Soir d’ivresse, tu encaisses
Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Soir d’ivresse, tu encaisses
Ce soir-là, Eric avait pas mal bu. Ça faisait deux semaines qu’ils ne s’étaient vus. Samir était occupé à la maison près du lac, et Eric n’avait pas pu venir le week-end précédent. Il était arrivé en voiture ce vendredi soir, vers 21h, ils avaient été contents de se retrouver, Samir lui avait montré l’avancement des travaux, ils avaient mangé, il lui avait préparé un bon petit repas, comme il sait faire, agrémenté d’un bon vin... auquel Eric avait fait honneur.
Ils s’étaient juste enlacés en se retrouvant, puis à certains moments de la visite, que ce soit de la maison ou du jardin, mais ils n’avaient encore rien fait de sexuel.
A la fin du repas, Eric s’était approché de Samir, mais il l’avait repoussé :
- Attends, t’es tout en sueur, tu pues l’alcool à plein nez, va prendre une douche et te laver les dents s’il te plaît...
- oui, bien sûr.
- je t’attends sur le canapé.
C’était clairement une invitation. Eric la perçut comme telle : il alla prendre une douche, et revint quelques minutes plus tard, vêtu de son peignoir de bain.
Samir s’était assis sur le canapé, et semblait s’être assoupi. Eric le regarda, il le trouvait beau et attirant, il était adossé au canapé, les jambes allongées, écartées, il était simplement vêtu d’un pantacourt et d’un tee-shirt, Eric avait senti tout à l’heure en le touchant qu’il n’avait pas de sous-vêtements en dessous, c’était souvent le cas, le soir, lorsque Samir mettait des vêtements propres après avoir pris sa douche.
Eric vint se caler à côté de lui, sur le canapé, dans la même position. Lui aussi, qui avait eu une journée bien remplie, et s’était levé tôt, commençait à ressentir la fatigue, il resta un moment ainsi, avant que le sommeil ne le gagne, il se sentit partir, et vint cogner avec sa tête l’épaule droite de Samir, qui le repoussa. Il avait du mal à rester éveillé, le mélange d’alcool et de fatigue faisait ses effets, il ne resta pas longtemps à la verticale, il avait besoin d’un support, pour se poser, et se sentit à nouveau partir, en direction de Samir, mais cette fois celui-ci ne le repoussa pas : il le laissa glisser contre lui, jusqu’à ce que sa tête vienne se poser pile au niveau de son entrejambes.
Il sentait la bite de Samir frotter sa joue, ce qui fit réagir ce dernier : il lui prit la tête, la positionna bouche en avant, et vint la frotter contre sa bite, par dessus le pantacourt.
Eric avait du mal à émerger, même s’il avait senti la bosse caractéristique sous le pantacourt de son ami, d’autant que celui-ci avait empoigné sa tête au niveau de la nuque et la faisait aller et venir sur cette bosse qui ne cessait de grandir.
Samir sentait monter le désir, il se releva, afin de baisser son pantacourt, et de libérer le membre qui ne demandait que ça. Il était déjà bien en érection. Eric, à sa vue, commençait à émerger, se releva lui aussi un peu, ouvrit sa bouche et vint la refermer autour de ce sexe, qu’il aimait tant, et qu’il retrouvait avec plaisir, après presque deux semaines.
Samir aussi, après ses deux expériences des jours passés, avec le petit blond dans le chemin, puis avec le gars plus âgé dans la bâtisse abandonnée, qui suçait super bien, retrouvait avec plaisir la bouche d’Eric qui, finalement, restait sa préférée. Cette pensée le rassura.
Eric se réveillait doucement, et commença à sucer. Lui n’avait rien fait pendant ces deux semaines, et il réalisait que l’odeur, le goût, la forme de cette bite chérie lui avaient manqué.
Au cours du repas, Samir lui avait raconté ses deux plans (c’était la règle entre eux : ils devaient se le dire quand ils allaient voir ailleurs), il lui en avait déjà un peu parlé au téléphone, et ne lui avait pas caché le plaisir qu’il avait pris. Eric appréciait cette franchise, il avait longtemps été jaloux, mais, au fil du temps, il avait réalisé que lui aussi aimait de temps en temps se faire des plans avec d’autres mecs, sucer d’autres queues, il était normal que ce soit aussi le cas de Samir. En plus, quand il lui racontait, ça l’excitait, et finalement le stimulait, et Samir de son côté prenait quelque plaisir à lui raconter ce qu’il ressentait quand il se faisait sucer par un autre, ou quand il en enculait un autre.
Samir se rendait compte qu’Eric était encore un peu endormi, du coup il lui appuya la nuque sur sa bite et fit ainsi lui-même les mouvements de va-et-vient qu’Eric avait du mal à faire.
Pendant un long moment, il lui baisa la bouche ainsi, en empoignant la tête d’Eric des deux mains, et en faisant aller sa bite à l’intérieur, jusqu’en fond de gorge, ce qui lui procura un plaisir intense, et le conduisit à émettre des gémissements rauques et saccadés. Putain, ce que c’est bon...se dit-il.
Samir était très chaud ce soir-là : les retrouvailles avec Eric, le fait de repenser à ses deux plans des jours derniers, et de les lui raconter, il ressentait en lui un fort désir de baiser, de prendre son pied, mais pas seulement, il avait avant tout envie de baiser avec Eric et de prendre son pied avec lui.
Paradoxalement, le côté un peu amorphe de celui-ci le stimulait, et l’excitait.
Il essaya de le réveilla en biflant sa joue, ce qui fit réagir Eric, qui le regarda en souriant, et ouvrit sa bouche pour y enfouir à nouveau la queue de Samir, bien dure, et cette fois pour faire lui-même les mouvements de va et vient avec sa bouche autour d’elle.
Samir se laissa aller et savoura ce moment où, enfin, il retrouvait la sucée d’Eric, finalement bien agréable, se dit-il : elle lui avait toujours procuré beaucoup de plaisir, et, même, en général, elle le faisait jouir assez vite, ce qui n’était pas le cas des autres mecs qui pouvaient le sucer.
Eric étant désormais bien réveillé, Samir se leva, enleva son pantacourt, mais garda son tee-shirt, et, une fois debout, présenta sa bite à hauteur de la bouche d’Eric qui, lui, était resté assis sur le canapé, avait gardé son peignoir, mais avait défait la ceinture.
Il reprit en bouche le sexe de Samir, il sentait qu’il était particulièrement chaud ce soir, il le laissa donc diriger le mouvement, et lui baiser la bouche. Il faut dire que Samir bandait bien à fond, lui appuyait la tête de ses mains, et faisait des va-et-vients particulièrement rapides avec sa queue, limite brutal.
Eric fermait les yeux, essayait d’ouvrir la bouche au maximum, pour que le membre puisse y aller à fond, et il se surprit à bien encaisser ce coït buccal particulièrement endiablé.
Samir ne lui laissait aucun répit, Eric s’attendait d’ailleurs à ce qu’il crache à tout moment, au fond de sa gorge, et se demandait même comment il encaisserait de tels jets, mais non, Samir n’avait pas encore envie de jouir.
Au bout d’un certain temps, il finit par ralentir cette cadence infernale, mais il ne retira pas son sexe de la bouche d’Eric. Avec ses mains il fit pivoter sa tête, afin de la mettre à l’horizontale, perpendiculaire à lui, et il reprit des mouvements, cette fois plus lents, mais très réguliers, qui lui permettaient à chaque fois de faire rentrer sa bite jusqu’au bout, une fois à droite, une fois à gauche, et la troisième, bien à fond, le plus qu’il pouvait. Eric, concentré et appliqué, encaissait bien.
A un moment - cela permit à Eric de souffler - il retira sa queue, elle était dure comme jamais, gonflée de plaisir et de désir, il l’empoigna à la base, au niveau de ses couilles, laissa sa main gauche sur le haut de la tête d’Eric, et le bifla sur le visage, avec le plus de force qu’il put.
Eric appréciait, et même en redemendait, il était prêt en tout cas à encaisser à nouveau la bite de Samir dans sa bouche, il ne l’avait jamais sentie aussi dure, ni surtout aussi épaisse.
Cette fois les mouvements de Samir étaient beaucoup plus doux, et, surtout, n’allaient plus en fond de gorge, mais restaient au niveau du gland. Se faire sucer uniquement le gland était aussi un moment de plaisir particulièrement agréable.
Samir le savoura donc, et prit son temps, Eric n’avait qu’à enserrer sa bouche autour de ce gland, et Samir, tout en lui maintenant la tête avec sa main gauche, faisait le reste.
Il alternait les moments où sa bite était à l’intérieur, et les moments où il la sortait pour la taper sur la bouche entrouverte d’Eric, qui prenait plaisir à tout et, qui, maintenant qu’il était bien réveillé, appréciait cette baise de retrouvaille particulièrement chaude et intense.
Et qui n’était pas finie...
Samir semblait insatiable, il n’arrêtait pas : il enfournait sa bite dans la bouche d’Eric, qui la suçait alors goulûment, puis, au bout de quelques secondes, il la retirait, se branlait devant la bouche d’Eric, puis le biflait, puis enfournait à nouveau sa bite... Eric en avait le tournis, et avait du mal à suivre ce rythme effréné.
Samir finit par retouner Eric, par lui ôter totalement le peignoir de bain, il le releva, puis le fit mettre debout, les jambes à la verticale, mais le bassin à l’horizontale et les mains posées sur le canapé.
Il se positionna debout derrière lui, et frotta sa bite à l’intérieur de son fessier. Il enleva son tee-shirt et le jeta sur le canapé, ils étaient alors tous les deux à poil. Il empoigna Eric par le bassin et le ramena à lui, il continua à se frotter la queue dans son cul, mollarda dans sa main, vint l’enduire de salive, et humidifia aussi l’intérieur des fesses d’Eric. Il se recula un peu, comme pour prendre son élan, bifla l’entrefesses d’Eric, et entra sa bite dans son anus, sans davantage de préliminaires.
Elle entra d’un coup, bien à fond, ça faisait un moment qu’il enculait régulièrement Eric, et le trou de celui-ci, autrefois si étroit, était devenu bien plus lache. C’était plus agréable, à la fois pour Samir, qui rentrait plus facilement, que pour Eric, qui avait bien moins mal.
Ce soir-là en tout cas les deux hommes n’eurent besoin d’aucun autre artifice qu’un peu de salive, et tous les deux savouraient le moment : Samir, qui aimait trop l’instant où sa bite rentrait dans le cul de son mec, surtout dans cette position, par derrière, sa favorite, et Eric appréciait l’instant où il sentait son homme entrer en lui, le pénétrer et le posséder. C’était le pied intégral.
La bite de Samir était toujours aussi dure et gonflée, Eric la sentait bien lui remplir tout le fondement, et il se laissait totalement faire. C’est dans ces moments que l’adjectif “passif” prenait tout son sens, se dit-il. Samir, lui, s’activait à l’intérieur d’Eric, et commença des mouvements de va-et-vient intenses, rapides et réguliers. Tantôt il appuyait ses mains sur le bas du dos d’Eric, tantôt il les mettait autour de son bassin pour ramener son corps, qui avait tendance à partir en avant, bien contre le sien.
Les deux prenaient un pied d’enfer, et auraient voulu que ce moment de sexe, mais aussi d’amour, dure une éternité.
Pour mieux savourer cet instant de plaisir, Samir resta un moment sans bouger, la bite totalement à l’intérieur d’Eric, il se laissa même aller à pencher son buste pour venir l’appuyer contre le dos d’Eric, de façon à savourer encore davantage la sensation que leurs deux corps ne faisaient plus qu’un.
Samir finit par reprendre ses mouvements de va-et-vient, mais de façon plus lente, même s’ils restaient toujours réguliers. Ce ralentissement de cadence lui permettait de faire coulisser la totalité de sa bite, il arrêtait le mouvement de recul juste quand elle allait ressortir, et il l’enfonçait alors à nouveau jusqu’au bout.
Ce coît anal dura de longues secondes, de longues minutes peut-être : quand on aime de cette façon, on ne compte pas. Samir avait l’impression qu’il aurait pu ainsi continuer des heures, il ne sentait pas encore la sauce monter, et avait la sensation agréable de bien maîtriser ses pulsions, qu’il arrivait ainsi à mettre au service de son propre plaisir, et du plaisir de son partenaire.
Et c’était le cas, car Eric prenait beaucoup de plaisir, et émettait de petits soupirs, la tête penchée en avant, et les mains appuyés sur son peignoir, pour éviter le contact direct avec le canapé en cuir, qui l’aurait fait glisser.
Samir continuait à le pilonner ainsi, il avait à nouveau accéléré le mouvement, ce qui avait entraîné chez Eric des gémissements de plus en plus forts. Samir aussi avait commencé à soupirer de plaisir, les deux hommes avaient l’impression de se répondre, dans une sorte de concert des plus harmonieux.
A un moment, Samir, qui avait empoigné le bassin d’Eric et l’avait bien collé à lui, enfonça sa bite au plus profond d’Eric, il ne pouvait vraiment pas aller plus loin. Eric se mit alors à émettre un son très aigu, et Samir ne bougea plus.
Il se retira lentement, demandant à Eric si ça allait, celui-ci lui sourit et lui répondit par l’affirmative.
D’un coup, il le pénétra à nouveau, les mains appuyées autour de ses fesses, et il reprit aussitôt des va-et-vients particulièrement rapides, qui déclenchèrent chez Eric des gémissements de plus en plus forts et de plus en plus aigus... jusqu’à ce qu’il s’arrête et reprenne des mouvements lents allant presque jusqu’au retrait, et suivis d’une pénétration jusqu’au bout.
Eric fermait les yeux, essayait de reprendre son souffle, mais prenait quand même beaucoup de plaisir. Il aimait ainsi se donner à son homme, qui ne le ménageait pas, et ne lui laissait aucun répit, tellement il aimait le baiser bien à fond.
Samir vint même poser son pied gauche sur le canapé, ce qui lui procurait une sensation un peu différente lorsqu’il l’enculait.
Il ne resta toutefois pas longtemps ainsi,car la position n’était guère confortable. Cet intermède lui permit de retrouver avec plaisir sa position initiale, sa préférée, et de reprendre son pilonnage intensif des entrailles d’Eric.
Il éprouva encore le besoin de changer - légèrement - de position : après s’être retiré, il fit mettre Eric à quatre pattes, totalement sur le canapé, et il vint se mettre à genoux derrière lui, avant de le pénétrer, et de le baiser à nouveau, en alternant les va-et-vients rapides, et plus lents, sans s’arrêter de pilonner.
Il eut alors envie de terminer leur rapport par la position préférée d’Eric : il le fit mettre sur le dos, relever les jambes, et les replier contre lui, ce qui lui permit de se mettre sur lui, et de le pénétrer ainsi.
Eric était aux anges, il en profita pour caresser les fesses de son mec, qu’il n’avait pu encore toucher, et qu’il adorait, avant de mettre ses bras et ses mains à l’arrière de sa tête, pour mieux se donner à Samir qui était en train de lui porter l’estocade.
Le moment qu’ils sentaient tous deux venir allait être un moment d’extase et d’excitation absolues.
Eric, la bouche ouverte, les yeux fermés, la tête basculée en arrière, les jambes écartées, le cul ouvert, se donnait totalement à Samir qui le chevauchait et le pilonnait de toutes ses forces, chacun des deux étant au bord de l’explosion.
Dans cette position, Eric bandait bien à fond, et il n’eut pas à se toucher bien longtemps pour éjaculer dans un cri, un hurlement même, et pour cracher des jets puissants de sperme qui allaient inonder tout son ventre, jusqu’à sa poitrine.
Dans la seconde qui suivit, Samir largua aussi la purée dans les entrailles d’Eric, qui en fut inondé, et lui aussi émit des gémissements sourds et graves.
Tout en laissant sa bite à l’intérieur de son compagnon, il s’affaissa lentement, vint coller son corps contre le sien, et sentit son sperme encore chaud sur son torse.
Eric l’enlaça, et Samir vint se blottir dans ses bras, la tête enfouie dans le creux de son épaule.
Les deux hommes se sentirent alors envahis par une sorte de torpeur bien agréable, ils reprenaient lentement leur souffle, ils étaient bien, et ils auraient voulu que ce moment de douce volupté dure une jusqu’à l’infini.
Ils s’étaient juste enlacés en se retrouvant, puis à certains moments de la visite, que ce soit de la maison ou du jardin, mais ils n’avaient encore rien fait de sexuel.
A la fin du repas, Eric s’était approché de Samir, mais il l’avait repoussé :
- Attends, t’es tout en sueur, tu pues l’alcool à plein nez, va prendre une douche et te laver les dents s’il te plaît...
- oui, bien sûr.
- je t’attends sur le canapé.
C’était clairement une invitation. Eric la perçut comme telle : il alla prendre une douche, et revint quelques minutes plus tard, vêtu de son peignoir de bain.
Samir s’était assis sur le canapé, et semblait s’être assoupi. Eric le regarda, il le trouvait beau et attirant, il était adossé au canapé, les jambes allongées, écartées, il était simplement vêtu d’un pantacourt et d’un tee-shirt, Eric avait senti tout à l’heure en le touchant qu’il n’avait pas de sous-vêtements en dessous, c’était souvent le cas, le soir, lorsque Samir mettait des vêtements propres après avoir pris sa douche.
Eric vint se caler à côté de lui, sur le canapé, dans la même position. Lui aussi, qui avait eu une journée bien remplie, et s’était levé tôt, commençait à ressentir la fatigue, il resta un moment ainsi, avant que le sommeil ne le gagne, il se sentit partir, et vint cogner avec sa tête l’épaule droite de Samir, qui le repoussa. Il avait du mal à rester éveillé, le mélange d’alcool et de fatigue faisait ses effets, il ne resta pas longtemps à la verticale, il avait besoin d’un support, pour se poser, et se sentit à nouveau partir, en direction de Samir, mais cette fois celui-ci ne le repoussa pas : il le laissa glisser contre lui, jusqu’à ce que sa tête vienne se poser pile au niveau de son entrejambes.
Il sentait la bite de Samir frotter sa joue, ce qui fit réagir ce dernier : il lui prit la tête, la positionna bouche en avant, et vint la frotter contre sa bite, par dessus le pantacourt.
Eric avait du mal à émerger, même s’il avait senti la bosse caractéristique sous le pantacourt de son ami, d’autant que celui-ci avait empoigné sa tête au niveau de la nuque et la faisait aller et venir sur cette bosse qui ne cessait de grandir.
Samir sentait monter le désir, il se releva, afin de baisser son pantacourt, et de libérer le membre qui ne demandait que ça. Il était déjà bien en érection. Eric, à sa vue, commençait à émerger, se releva lui aussi un peu, ouvrit sa bouche et vint la refermer autour de ce sexe, qu’il aimait tant, et qu’il retrouvait avec plaisir, après presque deux semaines.
Samir aussi, après ses deux expériences des jours passés, avec le petit blond dans le chemin, puis avec le gars plus âgé dans la bâtisse abandonnée, qui suçait super bien, retrouvait avec plaisir la bouche d’Eric qui, finalement, restait sa préférée. Cette pensée le rassura.
Eric se réveillait doucement, et commença à sucer. Lui n’avait rien fait pendant ces deux semaines, et il réalisait que l’odeur, le goût, la forme de cette bite chérie lui avaient manqué.
Au cours du repas, Samir lui avait raconté ses deux plans (c’était la règle entre eux : ils devaient se le dire quand ils allaient voir ailleurs), il lui en avait déjà un peu parlé au téléphone, et ne lui avait pas caché le plaisir qu’il avait pris. Eric appréciait cette franchise, il avait longtemps été jaloux, mais, au fil du temps, il avait réalisé que lui aussi aimait de temps en temps se faire des plans avec d’autres mecs, sucer d’autres queues, il était normal que ce soit aussi le cas de Samir. En plus, quand il lui racontait, ça l’excitait, et finalement le stimulait, et Samir de son côté prenait quelque plaisir à lui raconter ce qu’il ressentait quand il se faisait sucer par un autre, ou quand il en enculait un autre.
Samir se rendait compte qu’Eric était encore un peu endormi, du coup il lui appuya la nuque sur sa bite et fit ainsi lui-même les mouvements de va-et-vient qu’Eric avait du mal à faire.
Pendant un long moment, il lui baisa la bouche ainsi, en empoignant la tête d’Eric des deux mains, et en faisant aller sa bite à l’intérieur, jusqu’en fond de gorge, ce qui lui procura un plaisir intense, et le conduisit à émettre des gémissements rauques et saccadés. Putain, ce que c’est bon...se dit-il.
Samir était très chaud ce soir-là : les retrouvailles avec Eric, le fait de repenser à ses deux plans des jours derniers, et de les lui raconter, il ressentait en lui un fort désir de baiser, de prendre son pied, mais pas seulement, il avait avant tout envie de baiser avec Eric et de prendre son pied avec lui.
Paradoxalement, le côté un peu amorphe de celui-ci le stimulait, et l’excitait.
Il essaya de le réveilla en biflant sa joue, ce qui fit réagir Eric, qui le regarda en souriant, et ouvrit sa bouche pour y enfouir à nouveau la queue de Samir, bien dure, et cette fois pour faire lui-même les mouvements de va et vient avec sa bouche autour d’elle.
Samir se laissa aller et savoura ce moment où, enfin, il retrouvait la sucée d’Eric, finalement bien agréable, se dit-il : elle lui avait toujours procuré beaucoup de plaisir, et, même, en général, elle le faisait jouir assez vite, ce qui n’était pas le cas des autres mecs qui pouvaient le sucer.
Eric étant désormais bien réveillé, Samir se leva, enleva son pantacourt, mais garda son tee-shirt, et, une fois debout, présenta sa bite à hauteur de la bouche d’Eric qui, lui, était resté assis sur le canapé, avait gardé son peignoir, mais avait défait la ceinture.
Il reprit en bouche le sexe de Samir, il sentait qu’il était particulièrement chaud ce soir, il le laissa donc diriger le mouvement, et lui baiser la bouche. Il faut dire que Samir bandait bien à fond, lui appuyait la tête de ses mains, et faisait des va-et-vients particulièrement rapides avec sa queue, limite brutal.
Eric fermait les yeux, essayait d’ouvrir la bouche au maximum, pour que le membre puisse y aller à fond, et il se surprit à bien encaisser ce coït buccal particulièrement endiablé.
Samir ne lui laissait aucun répit, Eric s’attendait d’ailleurs à ce qu’il crache à tout moment, au fond de sa gorge, et se demandait même comment il encaisserait de tels jets, mais non, Samir n’avait pas encore envie de jouir.
Au bout d’un certain temps, il finit par ralentir cette cadence infernale, mais il ne retira pas son sexe de la bouche d’Eric. Avec ses mains il fit pivoter sa tête, afin de la mettre à l’horizontale, perpendiculaire à lui, et il reprit des mouvements, cette fois plus lents, mais très réguliers, qui lui permettaient à chaque fois de faire rentrer sa bite jusqu’au bout, une fois à droite, une fois à gauche, et la troisième, bien à fond, le plus qu’il pouvait. Eric, concentré et appliqué, encaissait bien.
A un moment - cela permit à Eric de souffler - il retira sa queue, elle était dure comme jamais, gonflée de plaisir et de désir, il l’empoigna à la base, au niveau de ses couilles, laissa sa main gauche sur le haut de la tête d’Eric, et le bifla sur le visage, avec le plus de force qu’il put.
Eric appréciait, et même en redemendait, il était prêt en tout cas à encaisser à nouveau la bite de Samir dans sa bouche, il ne l’avait jamais sentie aussi dure, ni surtout aussi épaisse.
Cette fois les mouvements de Samir étaient beaucoup plus doux, et, surtout, n’allaient plus en fond de gorge, mais restaient au niveau du gland. Se faire sucer uniquement le gland était aussi un moment de plaisir particulièrement agréable.
Samir le savoura donc, et prit son temps, Eric n’avait qu’à enserrer sa bouche autour de ce gland, et Samir, tout en lui maintenant la tête avec sa main gauche, faisait le reste.
Il alternait les moments où sa bite était à l’intérieur, et les moments où il la sortait pour la taper sur la bouche entrouverte d’Eric, qui prenait plaisir à tout et, qui, maintenant qu’il était bien réveillé, appréciait cette baise de retrouvaille particulièrement chaude et intense.
Et qui n’était pas finie...
Samir semblait insatiable, il n’arrêtait pas : il enfournait sa bite dans la bouche d’Eric, qui la suçait alors goulûment, puis, au bout de quelques secondes, il la retirait, se branlait devant la bouche d’Eric, puis le biflait, puis enfournait à nouveau sa bite... Eric en avait le tournis, et avait du mal à suivre ce rythme effréné.
Samir finit par retouner Eric, par lui ôter totalement le peignoir de bain, il le releva, puis le fit mettre debout, les jambes à la verticale, mais le bassin à l’horizontale et les mains posées sur le canapé.
Il se positionna debout derrière lui, et frotta sa bite à l’intérieur de son fessier. Il enleva son tee-shirt et le jeta sur le canapé, ils étaient alors tous les deux à poil. Il empoigna Eric par le bassin et le ramena à lui, il continua à se frotter la queue dans son cul, mollarda dans sa main, vint l’enduire de salive, et humidifia aussi l’intérieur des fesses d’Eric. Il se recula un peu, comme pour prendre son élan, bifla l’entrefesses d’Eric, et entra sa bite dans son anus, sans davantage de préliminaires.
Elle entra d’un coup, bien à fond, ça faisait un moment qu’il enculait régulièrement Eric, et le trou de celui-ci, autrefois si étroit, était devenu bien plus lache. C’était plus agréable, à la fois pour Samir, qui rentrait plus facilement, que pour Eric, qui avait bien moins mal.
Ce soir-là en tout cas les deux hommes n’eurent besoin d’aucun autre artifice qu’un peu de salive, et tous les deux savouraient le moment : Samir, qui aimait trop l’instant où sa bite rentrait dans le cul de son mec, surtout dans cette position, par derrière, sa favorite, et Eric appréciait l’instant où il sentait son homme entrer en lui, le pénétrer et le posséder. C’était le pied intégral.
La bite de Samir était toujours aussi dure et gonflée, Eric la sentait bien lui remplir tout le fondement, et il se laissait totalement faire. C’est dans ces moments que l’adjectif “passif” prenait tout son sens, se dit-il. Samir, lui, s’activait à l’intérieur d’Eric, et commença des mouvements de va-et-vient intenses, rapides et réguliers. Tantôt il appuyait ses mains sur le bas du dos d’Eric, tantôt il les mettait autour de son bassin pour ramener son corps, qui avait tendance à partir en avant, bien contre le sien.
Les deux prenaient un pied d’enfer, et auraient voulu que ce moment de sexe, mais aussi d’amour, dure une éternité.
Pour mieux savourer cet instant de plaisir, Samir resta un moment sans bouger, la bite totalement à l’intérieur d’Eric, il se laissa même aller à pencher son buste pour venir l’appuyer contre le dos d’Eric, de façon à savourer encore davantage la sensation que leurs deux corps ne faisaient plus qu’un.
Samir finit par reprendre ses mouvements de va-et-vient, mais de façon plus lente, même s’ils restaient toujours réguliers. Ce ralentissement de cadence lui permettait de faire coulisser la totalité de sa bite, il arrêtait le mouvement de recul juste quand elle allait ressortir, et il l’enfonçait alors à nouveau jusqu’au bout.
Ce coît anal dura de longues secondes, de longues minutes peut-être : quand on aime de cette façon, on ne compte pas. Samir avait l’impression qu’il aurait pu ainsi continuer des heures, il ne sentait pas encore la sauce monter, et avait la sensation agréable de bien maîtriser ses pulsions, qu’il arrivait ainsi à mettre au service de son propre plaisir, et du plaisir de son partenaire.
Et c’était le cas, car Eric prenait beaucoup de plaisir, et émettait de petits soupirs, la tête penchée en avant, et les mains appuyés sur son peignoir, pour éviter le contact direct avec le canapé en cuir, qui l’aurait fait glisser.
Samir continuait à le pilonner ainsi, il avait à nouveau accéléré le mouvement, ce qui avait entraîné chez Eric des gémissements de plus en plus forts. Samir aussi avait commencé à soupirer de plaisir, les deux hommes avaient l’impression de se répondre, dans une sorte de concert des plus harmonieux.
A un moment, Samir, qui avait empoigné le bassin d’Eric et l’avait bien collé à lui, enfonça sa bite au plus profond d’Eric, il ne pouvait vraiment pas aller plus loin. Eric se mit alors à émettre un son très aigu, et Samir ne bougea plus.
Il se retira lentement, demandant à Eric si ça allait, celui-ci lui sourit et lui répondit par l’affirmative.
D’un coup, il le pénétra à nouveau, les mains appuyées autour de ses fesses, et il reprit aussitôt des va-et-vients particulièrement rapides, qui déclenchèrent chez Eric des gémissements de plus en plus forts et de plus en plus aigus... jusqu’à ce qu’il s’arrête et reprenne des mouvements lents allant presque jusqu’au retrait, et suivis d’une pénétration jusqu’au bout.
Eric fermait les yeux, essayait de reprendre son souffle, mais prenait quand même beaucoup de plaisir. Il aimait ainsi se donner à son homme, qui ne le ménageait pas, et ne lui laissait aucun répit, tellement il aimait le baiser bien à fond.
Samir vint même poser son pied gauche sur le canapé, ce qui lui procurait une sensation un peu différente lorsqu’il l’enculait.
Il ne resta toutefois pas longtemps ainsi,car la position n’était guère confortable. Cet intermède lui permit de retrouver avec plaisir sa position initiale, sa préférée, et de reprendre son pilonnage intensif des entrailles d’Eric.
Il éprouva encore le besoin de changer - légèrement - de position : après s’être retiré, il fit mettre Eric à quatre pattes, totalement sur le canapé, et il vint se mettre à genoux derrière lui, avant de le pénétrer, et de le baiser à nouveau, en alternant les va-et-vients rapides, et plus lents, sans s’arrêter de pilonner.
Il eut alors envie de terminer leur rapport par la position préférée d’Eric : il le fit mettre sur le dos, relever les jambes, et les replier contre lui, ce qui lui permit de se mettre sur lui, et de le pénétrer ainsi.
Eric était aux anges, il en profita pour caresser les fesses de son mec, qu’il n’avait pu encore toucher, et qu’il adorait, avant de mettre ses bras et ses mains à l’arrière de sa tête, pour mieux se donner à Samir qui était en train de lui porter l’estocade.
Le moment qu’ils sentaient tous deux venir allait être un moment d’extase et d’excitation absolues.
Eric, la bouche ouverte, les yeux fermés, la tête basculée en arrière, les jambes écartées, le cul ouvert, se donnait totalement à Samir qui le chevauchait et le pilonnait de toutes ses forces, chacun des deux étant au bord de l’explosion.
Dans cette position, Eric bandait bien à fond, et il n’eut pas à se toucher bien longtemps pour éjaculer dans un cri, un hurlement même, et pour cracher des jets puissants de sperme qui allaient inonder tout son ventre, jusqu’à sa poitrine.
Dans la seconde qui suivit, Samir largua aussi la purée dans les entrailles d’Eric, qui en fut inondé, et lui aussi émit des gémissements sourds et graves.
Tout en laissant sa bite à l’intérieur de son compagnon, il s’affaissa lentement, vint coller son corps contre le sien, et sentit son sperme encore chaud sur son torse.
Eric l’enlaça, et Samir vint se blottir dans ses bras, la tête enfouie dans le creux de son épaule.
Les deux hommes se sentirent alors envahis par une sorte de torpeur bien agréable, ils reprenaient lentement leur souffle, ils étaient bien, et ils auraient voulu que ce moment de douce volupté dure une jusqu’à l’infini.
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Huuuum j adore