SMS suite 1
Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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SMS suite 1
Laure s’appuie sur le montant de la porte, brandit son Smartphone et de sa voix douce m’interroge :
- C’est toi qui m’as envoyé ce message ?!
Je ne réponds pas tout de suite, ma gorge se noue, Mon sang tape contre mes tempes, mes oreilles bourdonnent, je n’ose la regarder. Je balbutie enfin :
- Oui Laure, désolé si je t’ai blessée, je ne pouvais plus garder ce poids en moi. Je peux comprendre ta surprise et ton émoi mais, depuis tout ce temps, ce fardeau me pèse et m’entrave dans mon quotidien.
- Mike, ne culpabilise pas, je ne suis pas une jeune fille et de t’avoir lu, je dois t’avouer que je ne suis pas restée de marbre. Ton message est clair, précis et sans ambigüité. Pourquoi devrais-je m’offusquer de tels écrits ?! J’ai passé l’âge, je crois. De plus Paul me trompe depuis longtemps, je le sais depuis peu.
Laure s’est approchée, s’est assise sur mon lit. Elle portait un pagne et un soutient gorge de maillot de bain.
- Je m’apprêtais à rejoindre Aline à la plage ! Tu as pensé à elle, avant d’envoyer ton texto ? Tu n’es pas sérieux Mike.
- Je suis, on ne peut plus sérieux ! Tu sais Aline est tout pour moi, je suis comblé avec elle et ce, dans tout les domaines. Mais, je ne peux expliquer mon ressenti. Ca s’est déclenché dès que je t’ai vu la première fois, il y a vingt ans. Je pensais qu’avec le temps cette fantaisie disparaitrait, nonobstant, elle est toujours omniprésente et aussi puissante.
- Que penses-tu de ce qui se passera après, si nous passions à l’acte ?
- Je ne sais pas, je ne sais plus, je n’ai jamais réfléchi aux conséquences éventuelles. Notre amitié, nos couples respectifs voleraient en éclats sauf, si nous restons discrets.
- C’est une éventualité, en effet.
Laure a posé délicatement sa main sur mon visage et me flatte la joue tendrement et avec délicatesse. Cette main douce, parfumée aux ongles parfaits me frôlent, m’effleurent. Je suis comme un petit enfant que l’on veut consoler.
J’observe son visage à dix centimètres du mien, je perçois le petit souffle qui sort de ses narines. Une mèche de cheveux s’est détachée du bandeau les retenant. Elle est sublime. Elle me regarde avec insistance, un léger sourire apparaît, éclairant davantage son joli minois. Nous sommes silencieux et nous nous regardons, je n’ose esquisser le moindre geste par crainte qu’il ne soit mal interprété ou incompris. Je ne veux rien provoquer.
C’est Laure qui a débloqué la situation, ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Elle reste ainsi, sa main sur ma poitrine, elle doit percevoir les pulsions sanguines sous ma peau nue. Je ne porte qu’un caleçon de bain. Elle entrouvre ses lèvres pour me bécoter. Elle me goûte et me broute les miennes.
Elle parcoure ma bouche, sa main prospecte mon torse fraîchement épilé, lisse comme une peau de bébé. C’est Laure qui prend ses responsabilités et dirige le présent et sûrement le futur
Elle s’allonge à côté de moi s’approche de mon oreille et me susurre :
- J’arrête là ou je continue ?!
- Toi seule peut et doit décider… .
La réponse d’Aline ne tarde pas, elle m’enjambe et vient se placer à califourchon. Elle poursuit ses flirts et ses palpations. Elle se laisse glisser, embrasse ma poitrine, commence à lécher mes tétons. Elle est couchée sur moi, son sexe est à la hauteur du mien. Sa poitrine s’écrase sur la mienne. Son sexe est contre le mien. Je bande et je mouille, nous mouillons. Ces deux petites épaisseurs de tissus qui nous séparent, nous rapprochent.
Aline aiguise son ardeur. Elle rampe littéralement sur moi, coulissant de haut en bas, frottant sa vulve sous son pagne, sur mon gland. Son soutient gorge a disparu, son pagne est dénoué, mon caleçon de bain a été descendu sur mes chevilles, nos peaux sont soudées. Elle écarte son slip de bain, sa main saisit mon manche, positionne le gland humidifié par le précum, à l’entrée de son fruit moelleux et juteux.
Elle s’enfonce avec douceur, s’empale progressivement, dès lors mes mains évaluent ses seins galbés et visitent ses belles fesses. La cadence de ses va et vient se sont accélérés, elle gémit mais se contient. Elle ne se lâche pas totalement. Elle est dans la retenue, tout à fait à son image. Je me laisse faire hypocritement. Ma bouche s’affaire sur ses bouts de sein érigés, ma langue les taquine, les titille et les agace.
Aline, commande son e-jouet sexuel dans son anus à l’aide de son portable, les vibrassions sont à leur maximum, Je suis décontenancé par cet objet placé dans cet orifice par Aline, Ca m’excite de plus belle et m’amène vers l’orgasme. Elle cache bien son jeu la coquine !
Nous allons jouir, nos corps se cambrent, nos mains se crispent, notre étreinte se fait plus dense, la cadence de ses frottements est dvenue frénétique. Aline me griffe la poitrine en plantant ses griffes sur ma peau. Mon sexe va exploser des frissons parcourent ma nuque, mon corps est en lévitation. Nous sommes en nage de sueur, je gicle dans sa caverne, Aline suffoque et jouit également engendrant des spasmes et des soubresauts saccadés.
Nous nous embrassons finement, récupérons de nos ébats, les battements de nos cœurs ralentissent, nos étreintes s’affaiblissent, nos têtes roulent de côté et nous nous regardons, satisfaits, fatigués, souriants quand la porte de la chambre s’ouvre brutalement :
- Pauuuul ! mais que fais-tu là ? Nous nous sommes exclamés ensemble, nos visages circonspects et ahuris à la foi. Comment va réagir Paul … ?
Vous le saurez si vous lisez la suite qui fera l’objet d’un autre récit.
Fiction, réalité, fantasme ?
A votre discrétion !
- C’est toi qui m’as envoyé ce message ?!
Je ne réponds pas tout de suite, ma gorge se noue, Mon sang tape contre mes tempes, mes oreilles bourdonnent, je n’ose la regarder. Je balbutie enfin :
- Oui Laure, désolé si je t’ai blessée, je ne pouvais plus garder ce poids en moi. Je peux comprendre ta surprise et ton émoi mais, depuis tout ce temps, ce fardeau me pèse et m’entrave dans mon quotidien.
- Mike, ne culpabilise pas, je ne suis pas une jeune fille et de t’avoir lu, je dois t’avouer que je ne suis pas restée de marbre. Ton message est clair, précis et sans ambigüité. Pourquoi devrais-je m’offusquer de tels écrits ?! J’ai passé l’âge, je crois. De plus Paul me trompe depuis longtemps, je le sais depuis peu.
Laure s’est approchée, s’est assise sur mon lit. Elle portait un pagne et un soutient gorge de maillot de bain.
- Je m’apprêtais à rejoindre Aline à la plage ! Tu as pensé à elle, avant d’envoyer ton texto ? Tu n’es pas sérieux Mike.
- Je suis, on ne peut plus sérieux ! Tu sais Aline est tout pour moi, je suis comblé avec elle et ce, dans tout les domaines. Mais, je ne peux expliquer mon ressenti. Ca s’est déclenché dès que je t’ai vu la première fois, il y a vingt ans. Je pensais qu’avec le temps cette fantaisie disparaitrait, nonobstant, elle est toujours omniprésente et aussi puissante.
- Que penses-tu de ce qui se passera après, si nous passions à l’acte ?
- Je ne sais pas, je ne sais plus, je n’ai jamais réfléchi aux conséquences éventuelles. Notre amitié, nos couples respectifs voleraient en éclats sauf, si nous restons discrets.
- C’est une éventualité, en effet.
Laure a posé délicatement sa main sur mon visage et me flatte la joue tendrement et avec délicatesse. Cette main douce, parfumée aux ongles parfaits me frôlent, m’effleurent. Je suis comme un petit enfant que l’on veut consoler.
J’observe son visage à dix centimètres du mien, je perçois le petit souffle qui sort de ses narines. Une mèche de cheveux s’est détachée du bandeau les retenant. Elle est sublime. Elle me regarde avec insistance, un léger sourire apparaît, éclairant davantage son joli minois. Nous sommes silencieux et nous nous regardons, je n’ose esquisser le moindre geste par crainte qu’il ne soit mal interprété ou incompris. Je ne veux rien provoquer.
C’est Laure qui a débloqué la situation, ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Elle reste ainsi, sa main sur ma poitrine, elle doit percevoir les pulsions sanguines sous ma peau nue. Je ne porte qu’un caleçon de bain. Elle entrouvre ses lèvres pour me bécoter. Elle me goûte et me broute les miennes.
Elle parcoure ma bouche, sa main prospecte mon torse fraîchement épilé, lisse comme une peau de bébé. C’est Laure qui prend ses responsabilités et dirige le présent et sûrement le futur
Elle s’allonge à côté de moi s’approche de mon oreille et me susurre :
- J’arrête là ou je continue ?!
- Toi seule peut et doit décider… .
La réponse d’Aline ne tarde pas, elle m’enjambe et vient se placer à califourchon. Elle poursuit ses flirts et ses palpations. Elle se laisse glisser, embrasse ma poitrine, commence à lécher mes tétons. Elle est couchée sur moi, son sexe est à la hauteur du mien. Sa poitrine s’écrase sur la mienne. Son sexe est contre le mien. Je bande et je mouille, nous mouillons. Ces deux petites épaisseurs de tissus qui nous séparent, nous rapprochent.
Aline aiguise son ardeur. Elle rampe littéralement sur moi, coulissant de haut en bas, frottant sa vulve sous son pagne, sur mon gland. Son soutient gorge a disparu, son pagne est dénoué, mon caleçon de bain a été descendu sur mes chevilles, nos peaux sont soudées. Elle écarte son slip de bain, sa main saisit mon manche, positionne le gland humidifié par le précum, à l’entrée de son fruit moelleux et juteux.
Elle s’enfonce avec douceur, s’empale progressivement, dès lors mes mains évaluent ses seins galbés et visitent ses belles fesses. La cadence de ses va et vient se sont accélérés, elle gémit mais se contient. Elle ne se lâche pas totalement. Elle est dans la retenue, tout à fait à son image. Je me laisse faire hypocritement. Ma bouche s’affaire sur ses bouts de sein érigés, ma langue les taquine, les titille et les agace.
Aline, commande son e-jouet sexuel dans son anus à l’aide de son portable, les vibrassions sont à leur maximum, Je suis décontenancé par cet objet placé dans cet orifice par Aline, Ca m’excite de plus belle et m’amène vers l’orgasme. Elle cache bien son jeu la coquine !
Nous allons jouir, nos corps se cambrent, nos mains se crispent, notre étreinte se fait plus dense, la cadence de ses frottements est dvenue frénétique. Aline me griffe la poitrine en plantant ses griffes sur ma peau. Mon sexe va exploser des frissons parcourent ma nuque, mon corps est en lévitation. Nous sommes en nage de sueur, je gicle dans sa caverne, Aline suffoque et jouit également engendrant des spasmes et des soubresauts saccadés.
Nous nous embrassons finement, récupérons de nos ébats, les battements de nos cœurs ralentissent, nos étreintes s’affaiblissent, nos têtes roulent de côté et nous nous regardons, satisfaits, fatigués, souriants quand la porte de la chambre s’ouvre brutalement :
- Pauuuul ! mais que fais-tu là ? Nous nous sommes exclamés ensemble, nos visages circonspects et ahuris à la foi. Comment va réagir Paul … ?
Vous le saurez si vous lisez la suite qui fera l’objet d’un autre récit.
Fiction, réalité, fantasme ?
A votre discrétion !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chères lectrices et chers lecteurs, je vous présente mes excuses pour l'erreur commise et
relative au prénom. Merci à l'anonyme qui m'en a fait la remarque. Laure ne m'en tiendra
pas rigueur et Aline non plus. Je les aime toutes les deux séparément et ensemble.
Erotiquement vôtre !!! MG8895
relative au prénom. Merci à l'anonyme qui m'en a fait la remarque. Laure ne m'en tiendra
pas rigueur et Aline non plus. Je les aime toutes les deux séparément et ensemble.
Erotiquement vôtre !!! MG8895
Belle histoire, mais c’est dommage de se tromper de prénom au milieu, de passer de Laure à
Aline. Aline qui est sensée être à la plage.
Aline. Aline qui est sensée être à la plage.
Oups... ça va chauffer pour tout les deux . A moins que résigné et déçu , Paul ne quitte
prématurément son lieu de vacances laissant sa femme plantée là avec son amant qu'il
croyait être un ami.
prématurément son lieu de vacances laissant sa femme plantée là avec son amant qu'il
croyait être un ami.