Sexe on the boat.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Sexe on the boat. Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sexe on the boat.
Je me sens comblé à cette époque, j'ai une copine que j'aime, un appartement et j'ai deux amants réguliers qui me baisent au travail depuis quelques semaines.

Cela fait très longtemps que je ne me suis plus rendu en lieu de rencontre, je n'en ressens pas le besoin.

En arrivant au boulot, je me change, tout en écoutant Roger, mon amant quinquagénaire, qui accapare l'attention générale en parlant de sexe.
"Putain, ça fait chier de bosser ! J'aurai bien baisé un petit cul de mec aujourd'hui !".

Un ouvrier souffle et lui demande, s'il n'en pas marre de parler tout le temps de sexe entre mecs, et ajoute:
"Tu me saoule avec tes histoires de pédés !".
"Ben essaie, tu verras comme c'est bon !".

Je ne me retourne pas, je sais qu'il pense à mon cul en disant ça.
Je ne veux surtout pas qu'on devine, qu'il me baise.
Mon autre amant, Sébastien rit volontiers en me lançant des regards obliques, qui en disent long sur ses envies à lui aussi.
Roger reste discret, mais je devine qu'il va me solliciter lui aussi.

Je vais voir mon chef pour connaitre ma mission du jour, il m'envoie sur un nouveau chantier naval.
Je dois réparer quelques dommages dans une cabine de bateau.

L'endroit est très fréquenté, le navire est immense.
Il y a beaucoup de travailleurs étrangers, d'origine magrébine.

Ce changement de lieu me fait comprendre que Roger et Sébastien devront attendre la douche du soir pour me baiser.

Je demande à voir un certain Fred, qui me dirige vers la cabine que je dois restaurer.

Au bout d'une bonne heure, un magrébin entre dans la cabine, il doit remplacer les luminaires et vérifier l'électricité.
Il a une bonne quarantaine d'années, et un accent très prononcé.

Je le trouve sympathique, malgré son air bourru, mais, peu à peu, je me met à penser que son regard sur moi est trop insistant.
Il commence à me poser des questions sur ma vie personnelle, puis sexuelle.
Il me confie ses problèmes sexuels avec sa femme, qui refuse de baiser tous les jours.

Je comprends qu'il a de gros besoins, comme certains hommes, il est toujours en demande.
"Et toi, ta femme, elle veut, tous les jours ?".
"Euh, elle me dit jamais non ! J'ai pas de souci ! Mais, je pense pas être comme toi, non plus !".
"T'as de la chance ! En plus, tu es joli garçon !".
"Merci, mais c'est gênant de la part d'un homme !".
"Tu fais la femme, des fois ?".
"Euh, comment ça ? Qu'est-ce que tu veux dire ?".
"Tu es beau garçon ! Tu donnes envie ! C'est bon aussi ! Tu veux pas gouter ?".

Il conforte mon point de vue sur les magrébins et leur hypocrisie sexuelle, il adore la sodomie et baiser des jeunes hommes, mais ne l'assume pas.

Et je suis encore excédé par l'effet que j'ai sur les hommes mûrs bisexuels, il ne pensent qu'à me baiser ! Cette fois, je ne vais pas céder !

"Tu es fou ! Non ! Je veux pas !".
"Juste une fois ! Il faut essayer ! Tu dois avoir une bonne chatte !".
"Mais, je suis un garçon, pas une fille ! J'ai pas de chatte !".
"Pas grave, des fois, les jeunes garçons font la femme avant de se marier ! Allez, on s'arrange entre nous, c'est un secret ! C'est pas pédé ça !".

Quelle expression idiote !
Il va fermer la porte avec le loquet, puis s'approche de moi.
Il exhibe son gros sexe foncé et très veiné, en érection très, très dure.
je le sens très excité, prête à tout pour me baiser.

"Regardes comme je suis dur ! Je bande ! J'ai trop envie ! Tu as un beau cul ! Goutes ma queue ! Tu verras, c'est bon ! Allez, fais moi du bien !".

Franchement, malgré l'excitation qu'il me provoque, je me dis que je n'ai pas besoin de cette relation en plus.

Mais la taille de sa bite ne m'aide pas, si il avait eu un membre dans la moyenne ou moins, je l'aurai repoussé sans regret.
Pourquoi ai-je si peu de résistance, face a une belle bite ?

Il me tient fermement la main sur sa verge en la masturbant, et me coince contre la cloison, son autre main glisse sous mon short et va s'insinuer vers mon anus.
Il tente de me pénétrer avec un de ses gros doigts.
Il constate que je m'ouvre assez facilement, il a de la chance, je me fais des lavements presque quotidiennement depuis mes baises avec Roger et Sébastien.

"Humm, toi tu aimes faire la femme ! C'est sûr ! Allez laisses toi faire ! Ca va être bon ! Tu verras ! Laisse-moi baiser ta chatte !".

Il m'impose de me pencher sur sa bite.
"Non, s'il te plait ! Je veux pa... Mmmmm ! Grlllllll, Glllllrr ! Mmmmmmmmm!".

Il maintient ma tête sur lui, en me baisant la gorge profondément.
Je sens son gland qui s'insinue dans le fond de mon gosier, me provoquant des reflux de salive.

Coincé dans le coin de la cabine, il n'a aucun mal à me baiser la gorge, malgré moi.
Je commence à en avoir assez de ma particularité, je suis un vrai aimant à salauds.
Pourquoi, j'attire autant les hommes actifs ! Pourtant, je ne suis pas efféminé ! Comment devinent ils que je suis une salope !
Qu'y a t-il dans mon physique qui leur plait autant, au point d'oser m'aborder et me proposer de me baiser.

Il relâche sa pression sur mon crâne.
Il constate que je le suce en prenant un plaisir énorme.

"Hummm, tu suces mieux que la femme ! Tu aimes sucer ma queue ?".
"Gllllllllrp ! Salaud ! Mmmmmmm ! Oui !".
"Tu as déjà fais la femme ! J'ai raison ?".
"Oui ! T'as gagné ! T'es content ?".

Il est excité et m'accompagne dans ma fellation, avec de nombreux coups de bite, au fond de ma gorge.
Il me redresse d'un coup, me libère de mon short, puis mon sous vêtement, et me penche sur la couchette, face à nous.

Il me présente sa main en disant:
"Craches ! Je vais baiser ta chatte !".
Vu l'excès de salive qu'il m'a provoqué, je lui dépose beaucoup de liquide.
Il m'enduit l'anus abondamment, puis colle son gros gland à l'entré de mon cul.

Il écartèle assez rapidement les premiers centimètres de mon petit trou.
"Hummm ! C'est bon ! Tu as un très beau cul !".

Je plonge mes lèvres pour mordre le matelas en le sentant me pénétrer complètement.
Ses mains me claquent les fesses en s'agrippant, à chaque nouvel enfoncement profond.

"Oh, C'est bon, mieux que la femme ! T'as une bonne chatte !".
Il m'entend jouir du cul, et cela à l'air de l'étonner.

"Eh ben, tu aimes ma queue ! Tu veux encore plus fort ?".
"Oui, défonces-moi, je joui ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".
"Tiens, alors ! Tiens !".
"Arhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".

Mon orgasme retombe très peu, ses assauts le maintiennent un bon moment, puis il remonte plus fort et plus longtemps.
Je ne veux pas qu'on m'entende jouir, je m'étouffe dans la couverture sous moi.

Le magrébin se déchaine, il ne cesse de me claquer les fesses en s'accrochant à mon cul pour me défoncer profondément.
Ses assauts me font couler de l'anus abondamment.

Je respire un peu, pour aussi, profiter de cet instant après la jouissance, je laisse échapper un long râle de plaisir, tout en recevant ses coups de queue.

"Arhhhhhhhhhhhh ! Je vais cracher dans ta chatte ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".

Je l'accompagne dans son orgasme, en jetant mon cul sur sa queue, au même rythme que lui, jusqu'à me faire jouir encore une fois.

Il me place en long sur le lit, et reste planté en moi, allongé derrière mon dos.
Il m'impose de rester ainsi, une bonne demi-heure.

Il me dit des phrases étranges, comme:
"Tu es une bonne femme ! ... Tu as une bonne chatte !".

Je ne le contrarie pas et lui dit souvent que j'ai peur que quelqu'un arrive.
Mais il n'arrête pas de bouger sa bite dans mon cul.

J'apprend qu'il s'appelle Mohammed, ce qui n'est pas étonnant, ni original.

"Mohammed ! Il faut qu'on se rhabille !".
"J'ai encore envie de te baiser ! Tu as une trop bonne chatte !".
"Quoi ! Encore !".

Il me tourne sur le ventre et m'encule sauvagement en m'enfonçant dans le matelas, à chaque assaut.

"Arhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhh ! Fais vite Mohammed ! Arhhhhhhhhhhhhhh ! Jouis ! J'en peux plus !".

Il se déchaine en créant un reflux de son sperme, qui me pollue le tour de l'anus et les testicules.
Je joui encore et encore, en me devinant poisseux de foutre et de jus anal.

Après de longues minutes, il se cambre et se déverse à nouveau en moi.
Son corps s'écroule sur le mien, je suis à nouveau effrayé de me faire surprendre.

"Mohammed, je veux pas faire le rabat joie, mais il faut se rhabiller !".
"Oui, t'as raison, petit Pascal ! On recommencera une autre fois ! T'es ma petite femme, maintenant !".

Ces mots m'affolent, je ne vais pas avoir un troisième amant ? J'ai pas la place pour ça !
"Euh, je sais pas, si je reviendrai demain !".
"On s'arrangera ! J'ai bien faire l'amour avec toi !".

J'hallucine, il pense donc qu'on a fait l'amour ? Il m'a défoncé comme une pute, oui !

Il se décolle de mon corps, par chance, j'ai des mouchoirs en papier sur moi.
Je lui demande de me nettoyer le cul, puis on reprend nos activités.

Vers 13h 30, après le repas, on se retrouve dans la cabine, il m'annonce:
"Ma femme était contente, j'ai pas eu envie de la baiser ! Elle sait pas que c'est à cause de toi !".
"Ben, avec ce que tu m'as mis, je comprend que t'en ai pas eu besoin !".

Après une bonne heure de travail, il revient vers moi, je suis affolé en voyant qu'il bande encore.
"J'ai toujours envie de ma petite femme !".
"Mohammed, je ne suis pas une femme ! Je suis un garçon !".
"Tu es mieux que ma femme ! Allez, lèches ma queue, encore !".

Comme je veux éviter qu'il m'encule encore, préférant me réserver pour Roger ou Sébastien, je le pompe avec frénésie jusqu'à son éjaculation dans ma gorge.
Il me laisse tranquille jusqu'au soir, et je rentre au vestiaire.

Roger et Sébastien sont déjà là, ils sont en slip, les autres sont rhabillés et commencent à quitter l'endroit.
Je me dévêts lentement, Roger baisse son slip et se rend nu sous la douche, mais ne fais pas couler l'eau.

La vue de sa longue bite qui pend me trouble, comme toujours.

Le dernier ouvrier quitte le vestiaire.
Sébastien va fermer derrière lui, puis se tourne vers moi, en baissant, lui aussi, son slip.

"Putain, j'ai pensé à toi, toute la journée, mon bébé !".

Il s'approche en m'enfonçant sa grosse queue entre les lèvres.
"Oui, suces-moi bien, chéri ! Putain, ce que j'en avais envie !".
"Oh, et moi, vous m'oubliez ?". Ajoute Roger.
Il sort des douches et vient profiter lui aussi de mes talents buccaux.
"Oh là là, moi aussi, j'ai pensé à lui, j'ai failli me branler ! Tu vas prendre cher, ma petite salope !".

Sébastien s'assoit pour se faire dévorer la bite pendant que Roger passe derrière moi.
Sa bouche me procure un énorme plaisir grâce à un très long anulingus.
Je suis en forte demande de pénétration, lorsqu'il se redresse pour commencer à me prendre.

Je gémis fortement quand il atteint le fond de mon cul, alors que je suis comblé dans la gorge par la grosse bite de Sébastien.
"Oh, ça rentre facilement, ce soir !".

Il secoue mon petit corps sur sa grosse et longue bite, en s'appliquant à m'enfoncer en même temps sur le membre de notre complice de jeu.
Je joui à deux reprises, puis il sort et va s'assoir à coté de Seb qui vient m'enculer à son tour.

On reprend notre jeu, mais les rôles ont changés pour eux, j'orgasme encore et encore.
Puis Roger étale des vêtements au sol et s'allonge dessus.
"Allez, viens sur ma bite, salope !".

Je me présente au dessus de lui, et m'empale entièrement.
Sébastien vient dans ma bouche encore, je me souviens alors du plaisir connu avec mes amants militaires.

Je suis pris d'une énorme envie de retrouver cette sensation, et j'ose demander à Sébastien:
"Encules-moi, toi aussi ! Je vous veux tous les deux !".
"Oh putain ! Je dis pas non ! Ca te gêne Roger ?".
"Au contraire, ça m'excite, putain, il va se prendre deux grosses bites, cette salope !".

Sébastien se cale contre la queue de Roger et pousse lentement contre mon œillet.
Il m'écartèle patiemment, Roger m'offre la paume de sa main pour que je la morde.
Je sais que cela va être possible de les recevoir tous les deux, mais je ne pratique pas assez souvent ce plaisir.

Je sens mon anus qui s'écartèle encore jusqu'à atteindre son maximum, j'ordonne alors:
"Arhhhhhhhhhh ! Vas y Sébastien ! Pousse plus fort ! Enfonces moi ta bite !".

Il pousse avec puissance et abat les dernières barrières qui l'empêchait de me pénétrer.
Sa queue glisse lentement en comprimant celle de Roger, déjà présente dans mon cul, et me remplit complètement l'anus.

"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
" Oh Putain, c'est serré, C'est bon !".
"Ouh, T'as raison Seb, c'est trop bon ! Vas y, encules le, défonces lui le cul ! Moi je peux pas encore bouger pour le moment !!".

C'est donc Sébastien qui me fait jouir en premier, puis lentement Roger se cale sur son rythme.
J'aime ressentir ce moment ou chaque gland vient cogner au fond de moi, l'un après l'autre.
Les sensations sont trop fortes, je joui sans discontinuer.

"Arhhhhhhhhhhh ! Vous me déchirez le cul, Putain, c'est bon ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh !".

Pour eux aussi, le plaisir est trop intense.
Roger est excité, au bord de l'explosion, il m'enserre la taille et se déchaine dans mon cul.
Mon orgasme est énorme, c'est en ressentant un effet poisseux entre mon corps et le sien que je comprends qu'il m'a fait éjaculer une grosse dose de sperme en m'enculant.

Il se déverse longuement, à son tour, en râlant comme une bête.
Je sens l'abondance de son jus qui vient lubrifier le gland de Sébastien.

Roger apprécie ce moment, après sa jouissance, et m'embrasse pendant que Sébastien m'offre ses derniers assauts.
Il grogne de plaisir, annonçant son éjaculation, à son tour.

Il ajoute sa semence au fond de mon cul, son sperme vient se mêler a celui de Roger.
Il s'affale au dessus de nos deux corps.

"Putain Pascal ! Qu'est-ce que j'ai bien joui ! Ouff ! C'était génial !".
"Ah ouais, moi c'est pareil ! Tu m'as régalé ! Mon petit !".
"Moi aussi, j'ai bien joui ! Ca faisait longtemps que j'avais plus fais ça !".
"Ah bon ? Tu l'as déjà fait ?".
"Oui, à l'armée avec des militaires ! J'étais l'amant d'un gradé et du coup aussi, un peu la pute du camp !".
"Eh ben ! Tant mieux pour nous ! Tu nous régales ! T'as commencé jeune ?". Demande Roger.
"Non, j'étais puceau avant d'entrer au service militaire, c'est le Lieutenant qui m'a dépucelé ! Mais après, il m'enculait presque tous les jours ! Ouhh, là, là ! Je vais mettre un moment à me remettre de ce que vous m'avez fait, Ouhhhhhhhhhhhh, mon pauvre petit cul !".

Roger attend que Sébastien se retire pour m'aider à me soulever, et regarde mon foutre sur son ventre.
"Eh ben ! T'as bien éjaculé, toi aussi !".
"Oui, vous m'avez vraiment bien baisé, j'avoue !".

Ils m'enlacent tous les deux et m'embrassent tour à tour, Ils m'accroupissent ensemble, pour que je leur lèche, longuement, leurs deux bites embuées de foutre.

Leurs gestes sont tendres, Roger me dit:
"C'est bon de te baiser Pascal ! On s'éclate avec toi !".
"J'allais le dire ! J'avais hâte d'arriver à ce soir pour t'enculer, mais c'était encore meilleur cette fois !".

Ils me redressent pour m'embrasser vicieusement, m'enfonçant leurs doigts dans le cul, à tour de rôle, puis nous passons sous la douche.

Ils s'amusent à me savonner ensemble et agrémentent leur lavage, de baisers vicieux.
J'adore ce moment d'érotisme entre hommes, mon corps est sensible à ces attouchements.

Mais je ne suis pas le seul qui y est sensible, Sébastien se remet à bander.
Instinctivement, je lui savonne la bite, qui glisse longuement entre mes doigts.
Puis, je me baisse pour lui donner encore du plaisir avec ma langue et ma gorge.

Roger sait qu'il ne rebandera pas tout de suite et s'écarte pour nous regarder.

Après une longue séance de pompage amoureux sur Sébastien, je me relève et lui tend mes fesses.
"Vas-y ! Branles toi dans mon cul ! Défonces-moi encore !".

Il me plaque contre le carrelage et me possède avec fougue, je hurle mon plaisir anal sans fin.
Il grogne enfin son orgasme, après de nombreux assauts.
Il secoue mon petit corps, sans cesse, en se vidant dans mon cul.

Roger, que je n'avais pas vu se masturber plus frénétiquement, passe sa main derrière ma nuque, pour me baisser sur sa bite en érection, qu'il secoue entre ses doigts.

Il éjacule lui aussi, mais dans ma bouche, Sébastien me dit:
"Avales le bien, Pascal, t'aimes ça aussi, pas vrai ?".
"Mmmmmmm, moui ! J'adore ! Grllllllllllp !".

On se rince à nouveau, puis j'ajoute:
"Putain, j'ai eu mon compte, aujourd'hui ! Ca suffit ! J'espère que ma copine ne voudra pas baiser ! J'aurai du mal à bander !".
"Moi, aussi, je crois que je vais pas baiser ma femme !" Ajoute Sébastien.
"Et ben moi, ça fait un bail que je la baise plus, et ça l'arrange autant que moi ! Je préfère baiser Pascal ou un autre jeune !". Enchérit Roger.

On rit tous les trois, puis on se rhabille en plaisantant, ils m'embrassent tous les deux avant de sortir du vestiaire.

Bien sûr, je leur cache que j'ai aussi baisé plusieurs fois dans la journée avec un autre homme.

En rentrant, Corinne me demande la raison de mon retard, je prétexte un surplus de travail, puis je lui propose de sortir boire un verre, jusqu'au moment de la raccompagner, au bus de 18h30.
"J'avais envie de toi, ce soir !". me dit elle.
"Désolé, mon amour, mais je suis mort de fatigue !".
"C'est pas grave, je comprends !".

Je n'ai travaillé que trois jours sur le bateau, mais Mohammed en a bien profité, il ne pensait qu'à m'enculer ! Deux fois par jour !
Avec les demandes de Roger et Sébastien, encore plus excités par notre double pénétration anale, cela m'a pas mal épuisé sexuellement.

Puis, j'ai repris d'autres activités sur les même bateaux que Roger et Sébastien, ils ont pu me baiser en journée, c'était plus facilement gérable.

Mohammed m'a baisé plusieurs fois aussi, mais plus rarement, au gré de nos rencontres.
Il m'a demandé, si je pouvais le recevoir chez moi, j'ai accepté.

C'était amusant, quand il sonnait à mon interphone:
"C'est Momo !".
Contrairement au sketches des inconnus, il me montait avant de descendre !

Je me souviens d'une conversation après une sodomie, il me demande:
"Tu aimes baiser avec moi ?".
"Oui, tu m'encules bien, mais ça me gêne quand tu me parles comme à une femme ! Tu te rends compte que tu ne baises pas une fille ! Tu encules un mec !".
"Ohhh ! C'est pareil ! Pour moi, ton cul, c'est mieux qu'une chatte !".
"Mais, tu te sens pas pédé, quand tu m'encules ?".
"Non, ça va pas ! Je suis pas un pédé ! C'est toi le pédé ! Mais j'ai toujours envie ! Il faut bien que je me soulage ! T'es là pour ça, non ?".
"Ok, donc, je suis que ça pour toi ! Un trou !".
"Mais non ! Petit Pascal, arrêtes de poser des questions ! On est pas bien là ! On profite bien ! Ca fait du bien à ta chatte aussi !".

Décidément, je ne comprends pas les magrébins comme lui !
J'ai le sentiment qu'il pense que l'on est homo que lorsque l'on aime se faire enculer !
Lui est actif et donc ne se sent pas concerné !
Pour lui, un anus, c'est un trou, quelque soit le sexe du corps qui se fait baiser !
j'aimerai bien avoir l'avis de jeunes passifs qui ont vécu ce phénomène !
Sans parler des jeunes beurettes qui pratiquent la sodomie avec leurs petits copains, afin de rester pures et vierges pour leur futurs maris !

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