Seul avec Kaddour . 4.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Seul avec Kaddour . 4.
J'ai donc cessé d'appeler Pierre, je préférai baiser plus simplement, mais aussi plus intensément, seul avec Kaddour.
Plus tard, je commencerai à fréquenter les endroits chauds de ma propre ville.
Mais avant ça, je recontacte Kaddour, c'est mon dernier Week end, sans ma copine.
Il sort de la route, pour m'emmener en pleine nature.
Il étale une couverture sur la terre, à une cinquantaine de mètres de la voiture et nous nous mettons nus au soleil.
Il me laisse lui dévorer la bite, étendu entre ses cuisses.
Je me régale inlassablement de chaque centimètres de son appareil génital.
Il s'est rasé les couilles, ce qui m'excite encore plus.
Je me défonce le gosier en me baisant la gorge sur sa bite.
Il me couvre de mots crus, si doux et jouissifs pour moi.
"Oh Pascal ! Tu m'as manqué, j'ai pensé à ta chatte toute la semaine ! Ahhhhhhhh ! Oui ! Encore, bouffes moi bien, salope !".
"Mmmm, oui, je suis ta salope ! J'aime que tu me le répètes ! Je suis ta pute, ta femelle ! J'ai envie que tu me défonce la chatte, encore !".
"Oh, oui, je vais te défoncer ! Tu vas gueuler comme une chienne ! Putain, j'en peux plus !".
Il se lève et vient derrière moi, il me crache sur l'anus et me colle fortement contre son énorme gland.
"Ohh, pas trop vite ! Kaddour, laisse moi m'habituer !".
"J'en peux plus, j'ai besoin d'être dans ta chatte ! Aides moi !".
Je pousse plusieurs fois sur mon muscle anal pour l'ouvrir.
Comme Kaddour est pressé, il en profite pour s'enfoncer aussitôt, en me déchirant le cul.
"Arrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhh ! Kaddour, salaud ! Arhhhhhhhhhh !".
"Qu'est-ce qu'il y a, ma petite salope ?".
"Tu me déchires le cul ! Arhhhhhhhhhh !".
Il bouge sans se soucier de moi, qui commence à crier de plaisir douleur.
"Tu vois que c'est bon, hein, ma petite chatte ?".
"Oui, oh putain, tu me fais jouir ! Arhhhhhhhhhh !".
Sa bite profite de mes premières sécrétions anales pour coulisser amplement dans mon cul.
Il me détruit avec vice et passion en me couvrant de mots salaces et d'autres mots proches des expressions amoureuses.
Je gueule comme une chienne, il est encore plus excité que jamais.
Je n'en connais pas la raison sur le moment, mais en fait, un promeneur cycliste s'est arrêté à une trentaine de mètres pour se branler en nous regardant.
L'effet sur mon amant est surprenant, il m'insulte en me cassant le cul.
Je deviens selon lui, une pute, un vide couilles, un sac a bites, il adore me faire couiner comme une sale chienne.
J'encaisse tout en jouissant cérébralement, j'éjacule sur la couverture, puis je gicle aussitôt après, près d'un litre de liquide doré.
Kaddour est au bord de l'explosion.
"Tourne toi ! Salope !".
Je me retourne et reçois de longs jets de foutre brulants, de mon ventre, à ma face d'ange.
Il s'amuse à diriger ensuite la chute de son sperme dans ma bouche ouverte.
Je me redresse ensuite pour me poser sur mes fesses, il m'offre alors sa longue grosse queue à lécher longuement.
J'entend alors des râles masculins près de nous, Kaddour me dit:
"C'est rien ! C'est un mec qui s'est branlé en nous matant ! J'ai adoré te défoncer devant lui d'ailleurs ! C'est excitant ! C'était trop bon !".
"Mmm, moi aussi, j'ai aimé comment tu m'as enculé, salaud !".
De l'air s'échappe de mon anus, je macule la couverture de jus, encore.
"La preuve ! Même ma chatte le dit !".
On passe un moment sur Marseille, puis peu de temps avant le repas, il m'encule un peu dans des toilettes de pub.
Mais trop excités, et gênés par l'endroit exigu, nous écourtons pour terminer nos ébats chez lui.
Il ne joui pas, et préfère attendre après le diner, pour me baiser encore.
Mon anus était toujours prêt à le recevoir, il le savait !
Il s'est déchainé ensuite comme un dingue dans mon cul avant de sombrer d'un coup épuisé sexuellement.
Le lendemain matin, il est devenu plus calme, et nous avons échangé beaucoup de tendresse.
Il n'y a pas d'autres mots, nous avons fait l'amour de 10 h à 11h 30, Il m'appelai sa petite chérie !
Nous n'avons pas osé parler de ce changement d'ambiance, cela semblait naturel entre nous.
Mais cela reviendra de plus en plus fréquemment.
Je suis rentré après deux jours, un peu perturbé par ces moments, ils ressemblaient à ce que je partageais avec ma copine, c'était la même passion.
Au bout de quelques mois, Kaddour ne répondait plus à mes appels, je me suis demandé ce qui s'était passé, puis j'ai abandonné.
2 ans plus tard, lors d'une soirée sur Marseille avec des copains de fête, il m'a reconnu.
On s'est éclipsé discrètement, on a pas pu résister à la pulsion de nous retrouver enfin.
L'envie de baiser était trop forte, et on l'a fait, moins d'une heure après, chez lui.
Il avait déménagé, ce qui explique son changement de numéro.
Il m'a à nouveau détruit le cul interminablement, il était déchainé.
Puis, on a fait l'amour avec la même passion qu'avant.
Après sa deuxième éjaculation, il s'est mit à pleurer, en s'excusant pour ces deux ans de silence.
Il m'aimait trop, selon lui ! Il savait que j'avais besoin de ma copine (que je venais de quitter !) et ne le supportait plus.
Je suis resté le Week end entier avec lui, puis il m'a ramené chez moi.
Mais il avait raison, nos rapports étaient devenus trop passionnels, j'ai pris peur, moi aussi et j'ai jeté son numéro.
Je venais de rencontrer Corinne, à qui je tenais plus que tout, et c'était devenu trop dangereux pour mon couple.
Finalement, cette coupure dans notre relation m'a rendu service, mais c'est pas simple de se passer d'une relation homosexuelle aussi épanouissante !
Plus tard, je commencerai à fréquenter les endroits chauds de ma propre ville.
Mais avant ça, je recontacte Kaddour, c'est mon dernier Week end, sans ma copine.
Il sort de la route, pour m'emmener en pleine nature.
Il étale une couverture sur la terre, à une cinquantaine de mètres de la voiture et nous nous mettons nus au soleil.
Il me laisse lui dévorer la bite, étendu entre ses cuisses.
Je me régale inlassablement de chaque centimètres de son appareil génital.
Il s'est rasé les couilles, ce qui m'excite encore plus.
Je me défonce le gosier en me baisant la gorge sur sa bite.
Il me couvre de mots crus, si doux et jouissifs pour moi.
"Oh Pascal ! Tu m'as manqué, j'ai pensé à ta chatte toute la semaine ! Ahhhhhhhh ! Oui ! Encore, bouffes moi bien, salope !".
"Mmmm, oui, je suis ta salope ! J'aime que tu me le répètes ! Je suis ta pute, ta femelle ! J'ai envie que tu me défonce la chatte, encore !".
"Oh, oui, je vais te défoncer ! Tu vas gueuler comme une chienne ! Putain, j'en peux plus !".
Il se lève et vient derrière moi, il me crache sur l'anus et me colle fortement contre son énorme gland.
"Ohh, pas trop vite ! Kaddour, laisse moi m'habituer !".
"J'en peux plus, j'ai besoin d'être dans ta chatte ! Aides moi !".
Je pousse plusieurs fois sur mon muscle anal pour l'ouvrir.
Comme Kaddour est pressé, il en profite pour s'enfoncer aussitôt, en me déchirant le cul.
"Arrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhh ! Kaddour, salaud ! Arhhhhhhhhhh !".
"Qu'est-ce qu'il y a, ma petite salope ?".
"Tu me déchires le cul ! Arhhhhhhhhhh !".
Il bouge sans se soucier de moi, qui commence à crier de plaisir douleur.
"Tu vois que c'est bon, hein, ma petite chatte ?".
"Oui, oh putain, tu me fais jouir ! Arhhhhhhhhhh !".
Sa bite profite de mes premières sécrétions anales pour coulisser amplement dans mon cul.
Il me détruit avec vice et passion en me couvrant de mots salaces et d'autres mots proches des expressions amoureuses.
Je gueule comme une chienne, il est encore plus excité que jamais.
Je n'en connais pas la raison sur le moment, mais en fait, un promeneur cycliste s'est arrêté à une trentaine de mètres pour se branler en nous regardant.
L'effet sur mon amant est surprenant, il m'insulte en me cassant le cul.
Je deviens selon lui, une pute, un vide couilles, un sac a bites, il adore me faire couiner comme une sale chienne.
J'encaisse tout en jouissant cérébralement, j'éjacule sur la couverture, puis je gicle aussitôt après, près d'un litre de liquide doré.
Kaddour est au bord de l'explosion.
"Tourne toi ! Salope !".
Je me retourne et reçois de longs jets de foutre brulants, de mon ventre, à ma face d'ange.
Il s'amuse à diriger ensuite la chute de son sperme dans ma bouche ouverte.
Je me redresse ensuite pour me poser sur mes fesses, il m'offre alors sa longue grosse queue à lécher longuement.
J'entend alors des râles masculins près de nous, Kaddour me dit:
"C'est rien ! C'est un mec qui s'est branlé en nous matant ! J'ai adoré te défoncer devant lui d'ailleurs ! C'est excitant ! C'était trop bon !".
"Mmm, moi aussi, j'ai aimé comment tu m'as enculé, salaud !".
De l'air s'échappe de mon anus, je macule la couverture de jus, encore.
"La preuve ! Même ma chatte le dit !".
On passe un moment sur Marseille, puis peu de temps avant le repas, il m'encule un peu dans des toilettes de pub.
Mais trop excités, et gênés par l'endroit exigu, nous écourtons pour terminer nos ébats chez lui.
Il ne joui pas, et préfère attendre après le diner, pour me baiser encore.
Mon anus était toujours prêt à le recevoir, il le savait !
Il s'est déchainé ensuite comme un dingue dans mon cul avant de sombrer d'un coup épuisé sexuellement.
Le lendemain matin, il est devenu plus calme, et nous avons échangé beaucoup de tendresse.
Il n'y a pas d'autres mots, nous avons fait l'amour de 10 h à 11h 30, Il m'appelai sa petite chérie !
Nous n'avons pas osé parler de ce changement d'ambiance, cela semblait naturel entre nous.
Mais cela reviendra de plus en plus fréquemment.
Je suis rentré après deux jours, un peu perturbé par ces moments, ils ressemblaient à ce que je partageais avec ma copine, c'était la même passion.
Au bout de quelques mois, Kaddour ne répondait plus à mes appels, je me suis demandé ce qui s'était passé, puis j'ai abandonné.
2 ans plus tard, lors d'une soirée sur Marseille avec des copains de fête, il m'a reconnu.
On s'est éclipsé discrètement, on a pas pu résister à la pulsion de nous retrouver enfin.
L'envie de baiser était trop forte, et on l'a fait, moins d'une heure après, chez lui.
Il avait déménagé, ce qui explique son changement de numéro.
Il m'a à nouveau détruit le cul interminablement, il était déchainé.
Puis, on a fait l'amour avec la même passion qu'avant.
Après sa deuxième éjaculation, il s'est mit à pleurer, en s'excusant pour ces deux ans de silence.
Il m'aimait trop, selon lui ! Il savait que j'avais besoin de ma copine (que je venais de quitter !) et ne le supportait plus.
Je suis resté le Week end entier avec lui, puis il m'a ramené chez moi.
Mais il avait raison, nos rapports étaient devenus trop passionnels, j'ai pris peur, moi aussi et j'ai jeté son numéro.
Je venais de rencontrer Corinne, à qui je tenais plus que tout, et c'était devenu trop dangereux pour mon couple.
Finalement, cette coupure dans notre relation m'a rendu service, mais c'est pas simple de se passer d'une relation homosexuelle aussi épanouissante !
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