femme. Son regard, habituellement si sûr de lui, s'est adouci, révèle une vulnérabilité nouvelle née de cette intimité partagée.
Sophie se blottit contre le torse puissant de Marc, sa tête nichée au creux de son épaule. Ses cheveux dorés s'étalent comme un voile soyeux sur la peau bronzée, créant un contraste saisissant. Ses yeux verts mi-clos papillonnent entre le sommeil et la veille, encore éblouis par l'intensité des sensations qu'elle vient de découvrir. Sa main repose délicatement sur le ventre de Marc, ses doigts fins épousent les reliefs de sa musculature.
Thomas contemple le plafond d'un regard perdu, encore ébloui par les découvertes sensorielles de cette soirée mémorable. Ses yeux noisette brillent d'un éclat nouveau, comme si une partie de lui-même s'était réveillée. Sa transformation est la plus spectaculaire : l'homme timide et réservé qui est entré dans ce salon quelques heures plus tôt a laissé place à un être libéré, conscient de sa propre sensualité.
Le silence qui règne n'a rien de pesant. Il s'agit plutôt d'une communion silencieuse, d'une complicité nouvelle qui unit désormais les quatre amis. Chacun savoure ce moment suspendu, conscient que quelque chose d'irréversible vient de se produire entre eux.
Clara rompt finalement le silence en se redressant légèrement, ses seins lourds glissent contre le bras de Marc. Elle tend une main paresseuse vers les lettres éparpillées, en ramasse quelques-unes d'un geste nonchalant. Le contact froid des tuiles contre sa paume chaude la ramène progressivement à la réalité.
"Même soirée la semaine prochaine ?" propose-t-elle d'une voix encore voilée par l'émotion, ses doigts jouent distraitement avec les lettres récupérées.
La question flotte dans l'air tiède, chargée de promesses et d'anticipation. Les trois autres se redressent légèrement, échangent des regards complices où brillent déjà l'excitation de futures explorations.
"Avec plaisir", murmure Marc d'une voix grave, son sourire carnassier révèle des dents blanches dans la pénombre dorée.
"Oh oui", souffle Sophie d'une voix fluette, ses joues s'empourprent à nouveau à l'idée des plaisirs à venir.
"Absolument", confirme Thomas avec une assurance nouvelle qui surprend ses compagnons, lui-même y compris.
Les trois acquiescements enthousiastes résonnent dans le salon apaisé comme autant de promesses d'extase. Clara replace délicatement les lettres dans leur boîte, déjà songeuse quant aux nouvelles règles qu'elle pourrait inventer.
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