Soirée à 5

- Par l'auteur HDS CDuvert -
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Récit libertin : Soirée à 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2025 dans la catégorie Plus on est
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Soirée à 5
En baissant les yeux, j’ai accepté d’ouvrir le haut de mon corsage. La pièce baignait dans une pénombre chaude, une obscurité douce et enveloppante, seulement percée par la lueur vacillante des bougies disposées sur une table basse en bois sombre. Leur lumière dansante projetait des ombres mouvantes sur les murs, caressant les contours des objets comme une main invisible.

L’odeur de la cire fondue, chaude et sucrée, se mêlait à celle, plus âcre et entêtante, de l’encens qui se consumait lentement dans un coin de la pièce, diffusant des volutes de fumée qui semblaient danser au rythme de mon souffle court.

Mon cœur cognait dans ma poitrine, un tambour sourd et incessant, résonnant jusque dans mes tempes, tandis que mes doigts, tremblants d’une nervosité mêlée d’excitation, défaisaient un à un les petits boutons de nacre.

À chaque geste, le tissu s’entrouvrait davantage, révélant la peau pâle et délicate de mon décolleté, légèrement luisante sous la lueur des flammes, comme si elle capturait chaque éclat de lumière pour le renvoyer, provocante, vers leurs regards.

J’entendais leurs respirations, lourdes, irrégulières, presque animales, celles des trois hommes qui m’observaient, assis en face de moi sur le vieux canapé de cuir usé, dont les craquements occasionnels trahissaient leur impatience.

Leurs regards pesaient sur moi, brûlants, avides, comme des mains invisibles qui déjà effleuraient ma peau, traçant des chemins de feu sur mon corps encore à demi couvert. Je sentais cette chaleur, ce poids de leurs désirs, s’insinuer sous ma chair, faisant naître des frissons qui parcouraient mon échine et durcissaient mes tétons sous la fine dentelle de mon soutien-gorge.

— Vas-y, continue, murmura l’un d’eux, sa voix rauque, presque un grognement, vibrant dans l’air lourd de la pièce.

Je relevai les yeux un instant, juste assez pour croiser ceux de Julien, le plus âgé des trois. Ses prunelles sombres, presque noires dans la pénombre, brillaient d’une lueur de prédateur, un éclat sauvage qui me cloua sur place. Un sourire en coin étirait ses lèvres, un rictus qui promettait des choses que je n’osais pas encore nommer, mais que mon corps semblait déjà comprendre.

À côté de lui, Marc, plus jeune, avait les joues empourprées par une excitation qu’il ne cherchait même pas à dissimuler. Il se mordait la lèvre inférieure, ses dents s’enfonçant dans la chair tendre, tandis que ses mains, crispées sur ses cuisses, trahissaient une tension qu’il peinait à contenir. Ses doigts se contractaient par intermittence, comme s’ils mouraient d’envie de se poser sur moi.

Le troisième, Adrien, restait silencieux, immobile, mais son regard ne quittait pas mes doigts. Il suivait chaque mouvement avec une intensité presque insoutenable, ses yeux glissant sur mes mains comme s’ils pouvaient sentir la texture de ma peau à travers la distance. Ce regard me faisait frissonner, un frisson qui naissait au creux de mon ventre et se propageait en vagues jusqu’à la pointe de mes seins.

Je laissai glisser le corsage sur mes épaules, lentement, délibérément, exposant la dentelle noire de mon soutien-gorge qui épousait la courbe élégante de mes seins. Le tissu, fin et translucide par endroits, laissait deviner la chair tendre en dessous, et je savais qu’ils pouvaient voir les pointes durcies de mes tétons se dessiner sous l’étoffe, comme une invitation muette.

L’air frais de la pièce effleura ma peau dénudée, un contraste saisissant avec la chaleur qui montait en moi, une chaleur humide et pulsante qui semblait s’éveiller entre mes cuisses.

Mes épaules, maintenant nues, capturaient la lueur des bougies, et je sentais mes clavicules saillantes se dessiner sous leurs regards, ma peau légèrement rosie par la honte et l’excitation mêlées. Je sentais leurs yeux me dévorer, chaque parcelle de mon corps devenant un territoire à conquérir, et cette sensation d’être ainsi offerte, vulnérable, m’enivrait autant qu’elle m’effrayait.

Mon souffle s’accéléra, ma poitrine se soulevant plus vite, chaque inspiration faisant frémir mes seins sous la dentelle, comme s’ils appelaient leurs mains, leurs bouches.

Mes mains descendirent avec une lenteur calculée vers la fermeture de ma jupe, mes doigts effleurant ma propre peau au passage, frôlant la courbe de mes hanches. Je l’entendis alors, ce soupir collectif, ce souffle retenu qui s’échappa de leurs lèvres presque à l’unisson, un son guttural qui trahissait leur désir brut.

Ce son fit naître une nouvelle vague de chaleur en moi, un feu qui s’allumait au creux de mon ventre et descendait plus bas, là où ma chair semblait déjà s’ouvrir, s’humidifier sous l’anticipation de ce qui allait suivre.

— Putain, t’es magnifique, lâcha Marc, sa voix tremblante, incapable de se retenir, chaque mot chargé d’une avidité qui me fit rougir davantage.

Je ne répondis pas, mais un sourire timide, presque provocateur, se dessina sur mes lèvres, un sourire qui contrastait avec la chaleur qui envahissait mes joues. La jupe glissa enfin à mes pieds dans un froissement doux, un son soyeux qui résonna dans le silence tendu de la pièce, révélant mes bas noirs qui enserraient mes cuisses avec une précision sensuelle, et la jarretière de dentelle qui les maintenait en place, soulignant la rondeur de ma chair.

Mes jambes, longues et galbées, semblaient s’étirer sous leurs regards, la peau lisse et pâle contrastant avec le noir profond du tissu. Je sentais mes muscles se tendre légèrement sous l’attention, mes hanches se dessinant avec une cambrure naturelle, comme si mon corps, instinctivement, s’offrait à eux.

Je me tenais là, presque nue, sous leurs regards affamés, chaque centimètre de ma peau semblant vibrer sous l’intensité de leur désir. Et pourtant, dans cette vulnérabilité, je ressentais une puissance étrange, presque enivrante. Leur désir était une arme que je pouvais manier, un pouvoir que je pouvais retourner contre eux, jouant de leurs faims pour les tenir en haleine, suspendus à chacun de mes gestes.

Julien se leva le premier, s’approchant de moi avec une lenteur calculée, presque théâtrale, comme s’il savourait chaque seconde de cette attente qu’il s’imposait. Il était grand, imposant, sa silhouette massive se découpant dans la pénombre de la pièce, ses épaules larges tendant le tissu de sa chemise noire.

Ses yeux, d’un brun profond, brillaient d’une lueur de domination pure, et un sourire cruel jouait sur ses lèvres épaisses. Son parfum, un mélange enivrant de bois sombre et de musc animal, m’enveloppa avant même qu’il ne me touche, une odeur qui semblait s’infiltrer sous ma peau, attisant une chaleur sourde au creux de mon ventre.

Mon souffle se fit plus court, mes lèvres s’entrouvrirent malgré moi, et je sentis une moiteur traîtresse s’installer entre mes cuisses, mon corps trahissant déjà l’effet qu’il avait sur moi.

Sa main, large et calleuse, se posa sur ma hanche avec une fermeté possessive, ses doigts s’enfonçant légèrement dans ma chair tendre, marquant ma peau d’une pression qui me fit frissonner. Un courant électrique parcourut mon échine, remontant jusqu’à ma nuque, et je sentis mes seins se tendre sous la dentelle de mon soutien-gorge, mes tétons durcissant presque douloureusement contre le tissu.

Il se pencha vers moi, son visage si proche que je pouvais sentir la chaleur de son haleine sur ma peau, son souffle chaud effleurant le lobe de mon oreille, provoquant un frisson incontrôlable qui fit dresser les petits poils de ma nuque.

— Tu sais ce qu’on va te faire, hein ? murmura-t-il, sa voix basse, rauque, vibrant contre ma peau comme une caresse interdite.

Je hochai la tête, incapable de formuler le moindre mot, ma gorge nouée par une anticipation qui me serrait le ventre. Mon cœur battait si fort que j’étais certaine qu’il pouvait l’entendre, un tambour frénétique dans ma poitrine.

Mes mains tremblaient légèrement, posées contre mes flancs, et je sentais la sueur perler à la base de ma nuque, une goutte glissant lentement le long de ma colonne vertébrale, traçant un chemin brûlant sur ma peau déjà hypersensible. Sa main glissa le long de ma taille, ses doigts rugueux effleurant la courbe douce de mes hanches, remontant avec une lenteur délibérée jusqu’à la dentelle noire de mon soutien-gorge.

D’un geste rapide, presque brutal, il dégrafa l’attache dans mon dos, et le tissu tomba à mes pieds dans un froissement léger, un son qui sembla résonner dans le silence lourd de la pièce. Mes seins, ronds et sensibles, se trouvèrent exposés à l’air frais, leur poids naturel les faisant légèrement retomber, la peau pâle contrastant avec la rougeur qui montait à mes joues.

Mes tétons, déjà durs, se dressèrent davantage sous l’effet du froid et de l’excitation, deux pointes roses et tendues, presque douloureuses tant elles réclamaient un contact, une caresse, une morsure.

Je sentais leurs regards sur moi, brûlants, avides, comme des mains invisibles qui me palpaient, me déshabillaient encore plus que je ne l’étais déjà. Mon ventre se contracta, une chaleur humide pulsant entre mes jambes, et je serrai instinctivement les cuisses, tentant de contenir cette vague de désir qui menaçait de me submerger.

Ma peau, douce et légèrement moite, semblait vibrer sous leurs yeux, chaque parcelle de mon corps exposée, offerte, vulnérable. Mes lèvres, pleines et légèrement entrouvertes, laissaient échapper un souffle court, et je sentais mes joues s’enflammer, une rougeur traîtresse qui trahissait mon trouble.

Marc et Adrien se levèrent à leur tour, s’approchant comme des loups affamés autour d’une proie sans défense.

Marc, plus jeune, avait les joues empourprées par l’excitation, ses yeux clairs brillant d’une lueur presque fiévreuse. Ses mains tremblaient visiblement alors qu’il s’avançait, et je pouvais voir la tension dans ses épaules, la façon dont ses doigts se crispaient comme s’il se retenait de se jeter sur moi.

Il fut le premier à oser, ses doigts hésitants effleurant la courbe ronde de mon sein gauche, sa peau chaude contrastant avec la fraîcheur de la pièce. Un frisson me traversa, et je sentis mes seins se tendre davantage, la chair de poule envahissant ma peau alors qu’il traçait des cercles lents autour de mon aréole, évitant délibérément mon téton durci, prolongeant cette torture délicieuse.

Il grogna quelque chose d’incompréhensible, un son guttural qui semblait venir du fond de sa gorge, puis sa bouche se posa sur ma peau, chaude, humide, vorace. Il aspira mon téton avec une avidité presque désespérée, sa langue rugueuse tournant autour de la pointe sensible, la mordillant légèrement, envoyant des décharges de plaisir directement dans mon bas-ventre.

Un gémissement m’échappa, incontrôlable, un son aigu et tremblant qui résonna dans la pièce, et je sentis mes jambes fléchir légèrement, mes genoux vacillant sous l’intensité de cette sensation. Mon dos s’arqua instinctivement, poussant ma poitrine plus près de sa bouche, comme une offrande silencieuse.

Adrien, plus discret, se glissa derrière moi avec une démarche féline, son souffle régulier mais lourd trahissant son excitation contenue. Ses mains, plus fines que celles de Julien mais tout aussi fermes, glissèrent sur mes fesses, pétrissant la chair tendre à travers la fine étoffe de ma culotte en dentelle. Ses doigts s’enfonçaient dans ma peau, explorant la rondeur de mes hanches, descendant jusqu’à l’arrière de mes cuisses, là où la chair est si sensible, si réceptive.

Un frisson me parcourut, et je sentis une nouvelle vague de chaleur envahir mon entrejambe, mon sexe se contractant malgré moi, avide d’un contact plus direct, plus profond. Il se pencha, ses lèvres effleurant la peau tendre de ma nuque, puis ses dents mordillèrent légèrement cette zone si vulnérable, envoyant une décharge de plaisir mêlé de douleur à travers tout mon corps.

Je basculai la tête en arrière, m’abandonnant complètement à la sensation de leurs trois corps autour de moi, de leurs mains et de leurs bouches qui exploraient chaque parcelle de ma peau. Mes cheveux, longs et légèrement emmêlés, glissèrent sur mes épaules, exposant davantage ma nuque à ses assauts, et je sentis mon souffle s’accélérer, mes seins se soulevant à chaque inspiration, lourds et sensibles, réclamant encore plus d’attention.

— T’aimes ça, chérie, hein ? grogna Julien, sa voix rauque et autoritaire résonnant dans la pièce, tandis que ses doigts s’enfonçaient dans mes cheveux, tirant ma tête en arrière avec une force qui me fit gémir de surprise et de plaisir mêlés.

— Oui… soufflai-je, ma voix brisée par le désir, à peine audible, mais chargée d’une soumission que je ne pouvais plus cacher. Mon corps entier vibrait sous leurs touchers, chaque caresse, chaque morsure, chaque mot attisant un feu qui menaçait de me consumer tout entière.

Ils me firent reculer jusqu’au canapé, leurs mains fermes sur mes bras et mes hanches, me guidant avec une autorité qui ne laissait place à aucune résistance. Le cuir usé du vieux canapé grinça sous mon poids alors qu’ils me poussaient à m’asseoir, puis à m’allonger, mes jambes tremblantes s’étendant devant moi.

Mon corps, déjà à moitié nu, semblait vibrer sous leurs regards, chaque parcelle de ma peau consciente de leur présence oppressante.

Julien, le plus dominant des trois, se pencha sur moi, ses yeux sombres brillant d’une lueur sauvage. D’un geste sec, presque violent, il attrapa l’élastique de ma culotte en dentelle noire et tira dessus. Le tissu se déchira avec un bruit sec, un craquement qui résonna dans la pièce comme un coup de fouet, amplifiant l’atmosphère lourde de tension sexuelle.

Un frisson me parcourut l’échine, non pas de peur, mais d’une excitation brute, animale. J’étais nue, totalement exposée, ma peau pâle contrastant avec le cuir sombre du canapé, mes seins se soulevant au rythme de ma respiration saccadée, mes tétons durcis par l’air frais et l’anticipation.

Entre mes cuisses, je sentais déjà une chaleur humide, une pulsation insistante qui trahissait mon désir, ma vulve légèrement entrouverte, prête, offerte à leurs regards brûlants.

Ils se tenaient au-dessus de moi, trois silhouettes imposantes, leurs ombres projetées sur mon corps par la lueur vacillante des bougies. Leurs yeux me dévoraient, glissant sur chaque courbe, chaque détail de ma chair exposée.

Julien, le premier à agir, déboutonna son pantalon avec une lenteur calculée, presque théâtrale, laissant le tissu tomber à ses chevilles.

Son sexe jaillit, déjà dur, épais, veineux, la peau tendue luisant légèrement sous la lumière tamisée. Il était impressionnant, intimidant même, et un mélange de crainte et de fascination me serra le ventre. Je pouvais voir une goutte de liquide perler à son extrémité, signe de son excitation, et cette vision fit monter en moi une vague de chaleur insupportable.

— Écarte les jambes, ordonna-t-il, sa voix grave, un grondement qui vibra dans l’air et fit frissonner ma peau.

Sans réfléchir, comme hypnotisée par son ton, j’obéis. Mes cuisses s’ouvrirent lentement, révélant encore davantage mon intimité, mes lèvres humides s’écartant sous son regard. Je sentais l’air frais caresser ma chair brûlante, et un gémissement involontaire s’échappa de ma gorge, un son faible mais chargé de besoin.

Julien s’agenouilla entre mes jambes, ses grandes mains calleuses se posant sur l’intérieur de mes cuisses, les écartant encore plus, m’ouvrant comme une fleur prête à être cueillie.

Ses doigts, d’abord hésitants, explorèrent mon intimité, glissant sur ma chair trempée, effleurant mes lèvres gonflées avant de s’attarder sur mon clitoris, qu’il frotta doucement, presque trop doucement, me faisant frémir de frustration. Puis, sans prévenir, il enfonça deux doigts en moi, profondément, testant ma chaleur, mon étroitesse.

La sensation d’être ainsi envahie me coupa le souffle, et je gémis bruyamment, arquant le dos, mes hanches se soulevant instinctivement pour aller à la rencontre de ses doigts. Mes parois internes se contractaient autour de lui, avides, et je sentais chaque mouvement, chaque pression, comme des éclairs de plaisir irradiant dans tout mon corps.

À ma droite, Marc, plus jeune, plus nerveux, avait déjà sorti son sexe de son jean. Il était moins imposant que Julien, mais tout aussi dur, son gland rouge et luisant alors qu’il se caressait lentement, ses doigts serrés autour de sa verge, montant et descendant avec une régularité presque hypnotique.

Ses yeux étaient rivés sur mon visage, sur mes lèvres entrouvertes d’où s’échappaient des soupirs incontrôlables, et je pouvais voir la tension dans ses traits, la manière dont ses joues se coloraient d’un rouge profond, trahissant son excitation. Son souffle était court, irrégulier, et un grognement sourd montait de sa gorge à chaque fois que mes gémissements résonnaient dans la pièce.

— Suce-moi, lâcha-t-il soudain, sa voix rauque, presque suppliante malgré l’ordre qu’il tentait de donner.

Je tournai la tête vers lui, mes yeux mi-clos, embués par le désir. Sans hésiter, je me penchai légèrement, mes lèvres s’ouvrant pour accueillir son membre. Le goût salé de sa peau envahit immédiatement ma bouche, un mélange de sueur et de désir brut qui me fit gémir à nouveau.

Je sentis sa main se poser sur ma nuque, ses doigts se crispant dans mes cheveux, me guidant alors que je commençais à le prendre plus profondément, ma langue glissant le long de sa verge, explorant chaque veine, chaque contour.

Il grogna, un son guttural, animal, et ses hanches se mirent à bouger légèrement, poussant son sexe plus loin dans ma bouche, testant mes limites. La sensation de l’avoir ainsi, de le sentir pulser contre ma langue, était enivrante, et je me laissais emporter par le rythme, oubliant presque tout le reste.

Pendant ce temps, Julien continuait de me préparer, ses doigts allant et venant en moi avec une précision implacable. Il frottait ce point sensible à l’intérieur de moi, ce petit endroit qui me faisait trembler de la tête aux pieds, mes jambes se crispant sous l’intensité du plaisir.

Chaque mouvement semblait calculé pour me pousser plus loin, pour me faire perdre tout contrôle, et je sentais mon corps s’abandonner, mes hanches ondulant contre sa main, cherchant désespérément plus de contact, plus de pression. Puis, il retira ses doigts, et un vide frustrant m’envahit, me laissant haletante, suppliante presque.

Il se redressa, son regard sombre croisant le mien un instant, un sourire cruel étirant ses lèvres. Je sentis alors la pression de son sexe contre mon entrée, chaude, dure, insistante. Il poussa lentement, m’emplissant peu à peu, m’étirant avec une lenteur presque sadique.

La sensation était à la fois douloureuse et délicieuse, un mélange de brûlure et de plénitude qui me fit pousser un cri étouffé, à peine audible à cause de ma bouche, pleine de Marc. Julien grogna, un son profond, satisfait, alors qu’il s’enfonçait complètement en moi, ses hanches pressées contre les miennes, son poids m’écrasant légèrement contre le canapé.

Adrien, jusque-là en retrait, s’approcha enfin de côté, ses mouvements plus discrets mais tout aussi chargés d’intensité. Ses mains, fines mais fermes, se posèrent sur mes seins, caressant d’abord la peau sensible avec une douceur trompeuse. Sans prévenir, ses doigts pincèrent mes tétons, d’abord légèrement, puis avec une précision cruelle, tirant dessus, les tordant juste assez pour que la douleur se mêle au plaisir qui irradiait déjà dans tout mon corps.

Je gémis autour du sexe de Marc, mon corps se cambrant sous l’assaut de ces sensations contradictoires, et Adrien ricana doucement, un son bas, presque moqueur. Ses mains continuèrent leur exploration, malaxant mes seins, les pressant avec une force croissante, tandis que ses ongles griffaient légèrement la peau tendre autour de mes aréoles, laissant des traces rouges qui brûlaient délicieusement.

Julien, entre mes jambes, accéléra ses coups de reins, chaque mouvement plus profond, plus brutal, ses hanches claquant contre les miennes avec un bruit humide, obscène, qui emplissait la pièce.

Je sentais chaque détail de son sexe en moi, la manière dont il m’étirait, dont il frottait contre mes parois internes, envoyant des vagues de plaisir brut à travers mon corps. Mes mains s’agrippaient au cuir du canapé, mes ongles s’enfonçant dans le tissu, cherchant un ancrage alors que je me sentais sombrer, emportée par cette tempête de sensations.

Mon corps répondait à chaque coup, mes hanches se soulevant pour aller à sa rencontre, mes muscles se contractant autour de lui, avides, désespérés. Je sentais ce précipice approcher, cet orgasme qui montait en moi comme une vague inéluctable, et je savais que je ne pourrais pas l’arrêter, même si je l’avais voulu.

— T’es à nous, poupée, grogna Julien, sa voix rauque, chargée d’une possessivité qui me fit frissonner.

Ses mains serrèrent mes hanches si fort que je sentis la douleur de ses doigts s’enfoncer dans ma chair, marquant ma peau de traces qui resteraient visibles pendant des jours. Cette douleur, loin de me repousser, ne faisait qu’amplifier le plaisir, me poussant encore plus près du bord.

Mon corps entier tremblait, mes seins secoués par les mouvements brutaux de Julien, ma bouche toujours occupée par Marc, mes sens submergés par Adrien. J’étais à eux, complètement, et cette pensée, loin de m’effrayer, m’enivrait d’une manière que je n’aurais jamais cru possible.

Ils changèrent de position, me manipulant comme une poupée de chiffon, leurs mains fermes et impatientes me guidant sans ménagement.

Adrien, avec un sourire cruel aux lèvres, m’ordonna de me mettre à quatre pattes sur le canapé, mes genoux s’enfonçant dans le cuir usé, mes mains crispées sur le dossier. Mon corps était exposé, vulnérable, mes seins ronds pendant sous moi, mes tétons durcis par l’excitation et le froid de la pièce, frottant légèrement contre le tissu rêche à chaque mouvement.

Ma croupe était relevée, offerte, la peau de mes fesses légèrement rougie par les caresses brutales qu’ils m’avaient déjà infligées. Je sentais l’humidité entre mes cuisses, une chaleur pulsante qui trahissait mon désir, ma chatte gonflée et luisante, prête à être prise encore et encore.

Ma tête était penchée vers Marc, qui se tenait devant moi, son sexe dressé, épais, veiné, luisant de ma salive et de son propre liquide pré-séminal. Il grognait de plus en plus fort, des sons gutturaux, presque animaux, tandis que je le reprenais en bouche, mes lèvres s’étirant autour de sa largeur, ma langue glissant sur la peau chaude et salée. Je sentais chaque pulsation de son membre contre mon palais, chaque frémissement de son plaisir, et cela m’excitait davantage, me faisant gémir autour de lui, les vibrations de ma voix le faisant tressaillir.

Derrière moi, Adrien s’était positionné, ses mains larges et calleuses caressant mes fesses avec une lenteur provocante. Il pétrissait ma chair, écartant mes globes pour mieux exposer mes orifices, et je sentais son regard brûlant sur ma peau, comme une caresse physique. Puis, sans prévenir, une claque cinglante s’abattit sur ma fesse droite, le bruit résonnant dans la pièce comme un coup de fouet.

Je sursautai, un cri de surprise mêlé de douleur s’échappant de mes lèvres, étouffé par le sexe de Marc dans ma bouche. La brûlure de la claque se transforma rapidement en une chaleur délicieusement insupportable, irradiant jusqu’à mon bas-ventre, intensifiant la pulsation entre mes jambes.

— T’aimes ça, hein, petite pute ? ricana Adrien, sa voix rauque et moqueuse, avant de frapper à nouveau, cette fois sur l’autre fesse.

Chaque coup semblait électriser mon corps, envoyant des décharges de plaisir brut directement à mon clitoris, qui palpitait douloureusement, réclamant plus. La douleur et le plaisir se mêlaient, formant un cocktail enivrant qui me faisait trembler.

Mes fesses brûlaient, la peau rougissant sous ses assauts, mais je ne pouvais m’empêcher de cambrer davantage le dos, de m’offrir encore plus à lui, comme une invitation muette à continuer. Mon souffle était court, haché, et des gouttes de sueur perlaient sur ma nuque, glissant le long de ma colonne vertébrale.

Puis, Adrien cessa de frapper. Ses mains se posèrent sur mes hanches, ses doigts s’enfonçant dans ma chair avec une force possessive, et je sentis la tête de son sexe, dure et chaude, se presser contre mon entrée. Il ne me laissa pas le temps de m’habituer, me pénétrant d’un coup sec, brutal, m’arrachant un gémissement rauque.

Mes parois internes se contractèrent autour de lui, avides, désespérées, comme si mon corps entier le réclamait. Il était épais, me remplissant complètement, et chaque mouvement de ses hanches, chaque va-et-vient, frottait contre des zones si sensibles que je crus que j’allais m’effondrer sous l’intensité. La sensation d’être ainsi prise, empalée, tandis que ma bouche continuait de travailler Marc, me submergeait, me réduisant à un amas de sensations pures.

Julien, qui s’était écarté un instant, revint se placer devant moi, à côté de Marc. Son sexe, tout aussi dur, luisait de son propre désir, et je passais de l’un à l’autre, alternant entre leurs membres avec une avidité presque frénétique.

Mes lèvres, gonflées par l’effort, glissaient sur leur peau, ma langue explorant chaque veine, chaque contour, goûtant leur saveur salée, musquée. Je sentais leurs mains dans mes cheveux, tirant parfois brutalement pour guider mes mouvements, leurs grognements et leurs insultes crues résonnant à mes oreilles comme une musique perverse.

— Suce plus fort, salope, grogna Julien, ses doigts serrant ma nuque.

— Ouais, avale tout, renchérit Marc, ses hanches poussant contre ma bouche.

L’odeur de sueur et de sexe emplissait la pièce, un parfum brut, animal, qui me faisait tourner la tête. C’était une fragrance lourde, entêtante, mêlée à celle de l’encens qui continuait de brûler quelque part dans un coin.

Les sons autour de moi formaient une symphonie obscène : les gémissements rauques des hommes, leurs insultes crues, le claquement de la peau d’Adrien contre mes fesses à chaque coup de reins, le bruit humide de ma bouche sur leurs sexes, et mes propres soupirs, mes cris étouffés de plaisir et de douleur. Tout cela me poussait toujours plus loin, m’entraînait dans un tourbillon de sensations où je perdais toute notion de contrôle.

Mon propre plaisir montait, incontrôlable, une tension brûlante qui se concentrait dans mon bas-ventre, irradiant jusqu’à mes cuisses tremblantes. Chaque coup de reins d’Adrien semblait me rapprocher du précipice, chaque frottement de son sexe contre mes parois internes envoyant des vagues de chaleur à travers mon corps.

Puis, alors que je pensais ne plus pouvoir tenir, je sentis un de ses doigts, humide de salive ou de ma propre mouille, se presser contre mon autre ouverture, cette zone interdite qu’il explorait maintenant avec une lenteur sadique. Il tourna autour de l’anneau serré, testant ma résistance, avant de pousser doucement, puis plus fermement, m’arrachant un gémissement de surprise et de plaisir mêlés. La sensation était étrange, intrusive, mais incroyablement intense, amplifiant tout ce que je ressentais déjà.

— Putain, t’es serrée là aussi, murmura-t-il, un sourire dans la voix, tandis qu’il enfonçait son doigt plus profondément, le faisant aller et venir en rythme avec ses coups de reins.

Cette double stimulation me fit perdre tout contrôle. Mon corps entier se tendit, mes muscles se contractant autour de lui, mes mains griffant le cuir du canapé. Je sentais l’orgasme approcher, une vague monstrueuse prête à me submerger.

— Je vais jouir, putain ! criai-je, ma voix brisée, rauque, à peine audible à travers le sexe de Marc dans ma bouche.

Ils rirent, un rire sombre, triomphant, qui résonna dans la pièce comme une marque de leur domination sur moi.

— Vas-y, salope, jouis pour nous, grogna Julien, ses yeux brillants d’une excitation perverse, et ce fut comme un ordre que mon corps ne pouvait ignorer.

L’orgasme me frappa de plein fouet, une explosion de plaisir si intense qu’elle me coupa le souffle.

Mon corps entier fut secoué de spasmes, mes muscles se contractant violemment autour du sexe d’Adrien, emprisonnant son doigt dans mon cul comme si je ne voulais plus le laisser partir. Des vagues de chaleur déferlèrent en moi, partant de mon bas-ventre pour se propager jusqu’à mes orteils, mes doigts, ma tête.

Mes seins se balançaient sous moi à chaque convulsion, mes tétons hypersensibles frottant contre le canapé, ajoutant une couche de sensation à ce chaos. Ma bouche se referma sur Marc avec une intensité désespérée, mes lèvres et ma langue travaillant frénétiquement alors que je criais mon plaisir autour de lui, les vibrations le faisant gémir plus fort.

Mais ils ne s’arrêtèrent pas pour autant. Adrien continua de me pilonner, ses coups de reins devenant plus brutaux, plus erratiques, comme s’il cherchait à prolonger mon extase pour son propre plaisir.

Julien et Marc, devant moi, alternaient leurs insultes et leurs encouragements, leurs mains guidant ma tête, leurs sexes pulsant contre mes lèvres. Je sentais leurs propres libérations approcher, leurs grognements devenant plus profonds, leurs mouvements plus urgents, et je savais que bientôt, ils marqueraient mon corps de leur jouissance, comme un sceau final de leur domination sur moi.

Marc fut le premier à atteindre le point de non-retour. Ses gémissements s’étaient transformés en grognements rauques, presque bestiaux, tandis que ses mains, crispées dans mes cheveux, guidaient ma bouche sur son sexe avec une urgence frénétique. Je sentais son membre palpiter contre ma langue, dur et brûlant, les veines saillantes sous mes lèvres humides.

Ma bouche, déjà fatiguée par l’effort, continuait de le sucer avec avidité, mes joues creusées, ma salive coulant sur mon menton. Mes seins, lourds et sensibles après tant de caresses brutales, se balançaient au rythme de ses poussées, mes tétons durcis frottant contre le cuir, envoyant des décharges de plaisir dans tout mon corps.

Soudain, il se retira d’un geste brusque, un grognement guttural s’échappant de sa gorge. Ses doigts se refermèrent sur son sexe, le serrant avec force alors qu’il se masturbait frénétiquement devant moi. Ses yeux, brillants de désir, étaient rivés sur ma poitrine dénudée, sur la peau pâle et luisante de sueur qui s’offrait à lui. Puis, dans un râle profond, il explosa.

Son sperme jaillit en jets chauds et épais, éclaboussant ma poitrine avec une force qui me fit sursauter. La sensation était brûlante, presque cuisante, comme une marque liquide qui coulait lentement sur mes seins, glissant le long de mes courbes, s’accrochant à mes tétons avant de s’égoutter sur mon ventre.

L’odeur salée et musquée envahit mes narines, un parfum brut qui intensifiait l’atmosphère déjà lourde de sexe. Je haletais, le cœur battant, sentant cette chaleur collante s’étendre sur ma peau, comme une revendication de son plaisir sur mon corps.

— Putain, t’es trop bonne, murmura-t-il, la voix cassée, en s’effondrant à côté de moi, ses mains tremblantes caressant encore mon épaule comme pour prolonger le contact.

Julien, qui me dominait de toute sa stature, continuait de me pénétrer avec une intensité presque sauvage. Ses coups de reins étaient devenus erratiques, désordonnés, mais toujours aussi puissants, chaque mouvement me secouant jusqu’au plus profond de mon être. Son sexe, épais et dur, m’emplissait complètement, frottant contre mes parois intérieures avec une friction délicieusement douloureuse.

Mes cuisses tremblaient sous l’effort de rester ouvertes pour lui, mes muscles internes se contractant autour de lui à chaque poussée, comme pour le retenir, pour le supplier de ne jamais s’arrêter. Ma peau, moite de sueur, collait à la sienne, et le bruit humide de nos corps qui s’entrechoquaient résonnait dans la pièce, un son obscène qui me faisait frissonner de honte et de plaisir mêlés.

Ses mains, grandes et rudes, s’agrippaient à mes hanches avec une force qui laissait des marques rouges sur ma peau tendre. Je sentais ses ongles s’enfoncer légèrement, une douleur aiguë qui se mêlait à la chaleur pulsante entre mes jambes.

Mon ventre, déjà tendu par l’orgasme qui m’avait dévastée quelques instants plus tôt, se contractait à nouveau sous l’assaut de ses mouvements. Mes seins, encore humides du sperme de Marc, tressautaient à chaque coup, et je sentais cette chaleur collante se mélanger à la sueur qui perlait sur ma peau.

— Je vais jouir, putain, grogna-t-il, ses dents serrées, son regard sombre plongé dans le mien, un mélange de triomphe et de désir brut.

Il accéléra encore, ses hanches claquant contre les miennes avec une violence qui me coupait le souffle. Puis, au dernier moment, il se retira d’un mouvement brusque, laissant un vide douloureux en moi. Sa main se referma sur son sexe, et il se libéra dans un râle profond, ses jets brûlants éclaboussant mon ventre.

La sensation était presque insupportable, chaque goutte chaude s’écrasant sur ma peau comme une pluie de feu, coulant le long de mes flancs, s’accumulant dans le creux de mon nombril. Mon corps, déjà épuisé, réagit malgré tout, un frisson me parcourant l’échine alors que je sentais cette marque de sa domination s’étendre sur moi. L’odeur de son plaisir se mêlait à celle de Marc, un mélange entêtant qui me faisait tourner la tête.

Mais, à peine Julien s’était-il retiré, qu’Adrien avait pris sa place entre mes cuisses. Ses mains, fermes et implacables, s’enfonçaient dans la chair de mes hanches, me maintenant en place alors qu’il me pénétrait à son tour. Il bougeait avec une lenteur sadique, savourant chaque centimètre de mon corps qui s’ouvrait pour lui.

Son sexe, long et dur, glissait en moi avec une précision cruelle, explorant des angles qui me faisaient gémir malgré moi. Mes parois, déjà sensibles après Julien, se contractaient autour de lui, chaque mouvement envoyant des vagues de plaisir mêlé de douleur dans tout mon corps. Mes fesses, encore marquées par les claques qu’il m’avait données plus tôt, brûlaient sous ses doigts, et chaque contact semblait raviver la chaleur de ces coups.

Mon dos était arqué, ma tête penchée en avant, mes cheveux collant à ma nuque trempée de sueur. Mes bras, tremblants, peinaient à me soutenir sur le canapé, et je sentais mes jambes fléchir sous l’intensité de ses assauts.

Mon intimité, humide et palpitante, semblait ne plus pouvoir en supporter davantage, et pourtant, chaque poussée d’Adrien semblait me pousser plus loin, vers un abîme de sensations que je ne pouvais plus contrôler. L’odeur de nos corps, de la sueur, du sexe, emplissait la pièce, un parfum animal qui me submergeait, tandis que les sons de ses grognements, de mes gémissements étouffés, et du claquement de sa peau contre la mienne formaient une cacophonie obscène.

— T’es à moi, putain, gronda-t-il, sa voix basse vibrant contre mon dos alors qu’il se penchait pour mordre la peau tendre de mon épaule.

La douleur de ses dents s’enfonçant dans ma chair me fit crier, mais ce cri se transforma en un gémissement de plaisir alors qu’il accélérait, ses mouvements devenant frénétiques.

Je sentis son sexe se tendre en moi, un dernier avertissement avant qu’il ne se libère. Son orgasme fut violent, un grognement guttural résonnant dans la pièce alors qu’il se répandait en moi, son liquide chaud se mêlant à ma propre humidité, débordant, coulant entre mes cuisses en filets collants.

La sensation était indescriptible, une chaleur envahissante qui semblait me remplir complètement, me marquer de l’intérieur. Mes muscles internes se contractèrent une dernière fois autour de lui, comme pour prolonger ce moment, et un frisson incontrôlable me parcourut, un écho de mon propre orgasme qui semblait ne jamais vraiment s’éteindre.

Épuisée, haletante, je m’effondrai sur le canapé, mon corps tremblant encore des répercussions de ce plaisir violent et dévastateur. Mes seins, mon ventre, mes cuisses, tout était marqué par leur désir, par leur domination.

La sueur perlait sur ma peau, se mêlant au sperme qui collait à ma poitrine, formant des traînées luisantes qui descendaient le long de mes courbes. Mon ventre, encore frémissant, portait les traces brûlantes de Julien, chaque goutte semblant peser sur moi comme une empreinte indélébile. Entre mes cuisses, le mélange de mon humidité et du liquide d’Adrien coulait lentement, une sensation à la fois intime et humiliante qui me rappelait à quel point j’avais été possédée, prise, soumise.

Ils s’assirent autour de moi, leurs respirations lourdes et irrégulières emplissant le silence de la pièce. Leurs regards, satisfaits, presque triomphants, étaient posés sur mon corps marqué, souillé, comme s’ils contemplaient une œuvre qu’ils avaient créée ensemble.

Julien passa une main dans ses cheveux, un sourire en coin sur les lèvres, tandis que Marc, encore rouge d’excitation, laissait échapper un soupir de contentement. Adrien, plus discret, me fixait avec une intensité qui me faisait frissonner, comme s’il n’en avait pas encore fini avec moi.

Mes doigts, tremblants, se posèrent sur ma peau, tentant de rassembler ce qui restait de moi. J’ai essuyé le sperme des trois hommes qui collait sur ma poitrine, mon ventre et entre mes cuisses, mes mouvements lents, presque mécaniques, tandis que la sensation de leur présence, de leur chaleur, continuait de hanter chaque parcelle de mon corps.

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Texte coquin : Soirée à 5
Histoire sexe : Une rose rouge
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